Rocks
AerosmithAdditional notes. Add them before you vote above.
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L'album est excellent mais je n'ai pas envie de m'éterniser là-dessus. Non, ce dont j'ai envie de parler aujourd'hui, c'est le sentiment de pitié que j'éprouve envers l'enfance de mon compagnon d'écoute que vous commencez à connaître ; je veux bien entendu parler du dénommé ltrapeze. Voyez-vous, pendant que mes parents jouaient très régulièrement les Beatles dans mon salon, ltrapeze n'avait pas le droit au même traitement. Pour lui, l'ambiance au domcile familiale était quelque peu différente. Tantôt ce sont les reprises de Michal sur le plateau de la Star Ac 3 qui inondaient l'espace sonores de la maison, tantôt le single Premier Love de Tony Parker que ses parents avaient l'habitude de laisser tourner en boucle tout l'après-midi. Pour le petit ltrapeze, interdiction formelle de montrer tout signe d'intérêt pour une chanson qui n'entrait pas dans le champ des artistes précités. Un événement survenu en 2009 aurait pourtant pu changer la donne. Alors que la famille était réunie autour d'un poulet au caramel préparé par un traiteur thaïlandais du bas de la rue et que le poste radio chantait ♫ on s'est connus on était gosses t'étais mon premier love, bien avant le basket, mon premier titre, toujours ensemble, à l'epoque on était croques l'un de l'autre♫, ltrapeze se leva discrètement et appuya sur un bouton de ce même poste, faisant passer celui-ci de l'option CD à l'option FM. La famille se tut en cœur et ses parents cessèrent de frapper leurs cuisses pour marquer le rythme. Tous les regards se dirigeaient bientôt vers ltrapeze qui affichait un visage des plus crispés. La radio nasilla soudain ♫ come together right now over me ♫. L'atmosphère était irrespirable. "Retouche le bouton" lança alors le père Trapeze à son fils. Ce dernier maintint l'expression crispée qu'il arborait depuis maintenant un moment. "Oui, retouche le bouton s'il te plaît" intervint la mère Trapeze à son même fils. Ce dernier s'exécuta et le poste s'écria soudain ♫ on était jeunes on était fous à qui la faute on n'était rien sans l'autre ♫. La vie avait repris son cours.
J'ai fait écouter cet album à Satan qui m'a bien confirmé que c'était de la merde.
Et vas-y que je raconte ma vie nianiania que j'ai parlé à des meurtriers et des pédophiles nianiania, mais qu'est-ce qu'il faut pas lire...
Pas grand chose à dire sur cet album si ce n'est qu'il était extrêmement agréable. Lorsque je lance un album en soirée, il m'arrive très souvent de lancer une partie d'échecs pendant l'écoute. Ce fut le cas cette fois-ci. Je vous copie ci-dessous le déroulement de ladite partie qui fut au passage ma trois-mille-cent-soixante-et-unième : 1. e4 e5 2. d3 Nc6 3. a3 Nf6 4. h3 d5 5. exd5 Qxd5 6. Bg5 Be7 7. Bh4 Bf5 8. Nc3 Qd7 9. Nf3 O-O 10. Be2 Nd4 11. Nxe5 Qe6 12. Bg3 Bd6 13. Nc4 Bxg3 14. fxg3 Rfe8 15. O-O Nxe2+ 16. Nxe2 Qxe2 17. Rxf5 Qe6 18. Rf1 Rad8 19. Nd2 Qb6+ 20. Kh1 Nd5 21. c4 Ne3 22. Qf3 Nxf1 23. Rxf1 Re7 24. b4 Rde8 25. g4 Re1 26. Rxe1 Rxe1+ 27. Kh2 Qg1+ 28. Kg3 Re3 29. Qxe3 Qxe3+ 30. Kh2 Qxd2 0-1 Comme vous avez pu l'observer, j'ai commis plusieurs erreurs grossières mais la victoire est bonne à prendre à une période où je manque cruellement de confiance.
Pour votre information, crisdusseld a été éjecté du groupe à deux pas de la ligne d'arrivée. Ça lui apprendra.
L'album avait été écouté il y a trois ans par crisdusseld qui a depuis vécu bien des mésaventures.
La critique de crisdusseld avait été à l'époque censurée car comprenant un mot extrêmement vulgaire censé décrire la relation entre Gene Clark et Cat Stevens. Robert parle beaucoup mieux français que ce qu'il veut nous faire croire.
Crisdusseld y était allé de son commentaire à la limite de l'androgynophobie.
Je me souviens très bien où j'étais lorsque j'ai écouté cet album d'une oreille des plus passives.
Ogre Battle avait baisé la gueule de crisdusseld, de son propre aveu.
Un album qui a totalement changé la vie d'eltrapeze qui passe depuis sa vie à trottiner dans les montagnes.
Il y a des albums qui vous marquent et d'autres pas du tout. Je vous laisse deviner à quelle catégorie celui-ci appartient. À la deuxième.
Un bon album mais crisdusseld avait, à raison, pointé du doigt les problèmes de branchement de certains câbles dans le studio.
Cet album avait marqué mon entrée dans le générateur. J'étais alors rempli d'insouciance, pensant que celui-ci allait m'ouvrir l'esprit. Trois ans plus tard, la seule chose que j'ai réussi à ouvrir est le crâne de Robert après l'avoir rué de coups.
Une honte.
J'aurais payé si cher pour ne jamais avoir affaire au trip-hop.
Le début de générateur était si catastrophique que John Prine y faisait figure de cador. Il reste toutefois très gentil.
Tom Waits n'a jamais dépassé les trois étoiles, même après ses nombreuses tentatives de retour sous différentes perruques et lunettes de soleil.
Le moins que l'on puisse dire est que Robert n'avait pas traîné pour nous initier à l'androgyne rock. Et on l'en remercie.
Ce gars-là avait enchaîné les bizarreries, nous laissant apercevoir les prémices de l'escroquerie qu'allait être ce générateur.
crisdusseld avait mis trois.
C'était ultra sexuel, de souvenir.
Pour ceux qui me demandent régulièrement des nouvelles de crisduss, il a été éjecté du groupe à quelques semaines de la fin du générateur. Sa page a été suspendue par Robert qui a envoyé ses hommes saisir les derniers meubles à son domicile. Personne ne sait où il se trouve à l'heure actuelle.
Je vais me fier à l'avis d'eltrapeze qui semble avoir relevé une quantité anormale de vomi.
Pour ceux qui ne seraient pas au courant, eltrapeze et moi sommes à l'origine des nombreuses émeutes anti-elvis costello auxquelles vous avez sûrement pris part.
J'aurais sûrement adoré cet album si j'avais plus de 65 ans et un tissu érectile pénien à la ramasse. Il n'en est rien.
Je pense qu'il est bon de rappeler de temps à autre à quel point le système de notation sur 5 est pitoyable, Robert.
John Prine nous avait à ce stade bien plus impressionné par sa gentillesse que Dylan par son nez rempli d'air.
Une des premières bonnes surprises du générateur, évidemment mal reçue par la communauté trashmétal-friendly de celui-ci d'un mauvais goût assez objectif.
L'album qui a traumatisé Ray Charles.
Déjà que j'ai beaucoup souffert à entendre mon père répéter ses gammes de piano dans le salon tous les jours pendant des années, je n'arrive même pas à imaginer ce que Joan Baez a pu endurer avec Bob Dylan à la place.
Sans doute l'album le plus apprécié des fans de Springsteen. Celui-ci commence par un "Né pour courir, moi ? Né pour péter, ouais !" avant d'enchaîner avec un pet gras qu'il tiendra jusqu'au bout du bout. Un vrai personnage.
Une performance solide de la part de nos Français.
Un départ en fanfare rapidement anéanti par un tapis dans lequel Richard va se prendre les pieds dès le second morceau. Heureusement que l'intéressé a su en rire par la suite en transformant cet épisode potentiellement traumatique en une force avec le lancement de sa propre marque de revêtement de sol.
C'était ma dernière critique à rattraper avant celle du mariage de Charles que j'écrirai si tout se passe bien sous Channel Orange.
L'écoute remonte à si longtemps que je vais plutôt baser ma critique sur une photo de David. Coupe à la Vegeta, ça fonctionne assez bien, une plutôt belle gueule dans l'ensemble. Ce sera un trois en ce qui me concerne.
Un album qui a, à mon grand dam, consolidé les liens qui préexistaient entre eltrapeze et mon propre père, le père de robvipère.
Je fais souvent le cauchemar de naître à Bakersfield pendant l'essor du Bakersfield sound.
Je détiens crisdusseld
Je me réveillai hier matin avec la même curiosité quotidienne : qu'allait me proposer aujourd'hui ce généreux générateur ? Mon doigt tapa soudain le lien de ce dernier dans la barre de recherche et, une fois ma critique de l'album précédent rédigée ainsi que les quelques étoiles attribuées, l'album Shaft apparut au milieu de l'écran. Je cliquai sur le lien Spotify lorsque je fus pris d'effroi ; seuls trois chansons étaient disponibles. YouTube fut dès lors ma seule alternative. Après quelques minutes d'écoute, la supercherie se découvrit progressivement : il s'agissait de la bande son d'un long-metrage. Je laissai échapper un long soupir amer. C'est désemparé que je poursuivis tout de même l'écoute. "Comment as-tu trouvé la musique ?" me demanderiez-vous si j'étais en face de vous. "Pas mal" vous répondrais-je avec assurance. J'ai seulement regretté les trop nombreuses similitudes avec la bande-son du film Amélie Poulain, personnage qui intervient d'ailleurs à de nombreuses reprises dans le morceau de 19 minutes. Une belle collaboration en somme.
Cela faisait des semaines que je marchais dans un désert d'immondices musicales. Mes jambes étaient lourdes et mes semelles enduites de Minutemen. Alors que des remontées gastriques ne cessaient de rappeler à ma salive l'épouvantable goût des New York Dolls, j'aperçus soudain une oasis : il s'agissait de Back To Black. Je m'y précipitai. Son courant eut à mon contact un effet immédiat ; mes tâches de Sepultura disparaissaient à mesure que je les frottais sous une cascade de Rehab tandis que mes plaies goldfrappiennes cicatrisaient bientôt dans un bain de You Know I'm No Good. J'appliquai enfin quelques gouttes de Love Is A Losing Game sur mon kyste elvis-costellien qui se vida instantanément de son contenu. Une étape inoubliable au cours de cette éprouvante traversée.
Tout commence une matinée d'avril. Alors que je venais de m'asseoir sur le siège d'une balançoire, celle voisine, jusque-là inoccupée fut prise d'assaut par un vieillard édenté. Je lui adressai un regard furtif qu'il ne sembla pas remarquer ni même rechercher. Un silence assez long suivit son arrivée. Il prit soudain la parole : "The Stone Roses" dit-il en se balançant d'avant en arrière et inversement. "Voulez-vous répéter ?" lui répondis-je avec tout l'étonnement du monde. "The Stone Roses" redit-il sans se faire prier. Son comportement n'augurait rien de bon. "J'ai peur de ne pas comprendre ce que vous me racontez." lui avouai-je. "The Stone Roses" répéta-t-il une nouvelle fois. Je commençais à m'agacer de la situation. "Voulez-vous bien arrêter de m'importuner ?" lui recommandai-je. "The Stone Roses" continua-t-il ; je le tuai.
Je suis sincèrement désolé Lou Reed mais je me suis levé du mauvais pied et tu vas prendre pour tous tes petits camarades à qui j'ai mis 3 alors que je n'étais pas franchement emballé. Maintenant écoute-moi bien petite merde, ce que tu fais est nul à chier, tu n'as pas une once de talent. Que cette critique te serve de leçon mais serve aussi d'exemple à tous ceux qui oseraient s'aventurer dans un style proche du tien.
J'ai fait écouter cet album à Satan qui m'a bien confirmé que c'était de la merde.
Trop de similitudes avec Ray Charles.
Un Robert Pattinson au sommet de son art.
Un excellent album de Coldplay emmené par un Chris Martin très inspiré. Celui-ci répète d'ailleurs à longueur d'interviews que l'album Last Broadcast était sa plus belle fierté personnelle : "- L'album Last Broadcast est ma plus belle fierté personnelle. - Pouvez-vous répéter, Chris ? Vous avez parlé trop loin du micro. - Bien sûr. L'album Last Broadcast est ma plus belle fierté personnelle. -Merci, Chris." A contrario, on entend souvent que le batteur du groupe a une aversion toute particulière pour cet album qu'il aurait à de multiples reprises qualifié de mauvais : "- Vous entendez ? - Non, qu'y a-t-il ? - Il me semble que le batteur de Coldplay a une aversion toute particulière pour l'album Last Broadcast... - Cesse de dire des bêtises, tu veux ? - Tu as raison..."
La découverte de cet album commence par une sensation désagréable ; celle provoquée par le contact visuel avec une horrible pochette. On y voit le visage d'un homme qui semble en être très fier, trop fier. Ça commence mal. On aperçoit ensuite le nom de l'interprète : Morrissey. On cherche d'abord à comprendre l'intérêt esthétique de doubler deux consonnes dans un même nom et puis on abandonne. On écoute enfin la musique. Et c'est pas mal. C'est même pas mal du tout. Faute avouée à moitié pardonnée ? Non, monsieur. Que dit la règle lorsqu'on est confronté à ce type de situation ? On met une mauvaise note. La voici : deux sur quatre.
La légende raconte que Kate Bush a écrit cet album quelques heures seulement après s'être acheté deux sweatshirts dans un magasin GAP. Et on a envie d'y croire tant le projet est une réussite.
Je ne suis pas un grand fan des mélanges de genres comme celui que Kid Rock propose. Mais ce dont je suis encore moins fan, ce sont les photos que m'envoyait Ludvig pendant que j'écoutais cet album.
D'album en album, Elvis Costello nous prouve qu'il est un proche de l'auteur du classement des 1001. Six de ses projets y figurent, contre aucun de Céline Dion ; pas besoin d'en rajouter. Armed Forces aurait certainement mérité trois étoiles, mais j'ai décidé d'en retirer une en raison des propos maladroits qu'il a tenus envers l'introverti Ray Charles. Replaçons les faits dans leur contexte : Nous sommes en 1978, Elvis Costello cartonne sous son surnom de King of Rock and Roll tandis que Ray Charles est depuis plusieurs années paralysé par sa timidité. Un soir où Elvis apparaît un peu éméché, il lance à ses amis la réflexion suivante: "Ray Charles est tellement timide qu'il y a un décalage horaire entre ses deux fesses." Manque de pot pour Costello, Céline Dion se trouve quelques tables plus loin et ne se fera pas prier pour tout répéter à la presse. J'ai beaucoup aimé les éléphants de la pochette.
Definitely Maybe est une réussite, qu'on se le dise. Les frères Noel et Liam Payne ont du talent, c'est indéniable. Mais je ne serais pas franc avec vous si je vous cachais que je m'étais endormi après trois chansons lors de ma première écoute. En effet, ma routine matinale fait que ce genre de mésaventure peut arriver. Après chaque réveil, je me dirige sans tarder à la douche et, après l'avoir prise, retourne dans mon lit pour y sécher ma barbe. Il m'arrive alors de lancer l'album du jour, pensant naïvement que je ne me rendormirais pas. Et c'est pourtant ce qui se passe à chaque fois. À suivre...
Back to Mystery City fait une entrée fracassante dans le classement des albums avec une pochette moche.
Un mélange de soul et de reggae sur fond d'ustensiles de cuisine ; Finley Quaye a réussi son pari. Tout y passe : les casseroles, les poêles, la râpe à fromage... on peut même entendre un épluche-légume marquer le rythme sur plusieurs morceaux. Un véritable tour de force.
Tiens, tiens, tiens... les chouchous du générateur pointent le bout de leur nez mais pas avec l'album tant plébiscité. Une chose est sûre : Rumours ne paie rien pour attendre.
Elle et Tom Waits aurait formé un duo à faire pâlir les Chevaliers du Fiel.
Tu peux remercier Ne-Yo
Je sais plus ce que c'était
Va voir la vidéo
T'as un peu commencé à m'agacer sur la fin mais je t'en tiens pas rigueur.
Un bon album de la part du sosie vocal de The Cure.
Monsieur se permet de mettre ses plus gros tubes à la toute fin de l'album, comme pour nous signifier de bien aller nous faire foutre. Rien que pour l'attente j'enlève une étoile. Et t'as de la chance d'avoir été un ami de Cat Stevens car dans le cas contraire j'aurais mis 2.
On s'ennuie entre les tubes c'est tout ce que j'ai à dire.
Enfoiré
On réalise rapidement lors de l'écoute que la grammaire française et la bonne prononciation des mots de la vie courante n'est pas la priorité de ce groupe suisse.
Au fil de l'écoute, on s'aperçoit d'une véritable différence de niveau entre le deux écouteurs. Du côté gauche, les musiciens s'appliquent, le son est propre, le rythme juste. C'est dans l'écouteur droit que les choses se compliquent ; ça grésille, ça bourdonne, et, cerise sur la gâteau, ça joue de l'orgue. Le coupable n'est autre que Manzarek et celui-ci est bien décidé à pourrir l'album. La comparaison avec Framal du S-crew est dès lors inévitable.
J'ai pensé à détacher crisdusseld le temps d'écouter cet album originaire de sa terre natale et puis je me suis souvenu de l'ordure qu'il était.
Un album très sympathique. A noter que ce groupe très influencé par les Beatles devait à sa création s'appeler The Beautles.
J'ai été très surpris de ne pas tomber sur un album mais sur un Fast & Curious avec Hugo Clément. Pour autant je dois dire que certains moments m'ont beaucoup plu, comme par exemple celui où l'intéressé doit choisir entre les mots "réfléchir" et "agir" et qu'il répond "agir".
Un album correct de la part d'un groupe composé exclusivement de gros débiles.
Ça fait plaisir de voir Willy Denzey un peu lâcher le Rnb pour sortir des albums de reprises pop country comme ça.
Le groupe Prefabs Prout n'a jamais percé et il en est très complexé. Cet album concept intitulé "Steve McQueen" du nom de l'acteur connu n'aborde qu'un seul thème : la célébrité. Le projet est en quelque sorte une réponse à la deuxième ligne de leur page Wikipedia française qui avait semé la zizanie au sein du groupe.
J'ai bien aimé cet album mais j'en veux à cette dame d'avoir popularisé les expressions "Où est le respect ?" et "C'est le cousin à qui encore ??"
Ne vous faites pas avoir par cette note de 4/5, il s'agit en réalité d'un 3,6/5.
De manière générale, j'aime bien les albums live. Pourtant, celui-ci manque cruellement de transitions entre les chansons, ce qui a tendance à me déplaire. Les Cheap Trick devraient en la matière prendre exemple sur le Nimmerland-Tour de RIN. Voici comment les concerts en question étaient structurés : - La première partie était assurée par le chanteur James Arthur, qui devait le plus souvent abréger sa prestation en raison du mécontentement de la salle. - RIN arrivait ensuite en tyrolienne en chantant justement des chants tyroliens avant d'enchaîner huit fois le morceau Dizzee Rascal type beat. - À mi-concert, l'incident des "deux merdes" donnait lieu à de longues minutes de négociations entre le rappeur et la frange costumée du public. - Juste avant le dernier morceau, RIN dévoilait sa carte maîtresse en invitant la voix française de Shark à le rejoindre sur scène devant des fans qui n'en croyaient pas leurs yeux. - RIN regagnait enfin sa loge où l'attendait Bausa et sa terrible influence.
J'ai d'abord écouté cet album alors que je roulais sur mon skateboard en direction de la poste pour y déposer une lettre RAR. Autant vous dire que le bruit des roues sur le bitume a totalement pris le dessus sur ce qui sortait de mes écouteurs. J'ai donc réécouté le projet une fois rentré chez moi. Croyez-le ou non, mais je n'ai pas le moindre souvenir de ce qu'il contenait.
J'ai adoré le moment où le chanteur casse sa guitare et l'enflamme sur scène devant un public éberlué.
Je vais tenter en moins de cinquante lignes de vous prouver que Gene Clark est une ordure. Regardez d'abord son nom, et plus particulièrement sa première particule: Gene. Vous ne remarquez rien ? Laissez-moi vous expliquer. Au moment de choisir un nom de scène, Gene Clark sortit sa carte d'identité de son portefeuille. "Harold Eugene Clark" était-il écrit sur son recto. "Vais-je choisir mon magnifique prénom pour former la première partie de mon nom d'artiste, ou vais-je plutôt choisir le deuxième qui est objectivement dégueulasse ?" Et c'est ainsi que Harold Eugene Clark devint Eugene Clark, plus tard abrégé en Gene Clark puis Gêne Clark, avant d'être rebaptisé La Merde par son rival Cat Stevens. Parlons ensuite de la chanson Ship of the Lord. Je vous rappelle ci-dessous l'échange entre Gene et son producteur Jim Doors Morrison: - Un, deux... - *Musique*. Je suis désolé. - Un, deux. Un, deux, trois... - *Musique* - Ça va pas du tout. Un, deux... - *Musique* - Eh dis donc Gene tu te foutrais pas un peu de notre gueule ? - Pardon, je ne suis pas dans mon état normal... - Qu'est-ce que t'as ? - Rien... c'est simplement que... Cat Stevens détient ma femme et mes enfants dans une caravane non climatisée à l'extérieur de la ville... - T'as pas un peu fini de chouiner Roldah Clark ? - Tu as raison, on reprend. - One, two... - *Musique: Ma feeemme et mes enfaaants sont les hotaaages de Cat Ste-vens, Cat Steeee-vens, Cat Steveeeeeens... * L'échange est évidemment plus long mais vous avez là l'essentiel.
Je me réveillai ce jeudi matin en ouvrant mon téléphone et remarquai instantanément que celui-ci avait été souillé de messages par l'inévitable ltrapeze: "Il faut absolument que tu écoutes la huitième piste de l'album du jour !" me menaçait-il. Je me rendormis. Lors de mon second réveil, de nouveaux messages étaient venus se glisser dans mon téléphone sans que je m'en aperçoive. Ils étaient tous signés de la main du turbulent ltrapeze : "Mais réveille-toi enfin !!" répétait-il à tue-tête. Je lançai soudain l'album et fus rapidement arrivé à ladite huitième piste. Et quelle ne fut pas ma surprise d'entendre une version grossièrement remixée d'une chanson très chère à mon cœur : celle de ses moulins, justement. Observez un peu comme le texte est traduit: The Moulins of My Heart Like a pierre that we jette In the living water of a ruisseau Qui leaves behind elle des thousands de rounds dans la wasser Du machst tourner von deinem Name die Moulinen von meinem Hertz Luft in den Nase (ja), Luft in den Nase So wie Dylan (oh Junge), So wie Dylan Et ainsi de suite... Je serais le dernier étonné d'apprendre que Michel Legrand se soit retourné dans sa tombe au moment d'entendre cette reprise, et qu'il ait même effectué une rotation à 360 degrés pour rendre ses lettres de noblesse à son texte. N'en déplaise à ltrapeze.
C'est du rap
Alice In Chains nous prouve encore une fois que faire du heavy metal tout en ayant une belle voix nasale, c'est possible.
On ne peut qu'être reconnaissant envers A Tribe Called Quest d'avoir composé la bande-son du jeu Monstres et Compagnie sur Game Boy Color (cf morceau What?). Dans celui-ci, Bob Razowski avait la possibilité d'effectuer deux sauts consécutifs en appuyant sur la touche A, tandis que Jacques Sullivan ne pouvait en effectuer qu'un seul.
L'album est incroyable mais recentrons-nous sur l'anecdote de l'étiquette de caleçon.
Comment tu vas justifier ça Robert ?
Vous qui fréquentez ce site connaissez très bien mes goûts et ma personnalité. Et je pense qu'aucun d'entre vous n'aurait parié sur le fait que je puisse adorer cet album. C'est pourtant ce qui s'est passé. J'ai néanmoins été déçu d'apprendre que les paroles qu'ils baragouinaient n'étaient en rien de l'Islandais mais bien une langue inventée de toute pièce, ce qui ne m'a pas empêché de relever quelques fautes de grammaire.
Je pense que ce groupe a fabriqué cet album en visant le 3 étoiles sur le générateur et qu'il a plutôt réussi son pari. On peut citer dans ce sens le refrain du morceau "Another girl, another planet.": "♫ Nous tout ce qu'on veut c'est pas grand chose, qu'on nous donne la note de trois sur le générateur, on n'a pas tellement plus d'ambition, na-na-na-na-na-na, Hey Jude...♫"
Sympa mais ltrapeze est totalement à la traîne.
Alors que je travaillais dans mon précédent cabinet d'avocats, ma supérieure hiérarchique avait l'habitude, quand je lui remettais le travail qu'elle m'avait commandé, de dire à haute voix "Mais qu'est-ce qu'il m'a fait ?!" en posant son regard éberlué sur mes écrits. Je fus viré moins de trois semaines après le début de mon contrat. Cette phrase, je l'ai répétée tout au long de l'écoute de cet album. Aucun moyen pour moi néanmoins d'y mettre fin prématurément.
Je résumerais l'album ainsi: Frank Zappa superpose des sons sans aucune cohérence et demande à nos oreilles de se démerder avec le résultat.
C'était bien
De la house ma foi sympatoche même si carrément pas terrible en fait.
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J'avais failli oublier que Morsay était le chanteur des Smiths avant d'ouvrir sa boutique de prêt-à-porter à Clignancourt. L'album est sympatoche mais le rock des années 80 commence un peu à me taper sur les nerfs si tu vois ce que veux dire Robert...
C'est tout simplement horrible. La voix du chanteur est atroce. Je vais demander des explications à Robert, que je connais personnellement.
J'ai un peu surnoté cet album mais il est ici question de la survie de notre espèce
Un très joli album qui raconte l'histoire de Sébastien, un enfant solitaire et d'un chien sauvage. Il l'apprivoise et lui donne le nom Belle. Ensemble, ils essaient de déjouer un plan nazi pour capturer des résistants français.
Je ne me souviens plus de l'album alors je vais vous raconter ma journée. Vers 9h, je sors de mon lit et vais prendre mon café. Une fois mes mails du jour attentivement lus, je décide d'annoncer à la personne qui m'avait fait passer un entretien vendredi dernier que j'ai finalement accepté une autre offre que la sienne, tout en lui souhaitant de trouver le candidat qu'elle recherche. S'ensuit un black out de 25 heures et un état de conscience repris à l'instant. Affaire à suivre.
J'avais beaucoup d'estime pour cet album jusqu'au moment où j'ai compris qu'il ne s'appelait pas "Three Communication" mais "Ill Communication". Sans ce couac et je dirais même ce tollé provoqué par l'équipe marketing, le projet aurait pu bénéficier d'une étoile supplémentaire.
Faites très attention lorsque vous allez lancer cet album ; pendant les dix premiers morceaux, la chanteuse répète les mêmes mots en boucle jusqu'à provoquer des douleurs au crâne qu'aucun doliprane 1000 ou 500 n'a le pouvoir d'apaiser. Prudence.
The Cars fait partie de ces groupes formés de l'article "The" et d'un nom commun au pluriel (exemple: The Doors et son imperturbable organiste Manzarek). Pour autant, ce n'est pas aux Doors que le style des Cars nous fait penser mais bien à celui de Queen. L'album s'ouvre en effet sur une introduction intitulée "We Are The Winners" suivie du titre "Don't Block Me Now". Quelques pistes plus tard apparaît soudain le titre "Nonconformist Rhapsody". Pas assez flagrant pour vous peut-être ? Alors comment expliquez-vous que le dernier morceau s'appelle "We Will Move You" et que l'on voit dans son clip le batteur taper deux fois ses mains sur ses cuisses avant de les taper une fois entre elles ? Rendez-vous à l'évidence..
Ce générateur a complètement vrillé en une succession d'albums rock tout plus insignifiants les uns que les autres ce qui fait que je ne suis en rien surpris de tomber sur celui-ci. Une seule éclaircie au milieu de ce chahut, le morceau "Where Is My Mind" m'a provoqué un "Ah c'est eux ça ?!" très agréable. Suffisant pour m'empêcher de leur vomir dessus ? Oh que non : deux sur cinq.
Gros problème dès le départ : l'album s'ouvre sur la mélodie de la chanson Un Rayon de Soleil de William Baldé. Si on met ça de côté, c'est du Morrissey tout craché : de bons morceaux et une horrible pochette.
Inutile de vous rappeler que je connais personnellement Robert, l'homme sans qui ce générateur n'aurait jamais vu le jour. Celui que j'appelle familièrement Rob fait d'ailleurs lui-même partie du classement des 1001 contacts à ajouter sur les réseaux avant de mourir. Quand il ne choisit pas un énième album de Costello ou de Morrissey à rajouter à sa liste, il peut nous proposer par exemple un album des Who. Et qu'est-ce que ça donne ? J'ai envie de dire ouais, pas mal. Le morceau My Generation a fait secouer ma tête pleine de savoir, et ça c'est déjà une victoire.
Vous qui fréquentez ce générateur connaissez très bien mon être sous ses traits les plus intimes. Vous savez donc à quel point j'aime dégueuler sur tout ce qui se rapproche du heavy metal ; style que je considère comme une véritable fausse route dans l'histoire de la musique. Néanmoins cet album est très bon, il faut le reconnaître. Pour tout vous dire, à la fin du projet, je portais fièrement un tee-shirt tête de mort, des bottines ainsi qu'un clébard dégueulasse.
Super Furry Animals s'est lancé un défi des plus surpenants : constituer un album dont l'objet serait une compilation de cris d'animaux. Le morceau Frisbee lance les hostilités avec une chorale de macaques en colère. Mais le groupe ne s'arrête pas là; les animaux de la jungle sont vite remplacés par ceux de la savane, puis ceux de la ferme. Le projet se clôt sur un éternuement de lièvre et laisse derrière lui des oreilles enchantées par un spectacle auditif hors du commun.
En me renseignant sur Patti Smith, j'ai très vite appris qu'elle était considérée par beaucoup comme la marraine du mouvement punk. La suite de mes recherches donna raison à cette affirmation puisque j'ai obtenu l'accès à de nombreuses photographies de Patti la montrant assise devant différents Carrefours City, canette de 8.6 à la main droite et demi-douzaine de laisses de clebs dans la gauche. Un portrait bien loin de l'image lisse à laquelle veulent nous faire croire les merdias.
