La pochette était intrigante et je n’avais entendu parlé ni du disque, ni du groupe. Ça part fort avec « Turn to Stone », un bon disco entraînant. Rapidement, on fait des parallèles avec Queen , autant dans les harmonies vocales, que dans la voix du chanteur, que dans les orchestrations. Puis on arrive à la 3e chanson « Sweet Tallin’ Woman », avec des arrangements intéressants de cordes et des passages plus électroniques à la Daft Punk. Ensuite, des orchestrations de cuivres et de cordes pincées surprennent dans « Across the Border », et on croit entendre des cloches à vache parmi les guitares électriques et les samplings de sirènes dans « Night in the City ». Et on continue d’être étonné par la difficile à classer « Jungle », à la fois beatlesque, belafontesque et électro-futuriste, avec même un petit intermède de chorale gospel. Les influences des Beatles et de Queen reviennent tout du long, mais avec une sauce éclectique et originale. Disque ambitieux, dense, mais franchement réussi. Très belle découverte pour ceux et celles qui aiment les orchestrations touffues et lourdes.

Très bonne impression générale. Je connaissais très mal ce disque à part la fameuse et parfaite « My Sweet Lord ». Mes découvertes favorites sont « Apple Scruffs », la très entraînante « Awaiting on you All » et le groove de « I Dig Love ». J’ai aussi bien aimé la chanson finale « Hear Me Lord », avec ses arrangements de piano et ses back-vocals.

Ouch! Une tonne de brique tout du long, mais dans la nostalgie. Je ne me rappelle pas d’avoir écouté cet album au complet en une fois, mais je me rappelle du 3/4 des chansons, un hit après l’autre. Ça déménage, c’est bon, c’est punk, c’est limite grunge. J’ai eu besoin de respirer profondément après pour revenir sur Terre. Je ne peux plus écouter cela trop souvent, la patate ne tiendra pas, mais j’ai eu un grand plaisir en lavant mon four. Il est très propre 😎🤟😜

Du très bon funk et R&B, de grand standard, très constant. Rien n’accote la première chanson « Let’s Stay Together », mais quand même de très bonne ma chansons, dont « OldTime Lovin’ » et « I’ve Never Found A Girl ». Les back-vocals et les cuivres sont géniaux. Et quelle voix, qui peut faire n’importe quoi et qu’on veut continuer à entendre, toujours plus.

La pochette était intrigante et je n’avais entendu parlé ni du disque, ni du groupe. Ça part fort avec « Turn to Stone », un bon disco entraînant. Rapidement, on fait des parallèles avec Queen , autant dans les harmonies vocales, que dans la voix du chanteur, que dans les orchestrations. Puis on arrive à la 3e chanson « Sweet Tallin’ Woman », avec des arrangements intéressants de cordes et des passages plus électroniques à la Daft Punk. Ensuite, des orchestrations de cuivres et de cordes pincées surprennent dans « Across the Border », et on croit entendre des cloches à vache parmi les guitares électriques et les samplings de sirènes dans « Night in the City ». Et on continue d’être étonné par la difficile à classer « Jungle », à la fois beatlesque, belafontesque et électro-futuriste, avec même un petit intermède de chorale gospel. Les influences des Beatles et de Queen reviennent tout du long, mais avec une sauce éclectique et originale. Disque ambitieux, dense, mais franchement réussi. Très belle découverte pour ceux et celles qui aiment les orchestrations touffues et lourdes.

Les riffs de guitare répétitifs et interminables donnent l’impression qu’on reste toujours dans la même chanson. Il n’y a pas beaucoup de variation dans les patrons musicaux. Je ne suis pas très blues en partant, mais ce type de blues avec solo de guitare électrique assez banals et cette voix texane ne m’a vraiment pas conquis. Comme point positif, malgré que j’aie écouté cela en me levant le matin à 6h30, ça s’écoutait bien. Je n’ai jamais écouté du ZZ Top et j’avais des a priori plutôt négatifs. On dit dans le résumé de l’album que ZZ Top est « l’un des meilleurs groupes américains en concert »; j’avoue que les 3 versions live de l’album remastorisé de 2006 sont celles que j’ai le plus aimées. À écouter une fois dans sa vie ? Ok peut-être, mais ce sera la seule fois pour moi.

