Sea Change
BeckSuper tranquille et mélancolique, mais tellement bien fait. Les arrangements sont superbes et ce n’est jamais mou.
Super tranquille et mélancolique, mais tellement bien fait. Les arrangements sont superbes et ce n’est jamais mou.
On cible vraient les camionneurs du sud ouest des États-Unis ici. Pour ceux qui ne font pas ce métier et qui n’habitent pas ce coin de pays, c’est un album de country très beige. Une chance qu’il y a Witchy Woman qui ressort et qui va un peu ailleurs.
C’est du Blues ben straight. Rien de ben ben exceptionnel, à pars peut-être le son qui se distingue et qui leur est caractéristique. La ballade est pas sentie du tout. Rien de mémorable à part la Grange.
Ouf. C’est bien senti par contre. On sent l’authenticité.
Mystery dance était l’fun.
Au moins, c’est différent.
Ça commence fort et ça fini fort. Le milieu est vide et sans intérêt.
AAAAAH ! C’est surement pas une découverte pour personne, mais cet album est selon moi le meilleur à date. Une bonne balance d’inventivité et d’accessibilité. Chaque chanson a son lot de surprise et chacune est différente de la précédente, sans nuire à l’unité du tout. Chaque instrumentiste apporte un son caractéristique personnel, sans empiéter sur les autres. C’est aussi plutôt technique, mais ça respire et on n’est pas submergé sous une trop grande quantité de notes (contrairement à Todd Runngren par exemple).
Très intéressant. C’est la première fois que j’écoute un de leurs albums en entier. On fleurte avec le quétaine parfois. On dirais que les track de vocal retenues sont les 1057e. Il ne chante pas très bien en fait, mais je pense que ce n’est pas très important. Je pense aussi que de n’avoir que de l’audio nous donne accès à seulement une partie de l’expérience.
J’aime beaucoup les artistes qui ne se prennent pas au sérieux. Par contre, ça ne m’amuse pas longtemps s’il n’y a pas de substance. « There’s a moon in the sky... It’s called the moon... » ... ... vraiment ?
J’espère que l’aura de ce band ne tient pas à cet album (J’ai l’impression que ça tient plus à la relation avec Andy Warhol). J’ai bien aimé la 2e partie de la pièce « the murder mystery », mais la 1re partie était vraiment pénible.
Toujours inventif et différent. J’aime sa recherche ne nouvelles façon de concevoir de la musique. Par contre, c’est pas son meilleur (je préfère post), un peu linéaire, quelques tounes qui vieillissent mal (Frosti par exemple).
La pochette me laissait un peu perplexe. Ça m’inspirait une genre de compilation cheap avec des trucs d’artistes non-originaux (il y a toujours quelques disques comme ça dans les boites de vyniles des ventes de garage). Quand j’ai parti la re toune, je me suis dit « mmm, je connais ce son là ». Effectivement, c’est partout, surtout dans Looking down the barrel of a gun pour ma part. Au final, ça groove en sale, mais c’est pas super intéressant. On dirait qu’ils se sont dit en le faisant « Check ben ça, dans 10-15 ans, le monde va découper les beat pis faire autre chose avec. On va leur en donner pour leur argent ». Ça fait de bons scores de films policier à LA (pour sa battre en moustache).
Oh ! Je ne connaissais pas ça, mais j’ai eu beaucoup de plaisir. Un band qui semble indécis. Ça me donne l’impression que c’est un band de rock qui a mis un seul des 2 pieds dans le punk qui arrivait. C’est aussi l’époque ou le Reggae arrive plus fort. Ils se sont sentis obligés d’en faire une et ce n’est pas très réussi. C’est en fait rarement réussi à mon avis. Même de nos jours. Dans l’ensemble, c’est l’fun et hyper pas politiquement corect.
C’est la première fois que j’écoute ce disque en entier. C’est pas mal ce que Queen a fait de plus rock. Stone cold crazy a toujours été ma toune favorite de Queen. Brian May est vraiment solide sur cet album.
Cet album est merveilleux.
C’est correct. Ça tire en longueur sur tout un album. Visuellement, ça ne fit pas avec la musique. C’est organique par contre et ça fait un bon pont entre rock, blues et country. John Fogerty a vraiment une voix l’fun, mais quand on écoute les track live à la fin, on voit que c’est fragile.
Sympathique. Quétaine par moment.
C’est pas une écoute facile ça, mais je suis content de l’avoir fait. Ils ont beaucoup d’énergie. On voit les liens avec Death before 1979.
Pas ce à quoi je m’attendais. Plus intéressant en fait, parce que je ne suis pas fan de ses hits qui sont un genre de rock sans saveur que je n’aime pas. On dirait Rocky horror Picture show.
Pour écouter en mangeant de la soupe et en lisant « du bouillon de poulet pour l’âme ».
Plate. Un bon score de film ne fait pas automatiquement un bon album. Ça sonne comme une mauvaise copie de Pink Floyd par bout. Le drummer est complètement inintéressant, il ne cesse de faire le même foutu fill en doubles croches. Ça devient agaçant après la 12 fois. Puisqu’il est la moitié du band, il faudrait que le clavier soit vraiment hot pour compenser. Il y a tout de même quelques ambiances cool. JÈétait content d’entendre du mellotron.
Un bon album pop, mais pas très intéressant.
À moitié bon. Y’a des tounes qui. sonnent « faites vite ». On dirait qu’il lit les paroles parce qu’il ne connait pas les chanson. Il y a tout de même « Hurt » et la majorité des tounes country au départ qui sont plus authentiquement senties. L’album est enregistré alors qu’il a 70 ans, mais il sonne comme 80.
J’était tanné après 2 tounes.
C’est franchement mauvais. Ça commence avec du E-piano... pas bon ça. Ensuite, il y a plein de mauvaise compréhension harmoniques dans l’album. On dirait qu’il ne sait pas quand ça va aller au IV. C’est encore pire pour Bonnie Raitt. Les 3 meilleures toune sont les 3 où il est seul et sur la 1re des 3, on dirait qu’il ne sait pas du tout jouer de la guitare. Il n’y a que « No substitute » qui soit un peu venue me chercher.
J’ai toujours trouvé fascinant que le côté B de cet album contient assez de matériel pour faire un album exceptionnel complet. À la place, ils en ont fait des petites tounes de 1m30. Il faut avoir confiance en sa capacité à en écrire d’autres. Ringo a déjà dit que les tounes s’enchainnaient parce qu’ils étaient trop paresseux pour leur trouver une fin. J’aimerais ça être paresseux de même. Bref, c’est mon album préféré de mon band préféré.
Il y a beaucoup de fromage, mais il y a aussi une réelle quête d’inventivité à l’intérieur des paramètres du pop. Probablement une des grosses influences de Tori Amos et Sam Brown. Je ne vais probablement pas y retourner, il y a un petit côté romanesque que je n’aime pas, mais je suis content de l’avoir écouté.
Ça c’est de la yeule molle ! Ça fini par tanner. Autrement j’ai bien aimé, surtout « old whore’s diet ».
J’ai eu peur quand la première toune est partie. Je me suis dit « ok, the Specials, c’est le diminutif de enfant spécial ». Mais bon, ça s’est placé après. Il y a du bon et du mauvais. J’ai bien aimé International Jet Set. Des fois c’est faux, des fois c’est croche (je ne parle pas du Feel Ska ici). Dans l’ensemble, c’est un beau party de monde qui ne se prennent pas au sérieux.
Le gars chante comme Bootsie Collins, c’est insupportable. Le violon est super faux, le band est croche, pis dans c’temps-là, tu fais pas des cover comme T.S.O.P. ou Dubious. Ça groove zéro. Comme on Eileen est considéré comme du new wave et comme la plupart des band de new wave, les toune qu’on ne connait pas, c’est d’la marde.
