The Number Of The Beast
Iron MaidenFucking ridicule. Bonne prod. 8 reprises de The Knife de Genesis.
Fucking ridicule. Bonne prod. 8 reprises de The Knife de Genesis.
Musique de vaisseau spatial avec des lumières qui clignotent partout. Les contributions solo sont cools; les pièces en band torchent toute. Bruford est mon drummer calme préféré. J'y donnerais 4.5 mais faut arrondir.
Impeccablement insoutenable.
Transcendant. Ça sonne comme si ça s'était fait tout seul sans effort. J'entends des affaires que McCartney s'est mis à imiter dans les années qui ont suivies. J'ai hâte de le réécouter. À mettre quand y'a de la visite, chill.
C'est très bon mais c'est pas très bon.
Je sais qu'y'a un genre de non-dit comme quoi faudrait vénérer Cohen comme s'il avait inventé le velcro mais pour moi c'est comme un déménagement. Lourd et tout le temps un peu pareil. Si quelqu'un me demande de donner un coup de main pour passer à travers, ouin ok. Mais de mon plein gré, c'est rare. C'est loin d'être mauvais, mais j'ai pas mal tout le temps mieux à faire. Last Year's Man ressemble beaucoup à Rock 'n' Roll Suicide de Bowie qui paraît 2 ans plus tard. Les dernières notes de Joan of Arc m'ont fait penser au phoque en alaska qui paraît 3 ans plus tard.
Speakerboxxx : Prod crap qui vieilli mal. Church, c'était le summum des fréquences désagréables. Flip Flop Rock c'était aussi bon que du Linkin Park. À mi-chemin, j'ai pris le temps de calculer qu'il fallait attendre 1h25 avant d'entendre Hey Ya!. The Love Below : Dès que ça part, on comprend qu'on est entre meilleures mains avec André 3000. C'est wild, éclaté, ça part dans tous les sens en restant cohérent. Suffit de regarder la pochette pour avoir une idée avec lequel des deux t'as le goût de faire le party. 5 étoiles pour Love Below, 1 pour Speakerboxxx ou 4 étoiles pour Love Below et 2 pour Speakerboxxx pour une triste moyenne de 3 dans les deux cas.
Bonne bioune. Belle cohérence. Comme une toile abstraite qui donne l'impression de pouvoir accéder à signification plus grande. 4 étoiles mais peut-être 5 à l'avenir quand j'aurai assez revisité.
zzzzzzzzzzz... Si j'avais besoin d'entendre ça avant de mourir, j'ose pas imaginer ce que j'ai pas besoin d'entendre. Instrumentation boring au pas possible. Prod stérile. Quelques tounes correctes qui baignent dans des guitares qui évoquent un pichet de Quick aux fraises.
Un beau gros mélange de bah et de bof. "Rien à voir, circulez." comme disait la police aux gens qui essayaient de voir si j'avais survécu à un 2e accident d'affilé dans le même Tim Hortons.
Excellent. Je sais pas lequel j'ai préféré entre lui et Fulfillingness. Même calibre. Un autre que j'ai hâte de réécouter. J'aime beaucoup comment la prod de ces albums est "understated". Y'a jamais vraiment rien qui dégénère dans l'exagération alors que c'est sûrement ce qui serait arrivé avec certaines tounes dans d'autres mains.
Rien de désagréable, rien de fabuleux. Fait penser à un gros mélange de plein d'affaires qui sont un peu meilleures que ça. C'est un peu niais par bouttes. Meilleur que ce qui joue dans la plupart des magasins à rayons.
Cet album a un cool factor intemporel. Les Dust Brothers sont des savants fous. C'est 7 ans avant Odelay mais ça pourrait être 2 semaines tellement c'est des prods hors du temps. Un peu long, la séquence finale est pas nécessaire. Ben du fun pour le reste.
Le meilleur dernier album d'un band de toute l'histoire des derniers albums de band. Le meilleur album du band que presque tous ses albums sont son meilleur. Le meilleur album du meilleur band. Le meilleur album. Chacun des membres réussi à se dépasser, le groupe réussi à se dépasser. Et ils n'ont pas encore 30 ans. Le technologie a encore fait un bon, juste à temps pour clore le chapître des Beatles d'une production majestueuse. Y s'est pus jamais rien fait de bon depuis.
Écoute agréable. Cet album n'a généré en moi aucun sentiment s'apparentant à la haine. Mais j'commençais à être tanné rendu à moitié. Mention particulière au son du snare pendant le solo d'harmonica de Georgia On My Mind à partir de 2m17s.
Album inclassable. En équilibre parfait sur le sweet spot entre le prog et le rock'n'roll. Un peu dans la même famille que Ram. Une fenêtre sur un univers parallèle où y'a pas de règlements quand tu décides d'écrire une bonne toune. Un peu comme dans les films de super-héros quand le personnage prend pleine conscience de tous ses pouvoirs. Depuis la sortie de cet album, on parle souvent d'un phénomène nommé le "Paradoxe d'Arthur"; principe qui veut que toutes les chansons d'un album soient meilleures que toutes les autres. Un son plus réconfortant qu'un feu de foyer en pantoufles. Ok, no joke, j'ai écris cette phrase avant d'arriver à Shangri-La et là j'entends : "Put on your slippers and sit by the fire". O_O Y s'est pus jamais rien fait de bon après ça.