Je n'ai aucune envie de vous livrer une critique à froid, plus de dix heures après avoir écouté cet album. C'est la raison pour laquelle je vais vous retranscrire mot pour mot l'échange que j'ai eu avec mon compagnon d'écoute gadelmapeze une poignée de minutes seulement après en avoir terminé avec les Screaming Trees : - Il était bien l'album d'aujourd'hui ? - Pas mal, disons 3,5. Problème : la note 3,5 n'existe pas sur ce site ô combien mal pensé. Alors pour remédier à cette anomalie , j'ai mis au point une méthode consistant à arrondir à l'entier inférieur. Trois sur cinq.
Cette critique ne sera que partiellement pertinente pour une raison très simple que je vais vous exposer. Lorsque j'aime un album dès la première écoute, il est chez moi d'usage de le jouer une nouvelle fois dans le but d'affiner mon analyse le concernant. Pourtant hier, alors que je venais de relancer la première piste, mon compagnon d'écoute elchavez me somma d'écouter une de ses cochonneries sonores. Vous l'aurez compris, cette chanson coupa mon envie de poursuivre ma deuxième écoute des Steely Dan, tout comme une vision de défections couperait un appétit.
Je n'ai absolument rien à déclarer au sujet de cet album, un peu à la manière de Messi lorsqu'il était interrogé sur Griezmann.
Quel bonheur de faire respirer le générateur avec un documentaire animalier. La voix de Pierre Arditi donne aux images de drones volant au-dessus de la banquise une poésie qui ravira petits et grands.
Kate Bush nous avait déjà bien surpris avec son album The Sensual World. Celle qui apparaît dans la section "inspiration" de n'importe quelle page Wikipédia existante dont celle de Toni Kroos ne déçoit pas sur The Dreaming. Après une entrée en matière qui se réserve bien de casser trois pattes chez un même canard, Kate lâche un cheat code avec l'apparition d'une cornemuse sur le morceau Night Of The Swallow. Pour notre plus grand plaisir.
C'est en lisant dans le livre des 1001 la critique d'un certain JiH dans le grimoire de Robert que j'ai enfin ouvert les yeux ; cette compilation des 1001 albums ne s'adresse qu'à la communauté hipster. Pas question pour l'éditeur et ses complices de sélectionner un album à succès, non, jamais. Il est ici question de choisir l'un des albums les moins connus de l'artiste afin de jouer au connaisseur et pisser sur le mainstream. Une bien triste vision des choses que je dénoncerai en message privé à l'intéressé, puisque je le connais.
Je tenais à m'excuser pour la faute de syntaxe que j'ai commise en rédigeant ma critique de l'album de Gainsbourg. Ça n'arrivera plus.
Longtemps restée dans l'ombre de son petit-fils Eddy, Joni Mitchell n'en a pour autant pas moins de talent. C'était d'ailleurs prévisible. Je m'explique. Une fois que l'on a compris que Joni était une femme et non un énième gonze, on se doute que l'album sera bon puisque à l'exception de Patti Smith et sa crête iroquoise, aucune représentante de la gente féminine n'a obtenu moins de quatre étoiles de ma part. Et cet album les vaut bien.
Vous qui fréquentez ce générateur suivez probablement de très près ma progression dans cette liste des 1001. Vous savez dès lors très bien que j'ai donné quatre étoiles à Sonic Youth pour leur album Dirty. Rebelote avec celui-ci.
Malgré les nombreuses réprimandes adressées à Robert au sujet de l'inclusion de l'album The Doors dans ce classement, album qui, dois-je le rappeler, fut souillé des doigts de l'organiste Manzarek, notre cher éditeur semble encore une fois n'en faire qu'à sa tête avec l'ajout de l'album qui nous intéresse aujourd'hui. Pictures At An Exhibition est en effet lui aussi gangrené par un orgue, celui de Keith Emerson. Vous l'aurez compris, la liste des personæ non gratæ de ce générateur accueille un nouveau membre en la personne dudit Emerson.
Bien que mes parents aient été deux gangsters influents de la côte ouest des Etats-Unis, je n'ai à aucun moment retrouvé les sons ni les odeurs de mon enfance lors de l'écoute de ce projet.
Contrairement à mon compagnon d'écoute l'ignoble elfoutaise, j'avais bel et bien reconnu Frank Zappa sur la pochette de l'album. J'étais donc parfaitement préparé à ce qui allait suivre. Et il m'a semblé que ça valait trois étoiles sur l'échelle de Robert.
L'album est excellent mais je n'ai pas envie de m'éterniser là-dessus. Non, ce dont j'ai envie de parler aujourd'hui, c'est le sentiment de pitié que j'éprouve envers l'enfance de mon compagnon d'écoute que vous commencez à connaître ; je veux bien entendu parler du dénommé ltrapeze. Voyez-vous, pendant que mes parents jouaient très régulièrement les Beatles dans mon salon, ltrapeze n'avait pas le droit au même traitement. Pour lui, l'ambiance au domcile familiale était quelque peu différente. Tantôt ce sont les reprises de Michal sur le plateau de la Star Ac 3 qui inondaient l'espace sonores de la maison, tantôt le single Premier Love de Tony Parker que ses parents avaient l'habitude de laisser tourner en boucle tout l'après-midi. Pour le petit ltrapeze, interdiction formelle de montrer tout signe d'intérêt pour une chanson qui n'entrait pas dans le champ des artistes précités. Un événement survenu en 2009 aurait pourtant pu changer la donne. Alors que la famille était réunie autour d'un poulet au caramel préparé par un traiteur thaïlandais du bas de la rue et que le poste radio chantait ♫ on s'est connus on était gosses t'étais mon premier love, bien avant le basket, mon premier titre, toujours ensemble, à l'epoque on était croques l'un de l'autre♫, ltrapeze se leva discrètement et appuya sur un bouton de ce même poste, faisant passer celui-ci de l'option CD à l'option FM. La famille se tut en cœur et ses parents cessèrent de frapper leurs cuisses pour marquer le rythme. Tous les regards se dirigeaient bientôt vers ltrapeze qui affichait un visage des plus crispés. La radio nasilla soudain ♫ come together right now over me ♫. L'atmosphère était irrespirable. "Retouche le bouton" lança alors le père Trapeze à son fils. Ce dernier maintint l'expression crispée qu'il arborait depuis maintenant un moment. "Oui, retouche le bouton s'il te plaît" intervint la mère Trapeze à son même fils. Ce dernier s'exécuta et le poste s'écria soudain ♫ on était jeunes on était fous à qui la faute on n'était rien sans l'autre ♫. La vie avait repris son cours.
Il est vrai que j'étais rapidement parti pour donner cinq étoiles à cet album. Ce qui m'a fait changer d'avis, c'est qu'à compter de la quatrième piste, le chanteur du groupe s'écrie après le deuxième refrain ♫ tu pourras nous mettre cinq étoiles demain stp ?♫. Même chose à la septième piste lorsqu'il déclare ♫ c'est bon tu vas mettre cinq étoiles demain ou pas ? ♫ La goutte d'eau étant l'outro quand il me menace de la façon suivante : ♫ t'as pas intérêt à mettre quatre étoiles toi ♫. Vraiment dommage.
J'ai bien aimé Deserter's Songs même si le sujet abordé me paraît assez léger. Cet album raconte l'histoire d'un jeune lycéen fumant des chichas goût double pomme un soir où ses parents sont sortis au cinéma. Après un geste maladroit, il renverse le charbon sur le parquet, qui se retrouve brûlé. Il décide alors de casser l'ampoule qui éclaire la chambre et de disposer ses morceaux sur la partie noircie du parquet. Ses parents rentrent vers minuit et découvrent avec stupéfaction les dégâts causés par la pipe à eau. Il ne croient pas un mot de ce que leur raconte leur fils, le chanteur des Mercury Rev, et lui ordonnent de faire ses valises et de quitter le domicile familial.
Ce n'est pas moi qui vais rédiger la critique du jour, mais bien mon grand-père avec qui j'ai partagé l'écoute de cet album. À toi Papy : "J'ai beaucoup aimé entendre cette musique rock dont le rythme me rappelle ce que j'écoutais dans ma jeunesse. De belles voix avec des rythmes très dansants. Un moment rare que j'aimerais renouveler." Vous l'avez probablement remarqué, mon grand-père n'a aucun savoir-faire en terme de critiques musicales. Je me vois obligé de reprendre la main. L'album est nul. Les Rascals sont des merdes. Le leader du groupe, l'ignoble Dizzee Rascal nous offre une performance en dessous de tout. D'abord sur le titre Dizzee Rascal Type Beat, puis sur la chanson Zone dans laquelle il répète inlassablement "Laissez-moi chuis dans ma zone, Neksan Orelfeu, Orelzi, Dizfeu, Nekzi, Dizsan, I don't speak but french but Nekfeu, Orelsan, Dizzee, Neksan, Orelfeu...". À oublier.
L'album est bon mais une fois de plus la voix dégueulasse de Kevin Rowland à mi-chemin entre une poule en panique et un Jeff Buckley constipé vient gâcher la fête.
(à lire impérativement avec la voix de Jacques Chirac) Écoutez, je dois dire que j'ai été très déçu par cet album. La pochette laissait présager une véritable bouffée d'air soul au milieu de tous ces albums de rock générés par Robert. De la soul, oui, mais de la soul psychédélique, j'émets des réserves.
fIREHOSE s'est visiblement trompé au moment d'écrire son nom d'artiste en ne s'apercevant pas que la touche "verr. MAJ" était activée. Cette erreur en a entraîné d'autres parmi lesquelles on trouve cet album.
Je ressens bien sûr un pincement au cœur de n'accorder que trois étoiles à Morrissey. Je sais bien que les ventes de cet album ont permis la construction de vingt-deux orphelinats et d'une centaine de puits en Érythrée. Je suis également au courant de ses nombreuses actions humanitaires au Laos et de son combat pour la reconnaissance du génocide arménien. Je n'oublie pas non plus qu'il participe de manière active à la recherche contre le cancer avec des dons quotidiens. Cet album n'est juste pas aussi formidable que son auteur.
N'ayant pas trouvé d'angle à donner à ma critique du jour, je me suis rendu sur la page Wikipedia du groupe qui nous intéresse. Et quelle ne fut pas ma surprise de constater que ladite page ne contenait pas la moindre rubrique dédiée à d'hypothétiques polémiques. Rien du tout. Pinuts. Une lueur d'espoir fit scintiller mon œil lorsque je vis que le mot "scandal" apparaissait une fois. À ma grande déception, il s'agissait en réalité du nom d'un autre groupe duquel faisait partie une certaine Patty Smyth qui, dixit, ne devait pas être confondue avec [la punkàch] Patti Smith (?!) Non mais on se fout de ma gueule en plus ! Évidemment qu'on va les confondre c'est exactement le même nom t'as juste mis des Y pour pas que ça s'écrive pareil !! Ils se prononcent comme des i les Y !! Pour en revenir à Van Halen, c'est donc du rock lisse, sans scandale, sans polémique. C'est du Kids United en fait. Sauf que non, erreur, les Kids United ils en ont des polémiques ! Eux ont osé crier "tout le monde debout" à un public exclusivement composé d'handicapés en fauteuils, ça c'est Rock'n'Roll.
Première très bonne surprise au lancement de cet album : il ne s'agit pas de musique reggae. On enchaîne les premières pistes avec enthousiasme, tout se passe à merveille, jusqu'au moment où l'on se rend compte environ une heure après avoir lancé l'écoute que la troisième piste vient à peine de commencer. Rapidement, on en a marre. On a envie que ça s'arrête. On tombe alors sur le morceau Cruise (Don't stop) qui nous explique au sein de ses parenthèses que l'on y est encore pour quelques heures. Le DJ responsable de cette mascarade est un certain Nightmares On Wax. Son style de musique chill-out aurait merité d'être appelé repetitive-out, ou même not-interesting-out, ou carrément tchoupits-out. On emmerde l'artiste ainsi que ses proches même s'ils n'ont rien demandé.
Alors que je savourais la première partie de l'album, je m'absentai un instant dans le but de vérifier que les vêtements que j'avais mis à sécher progressaient vers cet objectif. Lorsque je revins près de l'enceinte, je m'aperçus avec effroi que Tricky avait tenté d'incorporer un morceau reggae dans le projet sans que je m'en aperçoive. "J'aurais dû m'en douter..." pensai-je. L'album s'intitule Maxinquaye. MaxinQUAYE... Jusque-là, le seul album de reggae du générateur était l'œuvre d'un certain Finley Quaye. Finley QUAYE... "La trahison est un plat qui se mange froid." disaient probablement Churchill ainsi que Jésus. À méditer...
Pour comprendre cet album, il est nécessaire d'avoir quelques éléments de contexte. Bien que le film Star Wars : Un Nouvel Espoir ne sortira qu'en 1977, la comédie musicale dont le film est inspiré rencontre en 1958 un succès critique à Broadway. Billie Holiday y incarne le rôle de Maître Yoda par le biais d'une peluche de ventriloque aux traits du personnage vert et donne la réplique à Luke Skywalker alors interprété par Charles de Gaule. Les représentations doivent s'interrompre en 1959 car Billie Holiday décède au mois de juillet et le Général de Gaule voit son temps libre limité par ses travaux de rédaction de ce qui deviendra la constitution de la Cinquième République. George Lucas racheta plus tard les droits du spectacle et connaîtra le succès avec son adaptation sur grand écran.
Un album très agréable, sorti à une époque où Renaud n'était pas encore tombé dans la bibine.
Rid Of Me fait une très belle entrée dans le Top 10 des pochettes les plus moches du générateur. D'un point de vue musical, tous mes espoirs étaient concentrés sur le titre éponyme, apparemment plébiscité par sept millions d'abrutis sur la plateforme Spotify à l'inverse de la suite de l'album quant à elle complètement anonyme. Dans ce premier morceau, PJ Harvey n'a qu'une seule obsession : agresser nos oreilles avec des changements de volume absolument insupportables. PJ aura beau essayer de me récupérer avec la suite, en vain. Le mal était fait. Et ce n'est certainement pas cette punkerie des plus dégueulasses qui aurait pu me convaincre de ne pas accorder la pire des notes. PS: Dans ma critique de Lady in Satin de Billie Holiday, vous avez été nombreux à remarquer la faute que j'ai commise dans le nom propre du premier président de notre Vème République. Je vous prie de m'en excuser.
Je vais profiter de la tribune que m'offre l'espace dédié à la critique de cet album finalement pas très intéressant pour vous partager un fait musical marquant de ma journée. Vous savez probablement que mon album préféré de ces dernières années n'est autre que Process de l'artiste Sampha. Alors que je pensais tout connaître de sa substance, la vignette d'une vidéo YouTube affichant la pochette de celui-ci interpella ma rétine. Le nom de la chanson en question m'était inconnu. Je cliquai donc sur celle-ci, puis écoutai cette douce mélopée. Quel moment exceptionnel… D'où pouvait bien provenir ce miracle ? Croyez-le ou non, ce morceau ainsi qu'un autre étaient tout simplement deux morceaux bonus de la version japonaise de l'album. La morale de cette histoire est la suivante : ne pensez jamais connaître quelque chose tant que vous ne l'avez pas vue dans sa version japonaise.
Bon album mais aucune envie de m'étaler dessus, on tourne la page on passe à autre chose.
J'ai appris grâce à cet album que je n'aimais pas du tout le trip-hop, ce genre musical ayant émergé au début des années 1990, dans la région de Bristol. Pourtant, vous savez probablement que lors d'une kermesse s'étant tenue dans mon école primaire en 2005, j'avais représenté la ville de Bristol à la toute fin du passage de ma classe avec deux amis moins talentueux. Nous étions le clou du spectacle. À la fin du numéro, j'étais censé déchirer mon T-Shirt noir préalablement découpé et maladroitement scotché à cet effet et le lancer dans la foule. Seulement au moment où la musique s'arrêta, le T-Shirt ne se déchira pas malgré mes nombreuses tentatives. Je dus l'enlever de la façon la plus standard qui soit, avant de le jeter dans une foule qui criait au scandale. Depuis ce jour, je hais la ville de Bristol ainsi que la plupart des courants musicaux qui y ont émergé.
Je ne peux que remercier Fever Ray pour les moments de nostalgie que m'a offert cet album. Celui-ci s'ouvre sur le générique de la série Vikings, puis enchaîne avec la bande-originale de la série Dark. Sans surprise, c'est le générique de Prison Break qui prend le relai avant que ce ne soit ceux de Friends et d'Une Nounou D'Enfer. Après un court interlude, on entend soudain Michael de la série Ma Famille D'abord dire son cultissime "Euuuh, Non." sous les rires ininterrompus du public. Junior entre à son tour dans la pièce avec Claire et Kady accompagnés d'une série d'applaudissements. Franklin apparaît ensuite et se met à jouer du piano. "Ouuuuh" s'écrie le public. "Euuh, non." répète alors Michael. L'album termine magnifiquement avec un pet de trente secondes.
J'ai trouvé le texte de l'album très riche, je vous le joins dans sa totalité ci-dessous : ♫ Boom, bap, boom, bap n-word, fuck, drugs, gang !! Boom bap bap boom, encore n-word, fuck, de nouveau le n-word !! Boom bap motherfuck et revoilà le fameux n-word accompagné du mot fuck... Encore !? Un n-word de plus mon gars et bah ouais, l'album dure une heure, fuck motherfuck bam boop, n-word comme par hasard et m-word maintenant pourquoi pas, gun, fuck ! Gang ! C'est tout pour moi je m'appelle Ice Cube !♫
La critique que je m'apprête à rédiger ne sera pas tout à fait pertinente dans le sens où j'ai été confronté à un problème dont j'assume la responsabilité. En effet, je ne me suis rendu compte qu'au milieu de l'écoute que la lecture de cet album se faisait en mode aléatoire. J'étais dès lors totalement perdu. Vous savez pertinemment que je me dois d'activer cette option la plupart du temps pour m'entraîner à l'événement que nous attendons tous et qui se tiendra selon les dernières infos début 2024 ; je veux bien entendu parler du Grand Quiz du Générateur sur TF1 qui m'opposera bien sûr à ltrapeze. Je vous tiendrai informé sur le déroulement de l'émission dès que j'aurai du nouveau.
Quel bonheur... Après une semaine difficile, marquée par une accumulation d'albums notés d'une simple paire d'étoiles, celle-ci s'annonce radieuse. Elle commence en ce lundi avec l'album Frankie Bossa Nova, qui, soit dit en passant, est une réussite. J'ai particulièrement aimé le morceau Ai Se Eu Te Pego même si ma préférée reste évidemment le tube Coup de Boule dans lequel Sinatra démarre en trombe avec son célèbre gimmick "attention c'est la danse du coup de boule !" Le crooner à la voix de velours est décidément à l'aise dans tous les styles.
Pour être très franc avec vous, je m'attendais à entendre un album de musique et non le service client d'un opérateur téléphonique. On clique sur Dear Science et on est immédiatement plongé dans l'attente: "Patientez, un conseiller va vous répondre..." On se demande alors dans quoi Robert Dimery vient de nous embarquer. "Restez en ligne, un conseiller va vous répondre..." Au bout d'une cinquantaine de minutes, on nous dit la phrase suivante : "Tous nos conseillers sont actuellement en ligne, nous vous invitons à renouveller votre appel ultérieurement." Quelle frustration...
Pas grand chose à dire sur cet album si ce n'est qu'il était extrêmement agréable. Lorsque je lance un album en soirée, il m'arrive très souvent de lancer une partie d'échecs pendant l'écoute. Ce fut le cas cette fois-ci. Je vous copie ci-dessous le déroulement de ladite partie qui fut au passage ma trois-mille-cent-soixante-et-unième : 1. e4 e5 2. d3 Nc6 3. a3 Nf6 4. h3 d5 5. exd5 Qxd5 6. Bg5 Be7 7. Bh4 Bf5 8. Nc3 Qd7 9. Nf3 O-O 10. Be2 Nd4 11. Nxe5 Qe6 12. Bg3 Bd6 13. Nc4 Bxg3 14. fxg3 Rfe8 15. O-O Nxe2+ 16. Nxe2 Qxe2 17. Rxf5 Qe6 18. Rf1 Rad8 19. Nd2 Qb6+ 20. Kh1 Nd5 21. c4 Ne3 22. Qf3 Nxf1 23. Rxf1 Re7 24. b4 Rde8 25. g4 Re1 26. Rxe1 Rxe1+ 27. Kh2 Qg1+ 28. Kg3 Re3 29. Qxe3 Qxe3+ 30. Kh2 Qxd2 0-1 Comme vous avez pu l'observer, j'ai commis plusieurs erreurs grossières mais la victoire est bonne à prendre à une période où je manque cruellement de confiance.
"Style : Hardcore Punk." Il suffisait de lire ceci sur la page Wikipédia de ce cher album pour savoir que la note n'allait pas dépasser 2.
Comme vous le savez probablement, l'existence de ce générateur a pour unique finalité l'organisation de l'émission "Le Grand Quiz du Générateur" présentée conjointement en direct de Kiev par Nikos et Arthur. La préparation des candidats a déjà commencé avec la création de la playlist officielle sur Spotify. Sachez qu'à chacune de mes séries d'entraînement, le nouveau venu Fred Neil a été trouvé à chacune de ses apparitions. Et sans forcer.
À mon humble avis, la suite manquante du groupe de mots désignant cet album n'est certainement pas "speaks french". J'en veux pour preuve le morceau The Last Laugh of the Laughter au cours duquel le chanteur croit duper son audience avec un baragouinage qui ne fera plaisir qu'aux non-francophones : "It's the last laugh of the laughter Sur la dernier page do chapitre On the last day of the year Ma vie Tout ma vie When the spotlight fade away" dit-il selon la retranscription qu'en fait Google. Bien évidemment, le chanteur ne fait, dans la chanson, pas une seule de ces fautes à l'oral et prononce d'ailleurs admirablement bien les passages en français. Mais peu importe. En resumé : un projet ni fait ni à faire.
Que vous le croyiez ou non, quand Robbie Williams ne fait pas de doigts d'honneur à la Coupe du Monde ou n'intervient pas de façon totalement injustifiée dans une émission de télévision dédiée aux Inconnus, il conçoit des albums. Et qu'est-ce que ça donne, alors ? N'en déplaise au père de mon compagnon d'écoute eltrapeze dont les goûts sont ouvertement critiqués par une majorité de musicologues en exercice, cet album nous donne la sensation d'être retenu prisonnier d'un interminable épisode de Glee ou d'High School Musical. Seul point positif au milieu de cette pagaille : mon apparition sur la pochette du projet tout en haut à gauche. J'étais en effet ce jour-là en train de faire la queue à la pharmacie où je me rends habituellement pour acheter un shampoing anti-pelliculaire lorsque, survenant de nulle part, surgit Robbie Williams accompagné d'une foule de journalistes et de photographes. Ledit Robbie se posta rapidement devant l'une des caisses, le regard dirigé vers les sachets de pastilles mentholées avant d'exiger qu'on l'y prenne en photo dans cette position. La pharmacienne, dépassée par la situation, tentait tant bien que mal de prendre ma commande mais je n'osai pas demander mon shampoing devant pareille assemblée. Je posai donc mes lunettes de soleil sur mes yeux pour demander mon shampooing sans être reconnu, et ce moment fut immortalisé par la photo qui sera choisie pour être la pochette de cet album.
Qui aurait cru que Mickaël Vendetta avait sorti des albums de rock avec les Heartbreakers ? Certainement pas moi. Et pourtant j'ai beaucoup apprécié, tout au long de l'album, les nombreux moments où David Charvet lui demande d'arrêter de l'importuner ainsi que ceux au cours desquels Francky Vincent tente de le canaliser sous l'œil attentif de Greg le Millionnaire.
Que dire de Mike Ladd... Et bien pas grand chose puisque personne ne le connaît. Je vais donc profiter de cette critique pour vous faire part de quelque chose. Vous savez bien que mon compère eltrapeze et moi sommes très dévoués à l'exercice qu'impose ce générateur, à savoir l'écriture de "reviews" toutes plus inspirées les unes que les autres. Nous sommes, de ce fait, absolument persuadés qu'il existe parmi vous des admirateurs inconditionnels de nos écrits. C'est pourquoi nous vous offrons la possibilité de nous contacter. Pour ce faire, rien de plus simple : écrivez sous l'album Qui sème le vent récolte le tempo de ce cher MC Solaar la phrase "Mike Ladd est le fils de Robert Dimery." Vous serez ensuite informés de la suite des événements par un faisceau d'indices et différents messages codés à déchiffrer dans nos critiques ultérieures. Bien à vous.
Pour ne rien vous cacher, cet album m'a donné envie d'ingurgiter plusieurs cachets d'ecstasy et de danser au milieu d'une foule de personnes baignées dans leur sueur.
N'étant pas un grand fan de techno, cet album m'a tout de même donné envie d'avaler trois cachets d'ecstasy et de passer une nuit entière en rave party au milieu d'autres personnes baignées dans leur sueur.
Cyndi Lauper est si unusual qu'elle a créé un groupe Facebook s'appelant "Si toi aussi" mais que personne ne s'est jamais identifié à ses publications.
Je me souviens très bien du jour de la sortie de cet album. J'avais à l'époque deux mois passés et profitais pleinement d'une vie qui totalement dépourvue d'eltrapeze, mon compagnon d'écoute, qui ne naîtra que plus tard.
Pour la petite anecdote, Billy Joel avait écrit cet album en pensant le proposer à Michael Jackson. Ce dernier refusa et c'est finalement Shrek qui eut la chance de l'interpréter.
Eh bah franchement pas incroyable. Robert déçoit une énième fois avec ses propositions d'albums de plus en plus discutables.
Et allez, c'était évident que la communauté de ce générateur était complètement demeurée. Moi je mets 5 sur 5 et je vous vois venir les fans de post punk métal de mes couilles avec vos clébards pleins de boue et vos goûts musicaux dégueulasses. Sachez que vous êtes dans l'erreur, et plus généralement dans la saleté, dans l'insalubrité.
Contrairement à l'avis totalement à côté de la plaque de mon compère elrodriguez, je n'ai pas été subjugué par cet album.
Un album très agréable à écouter. J'ai particulièrement apprécié le moment où Sade chante ♫ Shine bright like a diamond life, shine bright like a diamond life, We're beautiful like diamonds life in the sky ♫. Très sympa.
Le générateur est dans une très grande forme en ce moment. Des efforts à ne pas relâcher au deuxième trimestre.
Van Halen est vraiment un groupe très sympa. J'ai d'ailleurs rencontré ses membres alors qu'ils cherchaient un sèche-cheveux dans les rayons de la fnac. Je me suis approché d'eux puis leur ai demandé "Vous cherchez un modèle en particulier ?" alors même que je n' étais pas employé par le magasin. Eddie Van Halen me fit un bras d'honneur et s'en alla faire la queue à l'une des caisses automatiques.
Je voudrais profiter de l'espace review de cet album dont je me rappelle à peine pour rendre hommage à la personne sans qui nous ne serions pas là où nous sommes aujourd'hui, je veux bien sûr parler de Robert Dimery. On lui en a fait voir de toutes les couleurs, on l'a remis en cause, détesté, incendié, insulté, roulé dans la boue... et pourtant, celui-ci est en train de nous faire changer d'avis sur cette liste des 1001 qui s'avère être une réussite. À bientôt mon Robert (je le connais personnellement, pour rappel).
Et bah franchement, pour un album qui connait des pics à 400 millions de streams, c'est pas franchement incroyable. Ce qui m'amène à partager l'anecdote suivante : Quand j'étais au lycée et envisageais de devenir le prochain James Arthur, j'avais découvert la chanson "Have you ever seen the rain" du groupe qui nous intéresse. J'ai donc décidé de la reprendre à la guitare alors même que je ne trouve pas cette chanson particulièrement exceptionnelle. Croyez-le ou non, cette reprise n'était pas fameuse. Retour à la case départ, donc.
Vous savez quoi ? Alors que j'étais partagé entre l'idée d'accorder un 4 à cet album, et celle de lui accorder un 5, j'ai finalement opté pour la dernière option. Et vous savez pourquoi ? Tout simplement parce que je voyais arriver le jour arriver où j'allais donner mon troisième 5 à Adèle et où on allait me traiter de fragile qui écoute seulement des filles qui pleurent en chantant. Alors voilà, un bon gros 5 pour Back In Black, un album bien viril, fait pour les hommes qui ont des clébards sales. Qu'est-ce que vous allez pouvoir dire maintenant ?
George Michael peut se vanter de porter à bout de bras ce courant musical qu'est l'homosexual pop. L'album est une réussite de bout en bout. L'intro nous fait entrer dans un univers très riche, très marquée par une attirance envers la gente masculine. On slalome entre les pistes tel George Michael entre les passants sur son char lors des marches de fierté. L'album se conclue sur un coming out explosif. En bref, on en redemande.
J'ai adoré la chanson Bull Session with "Big Daddy" dont le concept est de parler angais et de s'enregistrer.
Comme vous le savez probablement, la journée d'hier a été marquée par l'opération de sauvetage de MC Solaar au domicile de Robert Dimery. Je vous invite à vous référer à la critique de mon compère elgomez pour avoir connaissance de la chronologie des faits. Ocean Rain est un bon album. On notera cependant la déception qui suit le moment où l'on se rend compte qu'il ne s'agit pas de l'album Purple Rain, que beaucoup de fans d'Echo And The Bunnymen ont connu le jour de sa sortie.
It Was A Good Day est l'arbre qui cache la forêt. Et cette forêt, c'est ce qu'on appelle communément de la merde. Je vous copie ci-dessous un extrait de l'album: "N-word ! N-word encore ! Toujours N-word ! Gang gun gang money... Et si on plaçait un petit N-word par ici ? Bitch mais gang aussi. Hmm... N-word... Money gang bitch fuck et motherfuck. Quoi de mieux qu'un bon vieux motherfuck, à vrai dire. Toutefois, fuck. Mais néanmoins gang et money. Encore merci à tous pour votre accueil je m'appelle Ice Cube, vous pouvez me trouver sur tous les réseaux sociaux."