On est en pleine période Motown. Elle essaie de ce positionner là-dedans. Je m’attendais à ce que ce soit un blanchissement de R'n'B. J’ai été agréablement surpris par le côté pas trop propre de l’affaire (surtout Don’t you know). Le son est vraiment bon pour le genre et l’époque, si on exclu les tounes ajoutées au re-issue (I only want to be with you et suivantes). C’est mixé comme un soundtrack de film, quand on essaie de faire sonner les tounes comme si elles jouaient dans l’environnement. Bref, ça s’écoute facilement, personne n’a pesté chez-moi et on a passé un bon moment. Ça ne révolutionne rien par contre.
Rock un peu country. Bon guitariste Chanteur avec une voix caractéristique. Du whiskey dans toutes les tounes. Pas très original.
Je n’ai jamais aimé ce band. Le texte de Hôtel California est bien, mais l’ensemble me tape sués nerfs. Le reste de l’album fait un peu danse sociale. Une chance qu’il y a « Life in the fast lane ».
C’est différent et pareil en même temps. La façon de chanter est particulière, tout comme la façon d’organiser les tounes. Par contre, c’est encore du foutu I-V-VI-IV qu’on essaie même pas de cacher. Aussi, la façon de chanter semble être un truc pour masquer une mélodie inexistente (Bird Ghul). On dirait qu’il/elle ne sait pas quelle note viser, alors il/elle fait un truc flou qui tourne autour. Finalement, you are my sister... Quessé ça ??? Au final, je suis content que ça existe et de l’avoir écouté. Je l’aime mieux comme artiste invité comme sur la toune de Bjork mettons.
Elle a un super bon flow. Ça coule sans accrocher nul pars. Par contre, il ne faut pas qu’elle chante, parce que là ça se gâte pas pire. S’en est gênant (Manchild). L’album part avec son plus gros hit, mais ce hit part tout croche. Ça se passe mieux quand la toune est bien entâmée, mais les première 30 secondes sont pénibles. Dans le bag, j’aime mieux Salt'n'Pepa ou Janet Jackson.
C’est un peu drôle. C’est comme un band d’afro-Américain qui font de la musique de blancs qui font de la musique de noirs. Ça a biaisé positivement mon écoute. Peut-être parce que la partie « Funk » de l’affaire est moins loose. Les gars sont bons, mais le son vieilli vraiment mal. Le propos est important et pertinent par contre. « I want to know », on dirais « New Kids on the block » avec de la disto. Il y a quelques bon riffs (Desperate people). Bon petit solo de bass sur « Broken hearts ». Le remix de « Funny vibe » est meilleur que la vrai. Je me souvien que lrsque j’étais au Cégep, Will Cahloun était partout dans les Modern Drummer. J’était donc allé écouter ça et j’avais trouvé ça vraiment mauvais.
J’aime bien ça, ça ne se prend pas au sérieux, mais c’est assez bien fait pour qu’on se demande. Par contre, ça ne mérite certainnement pas d’être dans cette liste.
Cet album est excellent. C’est un peu long par contre. J’étais prêt à passer à autre chose avant que ce ne soit terminé. Le band a un son caractéristique et Will Butler a une façon propre à lui d’écrire des tounes. Ce n’est pas mon AF favoris.
Y’a du bon, y’a beaucoup de beige. Ils essaient fort d’éviter les progressions clichées. L’album ne réussi pas à garder mon intérêt jusqu’à la fin.
Ce n’est pas tellement mon genre, mais j’entends l’authenticité. L’énergie est l’fun, c’est plutôt irrévérencieux. La fille chante tellement mal qu’on se dit qu’elle doit faire au moins un peu exprès et que ça fait partie du message.
Y’a quelques bons beats. J’aimerais mieux que mes enfants écoute ça que du Cardi-B. Par contre, le propos est franchement stupide. Elles fait de long speech sur le féminisme et la paix dans le Hip-hop et ensuite elle rap que pour cruiser le gars, elle va faire son lavage, ou qu’elle va lui faire des affaires que les autres ne font pas... Bref, ce n’est pas tellement mon genre et je ne vois pas ce que ça peut apporter de neuf.
J’aurais préférer écouter l’album « the Kinks ». Celui-là sonne plus comme une pâle copie des Beatles. Ils y reprennent les mêmes codes que sur « Sgt. Pepper » et « Revolver ». J’ai toujours vu the Kinks comme la version mal rasé du R'n'R britanique. Je n’entends pas ça sur cet album. C’est pas mauvais, mais c’est pas fabuleux non-plus.
Le monde de la ballade country traditionnelle en est un où la mélodie et l’harmonie sont toujours les mêmes. Ça me rapelle des gigs où le setlist me plaisait à moitié. Ça, ça me fait penser à la moitiée que j’aimais moins. Aussi, ce style musical a évolué depuis et des gars comme Chris Staplelton font des choses qui vont ailleurs et c’est bien. Le violon est insuportable, mais elle chante bien et dans l’ensemble, c’est doux et harmonieux. J’entends qu’elle a influencé d’autre artiste comme Olivia Newton-John, elle chante pareil et je dirais même que « Hopelessly devoted » sonne comme un plagiat. Bref, je n’aime pas ça, mais je peux voir que ça a eu son utilité. Le cover de McCartney fait du bien pour briser la monotonie.
Cette musique/film a tellement défini la fierté noire du début des années 70. Avec Super fly, il défini un son pour un genre de soul funky auquel on arrête pas de faire référence depuis. Il y a des choses super inventives là dessus. L’harmonie prend souvent des directions inattendues. La flûte ajoute un petit côté cool. On se tanne un peu des brass à l’unisson à mesure que l’album avance par contre et la guitare maringouin sur « Do your thing » fini par taper sur les nerf, mais c’est quand même vraiment cool comme album.
Cet album est excellent. Le groove est bon, les arrangement de brass sont efficaces et sophistiqués. Ça met la table pour Doobie Brothers et Blood Sweet & Tears. « Freeform guitar » c’est 5 minutes trop long, mais j’imagine qu’en 69, ça pouvait encore passer comme nouveau, même si Jimmy avait déjà joué dans ce film là.
Je comprends que cet album puisse être important. Je suis content de l’avoir écouté. Quelques tounes, ça va. C’est par contre plutôt linéaire comme produit. Il n’y a pas de tentative de diversification, d’exploration.
Belle énergie. Répétitif, mais je pense que ça fait partie de l’idée. Ça fait qu’il y a des tounes trop longue par contre. On voit d’où vient « Los Bastardos » de Primus. C’était l’fun, j’y reviendrai peut-être quand je voudrai me crinquer.
Donc, comme je disais, il y a Cloud Nine, le reste, c’est de la bouette. Haha !
Ça commence fort, ça s’essouffle. C’est intéressant, je suis content de savoir ce que c’est maintenant. Ce n’est pas ce que je croyais. Le drummer veut trop, le bassiste score à côté souvent. J’ai bien aimé le sax dans la première toune.
Je ne suis pas un punk dans l’âme. Il y a 2 trois trucs intéressants, il n’y a pas de demi-mesures et je peux comprendre que ce soit important dans l’histoire du punk, mais je ne peux pas m’empêcher de trouver que ça sonne vide. Au moins, Helter Skelter n’est pas comme la vraie (tout le monde se casse les dent à essayer de refaire c’te toune là).
WoW, j’ai beaucoup aimé ça. On entend qu’il en a influencé plusieurs. James Murphy a clairement écouté cet album. Bowie aussi, et pas seulement pour China Girl, mais aussi pour quelques pièces sur Black Star dont le nom m’échappe (a season for a crime…?). Je vais certainement creuser plus loin dans le Iggy Pop. C’est construit différemment et d’une façon qui me plaît.
C’est confortable. Rod Stewart a un son assez caractéristique merci et il est très efficace. Ronnie Woods a un beau tone. C’est pas super inventif.
Je ne vois pas l’intérêt. Elle chante à reculons. Pu capable.
J’aurais probablement abandonné avant la fin si ce n’était pas Paul Simon. Ça vieilli très mal. Je pense que ce n’est pas inintéressant par contre, une fois qu’on arrive à faire abstraction de l’instrumentation.