Dring! Dring! Who Is Speaking? C’est The Kinks. Quelle belle intro! Bonne chanson d’ouverture à la Beatles. Gros coup de cœur pour la deuxième chanson aussi « Rosy Won’t You Please Come Home », qui rappelle The Doors avec la voix et le clavecin. Et aussi pour « Sunny Afternoon », apparemment le plus grand succès de l’album. Très bon album dans l’ensemble. Belle découverte. À réécouter.

Le disque n’a pas été facile à trouver, mais on l’a finalement trouvé sur YouTube. J’ai de la difficulté à noter cette album, j’hésite entre 2 et 3. Il y a des chansons intéressantes, mais plusieurs assez banales qui font que le disque ne me marquera pas. Souvent la voix du chanteur me semble inappropriée par rapport aux musicalités très musique du monde. J’ai préféré les chansons où ce sont d’autres interprètes, notamment « Erzulie » et « Soledad ». Tout de même un peu trop New Age à mon goût.

Ah Ray Charles! Ça s’écoute comme un charme. Quelle voix! Et quelles orchestrations avec les trompettes, puis les violons, dans la grande classe! Bien que je connaissais un peu son répertoire, surtout ses nombreux succès populaires, je n’avais jamais entendu aucunes des chansons de ce disque. C’était donc un beau cadeau, car j’aime beaucoup tout ce qu’il a fait. Tout est beau et bon goût, mais j’ai eu quelques petits coups de cœur: les douces « Don’t Let the Sun Catch You Cryin’ » et « Come Rain or Come Shine » et les plus rythmées style big band « Let the Good Times Roll » et « Alexander’s Ragtime Band ».

Ça partait mal, avec l’intro de la première chanson, où on se sent comme dans une séance de massothérapie, jusqu’à ce que la guitare embarque, un peu mieux.je ne suis pas un fan des chanson instrumentale de 15 minutes, je vais essayer de rester ouvert 😊Fiou ! il y a de belles harmonies vocales vers 9 minutes. Les paroles et la musique de « Welcome To The Machine » n’accrochent, comme dans « La Maudite machine » d’Octobre en 1971, le système qui nous avale est un thème fort qui me rejoint et qui est très bien exploité ici aussi. Thème qui se poursuit dans la très bonne « Have A Cigar », dans laquelle on dicte à un jeune garçon comment être un bon soldat et comment plaire et faire de l’argent facile. Et la transition vers « Wish You Were Here » est juste parfaite, avec le sampling d’une conversation ou un adulte puissant semble donner la morale à une personne qui semble en douter en lui disant « disciplinary romains mercifully ». Je connaissais ce gros tube, mais j’avais j’avais jamais pris le temps de lire les paroles si belles et qui sont comme un appel à l’espoir d’un possible meilleur dans ce monde si formaté et aliénant. En bref, un très bon album concept qui se tient et dont je reconnais qu’il ne peut être noter que par 5 étoiles. Je souligne aussi la très belle et forte pochette d’Hipgnosis, un collectif qui aurait signé les pochettes de plusieurs groupes progressifs du temps, dont plusieurs autres albums de Pink Floyd.