Kraftwerk = les Daft punk du pauvre mais vous savez comme moi qu'il serait idiot de m'étaler sur cet album sans évoquer les événements récents. Comme vous le savez, la rivalité entre mon compagnon d'écoute elchavez et moi dépasse très largement le cadre de la musique. Celle-ci a connu un point de non-retour il y a quelques semaines. Vous savez probablement que je prends depuis plusieurs années un malin plaisir à sortir avec les conquêtes dudit elchavez. Le but poursuivi est le suivant : le mettre hors d'état de nuire. Alors que je rentrais justement d'un bar du centre-ville en compagnie de l'une de ses anciennes fréquentations, nous nous assîmes soudain sur les marches de la Poste Meriadeck. Cette dernière déclara d'une voix blafarde : "Robcremière, je dois t'avouer quelque chose : j'adore les Crusaders ainsi que Hugh Masekela." Pas besoin d'en rajouter, nos langues s'entremêlaient bientôt dans un tourbillon inarrêtable. Après une vingtaine de minutes, celle-ci m'annonça soudain : "Robcremière, tu embrasses beaucoup mieux qu'elchavez. De plus, ta connaissance de la musique lui est nettement supérieure." J'acquiesçai brièvement et nous nous galochâmes ensuite avec encore plus de vigueur. Dans le même temps, on pouvait entendre les encouragements de certains passants : "Bien fait pour elchavez !", "Il l'a bien mérité !", "À mort elchavez, l'homme qui ne donne jamais plus de 4 !", etc... Le lendemain, j'envoyai une lettre recommandée à ce dernier dans laquelle je lui exposais les faits dans leur intégralité. Une bataille de plus remportée par Robcremière.
Tout le monde parlera bien sûr d'Our House, mais le tube de cet album est bien sûr Mr. Speaker, qui sera utilisé comme générique de l'animé Inspecteur Gadget. Gadget au chapeau, Gadget au point, Elastico-gadget... tout y passe. Madness réussit avec ce titre son enregistrement le plus iconique.
Après Travis, revoilà un de ces groupes qui veut absolument nous faire bouffer du français pour nous attendrir… La limite de cette stratégie est la suivante : tomber sur un vrai Français qui doit se coltiner quatorze couplets à la con dans une langue totalement inconnue du chanteur. Personne parmi leur entourage ne leur a signalé l'horrible faute d'orthographe contenue dans le titre de la chanson en question ? Quel amateurisme… J'ai globalement beaucoup aimé l'album même si j'en ai détesté une bonne partie. J'attends donc de voir ce que ces andouilles auront dans le ventre sur le long terme.
Un très, très, très mauvais album de la part de Gene Clark et de sa bande de gugusses ignares. Je vous ai déjà dit ce que je pensais de ce chanteur et de sa capacité à choisir des pseudonymes exécrables, je ne vais donc pas revenir sur son cas personnel. Quant à l'album, rien n'est à sauver dans cet enregistrement dépourvu de tout son agréable à l'oreille.
Une couverture piégeuse… Si j'avais voulu un album d'Ice Cube dissimulé sous une perruque et un turban, j'aurais directement demandé à Robert (je le connais personnellement). Non, non et non.
Il est arrivé dans ce générateur avec un statut de favori, et force est de constater qu'il n'a pas déçu. Après une entame tonitruante, Cat Stevens ayant déjà creusé l'écart avec ses principaux concurrents (Gene Clark qui ?) au bout de quatre chansons décide de poser le jeu et faire courir ses adversaires. Une dernière action de classe en fin d'album avec Father And Son permet à Yusuf de terminer la partie sur une bonne note sans avoir été mis en difficulté une seule seconde.
Mais quel est l'intérêt de cet album à part de créer la confusion dans nos esprits lorsque l'une de ses pistes tombera lors du Grand Quiz du Générateur qui se tiendra je vous le rappelle en 2024 ?L'album ressemble à la fois à tout et à rien. À propos du Grand Quiz, vous avez probablement lu les derniers sondages réalisés par plusieurs instituts me donnant largement favori face à mon concurrent elmaghreb. Je vous partagerai les chiffres exacts dès qu'ils me seront communiqués.
Robert Dimery, dont j'ai récemment intégré le cercle des amis proches et dont j'ambitionne à moyen terme de parasiter le cercle familial, nous sert depuis bientôt 170 jours une liste longue comme le cul, n'ayons pas peur des mots, de groupes de rock'n'roll. Mais voilà que de temps à autre, celui-ci nous propose des albums d'autres genres musicaux comme celui de ce baragouineur brésilien dont il a probablement découvert l'existence au moment de l'ajouter à sa liste. L'objectif de cette mascarade est évidemment diplomatique et politique. Vous trouverez la suite de mon argumentation sous le prochain album de Ray Charles.
Contrairement à ce qu'en a dit eltrapeze, cet album n'est pas nul, il est simplement mauvais.
J'ai demandé à Robert Dimery ce que faisait cet album dans la liste des 1001 et il m'a très rapidement répondu (Robert et moi sommes très proches) qu'il voulait à la base ajouter un autre album mais a cliqué sans le faire exprès sur une playlist appelée "3 hours jazz chillax music" et l'a insérée dans les 1001. Robert est quelqu'un d'extrêmement tête en l'air.
Je croyais pourtant avoir été clair dans ma critique de la semaine dernière au sujet des Byrds et de leur incapable leader Gene Clark... Je vais donc devoir me répéter. Gene Clark et sa bande de joyeux singes n'apportent aucune plus-value à la musique. Ils reprennent un coup l'air de La Marseillaise (cf Eight Miles High), plagient ensuite le bon vieux Jimi (cf Hey Joe) même si ce dernier n'a sorti son tube que l'année suivante, et se permettent de clore leur album avec deux morceaux indisponibles dans votre zone géographique. En résumé, un immense foutage de gueule.
Je vous invite à vous référer à la critique de mon compagnon d'écoute elmerguez concernant cet album. Celui-ci a en effet su trouver les mots justes, bien que très mal orthographiés.
Le fait que cet album soit posthume m'a mis extrêmement mal à l'aise pendant toute la durée de l'écoute. J'avais en effet la certitude que Léonard Cohen allait décéder d'un moment à l'autre. Ceci explique la frayeur que j'ai pu ressentir au long du dernier morceau lors duquel la voix de Leonard Cohen est absente des deux premières minutes. "Il est mort... Il est très probablement mort..." pensai-je tout bas. Soudain, alors que j'avais perdu tout espoir, la voix du chanteur s'éleva pour grommeler ses idioties habituelles: "I wish there was nianiania". Quel soulagement...
Vous n'êtes pas sans savoir que j'ai vu le groupe Deep Purple de mes yeux à la Patinoire Mériadeck de Bordeaux il y a de cela quelques années. Le bassiste était ce jour-là particulièrement en forme puisque, après avoir chaussé ses patins et invité sa partenaire à le rejoindre, il enchaîna deux sauts de biche, un triple axel avant d'effectuer une magnifique pirouette sautée, récoltant ainsi la note de 186,66.
Pour être très honnête, j'ai écouté cet album d'une oreille des plus inattentives. Je vais donc aborder un autre sujet. Vous avez probablement remarqué, si vous suivez mon compère eljimenez sur les réseaux sociaux, que celui-ci partage régulièrement des extraits insignifiants de sa vie personnelle sur fond musical. De ce fait, vous savez bien, si vous me connaissez un minimum, que les morceaux choisis par celui-ci pour illustrer ses pitoyables aventures sont tirés de mon répertoire personnel. Je vous tiendrai informé de la discussion que j'aurai avec lui la prochaine fois que nos routes se croiseront.
Que ce fut long et dur de venir à bout de cet album... J'ai d'ailleurs dû m'y reprendre à six fois pour y arriver. Ce n'est pas une surprise, Robert Dimery choisit en général le deuxième pire album de chaque artiste pour l'intégrer à sa liste des 1001 ; ce fut une fois encore le cas avec Homework. J'ai à ce propos envoyé un message à Robert qui ne devrait plus tarder à me répondre.
Led Zeppelin de Led Zeppelin est ce que j'appelle un très bon album. Je n'ai malheureusement pas pu l'écouter dans les meilleurs conditions et vais vous détailler le pourquoi du comment. Ce matin, le restaurant de suhis à volonté que je convoitais depuis plusieurs jours, censé ouvrir à dix heures du matin d'après internet, n'était pas du tout ouvert à l'heure indiquée et n'allait ouvrir qu'à midi. Il me restait donc deux heures à attendre dans la rue le ventre vide. J'en profitai pour lancer Led Zeppelin. Malgré l'évidence de la qualité de ce projet, chaque piste qui le compose soulignait à quel point j'avais besoin de manger des sushis. Good Times Bad Times ? Manque de makis concombre-avocat-fromage. You Shook Me ? Pas assez de sushis saumon-riz. How Many More Times ? Absence totale de beignets à la banane. Une écoute frustrante qui fera certainement date.
Vous qui suivez mon parcours grâce aux différents partages de localisation qui émanent de mon téléphone portable savez que j'ai écouté cet album alors que je me trouvais dans le Generator Hostel de Hambourg, réputé être un lieu saint de la communauté des 1001. J'étais donc parfaitement disposé à apprécier cet album, et ce fut le cas. J'ai néanmoins été très peiné de voir que Robert Dimery avait décoré son auberge de jeunesse d'une fresque constituée de différents albums recalés de la liste. Une vidéo prise en caméra cachée par mes soins pourra servir de preuve en cas de besoin.
Un album très correct de la part d'un des ambassadeurs de l'androgyne-pop. On n'est néanmoins loin des références du genre que sont David Bowie et les New York Dolls. Prince ne fait pourtant pas le travail à moitié avec 1999 en présentant très clairement certains caractères sexuels du sexe opposé. Assez pour mettre en péril la carrière des cadors précités ? Sûrement pas.
Et vas-y que je raconte ma vie nianiania que j'ai parlé à des meurtriers et des pédophiles nianiania, mais qu'est-ce qu'il faut pas lire...
J'ai bien entendu toujours horreur de Portishead. Rien ne colle entre la voix, les instruments et la mélodie mais venons-en à l'essentiel. Vous savez probablement que la dernière mise à jour du générateur et sa fonctionnalité permettant de voir quels reviews étaient les plus "likés" du site a propulsé mon nom de robbelvédère en haut de l'affiche. Ma notoriété dépasse aujourd'hui très largement le cadre de ce site et il ne se passe pas un jour sans que l'on m'arrête dans la rue. "Robbelvédère ! Robbelvédère ! J'ai adoré ton review d'Abbey Road !" entendais-je encore ce matin. Et c'est là que ça coince. J'ai rappelé à la charmante demoiselle qui prononça ces mots que ma carrière ne se résumait pas à ce simple review et que j'en avais rédigé pas loin d'une cent-cinquantaine tous plus inspirés que les autres. Je me sens aujourd'hui comme doit probablement se sentir Jean-Marie Bigard quand on l'arrête dans la rue pour lui dire à quel point on aime son sketch de la chauve-souris. "Et mon sketch de la merde qui tombe dans la cuvette, c'est de la chiasse pour vous ?" doit sûrement penser l'intéressé. En bref, je vous conseille vivement de ne pas vous arrêter à mon "hit review" et de lire les autres avec la même attention.
Vous qui lisez régulièrement la presse savez que j'ai écouté cet album en début de semaine dans le bus 5011. Je vais vous résumer cet épisode le plus succinctement possible. Il est 14h02 lorsque je monte dans le véhicule précité. J'attrape ma carte d'abonnement et la tends au chauffeur qui m'interpelle alors : "robcrémaillère ?!" Il m'avait reconnu. J'enfile alors ma capuche et mes écouteurs, lance l'album des Pink Floyd, et me dirige vers le fond lorsque j'entends le volume de la radio augmenter brutalement. Je me retourne alors et aperçois dans le rétroviseur central le regard du chauffeur me fixant de ses yeux guimauve. Celui-ci se saisit de ce même rétroviseur et l'abaisse lentement jusqu'à ce qu'y soit reflétée sa bouche. "Qu'est-ce que c'est que cette histoire ?" me dis-je. Je parviens soudain à lire sur ses lèvres le mot suivant : "Portishead". Il s'agissait d'un guet-apens. J'appuie alors de toutes mes forces sur le bouton d'ouverture de la porte arrière, enchaîne une série de coups de pied contre celle-ci mais rien n'y fait, elle est bloquée. Le volume sonore continue d'augmenter alors que les autres passagers restent totalement passifs. Sous mon oreille droite commence à couler un fin filet de sang. Après quelques minutes interminables, le bus s'arrête. La porte arrière ne s'ouvre toujours pas à l'inverse de celle avant, par laquelle un individu masqué monte soudain, un ordinateur à la main. Il se poste au milieu de l'allée et ne manque pas d'ouvrir ce dernier devant mon regard incrédule. Sur son écran, un visage apparaît : celui de mon rival et compagnon d'écoute elgutierrez. Il était donc derrière cette mascarade...
Vous avez sûrement comme moi constaté à quel point la voix de Neil Young semble alcoolisée tout au long de cet enregistrement. Le morceau d'introduction "Il est des nôtres..." donne d'ailleurs le ton d'un album qui connaîtra son pic émotionnel avec le titre "Viens boire un p'tit coup à la maison".
J'ai écouté le doyen des albums du générateur en même temps que je dégustais un très bon petit-déjeuner constitué de tartines grillées au spéculos, d'un jus d'orange et d'un café. Ce mélange alimentairo-sonore m'a permis de faire le plein d'énergie pour attaquer la journée de la meilleure des manières.
Le chat persan ci-présenté a une jolie tête ronde et des joues bien développées. On notera cependant que le front paraît trop large et les yeux trop proches du nez, ce qui est un défaut que l'on trouve souvent chez les persans trop racés. Note générale : 3/5
Un album de très très grande qualité que j'ai beaucoup apprécié. On notera cependant la présence excessive de morceaux intitulés "Dizzee Rascal Type Beat".
J'avais à cœur de revenir sur la polémique créée par mon review de l'album Hole de Celebrity Skin. Vous savez peut-être qu'à côté de mon activité de critique sur ce générateur des 1001 albums à écouter avant de mourir, j'exerce également sur le générateur des 1001 chats persans à caresser avant de mourir. De ce fait, un moment d'égarement m'a fait intervertir mes deux commentaires et un pauvre petit chaton s'est vu insulté de rockeur pour ados débiles. Je lui présente mes excuses et retire à l'inverse les compliments adressés à Celebrity Skin en ce qui concerne la jolie tête ronde et les joues bien développées.
J'ai d'abord cru qu'il s'agissait d'un album de Peter Bosz, l'entraîneur de l'Olympique Lyonnais, et je dois dire que j'aurais préféré cette option. Vous connaissez l'animosité qui règne entre mon compagnon d'écoute et rival elpouletbraise et moi-même qui m'a d'ailleurs poussé à lui casser la mâchoire à plusieurs reprises. Nous nous entendons toutefois sur le point suivant : le reggae est un style musical qui n'a pas lieu d'être.
Je tenais dans un premier temps à m'excuser de la lenteur avec laquelle j'écris mes reviews ces temps-ci. Mon temps libre s'est vu ces derniers jours limité par des problèmes pour certains judiciaires. Vous avez peut-être aperçu dans la presse une photo de moi frappant une de mes élèves en plein cours de français. Si je ne déments pas les faits, j'appelle chacun à faire preuve d'esprit critique et à prendre connaissance du contexte dans lequel cet incident s'est deroulé. L'élève en question portait un pull à l'effigie de Morrissey et ne cessait de répéter que chacun préférait sa propre race. Des paroles que je condamne évidemment, et que j'ai voulu sanctionner par une ribambelle de coups de poings bien que le droit allemand ne le permette pas. The Replacements a été la belle surprise de cette semaine, j'ai donc décidé de leur donner la note de 4. Néanmoins, et là je m'adresse aux personnes qui ont créé ce site internet, si vous faites l'erreur de classer cet album et donc cette note dans la catégorie punk, ça va très mal se passer.
L'album commence d'une façon des plus inquiétantes avec un morceau d'inspiration reggae. Le bon goût de Paul Simon reprend ensuite la barre et navigue jusqu'à la fin dans des eaux bien plus saines et propres. D'ailleurs, en parlant d'un célèbre professeur de mathématiques, vous avez peut-être lu la critique de mon odieux complice générateurien elmanganèse. Je voulais simplement préciser que ce qu'il raconte est un tissu de mensonges et qu'il n'en est pas à son premier séjour en hôpital psychiatrique si vous voyez ce que j'insinue.
C'est un album sympathique mais est-il vraiment nécessaire d'en faire une analyse plus poussée ? Ce n'est pas mon avis. Vous savez maintenant depuis quelques semaines que je loge de temps à autre dans le Generator Hostel, lieu saint de la communauté des 1001 dont nous faisons tous partie. J'ai toutefois décidé de ne plus rédiger de review dans son enceinte mais dans des endroits, à mon sens, plus sécurisés. Je m'explique. À mon arrivée dans l'auberge hier soir, la réceptionniste, après avoir vérifié mon identité et mon qr code, me tendit un document qu'elle me somma de signer à toute vitesse. Je décidai de prendre le temps de lire son contenu. Quelle ne fut pas ma surprise de voir qu'il s'agissait d'une critique élogieuse de l'album It's Blitz des Yeah Yeah Yeahs pré-rédigée par leur soin et signée de mon nom robcrinière. Je me saisis du papier, le déchirai, en fis une boule que je lançai à la figure de la réceptionniste avant de prendre d'assaut les escaliers et de rejoindre mon lit.
Il s'agit probablement de l'album le plus ringard du générateur, emmené par un Martin Lamotte en dessous de tout qui a toutefois su rebondir ces dernières années avec la série Nos Chers Voisins.
Un excellent album. Je vais d'ailleurs très prochainement apprendre la ligne de basse du morceau Good Times et la jouer dans une story Instagram sur mon compte @robnucléaire.
J'ai écouté cet album dans le train qui allait m'amener au Generator Hostel. Autant vous dire que j'en avais la boule au ventre et que je n'ai pas pu pleinement apprécier son contenu.
Encore un album de hip-hop au bout duquel on a le sentiment d'avoir écouté la même chose pendant plus d'une heure (les albums de ce genre musical durent en moyenne une heure quarante-cinq). J'ai envoyé une carte postale à Robert pour avoir davantage d'explications, sa réponse devrait arriver dans une poignée de jours ouvrables, je vous tiendrai informé.
Un excellent album de la part de ce groupe de gonzesses survoltées. Le titre How Much More a d'ailleurs été choisi comme générique de l'émission Petits plats en équilibre présenté par Laurent Mariotte et accompagne aujourd'hui à merveille les passages très télégéniques de cuisson au four.
Je vous propose de diviser cette critique en deux parties : j'évoquerai les événements récents dans la première et formulerai une analyse de l'album dans la seconde. Première partie : Vous avez sans doute lu dans ma critique de Let It Be des Replacements les raisons pour lesquelles j'ai été convoqué devant l'Amtsgericht de ma ville de résidence en fin de semaine dernière. Pour résumer la situation, j'ai ce mercredi, et par inadvertance, tabassé une de mes élèves en raison du fait qu'elle portait un chandail à l'effigie de Morrissey. Une fois l'audience terminée, les magistrats ont délibéré et jugé que les traces de strangulation présentes sous la minerve de la victime ne pouvaient être imputées avec certitude à ma paire de mains et que les attestations fournies par les quatorze témoins présents ainsi que mes aveux n'y changeaient rien. En revanche, il a également été jugé que l'élève, heureusement sortie indemne, devait à présent porter en continue un pull imprimé d'une photo de Ray Charles en position fœtale. Celle-ci a fait appel, je vous tiendrai informés de la suite dans une critique ultérieure. Deuxième partie : Fragile du groupe Yes est un album que j'ai pris beaucoup de plaisir à écouter.
L'Eddy Mitchell américain nous prouve avec cet album qu'il peut assumer la comparaison et proposer un projet au moins tout aussi bon que ceux de son homologue.
Je n'ai absolument aucune inspiration pour ce review, je vais donc vous partager ci-dessous une liste des anciennes fréquentations de mon camarade ellebese avec lesquelles je ne suis pas sorti :
Je n'ai pas tellement envie de rédiger de critique de cet album de punk alors je vous propose de lire celle que j'ai écrite pour l'album Pink Flag (et non le groupe Pink Flag comme j'ai pu le penser) des Wire qui s'applique grosso merdo à celui-ci.
Une série d'interludes punk aussi insupportables que ceux des Minutemerdes. Je savais toutefois à quoi m'attendre puisque les noms de groupes constitués d'une couleur et du mot flag s'inscrivent tous dans ce style musical considéré par les gens intelligents comme un errement dans l'histoire du quatrième art.
Et revoici Gene Clark et sa bande d'attardés. Cela fait déjà trois albums générés pour ce groupe et cinq pour Clark. Le moins que l'on puisse dire, c'est qu'on commence à en avoir ras le cul. J'ai d'ailleurs écouté cet album pendant un moment d'énervement. Je vous explique le contexte. Alors que je devais me rendre à Paris pour y passer mes annuelles vacances de la Toussaint, mon train partant de Kassel-Wilhelmshöhe en direction de Mannheim eut un retard d'une trentaine de minutes. De ce fait, je dus descendre une station plus loin et prendre un autre train depuis la gare de Karlsruhe. Comprenant rapidement que j'allais devoir patienter une bonne heure, je décidai de lancer l'album des Byrds. Au retard intellectuel de ces pitres vint s'ajouter des retards ferroviaires successifs : d'abord cinq minutes, puis dix minutes, puis quinze, vingt, vingt-cinq... J'étais à bout de nerfs. À mi-album, alors que l'impatience et le dégoût provoqués par les sons qui parvenaient à mes oreilles commençaient à se lire sur mon visage, certaines personnes vinrent me manifester leur soutien : "Les Byrds, hein ? Courage..." pouvais-je lire sur leurs lèvres formant ensuite un sourire compatissant. La seule bonne nouvelle résidait dans ma non-obligation d'écouter les derniers morceaux puisque il s'agissait de répétitions de chansons déjà jouées.
Un mauvais album de plus dans cette période sombre que certains qualifieraient volontiers de "Crise du Générateur". On réalise très vite que Merle Haggard est un proche de Buck Owens et qu'il va nous servir la même soupe à base de générique de Bob l'éponge. Merde Haggarl.
Robert Dimery nous assomme ces-temps ci d'albums punk et post-punk dont on se serait bien passés. Si la série noire actuelle ne s'arrête pas dans les prochains jours, j'annonce que j'entamerai la toute première "Grève du Générateur" dont j'expliquerai les modalités dans une éventuelle critique ultérieure. Robert est prévenu.
La chanson d'introduction Planet Claire ne rappelle pas le thème de James Bond mais bien celui de Mission Impossible, seulement le jour où mon compagnon d'écoute elmalaise s'apercevra des bêtises qu'il raconte, les poules auront des molaires et de très longues canines. La ligne mélodique de ce premier morceau m'a d'ailleurs été enseignée lors de l'un de mes premiers cours de basse, bien que je n'eusse jamais entendu la chanson en question. Vous avez d'ailleurs été nombreux ces derniers temps à me demander comment ma carrière de bassiste s'était terminée, je vais profiter de cette critique pour enfin vous répondre. Au crépuscule de mes quatorze ans, la perspective de me retirer de l'industrie musicale trottait dans ma tête depuis un bon moment. Certaines personnes de mon entourage était informées du fait qu'une annonce de fin de carrière pouvait intervenir à tout instant. Je reçus pourtant un matin l'appel de la directrice de mon école de musique qui me tint à peu près ce discours : "Robaéroportuaire, je viens d'avoir Robert Dimery au téléphone, il lui manque une huit-centaine d'albums pour compléter son livre des 1001, et il a pensé à toi pour y figurer après t'avoir entendu chanter sur le morceau All Of My Friends Were Here des Kinks. J'ai donc décidé d'organiser un concert dont tu seras l'attraction principale. Il aura lieu dans deux semaines, ne te rate pas." Un concert fut bel et bien organisé au théâtre La Pergola de Bordeaux dans les semaines qui suivirent. Seulement voilà, pendant la semaine qui précédait ce fameux concert, je fus atteint d'une gastro-entérite comprenant les symptômes suivants : maux de tête, vomissements, diarrhées. La tenue de l'événement était donc incertaine jusqu'à la veille de celui-ci. Sentant que j'allais mieux le jour-j, je décidai de ne pas l'annuler. Lorsque j'arrivai dans la salle, les organisateurs demandèrent à mes musiciens et moi-même de les suivre pour nous montrer l'emplacement de notre loge. Nous y accédâmes par la scène. Au moment de la découvrir, je compris soudain qu'un énorme problème allait se poser : aucune issue n'était prévue pour se rendre au toilettes. Seule la porte donnant sur la scène permettait d'y accéder. Il allait donc falloir que je tienne toute la durée de la première partie assurée par Finley Quaye sans aller aux W.C. alors que la fréquence à laquelle je m'y rendais par heure depuis le début de ma maladie était en moyenne de sept fois. La salle se remplit et Finley, après avoir branché ses casseroles et différents grille-pain, commença sa partie sous les huées d'une audience qui n'attendait que moi. Mon ventre grondait, gargouillait, glougloutait à n'en plus finir. "Robert est dans la salle..." me répétais-je pour me rassurer. Au bout d'une heure, Finley s'effondra en larmes avant de m'introduire au micro et de quitter la salle. J'ouvris la porte de la loge et marchai vers le devant de la scène. J'aperçus très vite Robert Dimery au premier rang, accompagné de son fils Mike Ladd alors âgé d'une douzaine d'années. Ma basse bientôt sanglée et positionnée de manière idéale, je débutai ma performance. Les premiers morceaux se déroulèrent à merveille. Je jouais mes lignes avec précision et concentration. Arriva bientôt le dernier morceau du concert, Smells Like Teen Spirit de Nirvana, au cours duquel il était prévu que je m'avance au bord de la scène et termine un héroïque solo sur les genoux. Je m'avançai donc jusqu'au bord, et au moment de m'agenouiller, gerbai soudain plusieurs litres de liquide accumulé en loge sur les jambes de Mike Ladd. Bien que Robert ne m'en parlât jamais, il me semble que cet épisode ait eu raison de mon absence de la liste et donc du Générateur.
Cet album étrange a au moins eu le mérite de me faire dormir comme un bébé. Je fus toutefois pris à mon réveil d'importantes hallucinations. Vous avez probablement remarqué que le générateur d'albums traverse en ce moment une crise majeure dans son histoire, c'est la raison pour laquelle il a été fixé que la première Grande Grève du Générateur prendra effet dans neuf jours si la situation ne s'améliore pas d'ici là. Je vous rappellerai ses modalités sous peu.
Aucun souvenir de cet album à part qu'à un moment quelqu'un joue de la basse.
Robert réussit l'exploit de nous servir un album de Bob Marley ne contenant aucun tube. C'est déjà difficile d'écouter du reggae, alors quand il s'agit d'un projet dont on a rien de particulier à attendre, c'est carrément l'enfer.
Ce mélange de funk et de rock m'a parfaitement diverti à un moment où je faisais la vaisselle.
Un excellent album de la part de notre ami Randy. Mention spéciale à l'interlude précédant You Can Leave Your Hat On au cours duquel on entend Jean-Luc Reichmann s'écrier "C'est la question COOO... C'est la question IIIIIIIINE..... C'est la fameuse question coquine...." sous les applaudissements rythmés du public.
Un album sans surprise aucune de la part de notre antiquité musicale préférée.
Un énième album de Morrissey et de ses godiches de potes. Si le côté musical passe encore, le propos général est sensiblement le même qu'à chaque fois. Et vas-y qu'au fond tout le monde préfère sa propre race, et vas-y que j'arbore un badge pour un parti d'extrême droite, et vas-y que j'agite un drapeau britannique devant un décor évoquant le nazisme... Rien de nouveau sous le soleil.
L'arrivée de cet album dans le générateur confirme ce que je pensais depuis déjà un bon moment : Robert Dimery a un sens de l'humour très aiguisé. Je n'ai pas trop envie de m'attarder sur l'aspect musical de cet album qui est, nous l'avons tous compris, une sorte de poisson d'avril avant l'heure. On est en effet plongé dès l'introduction dans un ennui des plus profonds. Différents sons se mélangent, mais aucun ne parvient à attirer notre attention, et ce tout au long de l'écoute. De temps à autre, une voix dont on se serait bien passé vient se poser sur les instruments pour nous débiter différents couplets sans le moindre intérêt. Je soupçonne d'ailleurs le chanteur à qui celle-ci appartient d'être né de la même portée que le camarade Morrissey tant les deux voix sont horriblement similaires. À côté de cela, j'ai été très irrité de voir que mon analyse du genre de l'album comme étant majoritairement de l'"Ambient rock" n'a pas été partagée par Wikipedia qui a préféré le cataloguer de "Synth-pop". J'entrerai donc très bientôt en procès contre l'encyclopédie en ligne et vous tiendrai informés de chaque étape de la procédure. À bientôt chers lecteurs
Cet album a parfaitement accompagné mon trajet jusqu'à la gare où mon train m'attendait dimanche dernier. Comme vous le savez probablement, Robert Dimery, fondateur de la communauté des 1001 albums, m'a chargé d'enquêter sur mon compagnon d'écoute eldiocèse qu'il souçonnait d'avoir lancé plusieurs générateurs clandestins. Ses soupçons se sont avérés puisque j'ai bel et bien réussi à infiltrer l'un d'eux appelé "Pop/Rnb/FR". Robert en a été informé et une milice est actuellement en route vers le domicile d'eldiocèse.
Je n'ai pas pour habitude de faire une analyse d'album piste par piste mais celui-ci s'y prête bien : Nebraska - Bruce Springsteen lâche un pet gras et s'en réjouit. Atlantic City - Il coince sa coupe mulet dans sa guitare et hurle à la mort pendant quelques minutes. Mansion On The Hill - Bruce décapsule une bière. Johnny 99 - Il rend hommage à son ami Johnny Halliday avec qui il a remporté en 1999 le concours du plus grand nombre de hamburgers ingurgités en une heure. Highway Patrolman - Il lâche encore une fois une énorme caisse. State Trooper - Il se poste à la fenêtre de son appartement et siffle chaque demoiselle qui passe dans sa rue. Used Cars - Il discute avec ses amis de la couleur des flammes qu'il compte dessiner sur les portières de sa voiture. Open All Night - Il développe en chanson une comparaison entre le sexe féminin et une soirée porte ouverte. My Father's House - Il raconte la façon dont son père frappait sa mère et tente de justifier son comportement. Reason to Believe - Bruce Springsteen lâche encore un pet détonnant avant d'éclater de rire.