C’est l’fun. Ça tire en longueur à la fin. Je suis un gros fan de Dave Navaro sur One hot minute de RHCP et je savais qu’il était de Jane’s Addiction, mais ce que j’avais entendu d’eux me laissait perplexe. Là, je comprend mieux.
Je ne comprends pas le truc des accents. Des fois, il est full vieux British et au début du 2e disque, il est Sud-ouest des E-U. Autrement, c’est le propos que je devine être l’important. Ce serait un genre de Springsteen Britanique... Musicalement, c’est plutôt pauvre et répétitif. Ce sont des chanson quoi.
On ne peut pas feeler complètement correct après avoir écouté cet album. Peu de choses sont préparés, beaucoup de choses arrivent. Fabuleu jusque dans la pochette.
Super tranquille et mélancolique, mais tellement bien fait. Les arrangements sont superbes et ce n’est jamais mou.
Facile de voir pourquoi cet album est important. Ça sonne pas comme 1982, c’est repris partout, c’est bien fait et c’est plutôt varié. Je ne suis pas fan des ballades (Stevie, you make me Wonder... I dream about you...) ouf!
C’est bien fait. C’est un mix de « jazz » (les guillemets sont volontaires) et « country » comme il n’y en avait pas vraiment à ma connaissance. C’est peut-être une des seules choses qui rende cet album intéressant. Comme dirait Mathieu, c’est parfait pour meubler les restaurants. Ça ne cherche pas à déstabiliser quoi que ce soit. Il n’y a rien qui retrousse. Ça manque un peu.
C’est pas un bon album pour initier les gens au jazz. Je dirais plutôt que s’en est un pour les habitués qui cherche autre chose dans un contexte pré-modal. J’aime beaucoup Monk comme compositeur et comme explorateur. Je l’aime moins comme pianiste. Je le trouve un peu rustre. J’aime bien comment il accompagne les soliste par contre. C’est très inventif et peu conventionnel. Mention spéciale au son du bass drum qui est monstrueux sur plusieurs pièces. À réécouter certainnement.
2-3 bons trucs. C’est pas très conventionnel, mais c’est pas hyper intéressant non-plus. Ça s’écoute bien quand même.
Ce n’est pas l’album que je croyais que ce serait. C’est plutôt hétérogène comme entité. Je m’attendais en fait à ce que tout ressemble à Psalm 69, qui me répugne au plus haut point. Finalement, on est épragné pour la majeure partie du reste. J’entend ici une influence pour Nine Inch Nail et Tool. Ça ne fait pas un grand album pour autant. Les pièces sont plutôt linéaire et un peu plates.
C’est assez monotone comme album. Chaque chanson démarre comme un genre de loop et il chante/parle par dessus. Il n’y a pas de formes, pas de nuances, pas de modulation, à peine une petite progression harmonique par-ci par-là. Des fois, on change de toune et le loop ne change même pas.
Pas mon genre, pas super intéressant, pas particulièrement drette et agressant en plus. Y’a du ben meilleur métal que ça.
Beau laboratoire ! Incomplet sur Spotify, mais tout de même vraiment intéressant. À part quelques pièces, ça ne sonne pas du tout comme 1973.
Ce n’est pas très intéressant, si ce n’est que pour entendre John-Paul Jones pré-Led Zep. Aussi, Greensleeves a tellement pas rapport là. Pour une liste d’album a avoir écouté, ça ne fait pas très « album » justement.
Du punk pas punk, avec un cover pas bon.
eehhhhhh... Y s’passe rien, c’est de l’harmonie de vieux country qui tourne en rond. Tout est mou et sans corp. Très, très ennuyeux.
Je ne suis pas vraiment apte à bien évaluer cet album. Je dirais qu’en tant que blanc d’une petite banlieu ben tranquille, il y a toute une réalité qui est racontée sur ce disque qui m’échappe complètement. Je pese que c’est beaucoup dans ce récit que l’intérêt principal se trouve. Pour ce qui est de la musique, il y a quelques belles choses. Je ne crois pas qu’il essaie de repousser quelque limite que ce soit, ou même d’introduire de nouvelles sonoritées, ce qui aurait été pertinent pour mon point de vue à moi.
Cet album est en avance sur son temps. Ça sonne un peu comme toute la vague 2007 (MGMT, Passion Pit, Tame...(Non, je ne vais pas jusque là)). J’ai bien aimé.
Ouain. J’ai beaucoup rit au « cha, cha, cha » à la fin de California sun. Autrement, c’est un peu débilisant comme humour. Musicalement, c’est plutôt mauvais.
J’aime la prod de ce band. Ils ont une façon de faire de la musique agressive mais pas agressante. C’est toujours « rond ». J’aime mieux Toxicity qui est un peu moins brouillon que celui-ci, mais c’est bon pareil. Serj Tankian a toute une apacité vocale quand même. C’est aussi le fun d’entendre les influences arméniennes dans le son du band.
Ils ont vraiment choisi le plus plate des albums de Jimmy Smith. J’aurais aimé mieux « Bashing » avec Oliver Nelson ou the « Dynamic Duo » avec Wes Montgomery, qui sont meilleurs à tous les niveaux. Même « Root Down » que je n’aime pas particulièrement est plus intéressant. Bref... Je suis tout de même obligé de lui donner au moins 2 étoiles, parce que c’est Jimmy Smith et qu’il est vraiment important pour l’instrument.
C’est ok. Moins l’fun que Close to the edge et un peu pas mal similaire. Bref, ça n’ajoute rien de plus à la liste.
Wow, Beck et Jean Leloup et Martin Léon ont écouté ça certain. L’ambiance de l’album est malade. Les cordes sont dépouillées et simples, mais super efficaces.
Mauvais. Il chante de façon désintéressée. Les chansons ne vont nul part.
Ça sonne comme Cypress Hill, mais plus répétitif et redondant.
Très classique comme Blues, mais vu l’année, je dirais que c’est très bien.
Ça s’écoute facilement. C’est bien fait. J’entend des influences de Maggie May dans Kiss et dans Bryan Adams. Ça fait un peu redondant avec 3 autre albums (à date) avec lui dans la liste.
J’avais écouté cet album il y a vingt ans, parce qu’on nous présentait ça à l’université comme un moment important dans la carrière de Keith Jarrett et dans l’histoire du jazz. Le fait que tout était complètement improvisé et que tout s’était mal passé durant la préparation du spectacle était mis de l’avant pour nous convaincre de la qualité du pianiste. À l’époque, j’avais trouvé ça un peu quétaine et ennuyeux. Aujourd’hui, je pense être plus apte à trouver ça intéressant. C’est en fait très intéressant et ça teinte tout ce qu’il a fait après, et pas seulement en solo.
C’est bien fait. C’est pas mon genre, mais ça s’écoute bien. Ça fait beaucoup de chansons, ça devient un peu long et répétitif. Sa voix est un peu agressante dans l’aigüe. 1960, c’est surprennant, mais peut-être que c’est parce que je ne connais pas le bag.
Mon album préféré du grunge. Moins raw que Nirvana, mais plus élaboré. J’adore la voix d’Eddie Vedder. Il y a quelques trucs qui vieillissent mal comme la fretless, mais bon. J’y retourne souvent.
Un album de 36 minutes avec une toune de 19 minutes qui n’est autre chose qu’un jam qui ne va nul part. Ça ne laisse pas grand place pour présenter autre chose. Autrement, il y a les chanson quétaines dont on est pas certain de l’intention. Est-ce que c’est sarcastique ou sérieux ?? Bref, ce n’est pas passé à l’histoire et il y a une raison. Ce n’est pas un trésor caché.
J’ai eu beaucoup de plaisir à écouter cet album. Plus que Graceland. Il a une façon très variée et créative d’écrire la partie paroles/vocale.
C’est ben trop long cet album. Il y a bien quelques trucs intéressants, mais c’est complètement dilué dans une mer de punk/rock/commercial générique. Concision s’il vous plait !
Pas pire. Ils ont une bonne énergie et quelque belle surprises.
Je ne peux pas être contre ça.