Je n’ai jamais été un grand fan d’ABBA, mais je dois me rendre à l’évidence, ils ont le sens de la musique accrocheuse qui fait sourire et danser. Mon rappel à leur méga hit « Dancing Queen » a évolué avec le temps, de trop sucré et quétaine à trop sucré et quétaine, mais franchement réussi. Pour ce tube et aussi pour plusieurs autres chansons vraiment chouette (« Knowing Me, Knowing You » et ses « Haahaaa » tout doux et bien placés dans les refrains; la plus forte du disque « Money, Money, Money » avec ses orchestrations et ses changements de ton; « Tiger » et les plus rigolote « Fernando » et « Happy HawaII »), mais pour quelques chansons vraiment douteuses (« My Love, My Life »; « Dum Dum Diddle » et la chanson titre « Arrival »), je dois donner 3. On parle beaucoup de l’Eurovision dans le texte du livre, on est vraiment là. Mention spéciale à la pochette avec une photo du groupe dans un espèce d’hélicoptère en bulle transparente.

Très belle découverte ce matin, jamais entendu parler de ce groupe. Bel album aux sonorités skas (avec les cuivres, grosse base et percussions), rocks (avec quelques bons passages de guitares électriques et voix à la The White Stripes) et folks, voir country. De très bonnes chansons (« Zuton Fever »; « Pressure Point », dont la voix du chanteur fait penser à Jack White; « You Will You Won’t » et les plus douces « Railroad », « Remember Me » et « Moon and Horror Show »).

Je reconnais l’importance de cet album, pour le contexte historique, pour l’influence qu’il a eu pour la suite, etc. Je ne peux donc pas donner en bas de 3. Par contre, je n’ai pas eu de plaisir à l’écouter - ça à même été un peu souffrant à terminer - mis à part la dernière chanson « EMI », que j’ai vrai aimée.

Quel grand album! Retour nostalgique dans mon adolescence avec ce disque d’une grand force tranquille avec des chansons parfaites comme « Mysterons » et Glory Box ». La voix chaleureuse de Beth Gibbons, les rythmes et arrangements trip hop et les samplings sont tout simplement parfaits. 5 étoiles sans questionnement.

Un parfait album pour Noël. Je l’ai écouté pas tellement longtemps après le réveil vers 6h30, avec un café après être aller au froid regarder le ciel étoilé, la lune et les épinettes chargées de neige. Assez magique comme début de journée des Fêtes. Les grands classiques de Noël se succèdent, dignement interprétés par de multiples groupes ou chanteuse, aux sonorités des années 60. Gros contraste entre la joie et la paix qui se dégage de ce disque et l’être ignoble et méchant qu’est le producteur Phil Spector.

Album écouté au retour des partys de noël familiaux, sur la route enneigée et sinueuse des Sept-Chutes. Ambiance parfaite et contexte approprié pour ce disque nommé « Winter un America ». Un album qui commence très doux avec piano, sons feutrés très jazz et quelques passages de flûte. Au fil de l’écoute, s’ajoutent des accents R&B et même un peu disco. Et ça revient plus doux avec une pièce qui fait ressortir l’orgue. Puis, l’avant-dernière pièce, qui commence par un petit cours rigolo sur le blues, se transforme en critique acerbe, mais tout de même drolatique, de la société américaine sous le King Richard Nixon. Sous la forme d’un discours scandé présageant ce qui viendra avec le rap, le texte devient une charge à fond de train contre les visées guerrières et interventionnistes des Etats-Unis, contre les scandales politiques (on est l’année du Watergate) et la cupidité des grandes entreprises. On entend les collègues musiciens qui rigolent et encouragent derrière. Un vrai tour de force ce disque. Bien dommage qu’il ne soit pas accessible sur les plateformes pour le réécouter facilement.

Même si j’ai l’impression de sous-noter cette album, je lui donne un 3, car je dois me laisser de la marge de manœuvre puisque Bowie a quand même 10 disques dans la liste et celui-ci n’est clairement pas dans mes favoris. Malgré les puissantes chansons « Beauty And The Beast », la parfaite « Heroes » et « Sons Of The Silent Age », la partie du disque plus instrumentale m’a moins rejointe. Les orchestrations lourde et dense et la charge de ce disque est tout de même remarquable.