Ce que j'ai reproché au précédent album de Jimi à propos de l'emplacement de ses "tubes" dans la chronologie du projet n'est pas tombé dans l'oreille d'un sourd, et c'est une bonne chose. Vous savez probablement que j'ai fêté la semaine dernière le premier anniversaire du jour où je me suis fait licencier de mon premier cabinet d'avocats. Je vous dois la vérité sur cet épisode. Alors que je m'y rendis un matin avec le même entrain qu'habituellement, ma tutrice me convoqua dans son bureau. "Ferme la porte" me dit-elle une fois que j'eus franchi celle-ci. Je m'assis en face d'elle et c'est alors qu'elle débuta son laïus truffé de reproches : - Robserpillère, cela fait maintenant trois semaines que tu travailles chez nous et plusieurs de tes agissements nous poussent à nous interroger sur ta présence ici. - Quoi ?! - Nous t'avons plusieurs fois demandé de décrocher les posters de Hugh Masekela que tu as fixés sur les murs de la salle de réunion, tu n'en as pas tenu compte. - Mais hein ?! - Vendredi dernier, alors que j'étais en rendez-vous avec un client très important, tu as allumé ton enceinte et diffusé l'album O.G. Original Gangster d'Ice T dans le couloir. C'était extrêmement inapproprié. - Ta gueule ?! - De plus, tu as pris pour habitude de débrancher l'aspirateur de notre femme de ménage car cela t'empêche apapremment d'écouter ton album du jour. Ce comportement est inacceptable. - Pardon ?! - Tu es viré, Robgazinière... Voilà, vous savez tout désormais.
J'ai au départ naïvement pensé que cet album visait les cinq étoiles, mais c'était sans compter les cris de détresse de Sampha dans le morceau Mine. J'ai appelé Robert pour l'informer de sa possible séquestration dans les studios de Beyonce, une voiture de police devrait prochainement arriver sur les lieux.
J'ai profité d'une heure durant laquelle je devais surveiller une élève pendant qu'elle rédigeait son devoir de français pour écouter cet album. Bien que je l'aie globalement apprécié, deux moments ont bien failli gâcher son écoute. En plein milieu de l'album, l'élève en question eut l'impolitesse de me demander comment "langweilig" se disait dans ma langue. J'enlevai mes écouteurs et allai écrire le mot "ennuyeux" au tableau avant d'éclater la craie au sol d'un geste d'humeur et de me rasseoir. Enfin, alors que mon écoute en était à la dernière piste, si proche du but, l'élève crut bon de m'annoncer qu'elle avait terminé son devoir. J'entrai alors dans une colère noire. Les tables volèrent, les chaises voltigèrent, les fenêtres se fracassèrent... Une note de quatre sur cinq bien méritée en attendant de finir incessamment les trente secondes restantes.
Des bruits bizarres puis d'autres bruits et encore des bruits bizarres, c'est vraiment pas le style de musique que je préfère. Reprends toi rapidement Robert.
Johnny Cash m'a bien baisé, n'ayons pas peur des mots. La liste des morceaux étant écrite en novlangue sur l'encyclopédie en ligne Wikipédia, je dus écouter l'intégralité de l'édition "legacy" de cet horrible album live pour être sûr de ne pas en perdre une miette. Mes oreilles subirent ainsi presque deux heures de beauferie sud-états-unienne. Un deux bien mérité.
Un album bien ficelé qui confirme son statut de poids lourd au sein du générateur. Je considère toutefois qu'il n'est que partiellement réussi en lui attribuant la note de quatre étoiles sur cinq. J'ai été ces derniers temps horrifié de constater qu'une partie d'entre vous me confondait avec Robert Dimery, créateur de la liste des 1001 albums. Laissez-moi vous corriger pour la dernière fois. Vous devez distinguer la personne que je suis, à savoir Robvachelaitière, et Robert Dimery, que mon compagnon d'écoute elobèse et moi appelons le plus souvent par son prénom, Robert. Bien que nous soyons deux personnes différentes, Robert Dimery et moi nous connaissons très bien et entretenons des rapports très cordiaux.
Notorious B.I.G est sans conteste le rappeur préféré des adolescents bourgeois en mal de street crédibilité. L'album est néanmoins excellent.
Quelle magnifique ode à l'optimisme que cet album... Bruce Springsteen se présente sous un jour nouveau et nous dit vouloir changer. C'est sa résolution pour le troisième millénaire. Et en effet, quel bonheur d'assister à cette métamorphose pleine d'espoir et de bonne volonté. Finis les coupes mulet, les ailerons à l'arrière des voitures, les blagues misogynes ou encore les comparaisons douteuses entre ses selles et des taupes : Bruce est déterminé à faire table rase du passé et veut que la terre entière soit mise au courant. C'est du moins sur cette note positive que s'achève la face A du CD. La face B, quant à elle, nous fait rapidement craindre une rechute. On entend d'abord un "vroum vroum" discret en arrière-plan qu'on soupçonne provenir d'un de ces fameux "concours d'accélération" auxquels Springsteen s'adonnait autrefois. On distingue ensuite un "clap clap" que l'on rapproche immédiatement d'un mariage indésirable entre claquettes et chaussettes. On est enfin stupéfait de tomber sur un morceau caché en toute fin d'album, soixante-neuf secondes de silence après la fin de la dernière chanson. "Vous y avez cru mes couillasses ?" s'écrie le chanteur dans un français parfait avant d'embrayer sur un condensé de flatulences et de propos inappropriés. Retour à la case départ pour Bruce.
En écoutant cet album, j'ai revu tout mon onglet History défiler devant mes yeux : les Costello, les Morrissey, les albums punk, les Portishead, les Byrds, les Frank Zappa, les Goldfrapp... et je compris dès lors que tout ce chemin parcouru et ces heures sombres faisaient aujourd'hui sens. Vous savez d'ailleurs probablement que la chanson Liberian Girl tournait en boucle dans mon mp3 la semaine au terme de laquelle je me suis fait remercier de mon premier cabinet d'avocats (j'ai évoqué ce moment dans ma critique de l'album Are You Experienced de Jimi Hendrix, souvenez-vous). Je voulais revenir sur cet épisode que j'ai, certains s'en sont rendus compte, quelque peu enjolivé. En réalité, la rupture de mon contrat se fit en deux temps : un premier entretien avec l'une de mes deux tutrices (c'est précisément cet épisode que je narre à merveille dans ma critique de Hendrix) lors duquel celle-ci m'annonça que j'étais sur la sellette (et non directement viré comme j'ai pu l'écrire) et un deuxième entretien avec un autre avocat du cabinet une semaine plus tard (nous l'appellerons ici Saddam Hussein) lors duquel on m'annonça mon éviction. Ce jeudi-là, vers 15h30, j'entendis une voix provenant de l'étage inférieur m'annoncer que Saddam Hussein voulait me voir. Je descendis les escaliers muni de mon enceinte JBL et toquai à la porte de Saddam Hussein. « Saddam Hussein ! C'est moi, Robassembléeplénière. — Entre, Robassembléeplénière. » Je m'assis en face de lui et vis au même instant sur son bureau deux papiers similaires contenant un texte bref suivi d'un espace probablement prévu à l'effet d'une signature. « Qu'est-ce que cela peut bien vouloir dire, Saddam ? — Hmm... comment t'expliquer... je peux me connecter ? — Euh, oui tu peux. — C'est laquelle ? — JBL Flip 5. — D'accord. — C'est bon t'es connecté. — Monte le son et écoute bien. — Berk. — Tu reconnais ? — Bien sûr, c'est Rid of Me de PJ Harvey, ma chanson détestée par excellence. — Et tu comprends pourquoi je l'ai mise ? — Non, Saddam Hussein. — Réfléchis bien. — Quoi ?! Vous vous débarrassez de moi ?! » Je réunis mes affaires et partis du cabinet quelques minutes plus tard, sans me retourner.
Un album de qualité, bien que je n'eusse pas vraiment la chance de l'apprécier. J'étais trop occupé à brouillonner puis rédiger ma critique de Bad au même moment. Il y a quelques jours, j'ai vécu un moment très étrange et inquiétant pour la suite de notre aventure au sein de ce Générateur. Je vous explique. J'étais en train de boire du Glühwein dans un café-restaurant avec une amie lorsque celle-ci m'annonça qu'une personne allait nous rejoindre. Jusque-là rien d'anormal. Soudain, je ne sais pour quelle raison, je décidai d'introduire le Générateur à la discussion : 《 Et donc avec eltrapeze, on est sur le Générateur de Robert, mais les gens me confondent souvent avec lui parce que je m'appelle Robcremière, et donc comme je te disais... — Oh, voilà mon ami ! 》 La personne en question venait d'arriver, au moment exact où j'allais m'exprimer sur les défauts du Générateur. J'ai donc très rapidement soupçonné celle-ci d'avoir été envoyé par Robert en personne, lui qui a pour habitude d'envoyer toute sorte de gens dans toute sorte d'endroits. J'ai bien conscience d'être une des personnalités les plus influentes de ce Générateur, mais s'il y a bien quelque chose dont j'ai horreur, ce sont les espions. La suite de l'après-midi s'est déroulée simplement. Je n'ai pas adressé la parole à la personne m'ayant interrompu dans mon discours mais ai épié chacun de ses mots et mouvements. Vous serez les premiers informés si j'étais amené à faire de nouvelles découvertes.
L'album est sympa, ni plus ni moins. Je voulais revenir sur l'épisode que j'ai abordé dans ma dernière critique (celle de Rubber Soul des Beatles). Je vous avais informé qu'alors que je buvais du Glühwein avec une amie et que je m'apprêtais à critiquer le Générateur, une personne avait interrompu ma discussion. Ma critique se concluait par des soupçons d'espionnage, rien de plus. Cela fait maintenant plusieurs jours que je suis malade, ma gorge me fait souffrir le martyre et je suis cloué au lit. Je peux aujourd'hui vous affirmer avec certitude que j'ai été empoisonné, et je crois me souvenir du moment où j'ai baissé ma garde. Reprenons depuis l'arrivée de l'étranger. Cette personne s'est assise à ma diagonale. L'échange s'est tendu aussitôt : « Peut-on savoir de quoi vous étiez en train de parler, si ce n'est pas indiscret ? » s'exclama-t-il. Je ne répondis pas. « Excusez mon impolitesse, je ne me suis pas présenté. Mon nom complet est Norbert Episode. Vous êtes Robfrontalière, je présume ? » Aucun de ses propos ne m'inspirait confiance. Je décidai une nouvelle fois de ne pas répondre. « Hmm... je vois, dit-il. Je comprends que vous vouliez garder le secret à propos de votre identité. En ce qui me concerne, je reste très souvent évasif au sujet de ma profession. Il est vrai qu'elle n'est pas ordinaire. Je ne vais pas en dévoiler d'avantage, mais sachez qu'elle consiste en une réception d'appels et en une série d'interventions sur le terrain. » J'avais un très mauvais pressentiment. « C'est du Glühwein, que vous buvez ? » reprit-il. Je hochai la tête. « Vous savez, j'ai dans ma poche un sachet de poudre dont le goût se marie à merveille avec le Glühwein, videz-le dans votre verre. » m'ordonna-t-il. Je m'exécutai. « Bien, je dois à présent partir. » dit-il en partant. C'est seulement le surlendemain que je compris ce qui s'était passé. Ma gorge douloureuse et mon front brûlant, je retournais son identité dans tous les sens : « Norbert Episode, Norbert Episode, Norbert Episode... Eurêka ! Norbert Episode est en fait une anagramme d'"Espion de Robert"... » J'avais été manipulé.
J'avais attribué la note de quatre à ces hurluberlus la dernière fois, j'étais donc particulièrement curieux de voir ce qu'ils nous avaient préparé cette fois-ci. L'album commence de manière assez banale. Les pistes s'enchaînent à une vitesse très curieuse. C'est une fois arrivé à la dernière piste que l'on comprend dans quel piège on vient de tomber. 18:57 minutes. C'est la durée de celle-ci. Une éternité pendant laquelle le chanteur et les musiciens font absolument n'importe quoi.
Un album sympathique mais très froid, un peu comme l'air qui soufflait dans mes cheveux tout au long de la promenade durant laquelle j'ai écouté celui-ci. J'ai d'ailleurs croisé plusieurs animaux parmi lesquels des chiens et des chevaux. Vous avez probablement eu connaissance du scandale auquel j'ai pris part et qui a été dénoncé par mon compagnon d'écoute et rival elpouletbasquaise. Voici ma version des faits. Vous savez comme moi que la dernière édition du grimoire de Robert contient désormais l'album Kiwanuka de Michael Kimanuka, projet que j'avais d'ailleurs déjà écouté avant qu'il ne soit introduit. Vous savez tout aussi bien que, pour pouvoir prétendre aux 1001 vierges promises par Robert au terme de la liste, il est interdit à quiconque d'écouter la moindre chanson issue de celle-ci. Et justement. Il y a quelques jours, la mère de ma famille d'accueil me demanda si je connaissais un certain Michael Kiwanuka. Je lui répondis que je le connaissais évidemment, tout au contraire d'elpouletbasquaise qui, soit dit en passant, est un odieux personnage. Prenant ma réponse affirmative pour une invitation à faire entendre l'un de ses morceaux, celle-ci lança l'un d'eux, à savoir Love & Hate. Je vérifiai comme à l'habitude que la chanson n'apparaissait pas dans son album générable, et une fois ceci fait, appréciai alors la musique l'esprit léger. Un rapide coup d'œil en direction de l'écran de téléphone duquel sortait le son me fit entrevoir la pochette de l'album interdit. Cette apparition totalement injustifiée me fit croire à une transgression des règles du générateur, j'appelai donc Robert pour implorer son pardon, sans savoir que j'étais dans mon droit. Robert me l'accorda mais promut elpouletbasquaise au rang de bras droit. Revenons maintenant à ma promenade. À mon retour, au moment d'insérer la clé dans la serrure, je m'aperçus qu'elle avait été forcée. J'entrai donc à mon domicile et rejoignis le salon. Quelle ne fut ma surprise de découvrir la mère de ma famille d'accueil ligotée sur le sol. Au niveau de sa tempe était dirigé un pistolet silencieux appartenant à l'inquiétant Norbert Episode (l'espion apparu dans ma critique de Destroyer de Kiss). Celui-ci rangea son arme, s'avança vers moi puis chuchota à mon oreille les mots suivants: « Revirements dentaires ». J'allai aussitôt me coucher en ressassant ce qu'il venait de me dire : « Revirements dentaires, revirements dentaires... Mais bien sûr ! "Revirements dentaires" était une anagramme de "Dernier avertissement"... » J'avais été menacé.
Je dois dire que je n'ai pas tellement apprécié cet album. Il fut néanmoins sauvé des flammes de la nullité par son côté teenage rock à la con qui me rappela mes années collège. Vous vous demandez sûrement comment mon compagnon d'écoute eltrapeze et moi nous sommes rencontrés. Préparez-vous une infusion et laissez-moi tout vous raconter depuis le début. Le jour de la rentrée dans mon nouveau collège, il était prévu que les élèves de sixième devaient se réunir dans une salle pour savoir quelle classe leur serait attribuée. Au moment d'entrer dans celle-ci, j'aperçus une foule de nouveaux élèves attendant patiemment que la cérémonie ne commence. Soudain, une femme monta sur l'estrade vers laquelle les regards convergeaient et s'empara d'un micro : « Bonjour à tous, quand j'appellerai votre nom, vous vous avancerez. Je placerai alors le Casque Audio sur votre tête, et vous serez répartis dans vos classes. » Le Casque Audio en question était un casque audio des plus classiques, à cette différence près qu'il était très large et que des traits de visage humains apparaissaient sur sa partie supérieure, et notamment une bouche. La femme appela soudain une première élève. Une fois, le casque posé sur sa tête, des mots émanèrent de celui-ci : « Ahh, je vois… Hmmm… Oui … D'accord… Sixième shoegaze ! » La salle applaudit et l'élève s'en alla rejoindre sa classe. « Eltrapeze ?! » appela ensuite la femme au micro. Un petit bonhomme tout frêle émergea de la foule et s'avança jusqu'à l'estrade. La femme se saisit alors du Casque Audio. « Sixième trip-hop ! » s'écria celui-ci à peine posé sur le haut de sa tête. La salle applaudit à nouveau. « Tous les élèves qui ont mal tourné étaient en Sixième trip-hop... » m'indiqua un camarade situé à ma gauche. Une nouvelle élève fut appelée. Après un moment d'hésitation, le Casque Audio donna son verdict : « Hmm, j'ai trouvé… Sixième post-punk ! » Une vive douleur au crâne me fit laisser échapper un gémissement. « Qu'est-ce que tu as ? » me demanda mon camarade de gauche, l'air inquiet. « Rien… rien, ça va… » lui répondis-je la main posé sur le front. Ce fut au tour de ce dernier. « Ahhh… encore un Morrissey… Pas la moindre hésitation… Sixième jangle-pop ! » trancha le Casque Audio. « Robchimistoubijoutière ?! » appela soudain la femme au micro. Les regards se tournèrent alors vers moi. Une éternité sépara l'instant à partir duquel je me mis en route vers l'estrade et celui au terme duquel le casque fut posé sur ma tête. « Hmm… difficile, très difficile… je vois beaucoup de courage et des qualités intellectuelles aussi, il y a du talent, oh oui, et un grand désir de faire ses preuves, alors où vais-je te mettre… — Pas en post-punk, pas en post-punk... — Pas en post-punk n'est-ce pas ? Tu es sûr ? Tu as d'immenses qualités, je le vois dans ta tête… et le post-punk t'aiderait à avancer sur le chemin de la grandeur, ça ne fait aucun doute ! — S'il vous plaît, s'il vous plaît.. Pas en post-punk... — Bien, si tu es sûr de toi…. Il vaut mieux… Sixième shoegaze ! » La salle applaudit et je rejoignis mes camarade de la sixième shoegaze. Ce fut la première fois que je voyais eltrapeze. Nos premiers échanges ne se dérouleront que plus tard en classe d'option Musique Électronique Allemande & Krautrock, mais j'aborderai ceux-ci dans une critique ultérieure.
Contrairement à mon rival eltrapeze, j'ai globalement apprécié la proposition musicale de cet album. J'écris d'ailleurs en ce moment même cette critique en pleine heure de cours avec ma classe de sixième au sein de mon collège situé en Basse-Saxe (vous savez déjà que j'exerce comme professeur assistant). Voici comment j'ai obtenu le droit de me comporter ainsi en toute liberté. Hier s'est en effet tenue dans mon école une longue réunion entre syndicats de professeurs et syndicats de directeurs dont l'objet était une renégociation des conditions de travail et la conclusion d'un accord de branche applicable à l'ensemble des écoles du Land de Niedersachsen. Bien qu'étant nouveau et n'ayant aucun mandat, j'ai réussi à localiser la salle dans laquelle se tenait cette réunion, ai ouvert discrètement la porte et me suis assis à la table des négociations parmi les syndicalistes sans que personne ne remarque ma présence. La discussion portait au moment de mon arrivée sur le nombre de jours de congés à attribuer en période de maternité. Pendant que les négociations se poursuivaient, je lançai lentement le fil d'une canne à pêche miniature de ma propre conception vers le papier sur lequel les points d'accord étaient rédigés et, une fois celui-ci accroché, le tira furtivement vers moi en enroulant le fil de la bobine. Une fois à portée de main, j'y annotai mes quelques revendications et le refis glisser vers sa place d'origine avant de repartir par la même porte que celle par laquelle j'étais rentré plus tôt. L'accord de branche négocié a été publié ce matin au Journal Officiel allemand, je vous joins l'extrait qui nous intéresse : « ... Das ist also der Grund, warum Frauen, die Babys machen, sich ruhig ein paar Tage ausruhen können. Sagen wir grob zehn Tage. § 14 Et donc comme je disais les profs, parmi lesquels Robfourmilière, pourront écouter les albums fournis par Robert et les critiquer pendant les heures de cours sans qu'on vienne les emmerder. § 15 Eltrapeze est interdit de séjour en Basse-Saxe. § 16 Die Jungs, die Babys herstellen, dürfen auch ein paar Tage frei haben, aber nur vier. So einfach ist das. » J'ai donc maintenant la possibilité d'exercer mon activité principale sur mon lieu de travail en toute légalité.
J'ai reçu ce matin au réveil un appel de Robert qui voulait savoir pourquoi j'avais un retard de huit critiques sur le générateur. J'ai tenté de bafouiller quelques excuses mais Robert n'en a pas du tout été convaincu. Résultat des courses, je dispose d'un délai d'une semaine pour toutes les rédiger. Dans le cas contraire, Norbert Episode sera chargé de me rendre une nouvelle visite faisant suite à celle de la semaine dernière (cf critique d'Animal Collective). Un très bon album de Black Sabbath à part ça.
Les Talking Heads ont tout misé sur le rythme et ont eu raison. Le guitariste joue en effet le même accord de Sol majeur pendant les quarante minutes du projet avec une dextérité sans précédent. Sol, sol, sol, jusqu'à l'épuisement. On le soupçonne parfois de nous préparer un Mi ou même un Ré, mais rien n'y fait, le prochain accord sera bel et bien un Sol. Pour notre plus grand bonheur.
Un album globalement naze de la part de notre sympathique groupe de femens. Mes collègues présents en salle des profs au moment où j'écoutais cet album sur mon enceinte semblaient du même avis tant les regards tournés vers celles-ci paraissaient hostiles. "Mets moins-fort, pour l'amour de dieu !" me criait-on de temps à autre. Des paroles pleines de sagesse auxquelles je répondais parfois un "Vous connaissez Robert…" rempli de malice.
Derrière le nom de Stooges était bien évidemment dissimulé notre Iggy Pop préféré. L'intro de l'album entonne le bruit d'une malle qui roule vers nous avant de s'ouvrir et de dévoiler le corps d'Iggy totalement contorsionné à l'intérieur. Il sort alors sa jambe d'un mètre cinquante, puis fait suivre celle de quarante centimètres et se tient enfin debout dans sa position signature : le bassin penché sur le côté et vers l'avant. La suite du projet n'en est que plus étonnante. Le talon vient toucher l'oreille, le bout du nez s'insère dans le nombril, et tout cela avec une facilité folle. Un album culte de la part d'un Iggy Pop totalement invertébré.
Je ne vais pas vous cacher que j'ai passé une demi-heure épouvantable en compagnie de cet album. Il s'agit tout simplement d'une notice de quarante-minutes destinée à expliquer tout ce qu'il ne faut pas faire quand on sort un disque. À croire que la chanteuse et les musiciens ne se sont jamais rencontrés tant la voix et les instruments n'arrivent pas à s'accorder une seule seconde. Ne me refais plus ce coup là, Robert.
Ça peut arriver à n'importe qui de faire des erreurs, et Green Day en a fait une belle en laissant l'influence punk guider ce projet Dookie. Il ne restera heureusement de ce style incompréhensible que le trait noir d'un eyeliner dans les futurs projets de nos joyeux lurons.
Un album assez oubliable de la part de notre Afida Turner nationale. Les années 80 continuent de confirmer leur statut de pire décennie musicale. Vous avez sans doute dû vous apercevoir que je manquais de régularité dans la publication de mes critiques ces derniers temps. Le générateur constitue en effet pour moi une énorme pression à gérer au quotidien (je suis la deuxième personne la plus suivie du site). Je me suis donc décidé à appeler Robert à un moment où j'étais en larmes sur le sol de mon salon pour lui confier mon mal être. Il a pris le temps de me remonter le moral et m'a accordé deux jours de repos.
Vous allez encore dire que je fais une fixation sur cet épisode, mais j'écoutais également Baby Be Mine en boucle la semaine au terme de laquelle je me suis fait virer de mon cabinet d'avocats. Hasard du calendrier ou non, au moment où Thriller fut généré, j'étais en train de rêver que j'y retournais pour insulter mes anciens collègues. Le rêve étant ce qu'il est, je m'en vais plutôt vous conter la façon dont j'ai obtenu le poste de juriste au terme d'un entretien d'embauche. Tout commence par une annonce : « cabinet d'avocats recherche juriste droit social. pré-requis : parfaite maîtrise d'excel et de Lexicon Of Love d'ABC. » J'envoyai alors un CV et fus contacté quelques jours plus tard pour passer un entretien. Je sonnai ce jour-là à la porte et m'installai sur une chaise de la salle d'attente, mon enceinte JBL à la main droite. Une femme vint me trouver pour m'annoncer que M. Hussein allait bientôt me recevoir. « D'ac » répondis-je dans un son bref largement couvert par le boucan que faisait l'enceinte. Celui-ci arriva en compagnie d'une de mes deux futures tutrices et me fit entrer dans la salle de réunion. Après m'avoir fait asseoir, celui-ci me demanda de me présenter. Je le fis de cette façon : « D'abord j'étais en sixième shoegaze mais ça s'est gâté en cinquième parce que j'étais dans la même classe qu'eltrapeze alors qu'avant on était juste ensemble en Krautrock. On arrêtait pas de se battre alors on a été séparés. » L'étonnement se lisait sur leurs deux visages. Vint ensuite la question relative à ma principale qualité et mon principal défaut. Je tournai ma réponse ainsi : « Ma qualité c'est que je connais très bien Robert et mon défaut c'est qu'on me confond souvent avec lui parce que je m'appelle Robcocotière. » Les deux avocats échangèrent un regard avant de me demander comment je voyais ma vie dans cinq ans. « C'est-à-dire ? Le générateur est censé se terminer en 2024. » répondis-je avec assurance. Mes interlocuteurs refermèrent tour à tour leur bloc-notes et me signalèrent qu'ils en avaient assez entendu. J'étais embauché quelques semaines plus tard avec la réussite que vous connaissez.
Des jeux de voix à gogo pour cet album des Zombies. Comme je le pressentais, ces derniers l'ont enregistré dans le fameux Abbey Road studio, ce qui laisse donc supposer qu'ils écoutaient aux portes des Beatles et recopiaient ainsi bêtement chaque mélodie qui parvenait à leurs oreilles de zombies en décomposition.
Un album d'une sombritude absolument démentielle de la part de nos amis du groupe Sonic Youth. Leurs deux premiers albums ayant été nettement surcotés de ma part, je leur retire cette fois-ci une étoile dans un souci de rééquilibrage.
Le jour où Phrenology a pointé le bout de son nez dans le générateur, je me rendais au collège dans lequel je travaille. Au moment d'entrer dans la salle des profs, mon enceinte JBL à la main droite pétaradant l'album des roots, je fus surpris de voir toute l'équipe enseignante ainsi que le directeur réunis devant la porte. "Was soll das ?!" gueulai-je dans un allemand impeccable. Les professeurs me tendirent alors un cadeau soigneusement emballé. "C'est pour moi ?" m'apaisai-je alors. Le directeur acquiesça et je commençai à déballer le cadeau. Quelle ne fut pas ma surprise de découvrir qu'il s'agissait d'une casque-audio JBL. "Was ?!" hurlai-je en leur jetant l'objet à la figure avant de décamper boire mon café ailleurs.
Grâce à une suite d'accords tous plus cacophoniques les uns que les autres, Tom Waits et sa voix d'ogre drogué parviennent au long de ce nouveau one-man-show à nous arracher un sourire de temps à autre.
Contrairement à la rumeur populaire qui se propage en ce moment sur la toile, je ne vais finalement attribuer qu'un 4 à Boston, et non un 5, comme certains ont pu le penser. L'album est absolument exceptionnel mais vous savez comme moi qu'il en faut un peu plus pour me faire décrocher la note maximale. J'ai à ce sujet eu beaucoup de facilité à me situer en écoutant les paroles des chansons de cet album puisque j'ai passé de nombreuses heures à arpenter les rues de Boston lorsque je jouais à Assassin's Creed III en classe de terminale. Certains indiens parvenaient de temps à autre à se glisser dans les visualisations que j'avais de certains récits mais mon cerveau corrigeait en général rapidement le tir.
Louis Prima nous promet d'être wild sans pour autant nous jouer la chanson dans laquelle il interprète l'orang-outan qui l'a rendu célèbre. Le contrat n'est pas rempli. Je ne ferai d'ailleurs pas le jeu de mots que vous attendez tous entre le nom de l'artiste et l'ordre des mammifères placentaires dont font partie les singes.
Je persiste à dire que je n'ai aucun intérêt particulier pour la musique des Who. Vous savez très probablement que j'anime chaque jeudi après-midi un atelier de langue française au sein de mon collège allemand. C'est l'occasion pour moi d'organiser différents jeux destinés à apprendre le français en s'amusant. Cette semaine, le jeu que j'avais prévu de mettre en place consistait à retrouver l'intru parmi une liste de plusieurs mots. L'élève qui aurait trouvé la réponse en premier se serait vu remettre une tabatière et l'élève qui aurait perdu se serait fait pincer les tétons par un catcheur biélorusse que j'avais fait spécialement venir de Minsk grâce au budget alloué par l'école. La première série était la suivante : Amy Winehouse – Michael Jackson – Cat Stevens – Joy Division – Oasis. À ma grande surprise, aucun des élèves n'osa prononcer le moindre mot. J'entrai alors dans une colère noire et exigeai du catcheur qu'il pinçât la totalité des tétons présents dans la salle avant de m'enfuir par la porte qui menait à la cour de récréation.
Ces personnes parlent un espagnol absolument impeccable. Je pense qu'on peut le dire à ce stade, c'est du très très grand Baltard récompensé par un bleu de ma part.
Vous l'avez probablement noté dans un coin de votre feuille ou de votre document Word mais j'étais bel et bien en train de ratisser les feuilles mortes du jardin de ma famille d'accueil lorsque j'écoutais cet album. Vous savez aussi que Robert a fixé à aujourd'hui la date limite à laquelle je dois écrire la totalité de mes critiques d'albums générés et ainsi rattraper le retard que j'avais accumulé. En cas de non respect de ce délai, il était prévu que Norbert Episode me rende visite (vous avez fait sa connaissance dans mes reviews de Black Sabbath, d'Animal Collective et de Kiss). Et justement, alors que je ratissais les feuilles du jardin, il m'arrivait d'apercevoir les phares d'une voiture roder autour de la maison. Je brandissais de temps en temps mon enceinte JBL pour signaler que j'allais être à jour d'une minute à l'autre. Au bout de quelques heures, les phares en question arrêtèrent de passer et me voilà désormais parfaitement à la page et disposé à recevoir le prochain album.