Bof. Je suis un grand fan de « Son of a preacher man » parce que ça groove en sale. J’aime bien aussi comment elle chante sur la toune semie-brésilienne. À part ça, elle n’a pas l’air d’avoir le goût d’être là et c’est pas très intéressant. C’est un peu matante comme album.
Bof J’ai aimé mieux celui-là que Under Construction, mais la prod sonne cheap par bout. En tous cas, elle est très contente de faire affaires avec Timbaland, tel que mentionné dans toutes les tounes où il apparait.
Le vocal est intéressant. Je n’ai pas porté attention aux paroles par contre. Le mix a la qualité de volontairement déplaire à un public qu’ils ne veulent pas. Ça devient une affirmation et c’est louable. Par contre, le guitariste et le batteur sont mauvais et je pense que le mix sert aussi à cacher ça. En fait, si l’album était mixé d’une façon plus classique, ça donnerait un genre de New Wave un peu beige. L’emballage est donc plus important que le contenu.
Quoi qu’en pense les gens qui aiment détester, cet album et les 3 suivants sont vraiment excellent. Celui-ci est très inventif, surtout côté guitare et des structure couplet-refrains. La section rythmique est super solide. Par contre, la basse est plutôt plate et c’est harmoniquement un peu faible. With or without you n’essaie même pas de cacher le I-V-VI-IV, ce qui est impardonnable selon moi. Dans l’ensemble, c’est du pop créatif et super bien produit.
Excellent. Ce band a défini un courant. Cet album fait le pont entre une musique expérimental, la recherche d’un son nouveau, une attitude métal et les pistes de dance.
C’est pas le meilleur matériel de Sinatra, ni de Jobim. C’est fromage à souhait, avec les cordes à l’unisson. J’aurais aimé que Jobim chante plus. Là, il ne fait que du comping de guitare un peu plate. J’aurais aimé que Sinatra sonne comme quelqu’un qui a envie d’être là. Autrement, ça fait une belle musique de fond pour boire un Gin Tonic au soleil.
Je ne sais pas combien il y a d’albums de the Kinks dans cette liste, mais je trouve que celui-ci ressemble beaucoup à The kinks are the village green preservation society. Beaucoup trop pour mettre les 2 dans la même liste et pour ne pas mettre the kinks à la place. Autrement, on voit qu’ils essaie de faire différent. Ils incorporent différentes sonorités et ils jouent beaucoup avec la dérision, ce qui me plait. Au final, ça ne fait quand même pas un album qui se démarque franchement de son époque et de son origine.
Pleins de classiques sur cet album. Le petit rauque poussé pas fort fini par lasser par contre. C’est moins pire sur d’autres enregistrements. J’aime beaucoup le bassiste. Le band en général groove pas pire.
Intéressant. On a un petit mélange des genres ici. C’est très produit et très léché comme album. Pour l’année, le côté punk est déjà très propre. Le son de son rack tom est insuportable et attire toute mon attention... Pump it up est un incontournable.
Je suis tiraillé sur cet album. Je l’aime beaucoup et l’écoute plusieurs fois par année. Par contre, il y a beaucoup de fromage dedans, surtout dans les ballades qui sont franchement quétaines. Autrement, c’est excellent, bien arrangé, ça groove en fou et j’adore les cuivres.
Ouains. Une chance qu’il y a Bernard Edwards là-dessus, parce que le reste est pas super intéressant. Ça groove et tout, c’est bien fait, mais les arrangement de cordes sont plate un peu. On dirait que Edwards-Rogers ont essayés de répliquer leur succès de Chic avec d’autre monde et c’est, à mon avis, un peu trop copie-conforme.
J’aime beaucoup cet album. La fiin des années 2000 est importante selon moi. Elle marque un certain bouillonnement et un rajeunissement du rock. Cet album en est un bon exemple. Il a influencé bon nombre d’autres artistes comme Galaxie par exemple.
C’est excellent cet album.
C’est assez ambrionaire comme Radiohead. Avec le recul, c’est très bien, mais pas aussi intéressant que Ok Computer qui suit et qui est encore un peu dans le même genre. Avec Kid A, on change complètement, alors il y a de la place pour 2 albums de ce band dans cette liste. Ce qui est l’fun avec cet album-ci, c’est le contraste entre ce que les gens attendent et les directions prises dans les chansons. My Iron lung est le parfait exemple de ça. J’aime ça.
J’appelerais ça « petit résumé de la misère humaine et de l’excécrabilité ordinaire de la rust belt ». En gros, c’est plutôt démoralisant. Côté musical, il y a du bon, mais c’est très répétitif. Les 2 tounes plus rock font du bien, probablement en grosse partie à cause du contraste avec le reste. Je n’ai pas vraiment aimé ça, mais ça représente probalement quelque chose d’important pour les gens qui vivent dans ces milieux.
C’est intéressant. Je ne connaissais pas. J’aime que ce ne sois pas que de la violence du sex et de l’argent. La prod est l’fun. J’ai beaucoup aimé le piano joué avec les mitaines (J’imagine).
J’ai vraiment pas aimé ça. C’est plate, répétitif, pas intéressant, croche et désagréable. L’énergie est l’fun par contre.
J’ai trouvé ça long un peu. Il y a plein de bons trucs par contre. Beaucoup d’exploration au niveau des sonorités. Les compositions sont plutôt linéaires. Il faut aimer ça quand les chansons n’ont pas de grands contrastes.
C’est beige pas pire. Rien de bien inspirant ou de révolutionnaire. Ils portent bien leur nom, ni trop l’fun, ni trop plate; ni trop agressif, ni trop relax. Bref, c’est très moyen et je n’ai rien de bien positif à dire, sinon que c’est de la pop correcte.
Le mood est l’fun. C’est relaxe comme album dans l’ensemble. Ça groove aussi, et ce n’est pas un album de guitare (pas un trip d’égo). Autrement, ce n’est pas non-plus du jamais vu.
Ça ferait de la belle musique pour une comédie musicale avec des gars de bicycle au coeur tendre. C’est tout de même élaboré comme affaire. L’instrumentation est impressionnante. On est à grand déploiement. Il semble y avoir une genre d’histoire qui traverse l’album, mais ce n’est pas clair. Les thèmes sont récurent en tous cas, ce qui fait que le mot album prend tout son sens. Au final, je ne suis pas fan du style, mais je suis content d’avoir écouté.
Assez solide comme album de rock. Je connais la majorité des chansons, sans avoir jamais écouté l’album en entier. Monkey Man est une belle surprise. Ça a de la gueule. C’est aussi un album plutôt diversifié. Ce n’est pas monotone.
Je vois mal la pertinence de cet album dans cette liste. Surtout à cause de ce qu’on y trouve en général, mais aussi à cause de l’intérêt de celui-ci. On a plus l’impression d’un jam que d’une production musicale.
Ça s’écoute bien en travaillant. Intéressant, mais trop long. Il y a de belles trouvailles, mais il y a aussi une genre de recette qui rend les tounes prévisibles.
L’année est importante je pense. Dans les critères d’aujourd’hui, ça ne tient pas la route. Dans les critères de 1957, je peux comprendre qu’on cherche encore à définir ce qu’est le rock'n'roll.
On voit la tendance qui se dessine de pousser plus loin l’exploration en studio. C’est encore très rock comme album, comparativement à Zooropa qui suit.
Au début, je croyais à une pâle copie de Sheryl Crow, pour me rendre compte qu’elle était là avant. À mesure que l’album avance, il arrive des trucs plus intéressant. J’ai bien aimé Can’t let go qui semble marquer un tournant dans l’album. La suite est meilleure que le début à mon avis.
C’est l’fun. C’est comme si Porcupine Tree et I Mother Earth avait un bébé coké. En fait, on est dans l’excès ici. Ça va vite, il y a plein de notes, il chante très aigüe, c’est très compressé/reverbérisé. C’est un peu envahissant comme musique. Par contre, je me vois très bien en écouter par-ci par-là, mélangé avec des trucs plus tempérés. C’est aussi un bon cours de drum.
Wow, ce publique est très enthousiaste et participatif. Je me demande par contre, puisqu’il est supposément l’inventeur du Soul, si c’est un album aussi tard dans sa carrière qu’il faut écouter. Autrement, c’est bien.