C'est bon mais un peu idiot. Chaque solo de sax arrive comme si c'était la fin du monde. J'aurais peut-être apprécié un peu plus, saoûl mort sur une plage, mais on n'est que vendredi matin, dans l’sous-sol.
La première toune fonctionne aussi bien que de se faire traîner au bout d'une chaine sur un chemin de bois par un truck pendant 5m5s. Time After Time est l'ultimate slow. Correct.
C'est bon mais c'est quand même un peu plate.
C'est rigolo. Bon fit avec mon état d'esprit matinal. Le mix est souvent dégueulasse, surtout le drum. J'ai l'impression que mes speakers rushent avec les basses fréquences dans certaines tounes. Efilnikufesin (N.F.L.) à 1m19s, c'est particulier. Un peu trop long, j'aurais pris 15 minutes de moins.
Le retour rock de Radiohead en mode invincible après son exploration Kid A/Amnesiac. Ils ont maintenant plus de cordes à leurs arcs qu'à leurs guitares. Leur album le plus dark et angoissant. Ça va pas ben. C'est tellement bon que c'est sûrement la fin. Pourtant ils deviennent encore meilleurs après. Dans leur top 6.
Le summum du early Beatles. La voix de Lennon domine cet album, probablement plus que sur tous les autres. Y'a plus de hits sur cet album que sur les Greatest Hits de 9 bands sur 10.
Bonne musique de Noël. Prod un peu bizarre qui réussit pas à traduire toute l'énergie que le band projette. Y manque un range de fréquences, typique d'une prod lo-fi, qui contraste avec l'effet over the top général. Ça pourrait être plus puissant, à la place c'est fatiguant. Jamais vu live; je crois tous les gens qui me disent que c'est meilleur. 1 minute de moins à chaque toune et l’album aurait une durée parfaite. Un gros 3.5 arrondi.
S'accompagne bien en mangeant un bol de sable ou en regardant des barbus se casser des chaises sur le dos. Ça m'a rappelé l'épisode où Homer rase de tromper Marge avec une chanteuse country pis j'me dis qu'y'aurait dû parce que fuck toute si y faut écouter des affaires de même. Mention honorable au medley live du "northern Québec" avec la gang de jambons débiles qui crie pis qui applaudit aux 4 secondes. J'étais prêt à aller dans le 3 étoiles mais ça, ça m'a aidé à trancher.
Je sais pas. J'suis d'accord avec tout le monde. Ça s'écoute bien mais pas de goût de revenez-y. Je vais complètement oublier cet album. J'ai pas encore fini et je ne m'en rappelle pus déjà.
Aretha aurait pu travailler en démolition et faire tomber des gratte-ciel avec sa voix. Super arrangements. Super vibe. Super album. Mention honorable au bassiste (vraiment proéminent dans le mix) qui est en feu pas mal tout le long mais aussi vraiment pas tight à 1m05s dans Chain of Fools.
Performance honnête, pleine de grâce. Un peu inégal dans l'offre. La reprise de Hurt restera toujours un tour de force. Je ne sais pas si cet album a vraiment sa place dans la liste mais cette reprise l'a définitivement dans celle des 1001 chansons. Ça m'a fait demander ce qu'Elvis nous aurait offert s'il avait vécu vieux. Production un peu moche, surcompressée. J'imagine qu'à l'époque on devait dire "C'est fantastique, on croirait être dans la pièce." mais perso je me dit que j'ai pas besoin d'entendre quand son dentier bouge d'un millimètre ou qu'une poussière frôle la guitare. Aurait grandement bénéficié de plus de chaleur au niveau des fréquences.
Je ne connais pas l'état dans lequel je devrais être pour avoir envie de réécouter. Y'a une belle constante de c'est-presque-bon tout le long. L'album se termine sur "We had fun while it lasted" mais j'en ai pas ben ben eu. Bonne prod de Glyn Johns.
De la musique qui chatouille mon déficit d'attention. Je me questionne beaucoup sur la prise de son de la foule. L'image stéréo de celle-ci est totalement différente si on compare le début de Little Italy avec le début de La Muerta Del Angel. Je suspecte qu'il y ait eu un mouvement de la plaque tectonique eurasiatique durant l'enregistrement, affectant ainsi l'emplacement des micros. Un excellent album pour faire fuir la visite en fin de soirée.
C'est long et ça s'en va pas mal nulle part, ça tourne en rond. Pas vraiment de stand out track. Mix impressionnant, beaucoup d'instruments en même temps mais ça respire quand même. Méritait l'écoute pour ça. Je sersis curieux de réécouter sur différents systèmes mais pas au complet.
Dégueulasse. Ça m'a donné la diarrhée.
Cet album est comme une tour Jenga où il n'y a plus de move possible. Changer un seul bloc de place entraînerait un écroulement total.
Dans Five Years, Bowie démontre simultanément ses skills de rocker et d'acteur. L'album vaut déjà 5 étoiles. Band invincible. Bowie et Ronson forment un des meilleur duo de guitares ever. Production démente. Équilibre parfait de rock flamboyant qui tombe jamais dans le ridicule. "To be played at maximum volume."
Bon disque pour tenir compagnie aux plantes à la maison quand tu pars en vacances. Surtout si elles sont artificielles. C'est fade.
Le chanteur me semble être une personne agréable et de bonne compagnie.