J'ai passé un excellent moment en compagnie de ces joyeux gothiques. Bien malheureusement, celui-ci a été gâché par mon rival et compagnon d'écoute elclapet. Voici comment il s'y est pris. Hier, comme vous le savez, la plateforme Spotify donnait la possibilité à chacun d'accéder à un récapitulatif de son année musicale. J'appris très vite par l'intermédiaire de connaissances communes qu'elclapet avait écouté exactement 2505 artistes différents au cours de l'année. N'ayant pas bien conscience de ce que cela représentait, je m'en allai voir combien j'en avais moi-même écouté, pensant tout naturellement que j'allais battre ce chiffre à plate couture. Quelle ne fut pas ma surprise de découvrir que le mien n'était que de 1188. Fou de rage, j'appelai immédiatement Robert pour lui demander comment cela était possible. Ce dernier connaissant très bien le PDG de Spotify Daniel Ek, il l'appela en direct tout en me laissant assister à la conversation. Au fil de celle-ci, Ek nous signala qu'en effet, un problème venait d'être détecté sur le compte d'elclapet. Pour que vous compreniez la suite de cette critique de The Cure, je me dois de vous donner quelques éléments de contexte. Elclapet travaille depuis plusieurs années en tant que démarcheur pakistanais au sein d'une entreprise de télécom. Il appelle en effet à longueur de journée des clients potentiels situés aux quatre coins du globe pour leur proposer différents services proposés par son entreprise, en empruntant un très fort accent indien que d'aucuns jugeraient d'extrêmement raciste s'il était entendu hors des murs de son lieu de travail. Parallèlement à cette mission, elclapet travaille de nuit comme conseiller au service après vente de la marque afin de boucler ses fins de mois. Les clients font donc la queue au bout du fil pour le joindre et tenter de régler des problèmes liés à leurs forfaits ou à leurs téléphones (très bas de gamme, il faut le dire). Une fois la situation précaire d'elclapet évoquée et parfaitement claire pour vous, je peux reprendre là où j'en étais. Le PDG de Spotify appela donc le service après vente de l'entreprise d'elclapet en laissant Robert et moi en ligne. « Si vous voulez vous abonner à ce qu'on propose, tapez 1. Si vous voulez être mis en relation avec un de nos conseillers pakistanais parmi lesquels elclapet, tapez 2. » proposa la boîte vocale. Ek choisit la deuxième option. « Si vous voulez être mis en relation avec n'importe lequel de nos conseillers pakistanais, tapez 1. Si c'est elclapet que vous voulez, tapez 2. » proposa ensuite la voix. Le PDG choisit encore une fois la deuxième option et fut connecté à la ligne d'elclapet : « Tuuuuut. Tuuuuuut. Tuuuuut. *décroche le téléphone* Bijour Missié ici ci elclapé commé jpé foussédé ? - Bonjour, je vous appelle au sujet d'un problème au sujet de mon téléphone. - Kississé comm problém ? - Je n'arrive plus à l'ouvrir - Kississé comme tép dé téléphoun ? - Un téléphone à trapèze. - Tré bieng, ji vou mé on attenté. Tuuut. Tuuuut. » Robert et moi demandâmes alors à Daniel Ek ce qu'il avait pensé de cette conversation. Celui-ci nous confia que pendant toute la durée de l'appel, il était écrit sur son ordinateur qu'elclapet streamait au même moment différentes playlists sur son application. « Ci bon missié ji soui drétrour... - ... Excusez-moi elclapet, êtes-vous concentré sur mon problème de téléphone où êtes-vous en train d'écouter de la musique ? - Ji souis cocentré sir vou. - Vous me jurez que vous n'écoutez pas de la musique ? - Ji fou lé jire. » Elclapet venait d'avouer. Il travaillait donc en laissant son application enchaîner les chansons sans les écouter. « Vous êtes en état d'arrestation, elclapet. Tout ce que vous direz avec un accent indien pourra être retenu contre vous. » déclara Daniel Ek à mon compère pris la main dans le sac. Elclapet passa la journée suivante en garde à vue et fut relâché le lendemain, Robert ayant payé la caution de son protégé avec un goût extrêmement amer et une déception incommensurable.
Un album de petits emmerdeurs qui aiment bien mettre des bâtons dans les roues de ceux qui veulent finir le générateur.
Un excellent album de la part de nos joyeux gueulards métalleux.
Un album hip-hop sans intérêt de plus à ajouter à la liste déjà très très longue du genre. Robert va encore une fois essayer de nous justifier la chiantise du projet par le biais de co-auteurs sans goût mais personne n'en sera dupe.
Un album très sympathique et varié de la part de notre Janelle préférée. On notera toutefois une outro complètement chapardée à l'ami Debussy. J'ai prévenu les ayants droit du compositeur qui m'ont confié leur intention de porter plainte dans les prochains jours. Affaire à suivre.
Cet album doit en grande partie sa réussite à l'absence de Bowie près du microphone.
Un très bon album de Kate Bush qui sera utilisé vingt ans plus tard comme bande-son de l'émission Koh Lanta.
Quel dommage... Alors que la fin de l'album semblait mettre en scène le retour du T-rex auprès de sa famille, les scénaristes ont finalement fait le choix d'une outro des plus cruelles. Le T-rex retourne en effet chez lui mais repart aussitôt chasser un troupeau de tricératops. Il attrape le plus jeune d'entre eux avec ses longues dents et le déchiquette sans le moindre état d'âme devant sa mère. Était-ce vraiment nécessaire ?...
Ces mecs-là font absolument n'importe quoi faites très attention à eux, ils ne plaisantent pas.
Il s'agit là de quarante-cinq minutes de niaiseries que j'ai pourtant su apprécier. Si l'aspect musical m'a fait passer un très bon moment, les textes principalement orientés en faveur du port d'armes m'ont quant à eux laissé un peu dubitatif.
C'est bon les Minutemerdes vous pouvez sortir de votre cachette.
Attention, cet album ne peut s'apprécier qu'en suivant scrupuleusement une notice d'utilisation bien précise donnée par Robert dans le grimoire des 1001 albums. Sont notamment nécessaires quatre platines différentes sur lesquelles l'album doit être joué simultanément. N'ayant pas de platines à disposition, j'ai disposé mes quatre enceintes JBL aux quatre coins de la salle des profs de mon collège et ai ainsi pu écouter le projet de façon la plus optimale à la pause de midi.
Un album assez sympatoche dont l'unique thème est le nombril de la chanteuse. Sur la pochette, celui-ci est en effet partiellement caché sous le nom de l'artiste. Madonna nous apprendra à la fin du projet que, d'après RTL, le nombril est un vrai nid à microbes et qu'il ne faut pas le négliger.
Une performance absolument abracadabrantesque de la part de notre Iggy Pop international. L'album s'ouvre sur l'arrivée de l'artiste et de son assistante. Celle-ci dispose dès son entrée une boîte en plexiglas en plein milieu de la scène. Iggy Pop se concentre d'abord puis s'installe dans la boîte après une série de mouvements spectaculaires jusqu'à ne plus être visible. Son assistante part alors en coulisses et revient avec un stock d'épées tranchantes. Elle fait soudain glisser l'une d'entre elle dans la boîte, puis en insère une deuxième, une troisième et ainsi de suite jusqu'à dix. La boîte semble alors transpercée de tous les côtés si bien qu'on a peine à imaginer Iggy Pop vivant à l'intérieur. L'assistante commence alors à retirer les épées une par une et c'est bien ce bon Iggy Pop qui surgit soudain et se tient dans sa position signature sous une incroyable ovation.
J'avais bien évidemment des a priori au sujet de Lauryn Hill avant de lancer cet album. La presse s'en donne généralement à cœur joie pour critiquer son comportement capricieux. Je lançai toutefois la lecture du projet en question. Mais alors que les pistes défilaient, toujours pas la moindre trace de Lauryn. "Patientez encore un instant, Lauryn Hill devrait arriver d'une minute à l'autre." annonçait régulièrement une voix. Je patientai donc encore un peu. Alors que je vis sur mon écran que l'avant-dernière piste venait de commencer et que la star n'avait toujours pas prononcé le moindre mot, je décidai d'abandonner l'écoute, très énervé et remonté.
Astrud sait pertinemment qu'elle raconte n'importe quoi et se réjouit d'imaginer ses auditeurs européens claquer des doigts sur le rythme de ses mélodieux baragouinages. Bien joué Astrud.
The Fat Of The Land est l'histoire d'une romance impossible entre un crabe hypermétrope et un bulot transgenre homosexuel. Cette tragédie sur fond marin nous plonge dans un merveilleux univers aquatique où trahisons et mensonges rythment une histoire d'amour gâchée par de vieilles rivalités familiales. La scène finale dans laquelle le bulot transgenre homosexuel se laisse couler bouche béante vers les abysses sous le regard impuissant du crabe semi-bigleux est à classer parmi les plus émouvantes du genre.
Un album de très grande qualité sans pour autant disposer d'un mixage digne de ce nom. J'ai en ce sens pris contact avec la personne en charge dudit mixage pour cet album afin de lui demander ce que signifiait tout cela. Celui-ci m'a très gentiment répondu que l'équilibre et la cohérence entre les différentes pistes audio lui importaient peu et qu'il ne donnait de l'importance qu'aux sons d'animaux. Selon lui, une superposition de cris d'animaux de la ferme faisait parfaitement l'affaire. Je lui fis part de mon désaccord et c'est à ce moment précis qu'il raccrocha le combiné.
Un peu à l'image des Razbitume par rapport aux Razmoket, le groupe Sonics raconte le passage à l'âge adulte des membres de la formation Sonic Youth et énumère grossièrement une partie des tracas associés à cette période de la vie. On s'en serait bien passé.
Dès les premières notes, on s'aperçoit que la prétendue Alice est en fait un homme. On se sent dès lors bien honteux d'avoir jugé l'artiste sans le connaître. Et celui-ci ne manque pas de nous prendre à notre propre jeu en démontant notre pensée binaire. Tout est passé en revue: les jouets roses ne sont pas que pour les filles et les bleus pour les garçons ; une fille peut très bien porter un jean et un garçon une jupe, etc... En bref, un album dérangeant mais nécessaire.
Ces prunes électriques passent dans le générateur comme un éclair avec leur album très court et auront au moins eu le mérite de ne pas nous déranger, sans pour autant nous avoir fait vibrer. Un trois sur cinq logique, donc.
Un Isaac Hayes plus sexuel que jamais et cette-fois ci totalement décomplexé vis-à-vis de son crâne lisse et chauve qu'il n'hésite pas à nous glisser sous le nez à chaque fois qu'il en a l'occasion. Inutile d'essayer de l'éviter, autant poser ses narines à sa surface et renifler la couche de sébum qui le recouvre en profitant de l'instant présent.
Un album assez agréable à suivre dans son ensemble avec toutefois des notes chantées complètement fausses par moment. Ce n'est d'ailleurs pas un hasard puisque la voix de Fiona Apple a entamé sa mue pile au moment de l'enregistrement de cet album. Bref... Ce n'est un secret pour personne, mon compagnon d'écoute eltrapeze et moi nous apprêtons à passer les fêtes de Noël chez nos parents respectifs, qui, et c'est bien là tout le problème, habitent dans la même ville de France (ceux d'eltrapeze habitent dans une commune de banlieue assez malfamée mais là n'est pas la question). Vous comprenez dès lors qu'une rencontre inopinée entre eltrapeze et moi peut causer des débordements importants pour ne pas dire explosifs, pouvant largement troubler l'ordre public. C'est la raison pour laquelle Robert a mis en place un périmètre de sécurité couvrant l'ensemble de la zone. Je vous tiendrai informés si jamais il se passait quelque chose dans les prochains jours.
Rien de particulier à signaler au sujet de cet album.
J'ai toujours été très fan de Various artists et suis allé les voir en concert à chaque fois qu'ils sont passés dans ma région.
Quelle curieuse situation que celle que j'aui vécu en compagnie de cet album. En effet, alors que je roulais dans ma twingo et que j'insérai le disque de Traffic dans mon auto-radio, je fus pris dans un énorme embouteillage duquel je ne sorti qu'à la fin de la dernière piste. J'ai discuté de ce phénomène avec Robert qui m'a rassuré en me disant que je n'étais pas la première personne à qui cela arrivait.
Assez surpris que cet album ait pour unique thème un concours de saut d'obstacles par des rouleaux de nettoyage Elephant Bleu mais à part ça le projet tient la route.
Euh Brian t'as pas l'impression de te foutre de nous là ?
Notre Manu Chao bleu blanc rouge est en effet totalement clandestino au sein de ce génerateur mais on finit par s'habituer à sa techno hardcore.
Robert ne tire visiblement aucune leçon des notes attribuées aux albums de hip-hop précédents. S'il veut jouer au con, on va jouer au con.
Je pense que c'est un secret pour personne, mais j'étais bel et bien dans un train lors de l'écoute de cet album. Un moment assez inconfortable puisque en plein milieu de celui-ci, une annonce résonna dans le wagon : "Mesdames et messieurs bienvenue à bord du Ouigo numéro 7652 à destination de Paris Montparnasse. En raison des restrictions en vigueur, nous vous demonderons de porter un masque pendant toute la durée du trajet. D'autre part, nous avons détecté la présence de robferroviaire à bord, il se trouverait dans le wagon 5. Je vous demanderais de venir trouver le commandant de bord si vous disposez d'une quelconque information sur sa localisation." Je subis à partir de là un torrent de regards suspicieux jusqu'à mon arrivée.
Je me souviens encore du jour où le groupe Yes s'est fait connaître en direct à la télévision. J'étais alors en vacances et regardais la version française de l'émission X Factor avec mes grands-parents dans leur maison située à Montalivet. Dans l'épisode en question, plusieurs jeunes garçons avaient défilé devant les jurés individuellement mais aucun n'avait vraiment fait l'unanimité. "Ce sera un no pour moi" s'était exclamé Christophe Willem pour chacun d'entre eux. "Ce sera un no pour moi aussi" avait rajouté Véronique Dicaire. "Je vois un certain potentiel alors je vais vous donner un yes." avait tenter de contrebalancer Henry Padovani sous les applaudissements du public. Olivier Schultheis, après avoir également accordé un yes à chacun d'eux, eut alors une idée de génie. Il avait convoqué les garçons et leur avait soumis l'idée suivante : "Vous allez monter un boys band. Et vous vous appellerez Yes, ça fera un super pied de nez à Christophe Willem." Ils acceptèrent et leur succès fut fulgurant. Mes grands-parents n'en revenaient pas. Leur maison est devenu un restaurant peu de temps après qu'ils l'ont vendue.
L'hypnose est une discipline que ces escrocs semblent maîtriser puisque c'est la première fois que je m'abstiens de dégueuler pendant un album de punk.
Ces prêtres de Judas m'ont fait passer trois quart d'heures assez sympathiques, sans pour autant se distinguer des précédents métalleux générés. Ceci peut en partie s'expliquer par le fait que j'écoute aujourd'hui mes albums de retard à un volume un peu moins élevé qu'habituellement puisque vous savez que Rumours vient de tomber dans le générateur et que mes oreilles se doivent d'être en parfait état lorsque l'album sera lancé à quatorze heures pétantes.
Pendant une heure, William sera en orbite autour de la planète Bonne Musique sans jamais réussir à s'y poser.
Un début très agréable jusqu'à ce que le chanteur devienne totalement incontrôlable au début de la cinquième piste. On se retrouve alors en tant qu'auditeur plongé au milieu d'une scène de négociation entre ledit chanteur et les forces de police rapidement arrivées sur les lieux. Les discussions aboutissent finalement après quelques minutes, le chanteur acceptant de terminer l'album vêtu d'une camisole et attaché à son siège.
Que dire de cet album si ce n'est qu'il était attendu au tournant depuis le début du générateur. Les vieux de la vieille se souviennent d'ailleurs qu'il dominait le classement de l'onglet Global Stats pendant des lustres avant d'être détrôné par le très consensuel Abbey Road. D'un point de vue musical, c'est un sans-faute pour Rumours. D'un point de vue idéologique, en revanche, c'est une autre histoire. L'album entier est en effet articulé sur l'idée que la femme ne peut rien faire sans l'homme, point de vue que je ne partage évidemment pas et que je m'attache à dénoncer au quotidien. L'idée du projet est pourtant celle-ci. On nous présente pour ce faire deux personnages. L'un est un homme, chante admirablement bien, joue de la guitare comme un dieu, parle plusieurs langues, est diplômé d'Harvard et entretient son corps au jour le jour. L'autre est une femme, ne transmet aucune émotion par sa voix, a les mains pleines de boue, le dos bossu, parle un vieux patois incompréhensible, roule les "r" et dispose d'une hygiène corporelle exécrable. La thèse est défendue de la façon suivante : nos deux personnages chantent ensemble des morceaux d'une immense qualité puis l'homme se retire pour que la femme se prenne seule les pieds dans le tapis. L'homme revient ensuite, l'aide à chanter un futur succès commercial puis repart, laissant la femme dans la panade et ainsi de suite. Cette vision inégalitaire des deux sexes m'a vraiment surpris et déçu, pour tout vous dire. À côté de ça, vous avez sans doute aperçu mon nom de robchevalière dans le journal cette semaine puisque Robert m'a décoré à la suite de l'écoute. En effet, lorsque celui-ci a envoyé l'album phare du générateur ce jeudi, j'avais au matin pas moins de quatre albums de retard. Rumours était donc le parfait prétexte pour mettre ma fidélité à l'épreuve. J'écoutai donc en ce jeudi les cinq albums d'une traite et Robert me fit en soirée Chevalier de l'Ordre du Générateur.
Marvin et sans contestation possible l'homme le plus sexuel du générateur, bien loin devant Isaac Hayes qui fait ici pâle figure.
Si on met de côté le fait que Nico chante comme une casserole et que sa voix ressemble à un vomissement de morse, celle-ci n'a pas été très aidée par son producteur et compagnon Jim Morrisson (non crédité mais bel et bien aux manettes) qui a tout fait pour la pousser à bout. D'après plusieurs sources, alors que Nico avait réclamé pour ce projet des percussions et des guitares, Jim Morrisson fit semblant d'accepter la proposition pour finalement se faire livrer différents portails rouillés ainsi qu'un flûtiste totalement novice. Sa façon d'opérer était ensuite la suivante : il demandait à Nico de commencer son couplet en lui assurant que les percussions et les guitares allaient arriver d'un moment à l'autre, puis au bout de quelques secondes, faisait discrètement entrer dans le studio le flûtiste et les portails. Jim râpait alors ces derniers sur le sol et les murs dans un son d'une stridence des plus absolues et faisait signe au flûtiste de répéter chacun des phrasés de la chanteuse jusqu'à ce que des larmes apparaissent sur ses joues. Nico s'effondrait alors de désespoir devant une paire Jim-flûtiste au septième ciel, arborant chacun un sourire de satisfaction.
Imaginez un album d'environ une heure constitué de pistes elles-mêmes constituées d'interminables boucles mélodiques. Imaginez maintenant qu'un homme y superpose des sénégalaiseries chantées pour nous faire oublier la redondance de l'instrumental. Vous obtiendrez alors l'album Djam Leelii de Baaba Maal et lui accorderez une note de trois sur cinq.
Pour que vous compreniez ce que j'ai ressenti pendant l'écoute de cet album, je vais vous partager une anecdote. Vous savez que j'ai pour habitude de manger régulièrement dans des restaurants japonais proposant une formule de sushis à volonté (l'un d'eux est évoqué dans ma critique de l'album Led Zeppelin). Dans celui que je fréquente le plus souvent, une annonce est faite pour chaque client qui souhaiterait choisir la formule dite "All you can eat" : "ne commandez que ce que vous pouvez manger, tout gâchis sera facturé". Un certain vendredi, je décidai de m'y rendre accompagné de trois espagnoles, leur nombre ayant été choisi par mes soins. Après nous être installés, nous commençâmes à commander les tant attendus sushis. Seulement voilà : chaque tournée de sushis apportée à notre table me semblait incomplète. Je décidai donc de commander de nouveaux sushis pour compenser ce qui me semblait être un oubli de la part de la serveuse. C'est alors que les problèmes commencèrent. Alors que je n'avais bientôt presque plus faim, les tournées de sushis oubliés nous furent servies. D'immenses plateaux de se succédèrent dès lors, me provoquant de fortes envies de vomir. Ce qui devait être un déjeuner sympathique se transforma en cauchemar. Je calculai bientôt combien de sushis j'avais la capacité d'ingurgiter et répartis le reste entre les espagnoles. Gobage après gobage, envie de vomir après envie de vomir, nous arrivâmes à bout de notre commande, laissant trois pauvres makis au tofu sur le côté d'une assiette. La morale de cette histoire est qu'il faut savoir doser les bonnes choses, et elle ferait bien d'être entendue par l'Allman Brother Band. Leur album de quatre heures a réussi à me faire dégobiller plus d'une fois, c'est la raison pour laquelle ils obtiennent de ma part la note de deux sur cinq.
Après avoir passé en revue tous nos stéréotypes au sujet de l'identité de genre sur l'album précédent, Alice Cooper s'attaque cette fois-ci à différents thèmes comme la monoparentalité, la fécondation in vitro ou encore l'avortement. Iel avait décidément une longueur d'avance sur ses contemporains quand on voit à quel point son propos est encore d'actualité.
Le mouvement punk est un véritable problème qui gangrène le générateur depuis un bon moment déjà. J'ai envoyé un mail à Robert à ce sujet en attendant qu'il trouve une solution dans les prochains jours.
Après une série catastrophique entamée juste après l'album culte de l'ultra-sexuel Marvin Gaye, la musique de bon goût vient de faire son retour dans le générateur par le biais de Jamiroquai. Pour l'anecdote, à la veille de la sortie de ce premier album, les membres du groupe fêtèrent leur futur succès lors d'une soirée particulièrement arrosée. Malheureusement pour eux, le chanteur ne s'arrêta jamais de gobeloter et s'endormit au petit matin sur la table de mixage allumée le cul à l'air. Résultat des courses : une fin d'album totalement cacophonique doublée d'un xylostome.
Un magnifique album de la part d'un Dave Grohl à l'acmé de sa dépression. Le musicien nous y raconte sa période de deuil suite à la mort de son copain Kurt Cobain. Dès les premiers morceaux, Dave se réveille vers les coups de midi, traîne les pieds jusqu'à son canapé sans quitter ses survêtements. Il regarde différentes séries sur son ordinateur et s'effondre en larmes au moindre passage émotionnel. Un court interlude nous présente à mi-album le protagoniste en train de se gratter la barbe négligée qu'il arbore sur le menton. La deuxième partie du disque n'est pas plus optimiste. On accompagne en effet l'ancien membre de Nirvana dans une épicerie où celui-ci s'en va acheter la quantité d'un chariot de Pasta BOX Sodebo afin de lui éviter de cuisiner. Il rentre ensuite chez lui et réchauffe l'une d'entre elles cinq minutes et trente secondes au micro-ondes à 850 Watts. L'album s'abrège sur le "kling" de la minuterie.
La sœur cachée de l'irrécupérable Morrissey s'en donne à cœur joie sur ce disque. Pour remettre celui-ci dans son contexte, Morrissette venait de publier sa thèse universitaire dans laquelle elle tentait de démontrer le succès de sa théorie dite des "modulations vocales". L'idée était la suivante : changer très vite de hauteur, d'intensité, de débit et de timbre avec sa voix sur fond de rock'n'roll est la clé pour réussir un album de musique. Pour Morrissette, la dernière étape du processus consistait à enregistrer un CD mettant cette théorie en pratique afin de venir appuyer sa thèse. De nombreux musiciens sont mobilisés dans un studio privatisé pour une semaine. Alanis pose alors sa voix en utilisant ses fameuses modulations vocales, d'abord de manière très parcimonieuse. Mais rapidement, Morrissette perd le contrôle de ses modulations qu'elle utilise bientôt à outrance devant des producteurs totalement dépassés par la situation. "Arrête Morrissette, on a ce qui faut, c'est bon !" crie-t-on derrière la vitre du studio. La chanteuse n'en entend pas un mot et s'en va essayer de repousser les limites de sa théorie, accompagnant ses modulations vocales de gestes amples avec les bras. Au bout d'une demi-heure, celle-ci s'écroule à bout de souffle sur le sol et ne se réveillera que trois jours plus tard à l'hôpital. Une infirmière lui apporte peu de temps après son réveil un CD gravé des pistes enregistrées au studio. Sur celui-ci est inscrit "Jagged Little Pill" du nom des pilules qu'Alanis avait ingurgitées pendant ses trois jours de coma. Une fois le disque lu et écouté, Morrissette tombe des nues : le résultat est une catastrophe. Pas une seule ligne de sa thèse ne venait de s'avérer. Elle tentera tout de même de la soutenir mais sera bien évidemment recalée et radiée de l'université.
La critique d'aujourd'hui sera un peu particulière dans le sens où elle concernera quasi exclusivement Jim Morrison. Si c'est une critique de Dire Straits que vous cherchez, je vous invite à passer votre chemin. J'ai en effet déniché grâce à de nombreuses recherches à la bibliothèque un certain nombre d'informations confidentielles que j'avais à cœur de partager avec vous. Première information et pas des moindres, Jim Morrison ne serait pas mort à vingt-sept ans comme certaines personnes peuvent le penser mais bien plus tard. Celui-ci aurait en effet simulé sa mort, ce qui lui aurait permis de mettre un terme à sa carrière musicale et d'exercer sa profession de cœur le reste de sa vie, à savoir ingénieur-son/électricien. Faisons maintenant un saut dans le temps et arrêtons-nous le 11 mars 1978. Il est quatorze heures quand Claude François remarque une anomalie dans son système électrique. Il appelle alors un spécialiste et, quelques minutes plus tard, on frappe à la porte. Claude François aperçoit derrière le judas un homme en salopette bleue, et arborant un crayon à papier derrière l'oreille (vous aurez reconnu Jim Morrison). Il lui ouvre. L'homme ramasse alors sa boite à outils et s'en va jeter un œil au circuit électrique. Il débranche alors des câbles, en sectionne quelques-uns, en branche quelques-autres et les emmêle globalement tous, provoquant un court-circuit généralisé dans l'appartement de Claude François, qui lui fait part de son énervement. "Pardon M'sieur François" s'écrie alors Jim Morrison avant de lui proposer un geste commercial. Claude François accepte et lui confie qu'il aurait bien besoin de changer une ampoule de sa salle de bain. Jim Morrison s'y empresse et la remplace par une ampoule de type hélicoïdale à moitié cassée qu'il trouve au fond de sa boîte à outil. "Ça f'ra l'affaire, j'pense…" dit-il en se grattant les fesses avant de se diriger vers la porte d'entrée. Le chanteur lui règle sa facture, les deux hommes se serrent la main et Jim Morrison commence à descendre les escaliers de l'immeuble. Une fois en bas des marches, il reçoit un appel : "Ah c'est vous M'sieur François…" dit-il dans son téléphone. "Comment-ça l'ampoule crépite pendant que vous êtes dans vot' bain ? C'est bizarre, vous avez essayé de l'attraper des deux mains ? Non ? Bah essayez voir." La suite de l'histoire sera relayée par toutes les chaînes d'information et plongera la France dans l'émoi le plus total.
Bowie pose avec cet album les fondations du mouvement androgyne-rock qui subsiste encore aujourd'hui, notamment au travers du groupe Måneskin que je m'évertue à critiquer tout en refusant catégoriquement d'écouter le moindre de leurs morceaux.
Cet album du groupe Stephen Stills est très long mais néanmoins excellent. Il doit d'ailleurs beaucoup à la performance de son leader, Stephen Stills. À l'inverse du précédent opus, il dépeint un Stephen Stills bien plus conscient du monde qui l'entoure et moins égocentré. Le premier projet de la bande, sobrement baptisé Stephen Stills, était en effet construit autour de la personnalité de Stephen Stills L'unique morceau du CD, Stephen Stills, n'avait pour seules paroles que les mots Stephen et Stills inlassablement répétés pendant plus de soixante minutes. La moindre intervention d'un des autres membres du groupe donnait lieu à une tarte en plein visage de la part de Stephen Stills.
Contrairement à une idée répandue, Bob Dylan n'est pas un artiste solo mais bien un duo de musiciens. Il est composé d'un auteur-compositeur, Bob Dylan, et d'un interprète, à savoir son énorme pif. La relation entre les deux membres est pendant longtemps plutôt bonne, ceux-ci entretenant des rapports très cordiaux et professionnels, mais se détériore nettement au début des années 2020. D'un côté, Bob Dylan, profondément antivax, refuse de recevoir la moindre injection pendant que son proéminent tarin lui confie à maintes reprises sa réticence à l'idée de se faire traverser par un coton-tige tous les quatre matins. L'année 2021 marque la fin du duo. Une fin idiote pour un groupe qui a su marquer toute une génération.
Randy Newman est un drôle de personnage, si vous voulez que je vous donne le fond de ma pensée. Comme vous le savez depuis bien longtemps, eltrapeze n'est autre que mon compagnon d'écoute sur ce générateur. Le moins que l'on puisse dire est que je ne l'ai jamais tenu en haute estime. L'anecdote que je m'apprête à vous raconter, je ne pensais jamais la dévoiler. Le simple fait de la rendre publique tournerait l'intéressé en ridicule pour le restant de ses jours. Mais, au vu des attaques qu'il m'a adressées dans sa dernière critique, je suis dans l'obligation de lui répondre. L'histoire remonte à 2015. eltrapeze et moi devons en juin de cette même année passer notre examen final afin d'obtenir le précieux sésame qu'est le diplôme de connaisseur de musique. Hasard ou non, pour la première épreuve, je suis convoqué à 13h15, et eltrapeze à 13h. Lorsque j'arrive ce jour-là devant la salle d'examen, un professeur ouvre la porte et s'exclame : « eltrapeze ?! ». Notre ami tout chétif s'avance et passe la porte avant que le professeur ne la claque. Pour vous donner plus de contexte, l'épreuve en question est divisée en deux : quinze minutes de préparation et quinze minutes de passage devant un jury de quinze professionnels. Le sujet sur lequel nous allons être interrogé fait partie des cinq suivants: De qui Mike Ladd est-il le fils ? Entre Isaac Hayes et Marvin Gaye, lequel des deux est le plus sexuel ? Reproduisez la position signature d'Iggy Pop. Qui est le chef de file du genre homosexual pop ? Mimez sa gestuelle. Le Sujet Mystère. Je me retrouve donc à attendre une quinzaine de minutes avant que la porte ne s'ouvre de nouveau. Une élève que je connais de vue pour l'avoir cotoyée en 3ème baroque-pop sort alors de la salle en larmes. « Robbachelière ?! » s'écrie le professeur, passant sa tête à travers la porte. J'entre alors dans la fameuse salle et m'avance vers le jury qui me tend cinq bouts de papier. J'en pioche un au hasard et le retourne. Il s'agit du Sujet Mystère. Ce sujet est un peu particulier dans le sens où son dévoilement n'est prévu qu'au moment de passer devant le jury. Je m'en vais alors prendre place sur une table du fond de la salle, sors un stylo et commence tout de même à brouillonner quelques notes. « C'est à vous, eltrapeze. » lance alors l'un des examinateurs. Notre ami sursaute et, après quelques secondes de concentration, se lève de sa chaise puis s'avance vers son auditoire. « À mon top, vous aurez quinze minutes pour nous reproduire la position signature d'Iggy Pop. Top ! » eltrapeze parait à ce moment précis complètement déboussolé. Il hésite, se gratte la tête, se ronge quelques ongles ; on souffre pour lui. Il se décide soudain à lever un pied et à tendre lentement ses bras vers le ciel. Une fois stable, il maintient sa position. Les membres du jury échangent alors des regards dubitatifs. « C'est Iggy Pop, ça ?! » lance l'un d'eux. eltrapeze semble totalement anéanti mais ne se démonte pas. Il repose le pied au sol, baisse les bras puis tente une toute nouvelle position. Il écarte les jambes, penche son corps vers l'avant et pose ses doigts sur le bout de ses chaussures. « On parle bien du Iggy Pop des Stooges, hein ?.. Hein eltrapeze ?! » lui crie-t-on. Ce dernier se redresse et laisse apparaître un visage baigné de transpiration. Son corps entier se met soudain à trembler devant l'indifférence la plus totale des membres du jury. Il s'écroule alors sur le sol et se retrouve bientôt baigné dans une flaque d'urine de sa propre provenance. Deux infirmiers entrent alors et débarrassent la salle de son corps inconscient. « Bien, Robbachelière, c'est à vous. À mon top, vous prendrez connaissance du sujet mystère et aurez quinze minutes pour y répondre. Top : Quel chanteur s'est fait connaître en hurlant à la mort après s'être coincé sa coupe mulet dans les cordes de sa guitare électrique en plein enregistrement de son album Nebraska ? » J'esquisse un sourire et réponds avec sérénité : « C'est Bruce Springsteen, bien sûr. » Le jury se lève alors comme un seul homme et applaudit ma réponse pendant les quatorze minutes restantes de mon passage.