Qu´est-ce que c’est que cette merde. Il chante mal, ce n’est pas inovant, rien de tout ça n’a traversé le temps, c’est ennuyant pour mourir. Antartica starts here est la seule toune qui mérite d’être entendue là-dessus.
Super intéressant. Le propos cherche à améliorer l’estime de soi des personnes de couleurs. Je trouve ça très bien, mais puisqu’il ne s’adresse qu’indirectement à moi, ça devient lourd à mi-chemin de l’album. Le groove, le son, les effets, ... tout ça est super le fun et rafraichissant.
J’aime la diversité qu’il y a dans cet album. Il y a aussi un côté un peu plus décontracté que dans It take a million to hold us back. Le message passe pareil.
J’ai bien aimé. Je ne m’était jmais donné la peine d’aller voir ce qu’il faisait. C’est comme du Elvis en moins flashy.
Beaucoup plus linéaire que Bitches Brew. Beaucoup moins intéressant aussi. On dirait qu’ils se sont dit : On va refaire ça, mais on ne va pas prévoir de phrases ou de punches. Ou encore, on va faire un jam de 4 heures et on va prendre deux petits bout de 20 minutes dans le milieu où il ne se passe rien de significatif. J’ai souvent comparé Bithes Brew à du Trip hop avant le temps. In a silent way serait plus comme du House.
R.E.M. a été un band marquant d’une bonne décénie. Ils ont marqué le pop avec chansons bien construites, des refrains accrocheurs et des textes qui traitent de sujets inattendus d’une façon propre à eux. Cet album me laisse sur ma faim dans chacun de ces domaines. C’est comme s’ils n’étaient pas encore prêts. On fini l’écoute en se disant « bon, ok, ça va ».
Je suis mitigé ici. La 2e moitié de l’album est super cool. La première me laisse l’impression d’un band de pop/rock 90's tout ce qu’il y a de plus ordinaire.
Bien fait, très cool.
Il y a du bon et du moins bon. C’est très proche cousin d’Oasis. Bittersweet symphony a un son qui lui est propre qui fait qu’on veut y revenir, malgré le I-V-VI-IV apparent. Le reste est agréable, sans plus.
Le côté A est solide. Le côté B est plus faible. J’ai beaucoup écouté ça jadis. Ça me plait beaucoup moins aujourd’hui... mais la nostalgie fait son oeuvre.
Ce band a tellement plus de profondeur que la majorité des autres bands de funk. Philip Bailey peut tanner des fois avec son falsetto. J’aime mieux quand c’est Maurice White qui chante. Autrement, le groove est solide et c’est très diversifié.
Cet albumdate de 1978, mais sonne comme 1968. Il n’a rien de mémorable. J’adore Marvin Gaye. Je trouve qu’il a créé des pièces magnifiques, mais cet album n’en est pas un.
C’est bien. La façon d’écrire et d’articuler les paroles dans la musique est excellente. C’est plein de sarcasme. J’ai bien aimé Obviously five believers. Par contre, l’harmonica est franchement aggressante.
Pas mon préféré du band. Dire que seulement 6 ans après ça, ils ont enregisré Dark side of the Moon... Ils en ont fait du chemin. C’est très 60s comme album. Il y a quand même des trucs superbes comme Astronomy domine. Il y a aussi le jeu de basse de Roger Water qui est surprenament hip et technique à quelques endroits. On entrevoit ce qui allait devenir un des plus important band de l’histoire.
Moins intéressant que le premier. Rien de bien marquant sur cet album. Pas mauvais, mais plutôt fade en fait.
Beaucoup de stock intéressant ici. C’est comme un Talking Head plus irrévérencieux et moins talentueux. Le guitariste ... ... J’imagine que c’est lui qui joue l’Harmonium sur « It’s her factory »... « At Home He’s a tourist » est tout de même un classique du New Wave. J’irai probablement écouter le reste de ce que le band a produit.
C’est cool et c’est bien fait. Je me tanne rapidement par contre. Les tounes se ressemblent trop.
Cet album est fabuleux. C’est probablement un des 5 albums que j’ai écouté le plus souvent dans ma vie, principalement à l’adolescence. Et c’est un des rares que j’aimais à ce moment là et que j’aime encore aujourd’hui. John-Paul Jones est fabuleux du début à la fin. C’est clairement lui le meilleur musicien de ce band.
J’aime beaucoup le côté volontairement répétitif de cet album. On installe un groove qui devient une texture par dessus laquelle on ajoute des couleurs. John Fogerty se donne toujours au maximum. Good Golly Miss Molly est de trop et gâche un peu la sauce.
Y’a du très bon et du très mauvais sur cet album. Elle est particulièrement intéressante dans les chansons qui ont un grand range dynamique comme Hello. Quand c’est doux, c’est plein de textures, tant au piano qu’au vocal. Quand c’est fort, ça arrache tout. À la fin d’un album entier, on est un peu tanné de se faire crier dans les oreilles par contre. Aussi à Water under the bridge, j’étais certain que c’était une pub qui partait. Ça sonne comme un loop qu’on achète sur Envato. Pas bon ça.
Pas très inspirant. Il y a bien 2 hit sur cet album qui sortent un peu de ce qu’on entend habituellement et ça, c’est très bien. Le reste sonne comme quelqu’un qui cherche à faire ses preuves en se montrant excessif.
J’aime beaucoup cet album. Le suivant est franchement mauvais. Sur celui-ci, le drum est super créatif et divertissant. C’était en fait très rafraicchissant quand c’est sorti.
J’entends la tentative de dé-juvéniliser la proposition. Ce que ça donne, c’est un album moins énergique et plus sombre. Trop sombre pour un album qui s’appelle « Surf’s Up » d’un band qui s’appelle « Beach Boys ».
C’est vraiment cool ça. Beau mélange de style et de culture. House of the rising sun est de trop sur cet album.
Cet album est fantastique. Il contient tout ce qui fait que Van Halen est Van Halen : Irrévérence, humour, rock, ainsi que ce qui le met dans une classe à part, le groove. Oui, ce band groove. Les 4 membres sont super solides. Aussi, ils sont très techniques, mais ils savent quand être plus retenus.
On voit qu’ils essaient de marquer un tournant. C’est moins dans le mood « on va danser » et plus « réfléchis sur ce groove ». Ça donne beaucoup de pièces où on sent qu’ils se retiennent pou ne pas y aller à fond, mais plutôt garder ça vaporeux. C’est bien pour l’exploration. Ça l’est moins pour le party.
Comme le disait Stevie : « And with a voice like Ella's ringing out There's no way the band could lose ». C’est vrai que c’est solide et les arrangement sont superbes. Pas de révolution ici, juste un bn album
J’ai découvert ce band au cégep dans mes cours de modèle vivant. C’était l’agencement parfait. Le mood, la pièce, l’ambiance. Il y a peut-être un petit peu de nostalgie dans mon appréciation. À mon avis Coexist est meilleur, mais on voit très bien où ça s’en va sur celui-ci. La voix de la chanteuse m’agace parfois.
Excellent album, avec une bonne balance de trucs instrumentaux un peu nichés et de grosse tounes radiophonique/plancher de danse. Le seul hic, c’est que c’est une flagrante tentative de surfer sur la vague Daft Punk et qu’on est pas mal dans l’imitation.
Yep, pertinent, groovy, intéressant. Le drum machine était pas nécessaire à mon avis. Il y a aussi les claviers qui ne semblent ps être au même party que les autres.
Le titre est bien choisi. On est clairement entre 2 styles ici. C’est rock, mais c’est un rock avec beaucoup de couches. On essaie d’innover.
C’est l’fun et c’est bien fait, mais c’est un album de covers... et ça devient redondant après 5-6 tounes. Tsé le country, ça tourne en rond pas mal.
C’est très « de son temps » comme album. La voix du chanteur fini par énerver à mesure que l’album avance. Il y a pleins de bonnes choses, mais c’est dispersé dans l’album en entier, ce qui fait qu’aucune toune est vraiment excellente.