Un grand Prince and the Revolution ! Aucun doute que c’est un 5, il y a trop de grandes chansons sur sur disque : « Let’s Go Crazy »; « Take Me With U »; la provocante « Darling Nikki »; le ver d’oreille « When Doves Cry » et la mythique « Purple Rain ». Quelle guitare et quelle voix ! Des arrangements de synthétiseur typiques des années 80 qui traversent le temps en restant pertinents. Et toute une pochette, avec un Prince habillé en veston mauve, sur une moto dans une nuit torride et embrumée, avec un « Purple Rain » écrit en lettres attachées dans un mauve redevenue à la mode ces dernières années, et des bandeaux de tapisserie fleuries de part et d’autre. Une pochette qui revient au goût du jour tout comme le son de ce grand album.

Malgré quelques chansons très accrocheuses avec de bons textes (« Shout », « Everybody Wants To Rules The World » et «  Head Over Heels / Broken »), le reste de l’album vieillit mal et est trop sirupeux. Je ne pensais tout de même pas connaître certaines chansons aussi bien en voyant la pochette et le nom du groupe. Merci à la radio Rock Détente qui jouait durant ma jeunesse pour m’avoir donné cette culture générale assez large de la musique des années 80.

Ce serait le premier album solo de Paul Simon, suite à la rupture professionnelle avec Art Garfunkel, parti jouer à l’acteur. Très belle intro d’album avec une chanson reaggae (« Mother And Child Reunion ») et une deuxième chanson folk vraiment très belle (« Duncan »), avec des guitares très country et harmoniques et une flûte qui accompagne les refrains. Un disque qui s’écoute vraiment très bien, avec plusieurs chansons folks douces. Gros coups de cœur pour le sujet et le texte de « Run That Body Down » et pour la grande et rythmée « Me And Julio Down By The Schoolyard », que je connaissais et aimais déjà beaucoup à cause du jouissif film « The Royal Tenenbaums » de Wes Anderson.

Bien que je reconnais l’importance de ce disque, qui aurait pavé la voie aux autres groupes trip hop, cet album m’a laissé assez neutre. S’écoute bien, mais s’oublie vite !

Désolé, pas pour moi ce disque. Je l’ai écouté une fois au complet, puis une 2e fois plus rapidement le lendemain matin pour voir si ce n’était pas qu’une mauvaise journée. Je dois me rendre à l’évidence : pas pour moi. Je souligne quand même mes 2 préférées : « Crash And Carry » et « Kein Trink Wasser ».

Malgré que j’aime beaucoup The Smiths et la voix unique du chanteur, je n’ai pas été séduit par ce disque. Les arrangements sont pourtant intéressants, frôlant par exemple la musique country dans mes deux préférées : « Rusholme Ruffians » et « No Where Fast ». Ils sont denses et chargés, avec plein de samplings et de couches qui s’additionnent, mais au final, c’est pas aussi facile à écouter que les autres disques du groupe que je connais mieux. Ça ne coule pas autant et la magie n’opère pas pour moi.

Classique des classiques. Quel grand disque, quel grand auteur-compositeur !!! Rien à redire de plus 😊🙆‍♂️❤️😎 Vite à la plage !

Album un peu répétitif avec plusieurs chansons faites sur le même patron musical et qui sont difficiles à distinguer l’une de l’autre. J’ai quand même beaucoup aimé les quelques chansons plus rythmées voire country et j’ai eu un coup de cœur particulier pour « Donna Donna » et la chanson en espagnol « El Preso Numero Nueve ». Et elle a vraiment une très belle voix, même dans les chansons un peu trop lyreuses.

Un classique moderne. J’ai toujours un un faible pour les deux plus gros hits « Rehab » et « Back to Black ». Quelle âme et voix troublée. Les arrangements sont vraiment forts, je n’avais pas remarqué leur complexité, car ce n’est pas un album que j’avais écouté attentivement. Pas pour rien qu’il soit devenu culte.

Grand bonheur instantané à la première chanson, mais cela s’intensifie au deuxième titre « Smug »;« Beautiful » avec ses guitares, ses percussions et sa basse vraiment cool et « Don’t Let The Rain Bring You Down » et ses sifflements et sifflets.