Je pense ne rien apprendre à personne en avouant que j'étais en route pour le Generator Hostel au moment de l'écoute de cet album. À ma grande surprise, quand j'ouvris la porte du hall d'entrée, je tombai nez-à-nez avec Robert, perché sur son immense trône fabriqué à partir de CD non sélectionnés dans le grimoire. Je voudrais à cette occasion raconter brièvement la façon dont Robert, que vous connaissez sûrement pour la plupart sous le nom de Robert Dimery, s'est retrouvé à la tête d'un empire et d'une fortune colossale. Nous sommes en 2004. Robert est un journaliste musical assez peu apprécié dans son milieu. Rien que dans sa rédaction, il est tout simplement détesté par l'ensemble de ses collègues. Ces derniers le décrivent comme collant, imbuvable, retardataire, sale, etc... Sa façon de régler son casque-audio à fond et de le poser derrière ses oreilles afin que le son se diffuse dans la pièce a tendance à irriter ses collaborateurs. Il a d'ailleurs une autre habitude assez particulière ; quand il aperçoit quelqu'un se diriger vers la machine à café, il le rejoint et lui donne son avis sur son idole, Elvis Costello. « T'as vu Costello il a acheté un nouveau pull... ». Ses collègues le fuient autant qu'ils le peuvent. Un jour, c'est la goutte d'eau : « T'as vu Costello il a proféré des insultes racistes envers Ray Charles. Il a eu raison je trouve, t'en penses quoi toi ? » demande-t-il à son patron qui n'en croit pas ses oreilles et le vire instantanément. Après plusieurs mois de dépression durant lesquels il découvre les albums de Morrissey, il a soudain une idée totalement stupide : publier un grimoire compilant les 1001 meilleurs albums de tous les temps. Seulement voilà, au moment où cette idée lui vient, il n'en connaît que treize : ceux d'Elvis Costello et ceux de Morrissey. Robert n'a jamais rien écouté d'autre. Pour pallier ce problème, il décide de partir en Erasmus. Il dépose donc un dossier à l'Université la plus proche de chez lui dans lequel il hiérarchise trois destinations par ordre de préférence : Limoges en premier souhait, Périgueux en deuxième, et Saltsjöbaden en troisième. Ce dossier n'est pas assez bon pour prétendre au deux premières destinations et Robert se retrouve alors en Suède. Ses valises posées, il se rend très vite compte qu'il n'y a pas d'université dans la ville en question et qu'il va donc pouvoir consacrer tout son temps à ses recherches. Il enchaîne alors les soirées dans le but de trouver des musiciens et donc des albums pour son grimoire. Autour d'un chaudron de red mojito, il fait la connaissance de Goldfrapp, un groupe de musique se situant à l'exacte limite entre le médiocre et le ridicule mais qui lui permet d'ajouter deux albums à sa liste. « Et de quinze ! » se dit Robert qui compte alors sur ses doigts le nombre d'albums qui lui restent à trouver (986). Trois jours plus tard, alors qu'il marche dans l'artère marchande de sa commune, il entend une personne crier des insanités en direction de certains passants. Il le rejoint, lui demande son nom et le note sur son carnet : Jon Spencer. Rebelote quelques jours plus tard lorsqu'il enregistre le Penguin Cafe Orchestra lors d'une sortie au zoo. En 2005, il atteint le nombre 1000 albums. Il lui en manque donc un. Fatigué par ses recherches, il se résout à ajouter celui de son fils Mike Ladd et s'empresse de publier son grimoire désormais complet. Vous vous en doutez, il s'agit d'un bide monumental. Personne n'achète sa bouse. Pour recontextualiser, la seule manière d'écouter un album à l'époque est de l'acheter en CD. Or, acheter 1001 albums en CD coûterait à quiconque le souhaiterait une somme d'environ 15 000 €. De ce fait, lire ce grimoire reviendrait donc, par analogie, à regarder une émission de télévision dont le concept serait de regarder des gens cuisiner sans pouvoir goûter les plats ; ça n'a pas de sens. Robert a complètement raté son coup. Oui mais voilà, en 2020, le streaming s'est imposé comme mode de consommation principal de contenu musical. Presque tous les albums de sa liste sont disponibles sur les plateformes. C'est à ce moment précis que le générateur est créé. Son torchon se vend alors comme des petits pains et Robert rejoint bientôt les Jeff Bezos et compagnie au rang des plus grosses fortunes de la planète. Il se lance en 2010 dans l'hôtellerie et développe sa marque de Generator Hostel partout dans le monde. Je vous parlerai dans une critique ultérieure de la relation que j'ai avec lui mais il me semble que je viens déjà de vous donner un grand nombre de clés pour comprendre sa personnalité complexe.
La semaine dernière, je vous partageais les découvertes que j'avais faites au sujet de Jim Morrison. Je vous apprenais entre autre qu'il n'était pas décédé à vingt-sept ans comme cela a été relayé par la presse. Après une nouvelle sortie à la bibliothèque, j'ai fait de nouvelles découvertes dont une qui devrait particulièrement vous intéresser. Nous sommes le 26 avril 1986 dans une petite ville paisible appartenant alors à l'URSS. Comme tous les matins, les employés de la centrale nucléaire située dans ses faubourgs se rendent au travail. À leur arrivée, aucun problème n'est à signaler. Le jour est à la bonne humeur, les collègues échangent des sourires, l'un d'eux a même appris la veille au soir que sa femme était enceinte et se réjouit d'annoncer la bonne nouvelle à tout le monde. Seul petit hic à l'horizon, tous sont d'accord pour dire qu'il fait un peu frisquet dans le salle de contrôle. Wolodymyr, le technicien en charge de la maintenance, s'en va regarder l'état du chauffage et découvre que le thermomètre affiche seize degrés au lieu des dix-huit habituels. Le problème est vraisemblablement lié à un surplus de poussière dans l'un des tuyaux. L'opération nécessite donc un simple nettoyage à effectuer au niveau du radiateur central. N'ayant pas les outils adéquats à disposition, Wolodymyr appelle un dépanneur. Quelques minutes plus tard, un homme vêtu d'une salopette en jean et d'un crayon derrière l'oreille gauche s'annonce à l'entrée de la centrale (vous aurez reconnu Jim Morrison). Il vient réparer le chauffage. Le service de sécurité le laisse entrer. Une dame est ensuite chargée de le guider vers la salle de contrôle où il rejoint Wolodymyr qui lui indique l'emplacement du système de chauffage Sa boîte à outil ouverte, Jim Morrison s'accroupit, attrape un câble, le sectionne avec ses dents, puis un deuxième, en intervertit trois autres et souffle ensuite très fort dans une prise électrique. Il ramasse ses affaires et s'empresse de sortir de la centrale. Une dizaine de minutes plus tard, le réacteur explose, entraînant ce jour là à Tchernobyl la plus grosse catastrophe nucléaire jamais recensée.
Comme je vous l'expliquais dans ma critique de Kraftwerk il y a de cela quelques mois, j'ai pour habitude de sortir avec les anciennes fréquentations de mon compère d'écoute et ennemi juré eltrapeze. J'effectuai récemment en ce sens quelques recherches dans le but de savoir quelles étaient les dernières en date et pris contact avec elles par courriel. Après leur avoir fait passer à chacune un entretien virtuel, j'annonçai à l'une d'elles qu'elle avait été choisie pour me rejoindre en Basse-Saxe et ainsi pouvoir sortir avec moi, Robvestiaire. eltrapeze étant interdit de séjour dans cette région, elle n'avait absolument rien à craindre. Celle-ci prit son billet et me rejoignit dans le nord de l'Allemagne. À son arrivée, nous nous rendîmes à l'hôtel. Une fois la porte de notre chambre franchie, elle me déshabilla, me jeta sur le lit et m'embrassa de la manière la plus sauvage qui soit tout en proférant des propos injurieux à l'égard d'eltrapeze. « Attends, je vais mettre de la musique. » l'interrompis-je soudain. Je me levai, connectai mon enceinte JBL à mon portable, cliquai sur l'album Elvis Presley, et la posai sur la table située au bord de la fenêtre. Croyez-le ou non, au moment où je regagnai le lit, l'album était déjà terminé. Je décidai de me rhabiller et de raccompagner cette demoiselle à la gare.
Plus j'en apprends sur Jim Morrison, plus je consacre mon temps libre à effectuer de nouvelles recherches sur lui à la bibliothèque de l'université. Après avoir lu entre autre qu'il n'était pas mort en 1971, qu'il était à l'origine de l'accident mortel de Claude François ainsi que de l'explosion nucléaire de Tchernobyl, je viens de tomber sur un document d'archive confidentiel totalement ahurissant. Nous sommes le samedi 11 novembre 1989 à Berlin. La ville est divisée entre Est et Ouest par un mur de plusieurs kilomètres dont les environs sont surveillés par des gardes-frontières. Ce jour-là, le mur est aussi imposant que d'habitude et n'a jamais paru aussi infranchissable. La plupart des scientifiques s'accordent sur le fait qu'il semble assez solide pour résister pendant encore plusieurs siècles. L'un des gardes-frontières remarque toutefois au matin une légère fissure de quelques millimètres de longueur. Il se dit alors qu'il faudrait la reboucher avec du plâtre mais n'a pas les outils adéquats à disposition. Il appelle donc un professionnel du bâtiment. Quelques minutes plus tard, un homme se présente au pied du mur vêtu d'une salopette bleu ciel et d'un crayon à papier derrière l'oreille (vous aurez reconnu Jim Morrison). Le garde l'accompagne à l'endroit de la fissure et lui dit de ne pas hésiter à venir le trouver s'il avait la moindre question. Une fois seul, Jim dépose sa boîte à outil sur le sol, se saisit d'un clou, le tord dans tous les sens, l'enfonce dans la fissure et lui donne quelques coups de marteau. Il se saisit ensuite d'une prise électrique et l'encastre dans le trou qu'il vient de former. Sa mission terminée, il se relève, prend sa boîte à outils et quitte les lieux. À peine une dizaine de minutes plus tard, les gardes entendent un bruit de craquements. Celui-ci s'intensifie jusqu'à ce que, contre toute attente, le mur s'écroule sur toute sa longueur dans un bruit assourdissant. L'Allemagne de l'Est et l'Allemagne de l'Ouest venait d'être réunifiées à la surprise générale, avec pour conséquence l'effondrement de la RDA puis du bloc de l'est.
D'après ce que m'a confié Robert, cet album a été sélectionné dans le but de tester les fidèles du générateur. Le dernier morceau contient en effet un morceau caché absolument sans intérêt, intervenant après plusieurs minutes de silence. Les personnes qui ne l'auront pas écouté dans son intégralité et auront quitté leur plateforme de streaming avant la fin devront recommencer le générateur depuis le début.
Un album absolument effrayant quand on connaît le contexte dans lequel il a été enregistré. En 1989, alors que John Zorn sort d'un concert, celui-ci appelle un taxi. Il s'assoit sur la banquette arrière et remarque que la place à sa gauche est occupée par un fût métallique sur lequel est dessiné une tête de mort ainsi que le mot DANGER. Il donne sa destination au taxi qui se met en route. Quelques instants plus tard, la voiture entre en collision avec un poids lourd. À son réveil à l'hôpital, trois jours après l'accident, John Zorn est horrifié : son saxophone a été soudé à sa bouche. Il ne fait désormais qu'un avec l'instrument. Il sort alors de sa chambre puis du bâtiment et s'en va semer la terreur dans les rues de New-York avec ses mélodies très rapides et aléatoires.
La conception de cet album s'est faite dans des conditions extrêmement particulières, c'est pourquoi je le note avec indulgence. Les 13th Floor Elevators choisissent en 1966 le studio du douzième étage (13th Floor aux USA) d'un immeuble pour l'enregistrer. Après avoir installé la batterie, les membres repartent chercher les autres instruments sans remarquer que la fenêtre est ouverte. Problème : l'immeuble en question est encerclé par des conifères habités de pygargues à tête blanche. Une branche voit d'ailleurs son extrémité s'arrêter juste sous la fenêtre en question. À leur retour, les musiciens ne remarquent rien de particulier et commencent la session d'enregistrement. Très rapidement, des petits crissements se font entendre. Le chanteur et le guitariste se retournent alors vers le batteur qui ne semble pas comprendre d'où peut provenir le bruit. Ce dernier continue donc de tambouriner sur sa grosse caisse. Quelques minutes plus tard, il sursaute en apercevant les gros yeux blancs d'un pygargue le fixer. L'animal est coincé dans la caisse qu'il est en train de castagner. Il prévient alors les autres avec un jeu de regard, et, tout en continuant l'enregistrement de l'album, se lancent dans une opération de sauvetage de l'animal. ♫ But what's gonna stop me, baby ? ♫ chante le leader tout en se saisissant d'un sécateur. ♫ Am / Dm / Am / Em ♫ joue le guitariste au moment de jeter des graines à l'animal. ♫ BAM ! BAM ! BAM ! BAMMM ! ♫ continue de bourriner le batteur pour les besoins de l'enregistrement et au grand dam de l'oiseau. Une dizaine de morceaux plus tard, une brèche est ouverte dans la grosse caisse et l'on entend le "FLAFLAFLAflaflafla...." du piaf qui s'en va retrouver sa liberté, merveilleusement capté par l'outro de l'album.
Je n'ai plus aucun souvenir de cet album si ce n'est que le tout m'a fait penser aux Pixies. J'en profite donc pour remercier chacun d'entre vous qui suivez mes critiques quotidiennes avec beaucoup d'attention (je suis en effet la deuxième personne la plus suivie du site, contrairement à mon compère eltrapeze qui n'arrive toujours pas à se glisser parmi les dix premiers la faute à une absence de talent, sans nul doute). À ce propos, certains d'entre vous sont même allés très loin et sont parvenus à découvrir ma véritable identité. Tant que cela reste bon enfant ça ne m'inquiète pas plus que ça mais j'ai tout de même demandé à Robert d'installer un dispositif de sécurité autour de mon domicile. Vous serez les premiers informés si jamais quelque chose d'inhabituel venait à se produire.
Je me rappellerai toujours le soir où les Yeah Yeah Yeahs ont présenté cet album à Baltard en 2007. Ils avaient reçu un bleu mais surtout trois rouges de la part de Marianne Janes, Dove Attia, et Manu Katché. La première les avait tout simplement recadrés : « Cette année, M6 a émis des doutes sur l'idée de continuer l'émission, on a insisté, on a finalement réussi à renouveler le contrat pour une saison, et ce soir vous leur avez donné raison. C'est tout simplement pas du niveau de Baltard, je suis désolée. » Le public avait pris le parti des Yeah Yeah Yeahs en huant Marianne mais la déception était quand même lisible sur les visages des membres du groupe. « On est vraiment déçus que ça vous ait pas plu, on essaiera de faire mieux la prochaine fois… » répondirent-ils par l'intermédiaire de la chanteuse Karen O sous une légère ovation consolante du public.
L'apparition de cet album a évidemment soulagé le tandem que je forme avec mon compère eltrapeze dans la mesure où nous sommes très clients de ce que gazouille Jeff Buckley. L'interdiction formelle d'écouter le moindre morceau de Grace devenait donc difficile à vivre. J'ai à ce propos récemment constaté qu'une grande partie d'entre vous transgressait sans complexe les dix commandements imposé par Robert au moment de créer le générateur. Je tenais de ce fait à rappeler son décalogue dans cette critique : 1. Je suis Robert, le créateur, qui t'a fait sortir de l'ignorance. Tu n'auras, dans ton cercle proche ou lointain, aucun autre Robert que moi. 2. Tu laisseras de côté tes a priori et jugeras les albums avec la plus grande objectivité. 3. Tu éviteras de m'ajouter sur LinkedIn et ne créeras aucun générateur pirate venant concurrencer celui des 1001. 4. Tu observeras deux jours de repos chaque semaine sauf si tu décides d'activer l'option « weekend albums ». 5. Honore tes goûts musicaux et honnis ceux des autres. 6. Tu critiqueras les albums avec pertinence et n'en sauteras pas. 7. Tu n'écouteras les albums qu'après leur génération, quand bien même tu les connaîtrais déjà. 8. Tu te procureras le grimoire pour une somme au moins égale à 20€. 9. Tu mépriseras les approximations musicales de ton prochain et les rectifieras. 10. Tu ne remettras pas en question mes choix et les glorifieras.
Suite aux émeutes qui ont fait rage ces derniers jours dont la raison est évidemment l'omniprésence d'Elvis Costello dans la liste des 1001, je tenais à rappeler le conflit qui a opposé Elvis Costello et Ray Charles le 15 mars 1979. .................... Les personnages: ROBERT DIMERY ELVIS COSTELLO STEPHEN STILLS (LEADER) STEPHEN STILLS (GUITARISTE) STEPHEN STILLS (PIANISTE) STEPHEN STILLS (BATTEUR) STEPHEN STILLS (BASSISTE) STEPHEN STILLS (XYLOPHONISTE) STEPHEN STILLS (VOCALISTE) STEPHEN STILLS (MANDOLINISTE) STEPHEN STILLS (HARMONICISTE) STEPHEN STILLS (VIOLONISTE) STEPHEN STILLS (PERCUSSIONISTE) STEPHEN STILLS (TROMPETTISTE) STEPHEN STILLS (BIOLOGISTE) STEPHEN STILLS (SAXOPHONISTE) STEPHEN STILLS (ANESTHÉSISTE) BONNIE BRAMMLET RAY CHARLES CÉLINE DION Robert Dimery et Elvis Costello sont assis à une table du Holiday Inn bar à Colombus dans l'Ohio. ROBERT.— Je t'en remets une, Elvis ? ELVIS COSTELLO.— T'es fou, je suis complètement bourré mec. Tu veux me tuer ou quoi ? ROBERT.— Allez je vais te chercher une pinte. Robert se dirige vers le comptoir. BONNIE BRAMMLET.— Qu'est-ce qu'il vous fallait ? ROBERT.— Je vais vous prendre deux pintes, s'il vous plaît. BONNIE BRAMMLET.— Ça vous fera onze dollars. ROBERT.— Voilà pour vous. D'ailleurs, j'ai une question, est-ce que vous savez si c'est bien Ray Charles roulé en boule dans le coin là-bas ? BONNIE BRAMMLET.— Oui c'est bien lui. ROBERT, en direction du chanteur.— Eh ça va Ray Charles ?! RAY CHARLES.— Laissez-moi tranquille… Stephen Stills rentre alors à quinze dans le bar. Stephen Stills (harmoniciste) et Stephen Stills (mandoliniste) aperçoivent Elvis Costello et interpellent Stephen Stills (bassiste) qui propose à ses collègues de les rejoindre. STEPHEN STILLS (LEADER).— Alors Costello, t'as trouvé ton premier fan ? ROBERT.— Vous moquez pas de lui, il a du talent... STEPHEN STILLS (BATTEUR).— Ah ouais, elle est bonne celle-là ! STEPHEN STILLS (GUITARISTE).— Excellent ! ELVIS COSTELLO.— Allez vous-en... J'en ai marre que vous me suiviez partout pour me frapper. STEPHEN STILLS (PERCUSSIONISTE).— Tu vas pas te débarrasser de nous si facilement, mon pote. STEPHEN STILLS (BIOLOGISTE).— On va te régler ton compte. ELVIS COSTELLO.— Eh bah vous savez quoi ? Ray Charles je le trouve super timide. STEPHEN STILLS (TROMPETTISTE).— Hein ?! STEPHEN STILLS (PIANISTE).— Quoi ?! CÉLINE DION.— Hein ?! STEPHEN STILLS (VIOLONISTE).— Qu'est-ce que tu viens de dire ?! STEPHEN STILLS (VOCALISTE).— T'es raciste ou quoi, mec ?! RAY CHARLES.— J'ai entendu, hein... Robert va chercher Ray Charles et le traîne jusqu'à la table en le tenant par le col. RAY CHARLES.— Lâchez-moi ! ROBERT.— Viens leur dire qu'Elvis est pas raciste, vas-y, dis-le à tout le monde ! RAY CHARLES.— Mais si vous me forcez à le dire je ne vais pas y arriver, je suis timide. STEPHEN STILLS (SAXOPHONISTE).— Laisse tomber, venez les Stephen Stills, on se tire. STEPHEN STILLS (XYLOPHONISTE).— Ciao les nazes. Ray Charles se recroqueville et fond en larmes. Stephen Stills (anesthésiste) s'approche de lui et le pique avec une seringue. Ray Charles perd alors connaissance. .................... Le lendemain, la presse sera informée de l'intégralité de l'échange par le biais du témoignage de Céline Dion et provoquera un véritable tollé médiatique.
Quelques passages exceptionnels impulsés par un Freddy Mercury totalement déchaîné. Légère inquiétude cependant vers le milieu de l'album lorsqu'on aperçoit celui-ci les mains posées sur les hanches et le front couvert de sueur. Plusieurs minutes s'écoulent alors pendant lesquelles on lui demande s'il a assez de force pour terminer l'album. L'intéressé se montre rassurant et reprend (heureusement) sa place pour enregistrer le classique Bohemian Rhapsody. Il s'écroule au début de la piste suivante et se voit contraint de céder sa place sous une ovation.
Cet excellent album de Police tombe à pique puisque j'ai justement une anecdote à vous partager. Il y a aujourd'hui une semaine, il m'est arrivé une drôle de mésaventure. Il est quatorze heures lorsque je sors de mon lieu de travail et m'en vais barouder dans le centre-ville pour m'acheter des vêtements. N'en trouvant pas à ma convenance, je décide plutôt d'aller chez le coiffeur. En sortant du salon sur les coups de dix-huit heures, je suis extrêmement satisfait de ma coupe. Le dégradé est impeccable et mes cheveux ont retrouvé de la souplesse. Cette magnifique journée est toutefois sur le point de basculer. Je rejoins mon arrêt de bus et attends patiemment que ce dernier arrive à l'heure prévue. Mon enceinte JBL FLIP 5 crache pendant ce temps l'album de John Zorn dans toute la rue. Soudain, deux personnes m'encerclent : « Bonsoir monsieur, nous sommes the Police. - Le groupe de musique ou les vrais policiers ? - Les vrais policiers. Nous recherchons une personne ayant volé une dizaine de costumes des New York Dolls. La victime décrit le malfaiteur comme un homme équipé d'une enceinte JBL FLIP 5 à la main et ayant une coiffure satisfaisante et le cheveu souple. - Mais c'est quoi ce délire, c'est eltrapeze qui vous envoie ? - Pas du tout, vous savez très bien qu'eltrapeze est interdit de séjour en Basse-Saxe. On va vous palper et fouiller votre sac. » Les policiers commencent alors à me palper et à fouiller mon sac. « Tiens tiens tiens, et que voilà ?.. » dit soudain la policière en sortant une perruque blonde et des talons aiguilles de ma poche avant. J'avais été piégé. L'enquête est aujourd'hui toujours en cours, je vous tiendrai donc informés de la suite des événements dans des critiques ultérieures.
Derrière Os Mutantes se cache une histoire assez extraordinaire. À chaque fois que Jim Morrison se rendait au Brésil, il avait pour habitude de s'aventurer dans l'un des favelas les plus défavorisé de Rio pour y auditionner de nombreux habitants présentant des handicaps physiques. Un jour, en arpentant les rues, il aperçut par hasard deux hommes sans bras : « Ah bah tiens voilà parfait. » se dit alors Jim avant de les interpeller : « Eh les mutants, ça vous dirait d'être flûtistes dans un groupe ? - Mais on est manchots… - Qui a dit qu'il fallait des doigts pour jouer de la flûte ? » s'écria Jim en clignant d'un œil. Quelques jours plus tard, les manchots rejoignaient les autres mutants déjà castés et enregistraient l'album Os Mutantes.
Un album assez difficilement appréciable tant la tête dont il est ici question ne cessera de nous cracher sa lumière à la figure du début à la fin du projet. On en sort totalement ébloui mais surtout très énervé.
Le nom du groupe annonçait la couleur toutefois je ne m'attendais pas du tout à cette horrible expérience visuelle. L'album est en effet projeté sur une toile blanche à l'aide de deux appareils qu'on devine à peine sortis de la cave. Les images sont de cet fait d'une qualité des plus médiocres la faute à une large couche de poussière et de toiles d'araignées recouvrant les deux objectifs. À fuir.
Les prodiges de la connerie font leur retour dans le générateur, cette fois-ci sans crabe (il intégrera la bande plus tard avant d'être bouilli et mangé par Buck Owens et Merde Haggarl). Concernant l'album, il s'agit d'une suite de morceaux ma foi sympathiques mais devenant rapidement un supplice. Les vingt dernières minutes d'écoute furent les plus longues de ma vie.
Une véritable kermesse est cet album des Pogues. Les morceaux sont truffés de claque-doigts, de sandwichs à la merguez ou encore de spectacles d'enfants très mal mis en scène… On en sort ravi.
Je tenais d'abord à préciser que cette critique sera probablement impactée par le fait que je me sois brûlé une partie de mon index gauche hier en mettant une bûche dans mon poêle à bois. J'ai beaucoup & mais alors beaucoup _-_ beaucoup aimé %%% cet album $$. Terence Trent D'Arby semble être né () d'un mariage entre Michael Jackson et Stevie Wonder "#/# à cette différence près qu'il possède un timbre immensément plus flûté. @@
Le problème avec Michel Sardou, et eltrapeze l'a très bien dit, c'est que sa carrière a été éclipsée par Les lacs du Connemara. Son image est désormais liée aux étudiants en école de commerce portant un bracelet fluorescent leur offrant des réductions sur certaines bières blondes et autres mojitos.
Avant d'arborer ses iconiques rouflaquettes, George Jones était plus ou moins une énorme victime à la coupe au brosse et au sourire de premier de la classe. Tout bascule en 1970 lorsque des amis à lui insistent pour qu'il fume une cigarette. Jones y prend goût et devient tout simplement intenable. Très vite, il se met à répondre à ses parents, fuguer la nuit, et, cerise sur le gâteau, à fumer des chichas dans le square de son quartier. L'album The Grand Tour raconte en partie comment il a pris la décision de se laisser pousser les cheveux.
Cet album extrêmement mystérieux a très vite attisé ma curiosité et s'est soldé par une découverte assez surprenante. Le point de départ de tout ceci est la non-disponibilité de cet album sur l'application Spotify, qui nous amène très vite sur une autre application : YouTube. L'album y figure bel et bien sous forme d'une playlist. Chaque morceau du projet est décrit dans l'onglet prévu à cet effet de la même façon : « Provided to YouTube by Rhino ». Très intrigant n'est-ce pas ? Après de longues recherches, voici ce que j'ai trouvé : le dénommé Rhino est en réalité un véritable rhinocéros blanc et possède l'intégralité des droits de la discographie de Joni Mitchell. Une fois tous ces faits vérifiés par deux fois, j'appelai donc Robert pour l'alerter sur la situation de la chanteuse. En quelques coups de fil, celui-ci parvint à faire capturer le rhino et à organiser sa réintroduction dans une réserve naturelle ougandaise.
Neil Young est quand même bien meilleur sans sa bouteille de tequila dans les parages. Les premiers sons acoustiques de Rust Never Sleeps sont tout bonnement excellents mais leur dynamique sera gâchée par l'arrivée des Crazy Horse qui passeront leur temps à hennir et déféquer sur scène. On aurait préféré une meilleure fin.
Bien qu'ayant obtenu un quatre sur cinq de ma part lors du prime précédent, je n'accorderai cette fois-ci aucun passe-droit aux Talking Heads. L'album n'a pas du tout su me convaincre. Pour vous remettre dans le contexte, j'ai lancé sa lecture à l'exact moment où je montai dans un train en direction de Hanovre. Quelques minutes après mon installation, au moment de contrôler mon billet, l'employée de la Deutsche Bahn missionnée ce jour-là prêta une oreille à ce que vrombissait mon enceinte JBL dans tout le wagon. « C'est vraiment pas terrible… Ils avaient fait très fort avec Remain In Light mais là c'est vraiment pas terrible... » dit-elle avant que je n'abonde dans son sens. En bref, les Talking Heads devront prouver qu'ils méritent bel et bien leur place avec les deux prochains albums.
J'ai décidé d'accorder un quatre à ces gars-là pour leur banane et leur bonne humeur contagieuse. Des personnes extrêmement sympathiques. Passons maintenant au dossier épineux que doit traiter Robert très rapidement, vous avez bien compris de quoi je veux parler. Aujourd'hui, eltrapeze a violé le septième commandement du décalogue de Robert "7. Tu n'écouteras les albums qu'après leur génération, quand bien même tu les connaîtrais déjà." Il s'est rendu coupable d'avoir écouté l'album Heroes de David Bowie, évidemment partie intégrante de la liste des 1001, sans que celui-ci n'ait été généré au préalable. Le dossier est pris très au sérieux par Robert et pourrait observer un dénouement très prochainement, je vous partagerai toutes les informations qui me parviendront dans les jours qui viennent.