Je ne suis vraiment pas fan du propos. Ça prendrait toute une préparation pour que je laisse mes enfants écouter ça. Il y a certainnement une bonne quantité d’adultes qui auraient besoin d’une préparation aussi. Autrement, Il a clairement son truc à lui. Il ne sonne comme personne et personne ne sonne comme lui. Mais pour compléter ce que je disait plus haut, je dirais que je m’amuse seulement quand il prend un angle humoristique (ex. : The Real Slim Shady).
Je préfère celui-ci à Marshall Mathers LP. C’est moins sombre. Quand c’est violent, c’est caricatural, ou alors c’est amené d’un angle différent. Bref, c’est moins lourd à écouté et la prod est cool.
C’est ben difficile d’être contre ça.
J’adore le cubain, mais je ne connais pas l’histoire du style ni comment cet album s’inscrit dans celle-ci. Ça sonne très authentique, mais pas nécessairement innovateur ou nouveau ou charnière. C’est par contre vraiment excellent. Le son est vraiment bon aussi.
Bon, il y a 2 hits sur cet album qu’on aime bien entendre de temps à autres. À part de ça, c’est très linéaire comme tounes. Il ne se passe pas grand chose d’intéressant. Ça sonne plastique, surtout les drums (les crashes...). Ça me donne l’impression qu’on essaie d’asceptiser du blue-rock.
Ça fait de la bonne musique de fond
Y’a du bon dans cet album, mais ça ne va pas là.
À mon avis, le meilleur du groupe. Cet album est le plus exploratoire, mais il est d’une cohésion et d’une cohérence qu’on ne voit presque jamais. Les album avant sont beaucoup plus rock/pop. Ceux après sont redondant. Celui-ci est magique !!
Des fois, je crois que la nouveauté vient de gens qui ne sont pas formatés par l’éducation. Il y a des musiciens là-dessus qui sonnent un peu novices, mais ça donne un ensemble rafraichissant. Du moins à la sortie de l’album.
Agréablement surpris. Un peu moins agrassif que les autres dans le genre. L’approche aux beats à la construction des tounes est différente et j’aime beaucoup ça.
Le premier d’une série d’albums qui se ressemblent tous. Celui-ci était nouveau et il marquait un autre renouveau pour Radiohead ce qui lui donne un point de plus que In Rainbows qui vient après mais qui sonne un peu redondant après Hail to the Tief. C’est excellent.
C’est un bon album, dans la continuité des 2 précédents. Celui-ci est intéressant parce qu’il questionne sa propre pertinence, ainsi que la pertinence de la musique produite. Pour ce qui est de la musique en soit, ça ne sonne pas vieux, mais ça ne sonne tout de même pas plus nouveau que le précédent qui est plusieurs années avant, et que je préfère à celui-ci.
C’est plutôt cool, mais ça manque un peu de mordant. C’est un peu fade en d’autres mots.
Assez incontournable merci. On ne réinvente pas la musique tous les jours. Il y a Darn that dream qui me met sur mes gardes à chaque fois. C’est peut-être la seule pièce qui fitte moins.
Début d’un nouveau band. Début d’un nouveau genre. Ma seule critique serait qu’ils essaie de se prouver et que c’est souvent croche à cause de ça.
J’ai bien aimé ça. C’est un peu come du Tribe Called Quest, mais avec beaucoup d’énergie et peut-être un peu moins de concision.
Excellent, différent, authentique. Par contre, on cherche souvent quelque chose à quoi s’accrocher et on oublie rapidement ce qu’on vient d’entendre.
Un classique. Comment combiner des arrangements hyper riches avec des trippes et un jeu super organique. On joue avec les dynamiques, les tempos et tout ce qui est possible. L’album ne sert pas à mettre en valeur la contrebasse, mais la musique. Superbe !
Je m’explique bien mal pourquoi cet homme est un intouchable. Je comprends que certains textes sont très bien ficelés et je suis d’accord qu’il a tout un tone. Par contre la prod de cet album est tellement cheap... On est dans le midi vite fait. Ça sonne comme un démo. De plus, on dirait qu’il n’a pas décidé de la rythmique de son vocal avant d’enregistrer. C’est super aproximatif.
J’imagine qu’il y a aussi Movement dans la liste. Celui-ci est un peu tard et sans grand intérêt.
Ok, ça sonne 1999, mais il y a du bon la dedans. La chanteuse a de la gueule dans son énergie, son look, son attitude. La bass 5 cordes me tape un peu sur les nerfs par bouts. Je suis content que ça existe, mais pas beaucoup plus que ça.
Correct, sans plus. Sans grand intérêt. Cet album ne va pas dans cette liste.
J’ai de la difficulté à évaluer ce genre de musique, parce que je n’en ai pas un gros baggage. Je me fie donc à mes repères généraux d’appréciation. Cet album n’est pas plate. Ça bouge beaucoup et ça va dans plusieurs directions. Je suis content de l’avoir écouté, mais ça ne figurera pas dans mes meilleurs album hip-hop/rap.
Ouains.
On cible vraient les camionneurs du sud ouest des États-Unis ici. Pour ceux qui ne font pas ce métier et qui n’habitent pas ce coin de pays, c’est un album de country très beige. Une chance qu’il y a Witchy Woman qui ressort et qui va un peu ailleurs.
Bof. Evermore était meilleur. Ici, on est dans la pop assumé. Tout est en I-V-VI-IV, une mesure chaque. Les beat sonne cheap par bouts. J’ai bien aimé le sample (j’imagine) de drum de Fine Young Cannibals dans I wish you would. C’est fait pour pogner à la radio et ça a fonctionné, mais c’est aussi pourquoi je n’écoute pas beaucoup la radio.
Difficile d’évaluer la musique, parce que le mix est un vrai fouilli, principalement les deux batteries qui ont tellement de réverbération, que je ne distingue à peu près rien. La musique d’Ornette Coleman est généralement interprétée de façon très dense. Quand on ne distingue rien, ça fait une grosse bouette et on peine à imaginer que les musiciens s’écoutent et on est sirpri que tous arrivent en même temps à la fin des pièces. Point positif, il y a beaucoup d’énergie dans l’album. Ça recrinque !!
J’ai préféré cet album à Good kid.
C’est correct, sans plus. C’est plutôt générique comme album
J’adore cet album. Je pourrais écouter Q-tip pendant des heures, son flow est tellement naturel. Cette formation utilise aussi beaucoup de sample de jazz, en plus d’engager Ron Carter pour jouer la contrebasse sur une pièce. Ça, ça me rend heureux. Finalement, les sujets abordés sur l’album sont intelligents et exempts de violence gratuite ou de propos sexistes.
La prod. est vraiment cool. Je ne suis par contre pas fan de la partie chant, qui fait un peu popette radio de matante.
Bof. On est ici dans une période de transition pour Steely Dan. On est entre le pop rock west coast du début des 70' et l’hybride jazz fusion pop de la fin des 70'. Ça donne quelque chose de ni intéressant, ni accrocheur.
Fela Kuti est tellement important dans l’histoire de la musique. Il a influencé plein de gens. Cet album est peut-être un peu tard dans sa discographie. C’est bon pareil.
C’est ok. Epic est un classique. Mike Patton est toujours intéressant. D’un autre côté, ça vieilli mal, ce qui fait que je n’aurais pas tendance à écouter ça aujourd’hui.
Plein de belle collaborations, mais plutôt beige comme album.
Ça commence fort et je m’attendais à ce que les toues que je ne connais pas soient plus punk/trash/irrévérencieuses. C’est plutôt l’inverse ici. Le reste de l’album est plus pop/rock. J’avoue que c’est un peu décevant.
Pas pire. On s’en va vers Refused et At the Drive In. Les pièces sont un peu longues pour ce qui s’y passe. Beaucoup d’énergie.
C’est cool et bien produit. Rien de révolutionnaire, mais un bel échantillon du style.
