The Number Of The Beast
Iron MaidenC'est moins pire que ce que j'imaginais! C'est presque bon.
C'est moins pire que ce que j'imaginais! C'est presque bon.
Les virtuoses du prog. Yes maîtrise tout le vocabulaire du prog anglais des années 1970: si, dans certains passages, ils sont capables de sonner comme Gentle Giant, King Crimson ou Genesis, jamais ces autres groupes ne sonnent comme Yes.
Est-ce vraiment de la musique? Ça y ressemble, mais attention de s'y méprendre. C'est une écoute très pénible. Suivre ainsi les émotions exacerbées et instables d'un chanteur bipolaire mégalomaniaque, c'est épuisant. L'album est un ramassis d'effets musicaux dramatiques collés les uns à la suite des autres, sans logique apparente (l'IA avant l'IA). On cherche l'effet avant tout, de façon artificielle. Les musiciens sont pros, mais pas l'écriture. C'est du Spinal Tap qui se prend au sérieux. À mon avis, l'intérêt de l'album est qu'il est hautement indigeste et qu'il peut servir d'exemple à ce titre.
J'ai ben aimé ça! Quelle sonorité, quelle fluidité. C'est fou, je ne savais pas, mais c'est Stevie qui fait la plupart des instruments sur presque toutes les tounes, dont tous les drums (?!). Respect, mon ami. Mention spéciale aux lignes de basse au moog et aux solos d'harmonica (par Stevie aussi). Ça donne le goût de creuser dans le reste de sa discographie.
Pas pire pantoute. Rien de trop négatif à dire. Plusieurs bons moments. P-ê un peu inégal.
La pochette est à mon goût. L'album contient peu de pièces mémorables, mais demeure très intéressant. C'est Leonard Cohen, je suis vendu d'avance. C'est cool d'entendre Leonard chanter tout croche en criant sur "Diamonds in the Mine". Les choeurs de femmes sont parfois bien utilisés, parfois gossants. Y'a quelques très bons passages, comme la finale de "Sing Another Song, Boys". Même si je ne comprends pas les paroles, j'aime ça.
En cuisine, j'aime à peu près tous les plats, tous les aliments. Je suis ouvert à toutes les saveurs. En musique, c'est différent: mon ouverture n'est pas aussi grande; mon oreille aime certains types de sons plus que d'autres. OutKast n'est pas dans ma palette de goûts, mais j'ai eu l'impression que c'était un excellent album pour une personne qui aime cette musique. Je pense même que les fans doivent être du genre trop enthousiastes et parler de «génie». C'est généreux et foisonnant d'idées, comme si on visite l'atelier de l'artiste. À l'auditeur de faire sa sélection; le groupe ne veut rien jeter, veut tout montrer. À partir de la pièce «Church», mon intérêt a quintuplé. Ça demanderait une cinquantaine d'écoute pour faire le tour!! Du costaud.
Un album mythique et mystique. Pour décoller et planer très haut. La basse obstinée et l'incantation de la track 1 me hantent à jamais.
Comme Pierre Bertrand après Beau Dommage, Morrissey offre à ses fans l'honneur de réentendre sa voix sur fond de musique sonore. Le public aime ça et en redemande! Quel public? Celui qui aime ce type de musique. Le Journal donne trois grosses étoiles dorées à Vauxhall And I. À écouter le dimanche matin!
J'ai aimé ça, mais j'aime le country et le folk, alors... Belle voix, pas trop forcée. Rien de désagréable, mais ce n'est pas nécessairement mémorable. Le tout demeure positif.
Manque de temps pour écrire, mais cette musique a qqch. d'extrêmement original et personnel, en plus d'offrir des sonorités jouissives et de la virtuosité bien dosée.