Vous connaissez probablement le conflit qui m'oppose à mon compagnon d'écoute eltrapeze et savez donc à quel point ma vision de la musique est diamétralement opposée à la sienne. Néanmoins je dois dire que sa critique de l'album qui nous intéresse a fait mouche. Le groupe Radiohead est en effet maître dans l'art de faire de très bons albums tout en nous privant de l'envie de les réécouter.
Pour ceux qui n'ont pas bien saisi ce que faisait cet album indie dans la liste des 1001, il y a une explication toute simple. Entre 2005 et 2015, Robert a littéralement passé son temps à écouter de l'indie music pour accompagner son sentiment d'indépendance post-Erasmus. Doutez-vous bien que cette surconsommation a laissé des traces et qu'en 2015, plus personne n'hésitait à le désigner par le terme de "connard".
J'ai hésité à mettre la note d'une étoile sur cinq mais j'ai finalement décidé d'en donner trois. Je cristallise en effet une véritable haine envers Bob Dylan, qu'il n'a pourtant rien fait pour mériter. En discutant avec Robert, celui-ci m'a d'ailleurs fait cadeau d'une anecdote exclusive et jamais révélée sur l'artiste en question. Alors que Dylan était en représentation au Royal Albert Hall en 1966, un ami à lui fit irruption sur scène pour tenter une expérience. Celui-ci s'avança doucement vers l'artiste en train de chanter Mr. Tambourine Man, puis, discrètement, tendit sa main et pinça son nez. Croyez-le ou non, plus aucun son n'entrait dans le micro. Le public était dans l'incompréhension la plus totale puisque la guitare posée sur les genoux du chanteur ne s'était pas arrêtée, elle. Quelques douzaines de secondes plus tard, l'ami libéra les narines préalablement pincées et c'est alors qu'une rafale d'air déferla sur le micro, provoquant une coupure de liaison avec les enceintes des quatre coins de la salle. Le problème crut être réglé par une intervention tardive de Jim Morrison mais le concert sera finalement reporté.
Cet album a été enregistré à Hambourg dans une salle de concert à quelques pas seulement du célèbre quartier rouge de la ville hanséatique. La question est maintenant de savoir ce que pouvait bien faire Robert dans les parages...
Cet album alterne hip-hop et métal sans aucun complexe, nous laissant ainsi dans une situation extrêmement difficile à gérer.
The Weeknd n'a rien inventé avec son dernier album en invitant Jim Carrey sur la plupart des interludes. L'album Led Zeppelin III en est forcément l'inspiration principale tant les apparitions ponctuelles de Nikos Aliagas sont pertinentes. Le CD commence en trombe avec un « Salut, c'est Nikos ! » qui donne le ton. « Au sommaire de ce 50 minutes inside, des stars qui prennent de la drogue et qui achètent des grandes maisons. » enchaîne-t-il alors qu'on entend la voix de Robert crier « aaahaaaaa » dans le fond du studio. Tout est calculé pour passer un excellent moment.
Un magnifique concert de jazz totalement improvisé de la part de notre Keth Jarrett. Celui-ci a ce-jour-là remplacé George Michael au pied levé qui devait à l'origine se produire devant le public lgbt-friendly de Cologne mais a eu un empêchement de dernière minute. N'ayant rien préparé, Keith s'assoit devant son piano et se sent très vite galvanisé par les « youhou » et autre « youhihou » émanant de la fosse. À mi-concert, il est déstabilisé par la montée sur scène d'un fan bien décidé à lui couper ses pointes abîmées à l'aide d'un peigne et d'une paire de ciseaux. La sécurité intervient très vite et le concert se ira jusqu'à son terme sans encombre.
Vous avez probablement entendu parler de cette affaire récemment mais je suis entré en conflit avec le PDG de Spotify, le très gentil et néanmoins suédois Daniel Ek. Je vous explique ce qu'il s'est passé. Depuis quelques années, je paye mon abonnement à la plateforme au tarif étudiant. Et pourtant, ce mois-ci, 9,99€ m'ont été prélevés sur mon compte, il est vrai, extrêmement bien approvisionné. J'appelai pourtant Robert en lui demandant de me passer Daniel immédiatement. Une fois ce dernier au bout du fil, j'entamai une réprimande de plusieurs dizaines de minutes. Tout y passai : reproches, insultes, menaces de mort... Daniel vécut sans doute le pire moment de sa vie. Quelques instants après avoir raccroché, je reconsultai mes prélèvement et le tarif avait été corrigé.
Ces gars-là ont parfaitement su doser leur emploi de notre belle langue française. Seuls quelques mots ont suffi pour transcender leur album et les inscrire dans la postérité. Je voudrais, dans la continuité de ce commentaire, uriner sur les Teardrop Explodes ainsi que Travis (sans citer les illettrés Young Gods) pour avoir eu la très mauvaise idée de s'essayer à la langue de Molière.
Cet album m'a rappelé certaines heures sombres du générateur (je fais ici référence à Portishead et Goldfrapp). Ajoutez à ce côté trip-hop d'ignobles glitcheries et vous obtiendrez un projet assez peu agréable à l'écoute.
Un album très sympa de la part de Genesis même si j'ai été très perturbé par l'attitude de Phil Collins qui ne cesse de se plaindre tout au long du projet. On entend en effet dès les premières notes celui-ci grommeler en fond « putain c'est moi qui devrais être en train de chanter j'en ai marre de la batterie... » Il ne décolère pas sur le morceau suivant : « il chante comme une casserole ce connard en plus » peut-on entendre derrière les cymbales. Le dernier morceau se conclut sur une véritable bagarre déclenchée par un « mais il va me laisser chanter, bordel ?! » capté par les oreilles du chanteur. Quel dommage...
Ces mecs-là nous avaient fait une impression mitigée avec leur premier album, eh bien le résultat est exactement le même avec celui-ci. La soul psychédélique est un style de musique qui ne parle à personne, rentrez-vous bien ça dans la tête.
Quel bonheur d'avoir affaire à de vrais professionnels. Les prévisions sont ici données à quinze jours, avec une précision étonnante pour les avoir vérifiées la semaine qui a suivi. Le featuring avec Catherine Laborde et Louis Bodin est sans doute le morceau le plus impressionnant. On y voit Weather Report gesticuler devant un fond vert sur lequel est projeté une carte de l'hexagone. Pendant trois minutes, chaque ville ou région sera impeccablement désignée par les index des différents membres. L'outro conclut l'album en beauté avec un « demain nous fêterons les Célestins » extrêmement satisfaisant.
« Blur » est à peu près l'onomatopée qui ponctuait mes vomissements pendant l'écoute de ce projet.
Ces métalleux ont passé les trois quarts de l'album à danser autour d'un feu de camp dans le but d'appeler la pluie et d'assurer la protection des récoltes... En un mot : insuffisant.
Je suis un fervent défenseur de Coldplay, j'adore en effet la voix de leur chanteur, ainsi que son facies. J'aime aussi beaucoup leur tube Viva la vida, et également une longue liste d'autres tubes tous meilleurs les uns que les autres. Cet album très sympathique récolte la note de 4/5.
Une très belle bouillie des années 80.
Comme vous le savez probablement, mon pire ennemi et compagnon d'écoute habite actuellement dans un pays frontalier du mien, la Suisse. Vous n'êtes pas sans savoir que je m'apprête cette semaine à postuler pour un emploi se situant dans la capitale de ce pays. Le problème est le suivant : si j'obtenais le poste en question, je me retrouverais à moins d'une heure de trajet de mon rival absolu. Cette possibilité est très vite arrivée aux oreilles de Robert qui s'est dit très inquiet et met actuellement tout en œuvre pour me dissuader d'envoyer une candidature. Plus d'informations à venir...
Pour vous donner un peu de contexte, James Taylor venait d'apprendre juste avant l'enregistrement de cet album que ses deux sourcils n'allaient finalement jamais se rejoindre. Ni une ni deux, les textes de ce projet traiteront essentiellement de cette inquiétude passée. Les démons de Taylor ne s'éclipseront toutefois pas en un clin d'œil et son manque de confiance en lui continuera de transparaître dans Sweet Baby James. On entendra en effet dans plusieurs morceaux l'équipe technique lui murmurer des encouragements tels que « rapproche-toi, n'aie pas peur », « chante un peu plus fort on t'entend pas ici » ou encore « allez James c'est pas le moment de craquer »... Le projet d'enregistrer un album entier était peut-être trop ambitieux.
Le nom de cet album tombe à pique puisque je voulais justement aborder un sujet qui crée des sueurs froides à Robert en ce moment. Vous avez sans doute remarqué que je participe depuis quelques semaines à des soirées karaoké (j'ai d'ailleurs gagné la dernière et remporté la somme de cinquante euros en bons d'achat). Si l'ambiance y est évidemment excellente, un énorme problème se pose : le septième commandement de Robert (« 7. Tu n'écouteras les albums qu'après leur génération, quand bien même tu les connaîtrais déjà ») est soumis à rude épreuve pour ne pas dire totalement violé à chaque fois dans la mesure où de nombreux tubes encore non-générés parviennent chaque semaine à mes oreilles. Robert m'appela donc ce jeudi matin pour me demander des explications et pour la première fois, je décidai de lui tenir tête ; hors de question pour moi de renoncer à ces soirées. Robert a d'ores et déjà annoncé vouloir m'appliquer des sanctions et projette dans un premier temps de geler mon enceinte JBL, je vous tiendrai au courant de la suite des évènements.
Cet album est extrêmement sympathique mais ne parviendra jamais à créer la même tension sexuelle qui inonde ceux de Marvin Gaye. Bien tenté.
Un album appréciable même si j'ai eu énormément de mal à profiter de cette écoute étant donnée la très mauvaise qualité des pelouses, et donc du spectacle.
Robert est au plus mal en ce moment et je vais vous expliquer pourquoi. Alors qu'en début de semaine, je lui avais déjà tenu tête en refusant catégoriquement de me plier à ses exigences, celui-ci vient d'être transféré à l'hôpital en soins intensifs pour la raison suivante : il aurait été tabassé par mon compère et rival de toujours eltrapeze (l'intéressé l'a confirmé à l'heure où je m'enregistre). Bien que je trouve l'album du jour très moyen (Lou Reed se moque de nous depuis les années 60), il n'aurait certainement pas mérité de créer un tel élan de haine. Je ne cautionne en aucun cas les agissements d'eltrapeze. Pour en revenir à l'album, et je crois que tout le monde sera d'accord avec mon analyse, le problème a deux sources : Lou Reed et le menuisier du dernier morceau. Inutile de rappeler comment le premier travaille ses chansons (il appelle ses parents, lance l'enregistrement, puis la conversation, et une fois le combiné raccroché, colle sa voix sur des instruments). En ce qui concerne ledit menuisier, son intervention est un énorme point d'interrogation. Il scie d'abord des planches de bois puis perce un énorme trou dans le mur du studio avant de creuser le sol au marteau-piqueur. « Que cela cesse » crieront nos oreilles jusqu'à la dernière seconde.
Plus de peur que de mal pour Robert qui vient de sortir de l'hôpital avec une simple fracture du tibias. Vous êtes tous au fait de ma nouvelle mission du vendredi consistant à surveiller les élèves de ma classe de sixième à la piscine municipale. Vous savez également que, n'ayant rien à faire de plus que de les regarder nager, je trouve en général le temps extrêmement long. C'est la raison pour laquelle je demandai au professeur que j'accompagne si j'avais la possibilité d'emmener mon enceinte JBL FLIP 5. Ma requête fut déclinée. Oui mais voilà, en arpentant les bords du bassin, je fis une découverte on ne peut plus intéressante : dans un coin était accrochée une énorme enceinte de la marque concurrente BOSE. Ni une ni deux, je profitai d'un moment où le professeur de sport était inattentif pour connecter mon portable à celle-ci. Une poignée de secondes plus tard, l'enceinte détonait l'album des Monkees, provoquant la panique générale. Les quelques regards qui avaient le malheur de se tourner vers moi étaient accueillis par un haussement d'épaule. Petit à petit, le mouvement de panique laissa place à des réflexions telles que « Mais c'est comme les Beatles ?! » parmi les élèves en train de patauger. Vers la fin de l'album, mon attention était si focalisée sur les différences que j'essayais de pointer entre les singes et lesdits Beatles que je ne vis pas une élève de douze ans se noyer et couler vers le fond du bassin. Quelle galère...
J'ai un gros problème avec Miles Davis et je vais vous expliquer pourquoi. Il se trouve qu'en 2016, une chanson appelée « J'écoute du Miles Davis » d'un certain Navii passait très fréquemment sur les ondes radio. Vous l'aurez compris, cette chanson était tout bonnement insupportable et n'avait pour seul objectif de la part du chanteur que de se la péter avec un « Eh vous avez vu, j'écoute de la musique des années 50 ayant obtenu un succès critique, j'ai donc bon goût :) » implicite. J'ai depuis lors Miles Davis en horreur et ne peut l'écouter sans visualiser la tête de ce petit merdeux jouant de la guitare.
Bien qu'ayant écouté cet album seulement hier et dans des conditions optimales (sur une chaise longue et sous le soleil), je serais incapable de vous dire ce qu'il contenait à part peut-être l'annonce d'une décennie musicale extrêmement poussive (je parle bien sûr des années 80). Vous savez désormais que Robert a récemment gelé mon enceinte JBL, et ce pour me sanctionner de violer son septième commandements lors de soirées karaoké. J'ai donc du me résoudre à acheter une paire d'écouteurs bon marché. Un énorme problème se pose toutefois depuis hier : l'embout de l'écouteur droit s'est volatilisé, me laissant dans un pétrin inimaginable quelques heures plus tôt et remettant sérieusement en question la suite de l'aventure. Je vous tiendrai informés dès que j'aurai de nouvelles informations.
En guise d'introduction, je voulais rappeler à chacun le fait que la plupart des allemands ont une coupe de cheveux consistant en un dégradé latéral accompagné d'un plaquage de cheveux sur le front. Ceci étant dit, je peux maintenant passer à la critique de l'album Marquee Moon. Le chanteur a un problème assez ennuyeux qui est celui de ne pas savoir chanter. Pour remédier à ce problème, j'ai créé une cagnotte dans laquelle vous êtes libres de donner le montant de votre souhait. L'intégralité de la recette servira à financer les cours de l'intéressé. Je vous écrirai le lien du site internet menant à celle-ci dans ma critique du prochain album d'Eric Clapton.
J'attendais l'entrée en matière générateurienne d'Eric Clapton depuis un bon moment déjà, et je dois dire que je suis resté sur ma faim. Cet album ne présente en effet aucun tube de l'artiste à l'exception d'une reprise de Bob Marley totalement hors de propos. Pendant toute la durée du morceau précité, Clapton va nous adresser des regards (qu'il croit sûrement discrets) dans le but de déceler si oui ou non on est en train de comprendre l'escroquerie qui se déroule à ce moment-là. « I Shot The Sheriff ! » s'exclame-t-il alors en espérant que nos oreilles n'y entendent que du feu. Manque de pot pour lui, cette chanson m'a été enseignée par mon professeur de guitare Matthis il y a plus de dix ans, je sais donc qui en est le véritable auteur.
Moby a connu une ascension assez singulière dans l'industrie musicale. Il a pendant très longtemps fait de l'électro dans sa chambre sans jamais réussir à percer jusqu'au jour où, dégustant une planche mixte charcuterie-fromage en terrasse d'un café, il vit débouler Eminem qui lui passa une soufflante d'une violence inouïe et totalement imméritée puisque les deux hommes ne se connaissaient pas. Très marqué par cet épisode, Moby s'en servit cependant pour lancer sa carrière avec l'album Play. La pochette de ce dernier témoigne d'ailleurs du phénomène pavlovien suivant : lorsque Moby entend le nom d'Eminem (ici diffusé par le talkie-walkie sur la gauche), il sursaute de manière ultra-spectaculaire, ce qui a tendance à amuser ses amis.
Je crois que tout a déjà été dit à propos de ce que l'on appelle communément « L'imposture Costello ». L'argument le plus marquant de cette théorie est sans nul doute la voix dégueulasse de l'artiste à classer parmi les pires de l'industrie. À l'extrême opposée de cet organe défectueux, je dispose moi-même d'une voix chantée absolument sublime, encore saluée hier soir lors d'une soirée karaoké (que j'ai une nouvelle fois remportée haut la main). C'est bien simple, je ne pus pas terminer la moindre chanson sans entendre des « Was für eine geile Stimme... » prononcés dans un allemand parfait à mon endroit. Pour vous donner une idée, la seule personne que je connaisse ayant tenté de relativiser ce fait pourtant établi n'est autre que mon ennemi juré eltrapeze. Celui-ci a en effet un jour affirmé que ma voix était « belle mais pas non plus exceptionnelle ». Ces propos sont aberrants et ont naturellement contribué à nourrir la haine qui nous unit aujourd'hui. Pour en revenir aux soirées karaoké, vous savez que la situation est toujours extrêmement tendue entre Robert et moi, robrebellière. La raison, et vous la connaissez, est que je viole depuis plusieurs semaines le septième commandement de son décalogue en chantant à tue-tête des chansons encore non-générées. C'est la raison pour laquelle, hier, en tentant de sortir du bar organisant l'évènement en question, je fus pris d'effroi lorsque je vis la rue occupée sur toute sa longueur par des véhicules d'intervention appartenant à la milice de Robert. Fort heureusement, le patron du bar me fit évacuer par le fleuve qui longue la terrasse en me prêtant l'une de ses gondoles et je m'échappai ni vu ni connu jusqu'à mon domicile.
J'avais envie pour cette critique de faire hurler mon rival de toujours et pire ennemi eltrapeze (celui-ci a accordé la note de deux sur cinq à cet album). Contrairement à ce qu'il dit dans sa critique, j'ai trouvé ce disque extrêmement plaisant, et, avec ce quatre sur cinq, le mets au même niveau que d'autres albums parmi lesquels on trouve Abbey Road. D'autre part, je voulais vous partager la mésaventure qu'il m'est arrivée hier soir. Comme vous le savez, je viole l'un des commandements de Robert lors de soirées karaoké hebdomadaires, mais à l'exception de ce moment précis, je continue de respecter son décalogue à la lettre. Ce qui m'amène à vous parler de la situation délicate d'hier soir. Alors que je jouais de la guitare en compagnie d'un père de famille très sympathique autour d'un barbecue, celui-ci joua soudain quelques accords puis me demanda : « Tu connais ça ? » La mélodie ne me disait rien. « Non c'est quoi ? » répondis-je. « C'est les Pink Floyds » dit-il alors fièrement. « ... de quel album ? » lui lançai-je alors l'air inquiet avant qu'il ne réponde ce que je redoutais le plus : « C'est dans Wish You Were Here. » Problème : cet album n'a pas encore été généré et je n'ai donc pas le droit de l'écouter. « Arrête de jouer... » dis-je d'abord gentiment. « Pourquoi ? » me demanda-t-il d'un air amusé. « Arrête de jouer ou je t'en colle une » finis-je par m'impatienter. Vous vous en doutez, la soirée se termina en bagarre générale dont je sortis vainqueur.
Ce gars-là combat la grossophobie avec un panache hors du commun.
J'ai évidemment comme vous tous profité de cet album pour régler les périphériques audio de mon ordinateur ASUS. Pour ce faire, j'ai appuyé sur le bouton Windows, suis allé dans Paramètres, ai cliqué sur Son, puis sur le menu déroulant et ai sélectionné mes écouteurs. J'ai ensuite testé le son: « Un, deux, un deux… » Une fois ceci effectué, j'ai téléchargé plusieurs "drivers" via l'onglet Mise à jour et sécurité puis ai redémarré mon ordinateur.
Ces gars-là réussissent à peu près à se démarquer de leurs collègues punks aux intuitions musicales dégueulasses. Encore un petit effort...
Il est absolument IMPOSSIBLE d'écouter cet album sans avoir un minimum de contexte en main. On est en 1978, soit quatre ans avant l'épisode de la guitare qui va bouleverser la vie de Springsteen. Il enregistre à cette époque Darkness on the Edge of Town dans le but d'expliquer comment il va s'y prendre pour construire son prochain album, Nebraska, qu'il compte sortir en 1982. La stratégie qu'il développe en chanson est la suivante : se faire pousser une coupe mulet pendant quatre ans pour être fin prêt lors des séances studio. Il ne sait pas encore que cette décision sera le point de départ d'un immense traumatisme. Une fois Darkness enregistré, il décide d'organiser une séance photo et fait venir un professionnel. Ce dernier lui demande de s'adosser au mur et d'ouvrir son blouson noir. Bruce est très aimable et courtois, mais vous allez voir que ça ne va pas durer bien longtemps. Le photographe lui annonce qu'il va bientôt appuyer sur le bouton de son appareil quand soudain, au moment de prendre le cliché, un « zwip » se fait entendre. « Qu'est-ce que c'est ? » demande alors le photographe avant d'apercevoir le sexe de Springsteen sortir de sa braguette. « Tu reconnais pas le petit Jésus, ma couillasse ? » répond le chanteur en agitant son bazar. Horrifié, son interlocuteur quittera la séance sans attendre. Bruce Springsteen sélectionnera tout de même la photo en question pour en faire la couverture de l'album mais son équipe et lui-même prendront soin de rendre invisible la partie de l'image située en dessous de la ceinture.
Nous avons ici malheureusement affaire à un hors-sujet total : ce film policier d'entrée de gamme n'a en aucun cas sa place dans la liste des 1001.
Ces petits rigolos nous montrent par intermittence qu'ils savent jouer de plusieurs instruments mais préfèrent nous faire subir une heure de bruitages téléchargés gratuitement sur le site universal-soundbank. Passez votre chemin.
Un album à l'image de Depeche Mode dans le sens où il met en scène un défilé très agréable visuellement mais extrêmement rapide, la faute à un manque de temps caractéristique du groupe. Les mannequins présentent de ce fait les créations en marche rapide (pour ne pas dire en courant) et finissent par suer dans leurs tenues tant le rythme est soutenu. Tant pis pour les photographes qui repartiront chez eux l'appareil rempli de clichés flous.
Il s'agit là d'un album plus que correct de la part des pionniers de l'hôtellerie rock. Sans surprise, l'accueil des clients est parfaitement maîtrisé, les locaux très bien entretenus, le linge est lavé, rangé, etc... Seul petit hic, les prises électriques sont assez mal réparties dans les chambres. Globalement satisfaisant : 3/5.
Tom Waits est une nouvelle fois en roue libre dans cet album studio. Le point culminant de ce spectacle est sans doute le moment où il fait monter une spectatrice sur scène et l'humilie à coup de vannes toutes plus réussies les unes que les autres. Le public est conquis.
Avec Apocalypse Dude, le groupe Turbo-n-word franchit très largement les frontières du politiquement correct mais retombe sur ses pattes grâce à une magnifique débauche d'énergie. L'album est une réussite.
Quelle désillusion... Comme vous le savez, eltrapeze et moi-même, robanniversaire, avions prévu de fêter un an de générateur en cette magnifique journée d'hier. À cette occasion, c'était l'album Nevermind de Nirvana, l'un des rares poids lourds encore cadenassés, qui allait être généré par Robert. Ce dernier ne l'avait pas confirmé mais l'information avait fuité depuis un bon moment déjà. C'est pour cette raison qu'eltrapeze et moi-même avions conjointement décidé de signer la veille un « pacte de non agression » afin de mettre en parenthèse le conflit ouvert qui faire rage entre nos deux camps le temps d'une soirée festive qui allait se dérouler au domicile de Robert. Tout avait été organisé par son fils Mike Ladd. Nous devions au cours de l'après-midi dresser une grande table au milieu de la pièce et apporter biscuits apéritifs et boissons. Le moins que l'on puisse dire est que la fête ne s'est pas passée comme prévu. Sous les coups de vingt heures, alors que je discutais calmement avec les Beau Brummels, Mike Ladd entra affolé dans la pièce : « Ils arrivent ! Je les ai entendus dans le couloir ! » Tout le monde alla trouver une cachette. Je m'accroupis derrière un fauteuil et eltrapeze derrière une lampe (eltrapeze est très maigre). Soudain, la porte s'ouvrit. C'est alors que nous nous levâmes et nous exclamâmes « Surprise ! » en cœur. L'enthousiasme laissa soudain place à l'incompréhension. Robert n'était pas avec Kurt Cobain mais avec une personne totalement inconnue. « Ehhhhhhh Africa Brazil !!! Africaaaa Brasiwwww !!! » s'écria celle-ci avant d'embrayer sur un baragouinage des plus incompréhensibles. Personne n'osa répondre quoique ce soit pour ne pas risquer de vexer ce monsieur. Une fois les présentations faites, Robert installa le baragouineur sur une scène située au fond de la pièce devant nos regards médusés. Eltrapeze et moi commençâmes alors à enchainer les toasts au tarama pour oublier notre déception. Robert raccompagna finalement Jorge Ben Jor à la porte à la fin de son baragouin. Une fois celle-ci fermée, la totalité des invités déferla sur ce premier et le tabassa pendant de longues minutes, transformant une soirée d'anniversaire prometteuse en un terrible désastre.
Un album évidemment surcôté même si certains passages sont notables ; je pense notamment à celui où Ronaldinho enchaîne sombrero, virgule, rebond du ballon contre le mur et enfin but.
J'ai remis quelques secondes de l'album pour essayer de me rappeler son contenu. Pour ne rien vous cacher, je n'ai pas le moindre souvenir de celui-ci. Afin d'être certain de l'avoir bien écouté, j'ai appelé Robert sur sa ligne fixe et lui ai exposé mon problème. « Aucun soucis de mon côté, je vois ton écoute validée sur mon fichier. Tu l'as lancé alors que tu étais place 62 wagon 13 dans le train 7671 en direction de Toulouse vendredi dernier. Gros bisous. » Me voilà rassuré.
N'ayant pas regardé l'année de publication de ce CD et au vu de sa couverture, je m'attendais à un album punk. Les premières notes de jazz m'ont de ce fait agréablement surpris. Mon seul petit regret reste le moment où la bombe atomique explose et nous cause un acouphène de plusieurs minutes. Dommage.
Un très bon album de funk magnifiquement bien présenté par Christophe Dechavanne et son chien. Le concept est très simple: deux familles s'affrontent, chacune d'elles étant composée de cinq membres, dont un capitaine. Le but est de répondre à des questions ouvertes posées à un panel de Français sondés composé de cent personnes et de trouver les réponses les plus fréquemment données par ce panel. La famille qui accède à la finale peut remporter une somme pouvant s'élever jusqu'à 100 000 €. J'ai beaucoup aimé les passages au cours desquels les candidats donnent une mauvaise réponse et que retentit le son « Pwooon » illustré par une croix rouge ; Dechavanne ajoutant souvent la phrase « Ça sent le vécu... »
Je vais vous expliquer un peu le contexte dans lequel j'ai écouté cet album. Vous n'êtes pas sans savoir que lorsque celui-ci a pointé le bout de son nez dans le générateur, je participais à un séminaire extrêmement chronophage. Il m'était dès lors très difficile de trouver un moment pour l'écouter. Je me rendis pourtant compte que d'énormes enceintes bordaient la salle de réunion et qu'un câble jack gisait sur le sol en permanence. Sous les coups de quinze heures, l'un des animateurs dit soudain la chose suivante : « Bien, nous allons maintenant vous enseigner la chose la plus importante de ce séminaire, à savoir un secret d'une valeur inestimable. Je vous le dévoile immédiatement : le secret est ... ♫ Everybody's saying music is looove ♫. » David Crosby venait d'envahir l'espace sonore. Toute la salle se retourna vers moi et m'aperçut alors debout, mon téléphone à la main et la prise jack branchée à celui-ci. Je leur adressai un sourire espiègle.
J'ai globalement assez peu apprécié cet album. Dès la troisième piste, alors que l'on est en train de se déplacer dans les hautes herbes, notre joueur s'immobilise et une musique se lance. Nous nous retrouvons alors face à un véritable Roucool de niveau 3. Notre Kaiminus enchainera dès lors les attaques « griffe » tandis que le Roucool répondra par des « vives-attaques » très peu efficaces. Le combat sera finalement remporté mais nous laissera sur nos gardes jusqu'à la fin de l'album.
Cet album m'a au moins ouvert les yeux sur le fait que Nick Drake et Nick Cave sont deux personnes différentes. À la bonne heure.
Cet album a l'air de jouir d'une certaine popularité si l'on en croit le nombre d'écoutes sur les plateformes musicales. Problème : je ne le connais, ni lui, ni l'artiste qui l'a pondu. Solution : quand je ne connais pas, je n'ouvre pas la porte.
Un album caractéristique des Chemical Brothers. Ceux-ci se présentent d'abord en blouse blanche à l'entrée du laboratoire et s'avancent chacun vers un robinet. Ils se munissent alors d'eau distillée et commencent à rincer une poignée de tubes à essai ainsi qu'un bécher. Une fois ceci fait, l'un des brothers verse délicatement de l'eau dans un tube alors que le second brother y ajoute de l'acide éthanoïque. Ils étalonnent ensuite le pH-mètre avec les solutions tampon 4 et 7 et agitent la solution dont le pH est mesuré. L'examinateur les interrompt soudain et leur demande de se verser chacun un litre d'acide chlorhydrique dans la bouche. Les Chemical Brothers s'exécutent naïvement. Quelques secondes plus tard, les deux sont transportés d'urgence à l'hôpital et laissent ainsi leur matériel chimique dans le laboratoire.
Pour ceux qui se demanderaient, un leppard est un animal hybride né de l'union d'une guéparde et d'un léopard. Le comportement du leppard est principalement caractérisé par de longues crises d'hystérie se traduisant souvent par des troubles de la parole ou de la sensibilité. Le groupe Def Leppard a parfaitement su traiter ce sujet souvent passé sous silence dans cet album.
Les albums des Byrds ne feront à présent l'objet d'aucune critique jusqu'à ce que Robert se résolve à retirer Gene Clark et sa bande de joyeux connards de son grimoire.
Un album minimaliste pour Devendra, le chanteur se contentant de simples passes latérales et de plats du pied « sécurité ».
Un album ringard mais important puisque c'est dans celui-ci qu'est apparue pour la première fois la lettre S dessinée à la façon « graffiti ». The Pharcyde commencent en effet leur projet par deux séries de trois lignes parallèles et les relient diagonalement de gauche à droite avant de dessiner des bouts pointus en haut et en bas. Cette façon curieuse de dessiner le S sera reprise par tous les enfants dans les cours d'école.