Je ne suis pas un fan de Dylan. Je trouve que les textes sont interminable. Quand il y a une histoire, il y a trop de péripéties. Quand c’est descriptif, il y a trop d’éléments à la liste. Ça donne des toune avec trop de couplets et ça devient redondant. Ceci dit, je pense qu’il faut avoir écouté cet album.
Je ne sais pas si elle fait exrès pour que la voix casse comme ça, mais ça devient agaçant quelques fois. Autrement, c’est plutôt cool comme album.
Vraiment plus intéressant que l’album The Velvet Underground. Plus de recherche, d’exploration. Je n’y reviendrai possiblement jamais, mais je suis bien content de l’avoir écouté.
Cet album n’est pas à la hauteur de ce que New Order peut faire. C’est plein de remplissage. Quand ça va un peu ailleurs, ça sone vieux pour 1989.
Bof, ok. Il y a une belle tentative d’exploration, mais ça me laisse plutôt froid.
Il y a un peu de remplissage sur cet album, mais il y a quand même 17 chansons dont 6 hits. De plus, le remplissage n’est pas ennuyeux, juste moins intéressant. Tout un album.
C’est toujours spécial avec Stevie. Ça groove à mort, c’est harmoniquement très riche, les arrangement sont superbes, les mélodies aussi et les textes sont toujours en quète d’un monde meilleur, sans argne.
On dirait une pâle copie de Tom Waits, avec du mauvais piano. Les textes sont tout de même intéressants, mais le rendu en baryton est forcé ce qui fait que ça sort un peu fake. Aussi, on flirt avec le Quétaine souvent. Bref, ça ne va pas là.
Beaucoup trop long comme album. Je comprends que ce sont deux albums avec des ambiances différentes, mais tout de même. J’apprécie le fait qu’ils ne font pas la production comme tout le monde. C’est plein d’influences d’autres styles musicaux et j’aime ça.
Sympathique. On s’éloigne du petit côté propette qu’ils avaient avant et on se dirige vers un son plus rock.
bof
Le propos est pertinent, mais le band est pas bon. Je ne suis pas un grand fan de folk, mais je vois qu’il y a beaucoup de bon dans cet album.
C’est tout doux. Quand on est dans ce mood là, ça s’écoute super bien et le son est bon. Ça ne réinvente rien, mais je ne crois pas que ce soit le point.
Meilleur album du band. Possiblement dans mon top 5, toutes catégories confondues. Chef d’œuvre.
Beaucoup trop de The Who dans cette liste. L’Angleterre n’est pas le centre de l’univers. Il y a de bonnes choses sur cet album.
Ça ne vieilli pas très bien. Aussi, Ça fait une bonne musique d’ambiance pour travailler ou dans un film (Ocean’s 11), mais c’est un peu vide pur s’assoire et faire de l’écoute active.
Je n’ai rien retenu de cet album.
C’est pas franchement mauvais, mais ce n’est certainnement pas le plus grand band de l’histoire. Je m’attendais à beaucoup plus du band qui porte ce titre plus tant de gens.
Clairement un game changer dans le genre, tant pour la production que pour la mise de l’avant de la culture mexico-latine dans le hip-hop.
Tous les bands qui vont ailleurs semblent aller à la même place...
Ça sonne plus vieux que l’année de l’enregistrement... Il est bon, mais ça ne va pas dans cette liste.
J’aime ça quand ça tire vers Talking heads. J’aime moins quand ça tire vers le pop générique.
Ça c’est différent. C’est pas de la musique de détente, mais ça inspire un paquet d’autres choses.
L’album commence très bien, mais plus on avance, moins c’est intéressant et plus c’est quétaine. J’ai l’impression d’écouter la voix française de Rick Moranis chanter.
Franchement sans intérêt.
Intéressant. Je ne suis vraiment pas fan de ce qui réfère aux contes paysants moyen ageux, mais je trouve que c’est quand même sympathique et authentique.
Wow, ça c’est différent. Ça sonne comme un train qui est constamment sur le point de dérailler, mais qui reste toujours à peu près sur les rails. Belle fusion de musique brésilienne et de rock psychédélique.
C’est à moitié « vraiment mauvais » et à moitié important et pertinent.
..., ..., , , ...
Ce band a été tellement copié et cité. J’aime mieux discovery, mais cet album est excellent quand même.
Prod intéressante, s’écoute bien en trvaillant tranquille. Beaucoup de similitudes avec XX.
Leur petit côté bonbon. J’aime le fait qu’ils aient l’air pas trop préparés. On ne peut pas dire que cet album n’est pas important et on peut lui donner le crédit d’avoir fait découvrir des influences aux fans. C’est un peu tout croche par contre.
C’est un peu anachronique comme album. Ça ne sonne pas comme 1987, plutôt comme 1991. C’est très pertinent, mais je n’aime pas ça. C’est trop tout croche et répétitif.
J’aime ce band. En fait j’aime cette période où musique rock et électro tentaient de nouveaux rapprochement. Ça vieilli super bien. Ça aurait pu sortir cette année.
Très cool. Pas surprennant qu’il soit on/off dans Massive attack. Un peu plate de reprendre le sample de Portishead par contre. Je vais y revenir.
Un peu space, mais aussi plein de tradition brésilienne. Plein de trucs intéressants donc, mais beaucoup, beaucoup trop long.
J’aime bien cet album. Beaucoup de bons trucs et d’humour. Ça manque souvent dans le hip-hop. J’ai tellement écouté la toune B.O.B. dans ma vie, c’est clairement une de mes préférée du genre.
Je ne m’attendais pas à aussi expérimental. On est loin de Friday I’m in love. Ça ne rend pas ça complètement intéressant pour autant, mais j’entend une part de ce qu’est l’influence de ce band sur le rock indé des dernières années.
Un peu long, mais il y a tant de bonnes choses là-dessus. Chris Cornell a toujours été un de mes chanteurs de rock favori et ce disuqe est à la hauteur. Il y a aussi plein de belles trouvailles rythmiques et le son pesant de cet album est tellement satisfaisant.
Ça fait de la musique de fond, ça vieilli plutôt mal, c’est pas super intéressant. C’est pas très profond comme album.
C’est tellement générique. Complètement inintéressant. C’est comme du Stone Temple Pilot, mais ça sans tout ce qui fait que STP c’est bon.
C’est relax ça. La seule chose que j’aime moins, c’est l’influence américaine dans quelques chanson. J’aurais aimé que ce soit encore plus authentique.
Ah ! C’est le plus tranquille de leurs albums, mais c’est vraiment bien fait. On s’éloigne du rock/punk/reggae et on va vers plus pop, mais avec de la sophistication. Tous les albums de The Police sont bon à leur manière.
Super excellent. Je suis moins fan des trucs avec une touche disco/pop comme another brick in the wall part 2 et Run like hell, mais il y a d’autre trucs comme inthe flesh et confortably numb qui contrebalance.
Le meilleur du band. J’ai toujours trouvé qu’ils faisaient du pop sophistiqué, ce qui me plait beauoup.
redondant
Les Britaniques ont un attachement à cet album que je ne m’explique pas. Il y a de bons trucs, mais c’est tout de même assez générique comme rock.
Ce band a son son à lui, mais ça devient redondant sur autant de chanson. C’est pas pire cheezy aussi.
C’est cool. Belle énergie. Beaucoup de talent. La prouesse technique prend quelques fois le dessus sur la musique et c’est dommage. Ça vieilli plutôt bien. En fait, ça sonne 8-10 ans en avance sur son temps.
Je reconnais des trucs et j’aime le rythme du texte et comment il chante. Je me suis tanné rapidement par contre. Le dernier tier de l’album m’a paru très long.
Un album complet de fillers, wow. C’est tellement ennuyant cet album.
Ouains, Je trouve que l’orchestre est mal utilisé. Le band band joue les tounes comme ils le font habituellement et l’orchestre vient en ajouter une couche et rempli les endroits où il se passe moins de choses. Je pense que le jeu du band aurait du être ajusté également et que tout aurait du être réorchestré ensemble. Sur quelques chanson ça fonctionne tout de même très bien.