Sombre mais combien bel album, imprégné de poésie. La première chanson est tout simplement un chef d’œuvre. Plusieurs autres m’ont aussi rempli de grâce, en particuli Celles avec les chœurs si beaux.

Très générique comme album, je ne vois pas sa pertinence dans cette liste. La rigolote chanson « Kung Fu » a un peu sauvé la mise, mais ça reste une étoile pour moi sans hésitation.

De la très bonnes musiques d’ascenseurs ou d’attente dans un lounge, mais ça reste que ça ne m’intéresse pas d’écouter ça ailleurs que dans ces circonstances. J’ai quand même fait l’exercice de bout à l’autre.

Moins de la bombe que ce que Madonna nous avait donné dans le passé, c’est un album imprégné de sérénité comme nous dit le livre, découlant probablement de la naissance de sa fille Lourdes et de sa conversion à la kabbale. On sent d’ailleurs l’ésotérisme et le mysticisme tout du long, chose qui m’avait rebuté à la première écoute, mais qui donne une cohérence à l’album et le rend doux et agréable malgré plusieurs chansons dansantes, dont deux gros hits : « Ray Of Light » et « Frozen ». L’apogée du mystique arrive avec « Shanti / Ashtangi », qui est très bonne et assez rythmée.

Et ça démarre avec deux bombes qui ne peuvent laisser aucun jarret et bassin immobile : « Don’t Stop ´Til You Get Enough » et « Rick Euth You », avec Ouh !, Eih ! et Ahh! à profusion qui se sortiront ici et là durant tout l’album. Ça se poursuit avec la non moins bougeante « Working Day And Night », avec cloches rythmées, autres percussions, guitares enflammées et pianos. Et la face A se termine par une invitation de Michael à « Get On The Floor » and « dance with me » dans une hymne disco. Première face parfaite. La face B s’avère moins forte, malgré la chanson titre « Off The Wall » qui accote les précédentes. Les autres chansons plus douces sont moins fortes.

Très bon disque, mais pas mon préféré de Nick Cave. Il est peu trop sûr le 320 tout du long.

Beau petit album jazz qui d’écoute bien, mais qui devient un peu vite la même longue chanson. Belle découverte tout de même.

Beaucoup de fioritures dans cet album, autant dans les arrangements que dans les voix. C’est très beau, mais souvent trop, trop sucré, trop mielleux pour les oreilles. Individuellement, ça pourrait passer, mais couches sur couches ça frôle l’indigestion. Les pièces plus sobres passent bien par contre : notamment « Stillness in the Move » et « Two Doves ». Certaines harmonies vocales rappelle Camille et son grand album « Le fil », qui est par contre beaucoup plus puissant et réussi. Devant le faible nombre d’albums français dans ce palmarès, je remplacerais sans hésitation cet album-ci par ce dernier.

Drôle d’album avec tellement d’influences éclectiques. La voix nous rappelle, quand elle n’est pas trop heavy-méta, celle d’Alain Bashung. Il y a clairement du métal avec la grosse guitare à distorsion et le drum dans le tapis. Il y a aussi parfois des arrangements symphoniques avec violons. Je ne sais pas trop quoi penser de cet étrange objet.

Un bon disque, mais pas parfait. Mes deux préférées sont celles que je connaissais déjà le mieux: « Love Her Madly » et « Riders On The Storm ». Je n’ai pas particulièrement aimé celles où Jim Morrison chante de façon plus blues et avec voix grasse.

Un très bel et bon album. Plusieurs chansons juste parfaites : « Moondance », « Crazy Love », « These Dream Of You » et « Everyone ». Les arrangements sont vraiment beaux; j’ai surtout remarqué le piano. Il y a aussi de beaux back-vocal de choristes femmes sur certaines pistes. Un grand album que je ne connaissais pas assez comme un tout.