Bof
Madonna a souvent été précurseure. Ici, c’est plutôt beige comme album. J’entend qu’on tente d’incorporer des élément de trip-hop à du dance. Ce n’est pas particulièrement réussi.
Pas de doute que c’est ambient. C’est cool, mais ce n’est pas un album.
Très solide comme album. C’est la première fois que je l’écoute en entier. Je réalise que tous les hits qu’il y a dessus forment un tout et que c’est plus réfléchi que ce qui n’y parait en écoutant les pièces une à une.
Une autre genre de copie de Daft Punk.
Un autre album de rock des années 90.
Clairement, ils essaient de proposer un hip-hop « intelligent ». Ça sort un peu vide par contre. Ils essaient trop parfois et ça donne l’impression qu’ils sont des wannabe scientifiques.
C’est correct, y’a de bons trucs et un peu d’exploration.
Le gars qui chante est pas toujours le bienvenu, mais ça ressemble à du Tito Puente et ça fait du bien.
Vraiment pas pour moi. J’ai tout de même bien apprécié l’orchestration de I’ve had enough. Aussi, je reconnais que le style à sa façon de raconter des histoires simple de la vie de tous les jours des gens d’un coin de pays.
C’est fait avec beaucoup de légerté, et pas du tout à la fois. C’est très British comme album malgré qu’on parle plus ou mons de hip-hop. J’ai aimé le fait qu’il y ait une histoire du début à la fin de l’album.
À mon avis, le meilleur des Stones. Les tounes ont des arrangements superbes. C’est très réfléchi comme album. Les solos de guitare et de hammond et de sax (oui, de sax) sont malades.
J’aime bien cet album. Mon seul hic, c’est la bass qui deviens un peu redondante pour la quantité d’information à la fin.
C’est correct. American pie m’a toujours énervé. Le reste est mieux. J’ai bien rit à Everybody loves me, baby.
Pas intéressant. Souvent ennuyant. Et truckin' est clairement copiée de The Ballad of John and Yoko.
L’ambiance est cool. Le vocal lui est propre et nous sort de l’habituel.
Ça parle aux écorchés. C’est tellement dépressif... Faudrait disperser tout ça sur 4 albums pour que ça passe mieux.
Il s’essaie beaucoup de trucs sur cet album. Je n’y reviens pas souvent, mais j’aime bien.
C’est pas tout extraordinaire, c’est un peu cliché par bout (The Robots), mais j’ai vraiment adoré la pièce The Man Machine.
Stevie, c’est Stevie.
J’aime beaucoup cet album. L’énergie est vraiment cool. Le public semble composé majoritairement d’adolescente et elles sont en feu du début à la fin. La musique donne envie d’y revenir. C’est accrocheur et le band à vraiment l’air de s’amuser.
Il y a du bon, du moins bon, du bien produit et du cheap. En temps que vocaliste, il est excellent
Intéressant, mais les pièces deviennent répétitive et on perd l’intérêt.
La pochette est malade. L’année est importante. Y’a des trucs intéressants.
Je préfère Please, mais c’est correct aussi. Il y a peut-être le plagia de « wild world » dans « It’s a sin », ainsi que le vocal qui est trop présent dans le mix qui m’agacent. À part ça, c’est l’fun.
Battery et Master of Puppets ont quelque chose qui nous accroche. Il y a aussi quelques autres moment où j’ai trouvé ça franchment bon. Par contre, j’ai eu de la difficulté à écouter jusqu’à la fin. Les 2 instrumentales sont insupportables. On se tanne à un moment donné du « chug chug-a-chug ». Bref, ce n’est pas pour moi.
L’édition est tout croche, c’est patché n’importe comment. Je comprends que c’est un peu comme ça que ça s’est passé, mais 2 fois la même toune... Aussi, les applaudisements semblent souvent sortis de nul pars. Autrement, c’est correct.
Plus pop que ce à quoi je m’attendais, connaissant l’album Soul Mining qui est plus new wave expérimental. Il y a du bon, mais je me sent biaisé à cause de mes attentes.
Le son est mauvais. À l’époque, j’ai acheté cet album et m’en suis débarrassé. Je considérais que ce n’était pas à la hauteur des deux précédents et que beaucoup de pièces m’ennuyaient. À l’écoute aujourd’hui, je remarque que Red Hot est en fait sur une pente descendante entâmé par cet album. Ils sont de moins en moins inventifs et variés dans leur musique. À postériori, c’est probablement leur meilleur album des 25 dernières années. Il y a plein de bonne choses, mais c’est dillué dans de l’ennuyant. Si on enlevait les 5 « fillers », ce serait une excellente galette.
Du blues rock ben ordinaire. Belle énergie par contre.
Il y a 2 hits, dont un que j’aime beaucoup. Autrement, c’est du pop léché assez conventionnel.
Wow, j’ai beaucoup aimé cet album. C’est très varié, tout en étant très unifié et cohésif. Les grooves sont monstrueux. La voix est magnifique, avec juste ce qu’il faut de slang. Le propos est intelligent.
C’est bon, ça groove et c’était certainnement pertinent. Par contre, c’est tellement looooonnng.
Ma-la-de. Sing a simple song est un des groove les plus puissants que je connaisse. Impossible qu’il n’y ait pas une partie de moi qui bouge quand ça part. Il y a certainement quelques trucs qui sonnent datés, comme certains fuzz qui agressent un peu, ou certaines harmonies vocales. Autrement, cet album est génial.
Beaucoup mieux que ce à quoi je m’attendais. Pas dans mes cordes par contre.
Cet album détonne tellement avec ce qui se faisait en 1968. Il est en avance. J’entends des concepts qu’on ne revoit que dans les années 1990. Certaines choses sont par contre bien ancrées en 1968, comme certaine harmonies vocales, certaines mélodies et certains choix de sons. Il y a aussi Little miss strange qui ne va pas là. Autrement, c’est du solide.
Pas vraiment de personnalité, beaucoup de violence.
Intéressant le mix D&B et hip-hop R'N'B. Ça tourne un peu en rond à la longue. Il n’y a pas beaucoup de recherche dans les beats.
Plutôt ennuyant, faux et intintéressant.
J’aime la variété de cet abum. Ça ne sonne tout de même pas comme un collage, ça se tient. J’aime bien quand ses pièces sont à cheval entre 2 styles. Ça leur donne un côté rafraichissant et innovant. La pochette est vraiment laide.
C’est un autre mood ça. J’aime les pièces ou je sent que c’est authentique. J’aime pas du tout les pièces ou on retrouve les clichés occidentaux (I-V-VI-IV). Ça donne un résultat super quétaine.
Tout un premier album. Propos intelligent, sample savament trouvés, flows distinctifs, influence pour tous les autres.
Y’a du bon et du moins bon. Comparé à master of puppets, je dirais que j’était moins tanné à la fin. Par contre, ça sonne un peu plus « juvénile ». Il y a plus de trucs pour tenter d’impressionner. Le chanteur sonne comme un gamin.
J’aime bien ça. C’est une autre époque, mais pour la plupart, ça s’écoute encore super bien. Est-ce que ça a été une influence sur certains ? Certainnement. Est-ce que c’est bien fait ? Certainnement. Est-ce que c’était novateur ? difficile à dire.
Drôle d’album. On navigue entre le complètement pop quétaine, le cubain, l’oriental, le hip hop, ... Ce que j’aime, c’est que c’est très hop la vie. Autrement, ...
Solide premier album et leur meilleur.
Ma-la-de. Le travail de sampling sur cet album est tellement intense et bien fait. Ce n’est pas leur premier, mais c’est le premier d’une série - avec Check your heads et Ill communication - Qui représente la quintessence de ce band.
C’est difficile à écouter par bout. Il y a quelques chanson où le côté gospel sort assez fort pour que j’aime un peu ça. Autrement, ...
J’aime le mood, c’est aérien comme rock.
C’est un peu drôle, mais ça ne suffit pas. 1 fois c’est suffisant
C’est un classique. C’est plein de bonnes idées, mais ça sonne comme un moodboard pour mettre des idées pour les tounes d’un album, pas comme un album.
Bof