Grâce à cet album, j'ai pu vérifier une de mes théories concernant la musique du groupe Joy Division. J'ai pour ce faire téléchargé l'intégralité des pistes le constituant ainsi que le logiciel Audacity. Je les ai ensuite importées dans ce dernier. J'ai enfin cliqué sur la fonction « réduire les bruits parasites et autres sons dégueulasses ». Croyez-le ou non, mais en repassant les pistes, j'eus l'agréable surprise de constater que la voix du chanteur avait totalement disparu.
Une Dusty Springfield à l'apogée de sa vulgarité qui enchaînera sans complexe les scènes interdites aux moins de dix-huit ans que je n'ai pas envie d'énumérer ici à l'inverse d'eltrapeze.
Un album générique de la part des Kinks qui n'ont au passage pas eu l'élégance de me signaler qu'ils avaient coupé mon couplet sur l'avant-dernier morceau.
Cet album est un sacré pied de nez envers les amateurs de musique punk se remplissant les oreilles de merde au jour le jour.
Un album enregistré à l'époque du paléolithique qui fait en effet son travail mais sans grande surprise, Muddy Waters se contentant d'enfiler des bottes et de traverser un lac boueux d'un bout à l'autre. La façon d'aborder la musique a depuis heureusement bien évolué.
L'album démarre par une angoissante mélodie nous faisant pressentir l'arrivée imminente d'un ou plusieurs extraterrestres. L'un d'eux s'emparera du microphone dans les derniers instants et grommellera des idioties qui ne méritent pas vraiment qu'on s'y attarde.
Un album qui met sans surprise en scène une réunion d'auteurs en plein travail d'écriture. On est témoin pendant plus de quarante minutes d'un intense remue-méninges qui se conclura par la mise au propre d'un dialogue d'une quinzaine de pages.
L'album de la maturité pour La Fouine. L'artiste y fait ce qu'il sait faire de mieux en enchaînant d'abord ses célèbres gimmicks (Fouiny babe, Ban-ban-banlieue sale, Chuis pro-prié-taire, Fouiny est pro-prié-taire...) et en concluant son projet par une magnifique collaboration avec Patrick Bruel. En bref, un excellent album.
Vous savez probablement déjà que selon mon barème de notation, les chanteurs ou chanteuses à voix dégueulasse ne peuvent prétendre à une note supérieure à deux sur cinq de ma part. Cet album ne fera pas exception.
Robert est encore une fois bien gentil de nous générer un gros nom de la liste, mais l'inquiétude commence à grandir au sujet de la situation de Stevie Wonder. Elcrameze et moi en sommes actuellement à 388 albums et Stevie n'a pas été généré la moindre fois. Pour essayer d'en savoir plus, je me suis rendu au domicile de Robert et suis descendu dans sa cave, à l'endroit même où il détient les artistes qui attendent d'avoir leur chance dans le générateur. Je finis par trouver celle de notre ami malvoyant et constatai avec dépit qu'elle était fermée à l'aide de quatorze cadenas. « À l'aide !! » crus-je alors entendre à travers la porte. Je regagnai finalement ma ville de Basse-saxe.
Le principal problème de cet album est que Tim Buckley nous envoie des nouvelles de ses vacances à Los Angeles alors même qu'on ne lui a rien demandé.
Cet album marque la fin d'une semaine rythmée par le conflit qui m'oppose à Robert. Celui-ci a en effet tenté de me nuire à trois reprises. Laissez-moi tout vous expliquer. Vous savez que je défie Robert Dimery en participant à des soirées karaoké transgressant le septième commandement dont j'ai déjà beaucoup parlé (je vous invite à lire mes précédentes critiques). Ma participation à ces soirées m'est rendue possible par le vide laissé dans mon emploi du temps le lendemain entre huit et dix heures du matin. Oui mais voilà, alors que j'étais tranquillement installé sur une chaise mercredi dernier, l'un des professeurs avec qui je travaille vint me trouver: « - Bonjour, Robtentaculaire. - Qu'est-ce qu'y a ? - Je viens de recevoir un message venu d'en haut et je dois te prévenir que mon cours normalement prévu à onze heures quarante-cinq le jeudi est déplacé à huit heures. - QUOI ?!" Nul doute que Robert était derrière ce changement. Le problème est que lorsqu'on me cherche, on me trouve. C'est pour cette raison que j'ai très rapidement réagi de la façon suivante : je me suis rendu sur le site de rencontre extrapeze.org, site permettant à quiconque mais surtout à moi de rencontrer les ex-fréquentations d'eltrapeze se trouvant à proximité. J'ai donc placé la zone de recherche dans un rayon de trois cents mètres autour du bar proposant le karaoké et le logiciel y localisa neuf ex-compagnes d'eltrapeze. Après une série d'entretiens individuels (et un entretien collectif à quatre organisé par manque de temps) , je sélectionnai l'une des prétendantes. Depuis lors, j'ai la possibilité de récupérer mes deux heures de sommeil entre mercredi et jeudi en dormant directement chez elle. La deuxième attaque de Robert à mon encontre s'est tenue il y a trois jours. Celui-ci s'est assuré que les écouteurs que je venais d'acheter (Robert a gelé mon enceinte JBL) s'autodétruisent au bout de quelques heures d'utilisation. Ce fut le cas alors que je me trouvais dans le bus en direction de mon école. J'écoutais paisiblement une chanson de supermarket-pop signée par Ed Sheeran quand les écouteurs explosèrent dans mes oreilles sous le regard médusé des personnes assises à côté de moi. N'en déplaise à Robert, j'ai consulté un ORL et mes tympans fonctionnent à merveille. Sa troisième offensive réside bien sûr dans la génération d'un album de ses amis rencontrés en Erasmus, Goldfrapp, groupe que je déteste comme vous tous. Seulement je dois dire que pour la première fois, je n'ai pas trouvé leur projet atroce. Robert, je te l'annonce, il en faudra plus pour me déstabiliser.
J'ai depuis toujours horreur des guerres et autres attentats terroristes pour la simple et bonne raison que pendant les jours qui suivent un tel évènement, un nombre incalculable de chorales de connards va s'en donner à cœur joie pour nous matraquer les oreilles à coup d'« Imagine all the people » emplis de niaiserie. Laissez-nous tranquille.
Ce qui est amusant avec cet album est qu'après avoir démarré par une ambiance jazz, les Style Council se sont vite orientés vers de l'ultra-sexual-soul, n'arrivant évidemment qu'au quart de la cheville du maître de la discipline, j'ai nommé l'incontestable Marvin Gaye.
Eltrapeze va bientôt s'en aller casser la gueule à Robert pour ceux qui n'étaient pas au courant.
Plusieurs sujets sont à aborder dans cette critique. D'abord, l'album en lui-même. Il est assez particulier dans la mesure où PJ ne va cesser de tordre ses lèvres dans tous les sens sans que l'on en comprenne bien la raison. La piste Plants and Rags mérite ensuite que l'on s'y attarde. On peut entendre vers la fin les fameux portails rouillés que Jim Morrisson avait utilisés pour ruiner l'album de Nico (cf album de Nico). PJ Harvey les a en effet remportés lors d'une vente aux enchères après avoir été à la lutte avec un brave fermier pendant plus d'une heure. « Mais tu vas me laisser ces putains de portails, oui ou merde ?! » lui lançait-il à chaque fois que PJ surenchérissait avant de finalement abandonner le lot. Enfin, parmi nos lecteurs outre-atlantique, beaucoup n'ont pas saisi toutes les nuances de l'expression "bourre-pif" employée par eltrapeze à plusieurs reprises. Il s'agit en fait simplement d'une autre façon de dire nasarde ou encore chiquenaude à direction nasale, rien de sorcier en somme.
Un album dans lequel Q-Tip se confie sur la renaissance qu'il connaît depuis qu'il s'est échappé du groupe A Tribe Called Quest. Et on peut le comprendre.
Comme l'a plutôt bien énoncé mon compagnon d'écoute et principal antagoniste eltrapeze, cet album n'a pas eu le même impact sur notre quotidien que celui précédemment généré. Alors que pendant la semaine suivant ce dernier, il nous était impossible de nous exprimer d'une autre façon que par de longs cris stridents, l'album Highway To Hell n'eut pour seul effet que de changer la hauteur de notre voix d'un simple octave, ne provoquant au passage aucune gêne chez nos interlocuteurs. Une copie à revoir.
Robert nous a pris par surprise en envoyant dans le générateur un album de Supreme Love Jazz dont cet individu est l'unique représentant. Le problème avec ce style de musique est qu'après avoir été habitué à entendre de l'Ultra Sexual Soul par l'intermédiaire de Marvin Gaye, on n'est plus vraiment friand de douceur et de sentiments mais plutôt d'animosité et de relations sans lendemain.
Le héros de l'androgyne-pop surprend avec cet album. Après une première partie des plus insignifiantes, celui-ci se transforme en séance de sophrologie nous accompagnant lentement mais sûrement vers un sommeil profond.
Confer toutes les critiques d'albums classés Post Erasmus Indie déjà générés par Robert.
Un album intéressant qui met en scène les membres des Stooges en pleine réflexion au sujet d'un prochain déplacement en avion que doit effectuer le groupe. Le point qui pose problème est le prix des billets qui n'entre pas dans leur budget. Ils doivent alors trouver une solution pour prendre cet avion tout en payant un nombre de billets inférieur au nombre de membres. Ils ont soudain une idée. Arrivés à l'aéroport, les Stooges se présentent au portique de détection avec leurs valises. De manière surprenante, Iggy Pop ne fait pas partie de la troupe. Chacun pose donc sa valise et ses effets personnels sur le tapis roulant. Le premier membre passe le contrôle sans problème, idem pour le deuxième, le troisième, etc... Soudain, au moment de scanner le bagage cabine du dernier, l'agent de sécurité est stupéfait : « Ça par exemple ! Viens voir ça ! » lance-t-il à son collègue. Celui-ci s'approche et n'en croit pas ses yeux. Coincé entre un pyjama et un sèche-cheveux, Iggy Pop est contorsionné dans une poche latérale et regarde fixement l'objectif. Les Stooges seront finalement raccompagnés à la sortie de l'aéroport et devront annuler leur concert.
Malheureusement, le lien qui mène à cet album ne doit pas être très sécurisé puisque eltrapeze et moi-même avons été infectés au lendemain de l'écoute par le virus LedZep-4. Une semaine cloué au lit dont je me serais bien passé...
Un bon album. Mention spéciale au tube « J'écoute du Navii » et à la balade romantique « Je porte du Napapiji ».
Un album assez peu agréable, la faute à un trop grand nombre de personnes agglutinées dans cette maison. Impossible de danser étant donné le peu d'espace autour de soi, ni de retrouver ses amis une fois perdus de vue. Et je ne parle pas de la queue aux toilettes...
Je n'ai qu'un vague souvenir d'une entame plutôt rock et d'une conclusion assez funky. À moins que je confonde cet album avec le précédent, ce qui ne m'étonnerait pas un seul instant étant donné ma personnalité très tête en l'air.
Ce gros lourdaud nous offre un album très réussi d'Obèse Beat.
Cet album d'une durée de plus de trois heures est apparemment synthétisé sur Spotify puisque la version de la plateforme ne fait qu'une quarantaine de minutes. J'ai donc appelé Daniel Ek sur son portable. Le Suédois a tenté de me calmer et m'a assuré que Robert avait de toute façon validé mon écoute. Voilà qui est réglé.
Joni Mitchell et YouTube ça commence à bien faire maintenant...
J'ai écouté cet album perché sur la Tour Eiffel et croyez-le ou non, ça ne m'a pas empêché de confirmer mon hypothèse selon laquelle With Or Without You est une chanson surcôtée.
Cet album a le mérite de nous donner une idée de ce que faisaient les Bee Gees avant de tortiller du cul et de ne chanter qu'en ultra-sons.
C'est à croire que Leonard Cohen était déjà mort bien avant de devenir son fructueux cadavre tant l'album est dépourvu d'énergie.
Cet album est d'une certaine façon le chef-d'œuvre de Springsteen. Pour le remettre dans son contexte, Bruce sort d'une longue période de dépression au cours de laquelle il confie souvent à ses amis voir « la queue à moitié molle » selon ses propres mots. La cause de ce passage à vide est intimement liée à son album précédent : Darkness on the Edge of Town. Pour celui-ci, le chanteur avait insisté pour que la pochette montre bien son sexe et ses testicules. Le photographe ainsi que ses producteurs se sont opposés à cette idée, et seul le haut du corps de l'artiste apparaîtra finalement. Pour le chanteur, c'est un drame. Les textes de son CD sont selon lui impossible à comprendre sans avoir vu ses « énormes couillasses ». Six ans plus tard, ses proches et ses collaborateurs toquent à sa porte. Toute personne qui côtoie Springsteen sait qu'il faut toquer au moins cinq fois par précaution puisque l'intéressé a pour habitude de se promener les fesses à l'air dans son salon. En ouvrant la porte, Springsteen leur fait sa farce préférée qu'il nomme la « couillasse surprise ». Il s'agit d'une astuce qu'il a lui même élaborée ; au dessus de son caleçon, il fait dépasser une roubignole et attend que les invités la remarquent. Ses proches et producteurs lui expliquent alors le projet : on ne peut pas faire figurer de pénis sur la pochette d'un album. Cependant, faire apparaître un cul est parfaitement autorisé par la loi. À ce moment précis, Springsteen est aux anges. Il va pouvoir montrer son cul à l'Amérique. Quelques pets gras plus tard, l'album est dans la boîte et se vendra à plus de cent trente millions d'exemplaires.
Des eightieseries dont on se serait encore une fois bien passé.
Sans surprise, ces talentueuses grognasses nous proposent une routine matinale beauté totalement à côté de la plaque. À titre d'exemple, un temps monstrueux est pris pour le séchage des cheveux et le lissage (alors que tout le monde sait que seulement quinze minutes suffisent amplement) tandis que le maquillage est bâclé (fond de teint trop foncé, trait d'eyeliner trop épais, etc...) À revoir.
Les Red Hot s'aventurent ici dans deux voies qui ne sont pas les leurs : le rap, bien mieux maîtrisés par les artistes que l'on appelle "rappeurs", et le sexe, créneau monopolisé par Marvin Gaye.
Louis Bodin et moi sommes amis depuis quelques semaines.
J'avais énormément de choses à dire sur cet album, mais étant donné le peu d'implication de Robert ces dernières semaines j'ai décidé de montrer mon mécontentement au travers de cette critique.
Les Beatles comme on les connaît avec des chansons très connues, d'autres moins et encore d'autres pas très connues.
PJ est de loin la personne ayant fait les progrès les plus visibles sur le générateur. Après un premier album catastrophique sanctionné d'un 1, elle revint avec une nouvelle proposition couronnée d'un 3. Pour continuer sur cette lancée, je suis très content d'accorder un 4 à Let England Shake.
Une radio libre très drôle et animée. Difool nous accompagne de 21h à minuit sans qu'on ne voie le temps passer. Les différentes parties de la soirée sont toutes aussi divertissantes les unes que les autres : Romano et Cédric nous offre d'abord un hilarant clash de la drague avant que Romano ne monopolise l'antenne pour son célèbre top bug. Il enchaînera avec le problème du mois tandis que la Marie nous parlera du pénis en forme de robinet de son compagnon. En bref, un excellent moment.
Faire cet album était une aussi bonne idée que de superposer plusieurs polices sur la pochette.
De souvenir, ces gars-là ont livré une performance plus que correcte même si les bégaiements à outrance m'ont beaucoup agacé. J'ai d'ailleurs horreur de parler avec des gens qui bégaient. En revanche, j'adore discuter avec les personnes qui articulent de manière fluide. Les goûts et les couleurs...
Référez-vous à la critique d'Àfrica Brasil même si elle n'a rien à voir.
Mike Ladd est le fils de Robert Dimery.
Si je souviens bien, j'ai écouté cet album en continuant ma carrière de joueur avec Christos Perdikis sur FIFA 22. Pas grand chose à signaler en somme, à part peut-être que Christos se débrouille à merveille dans chacun des clubs par lesquels il passe.
Je vais un peu faire le même reproche à cet album qu'à celui du T.Rex. La fin n'était pas nécessaire. Alors que le tigre venait à peine de finir un bon repas, il n'hésita pas une seconde à massacrer une antilope qui passait dans le coin par pur plaisir. Il n'en mangera qu'un petit bout et laissera la dépouille derrière lui. En bref, un vrai gâchis.
C'est une première sur le générateur, j'ai aujourd'hui décidé de m'adresser directement aux citoyens américains. Mes chers habitants des Etats-Unis je vous propose une expérience : 1. Déposez le gobelet de Sprite que vous tenez dans la main et saisissez-vous d'un appareil permettant de diffuser de la musique (portable, balladeur mp3, radio, etc...). 2. Sortez maintenant des frontières etats-uniennes. 3. Faites écouter de la country à n'importe quelle personne sur votre chemin. 4. Répétez l'opération à plusieurs reprises. Étonnant, non ? Avez-vous remarqué ? Si vous avez suivi les instructions à la lettre, vous aurez probablement constaté que la country est un style qui ne parle absolument à personne ailleurs que chez vous. Laissez-nous en paix, par pitié.
Ces gars-là ont une très belle énergie, ce qui suffit à les opposer à Leonard Cohen.
Pour une critique de cet album, je vous redirige vers eltrapeze, qui lui-même vous donnera le numéro de téléphone de mon père. Une fois que vous l'aurez appelé, prononcez le mot-clé « Black Sabbath » et laissez vous aller.
Un bon alb... La suite de cette critique est réservée aux abonnés robpremium. Pour un accès immédiat, abonnez-vous à partir de 18,99€/mois en cliquant ici :
Ces mecs-là se prennent clairement pour les Dexys Midnight Runners et ce n'est pas pour me plaire.
Ce gars-là m'a éclaté la gueule, désolé pour le langage.
Le problème de cet album est que je ne suis sûr qu'à 90% de l'avoir écouté.
J'ai connu l'Afrobeat grâce à Emmanuel Macron. Et je l'en remercie.
Pour ceux qui seraient passés à côté de l'information, Dinosaur Jr. est le fils de T.Rex (un peu à la manière de Mike Ladd qui est le fils de Robert Dimery). Cet album met d'ailleurs en scène l'accouchement de la femelle T. Rex ainsi que les premiers pas de Dinosaur Jr. Si les trois-quarts du projet nous offre un tableau très mignon de la relation entre nos amis sauropsides, celui-ci va finalement s'assombrir lorsque la maman T. Rex va montrer à bébé dino comment broyer la gorge d'innocents Diplodocus. On s'en serait encore une fois bien passé.
Teen Dream est l'album Post-Erasmus Indie de trop pour Robert. Pour les nouveaux du générateur qui lisent cette critique avec attention, Robert Dimery a décidé, pour la période 2005-2015, de ne sélectionner que des albums indie pour son grimoire à la con. J'ai donc décidé de lui demander plus d'informations. Voici sa réponse : « Salut robcuriositaire, Tu m'as demandé pourquoi il y avait autant d'albums Post-Erasmus Indie dans mon grimoire. La raison est pourtant simple : je suis un connard de première catégorie. Mille et un bisous, Robert » Au moins, c'est clair.
Encore un grand merci à Emmanuel Macron pour cet album.
L'album n'étant pas arrivé à son terme au moment où j'arrivai à la piscine en ce vendredi (je suis maître-nageur), je diffusai les trente secondes restantes sur les énormes enceintes BOSE bordant le bassin, provoquant la stupeur chez nos amis baigneurs.
Petit coup de gueule au sujet du morceau Moonlight in Glory. Alors que je déambulais joyeusement dans les rues d'Hambourg à la recherche d'un matelas gonflable et que le titre précité commença à défiler dans mes oreilles, je me surpris à me décaler plusieurs fois sur la droite, pensant entendre une sonnette de vélo. Après une dizaine de pas de côté et aucun signe d'un quelconque véhicule à deux roues dans les parages, je compris que Brian Eno venait de me jouer un très, très, mais alors très mauvais tour.
J'aurais justement souhaité que les Pink Floyd soit là au moment où j'écoutais cet album pour pouvoir leur dire leur quatre vérités.
Mais ils nous emmerdent ceux-là
Selon mes propres informations, c'est l'entourage de Robert qui a poussé pour que ce dernier intègre au moins un album sorti entre 2005 et 2015 n'appartenant pas à la catégorie indie dans son grimoire. Et quelle bonne idée.
Ce qui est hardcore avec le groupe Pulp, c'est que le chanteur Jarvis Cocker est depuis sa plus tendre enfance possédé par l'âme d'Elvis Costello, et que cette dernière va tenter de prendre le dessus tout au long de l'album. Fort heureusement, Cocker saura la plupart du temps la maîtriser.
RÀS.
C'est toujours intéressant de réécouter du Sonic Youth après les avoir connus à l'âge adultes avec les Sonics.
J'ai tout bonnement adoré le sketch du GPS marocain.
Cette personne nous a très bien raconté sa vie.
Une belle atrocité à la hauteur des attentes. Ces gars-là ont décidé de mélanger les deux pires styles de musique existant (le métal et le punk) pour en faire un cocktail absolument dégueulasse. Une note minimale bien méritée pour eux.
PJ était jusque-là mon élève préférée, redoublant d'effort après chaque mauvaise note, jusqu'à atteindre un quatre sur cinq à la dernière interrogation. Je suis cette fois-ci un peu déçu et ne peux lui donner plus de trois pour ce projet. Ne pas relâcher les efforts entrevus jusqu'ici !
J'ai adoré le moment où Titeuf dit "C'est pô juste" à Rod et que ce dernier vomit dans la cour de récréation.
Contrairement à ce qu'indique le nom de l'album, le groupe que forme ces gentils messieurs ne deviendra votre préféré que si vous êtes fan d'Imagine Dragons.
J'ai toujours eu de très bons rapports avec Curtis Mayfield.
Une élasticité sans précédent parmi les albums du générateur, les membres prenant un plaisir fou à s'étendre sans aucune difficulté d'un bout à l'autre de la pièce.
Cet album m'a rappelé le jour où mon professeur de guitare Mathis a voulu m'enseigner la chanson Californication de nos amis les Red Hot. Je n'étais pas du tout d'accord avec cette idée et nous nous bagarrâmes jusqu'à la fin de la leçon ce mercredi-là.
Cet album a conclu de manière positive une très belle sortie à vélo au cœur d'une région située à quelques pas seulement du domicile d'eltrapeze, mon ennemi juré et rival de toujours.
Vous vous rappelez sûrement très bien que mon camarade d'écoute et odieux personnage eltrapeze s'était attaqué à moi directement lors de sa critique de l'album The Bends. Je vais profiter de cet espace pour exercer mon droit de réponse. Contrairement à ce que cet ignoble singe a laissé entendre, je n'ai pas fait d'études littéraires. À bon entendeur.
Je n'ai qu'un vague souvenir de cet album (plus de trois semaines séparent mon écoute de cette critique). La seule chose qui me revient est que j'ai lancé son écoute en plein atelier de réflexion lors de mon séminaire de fin d'année. Ce jour-là, les animateurs expliquaient sereinement le programme qui nous attendaient pendant la matinée lorsque l'un d'eux s'interrompit: « - Quelqu'un a vu robcachetière ? - Non, son siège est inoccupé depuis une trentaine de secondes. » Je me trouvais en effet caché derrière d'énormes baffles de la marque BOSE (les mêmes qu'à la piscine). Je les fis soudain gronder l'intro de Winter In America, laissant mes collègues dans un état de stupéfaction extrême.
Une voix sublime à la texture R'n'B gâchée par des instrumentales reggae (?!).
Cette critique va en surprendre plus d'un, mais je me trouvais dans le musée dédié à Mozart dans la ville natale de ce dernier lorsque j'ai écouté cet album. Au moment d'entrer dans l'établissement, la personne assise à la caisse me fit la réflexion suivante : « - Bonne visite, pensez simplement à éteindre votre enceinte JBL avant d'entrer. - HEIN ?! » l'incendiai-je alors avant de me saisir du billet et d'emprunter les escaliers à toute vitesse. L'album d'ABBA se mêla soudain aux compositions classiques et surcotées de notre ami à moumoute blanche, et ce jusqu'à ce que j'obtienne la mise en veille des enceintes présentes dans le musée.
Je vais vous expliquer en détail ce qui s'est passé avec Femi Kuti. Avant d'exercer ma nouvelle activité du moment qui consiste dans les grandes lignes à jardiner dans un parc de la capitale autrichienne, je lançai quelques pistes de cet album de Macron Beat. N'ayant pas fini l'écoute au moment de mettre la main à la pâte, je dus la mettre en pause jusqu'au moment où je vis l'un des jardiniers m'accompagnant avec un écouteur à l'oreille. Ni une ni deux, j'enfonçai moi aussi mon femikuteur dans l'oreille droite. Au bout de quelques minutes à peine, je commençai à me sentir très ennuyé de ne pas pouvoir mettre les deux fémikuteurs en même temps. C'est à ce moment précis que le roi des jardiniers arriva au loin avec son mini-tracteur, ce dernier diffusant de la musique. « Ah, super, il a mis Femi Kuti sur le tracteur directement » pensai-je. La stupeur m'envahit à l'arrivée du tracteur. La musique émanait de la radio et diffusait des artistes profanes. J'engueulai alors le roi des jardiniers avec une violence que je n'avais jusque-là jamais soupçonnée.
J'ai écouté cet album quelques secondes à peine après être sorti de la douche. Autant vous dire que ça n'a pas arrangé son cas, si vous voyez là où je veux en venir...
J'ai cherché ladite technique pendant tout l'album. Ràs.
Cet album a eu le mérite d'attiser ma curiosité étant données les récentes découvertes de mon camarade d'écoute eltrapeze au sujet de l'implication de Jim Morrison dans la mort de JFK. Affaire à suivre.
Au lieu d'écrire des chansons sur la bouffe et les immeubles, les têtes parlantes devraient se remettre un peu en question puisque je rappelle qu'après avoir obtenu quatre de ma part pour leur premier album, celles-ci ont obtenu deux lors du dernier.
Je serais prêt à parier que Brian Eno ne savait pas au moment de l'enregistrement de cet album qu'il composerait six ans plus tard la bande-son de tous les aéroports du globe.
Ça faisait longtemps que Robert nous avait pas glissé un album de Post-Erasmus-Indie. Je voudrais d'ailleurs rappeler que toute personne qui souhaiterait appeler Robert par le surnom rob aura affaire à moi puisque c'est moi rob, même si vous me connaissez davantage sous le nom de robfourmilière.
Il y a des albums qui laissent indifférent. Celui-ci en est un. Toutefois je pense à mon futur moi qui tombera peut-être un jour je ne sais où sur un fan de ce groupe et m'écris donc ici une note pour calmer ses ardeurs : Guided By Voices = du mauvais Beatles enregistré trente ans trop tard.
Wilco est un artiste à prendre très au sérieux dans le générateur. Les cadors sont prévenus.
La Fouine est toujours en forme.
Je commence à en avoir assez de devoir me repasser des extraits d'albums que j'ai écoutés il y a plus d'un mois mais pour lesquels je n'ai pas rédigé de critique.
Pour ceux qui ne seraient pas encore au courant, je suis extrêmement proche de Robert. Je n'ai de ce fait aucun mal à lui dire très franchement le fond de ma pensée quand les choses ne tournent pas comme j'aimerais qu'elles tournent. C'est pour cette raison que le jour où j'ai appris que celui-ci avait retiré Adele de son grimoire d'une édition à l'autre, je me rendis à son domicile, furax comme un lièvre. Je toquai douze fois à la porte, très bruyamment. Quelques secondes plus tard, j'entendis son fils Mike Ladd demander avec sa voix aiguë : "C'est qui ? Papa m'a dit de pas ouvrir aux gens que je connais pas..." Je continuai de frapper sans répondre jusqu'à ce que le bambin ouvre. Je le poussai alors violemment contre le mur et allai trouver Robert pour lui en coller une belle.
Paul Simon est, vous le savez, l'un de mes chouchous dans le générateur. Malheureusement, la fin de cet album est pour moi extrêmement floue puisque il me semble m'être endormi dans l'herbe pendant l'une des dernières pistes. Je me réveillai en panique, pensant que Robert allait invalider mon écoute avant de recevoir un appel de celui-ci m'expliquant que tout était bon pour lui et que je n'avais aucun soucis à me faire. Quel soulagement...
Album passable de la voix française de Shark.
De la synth-pop comme on aime, et comme aime encore davantage le père d'eltrapeze. Je voulais à ce titre rappeler la fois où le géniteur de mon ennemi juré s'est évanoui en voyant arriver Harry Styles sur scène. La honte.
J'ai trouvé cet album très agréable. Le seul petit bémol pour moi est cette soirée lors de laquelle eltrapeze avait invité Elbow dans un bar à bières à l'occasion de son anniversaire. L'artiste n'avait pas osé parler aux autres personnes conviées et a finalement décidé de partir avant même que le gâteau d'anniversaire n'arrive sur la table. Bien dommage.
J'ai attendu la durée d'un album que Tortoz pose sa voix sur l'instrumentale. Ce moment n'arriva pas.
Je vais vous faire un aveu: j'ai toujours confondu B.B. King et Ben E. King, le chanteur de Stand By Me. Et puisque il n'y a aucun moyen pour moi de savoir lequel des deux a fait cet album, je m'abstiendrai de le critiquer.
Johnny Cash est pour la première fois dans un album live montré sous un mauvais jour. L'artiste arrive en effet sur scène et, après une brève inspection de la salle, déclare avec son cheveux sur la langue caractéristique : « C'est pas mon Saint-Quentin, ça... »
J'aurais probablement apprécié cet album si j'avais été un Américain moyen passionné de rodéo et de soda. Malheureusement, il n'en est rien.
Est-ce qu'on peut arrêter deux minutes avec les Joni Mitchelleries, Robert ?! Emmylou Harris et maintenant ça en deux jours ?!
Un début d'album extrêmement difficile pour Wyatt qui n'était pas du tout prêt au moment où le micro commença l'enregistrement. Il se démènera alors dans la panique pour limiter les dégâts et reprendre le train en marche mais cette entame catastrophique aura raison de la qualité du projet.
Du Prince tout craché avec plus d'une heure de soupe des années 80 mélangée à sa patte androgyne pop, nous offrant avec du recul un album pionnier d'androgyn soup.
Vous savez sûrement que la plupart des critiques importants de ce générateur dont je fais partie sont actuellement en vacances. Et c'est précisément le moment qu'a choisi Robert pour nous envoyer des albums de plus de deux heures. J'ai donc mené une manifestation contre nos conditions de travail déplorables dont ledit Robert ne semble pas se soucier. Nous avons finalement obtenu la promesse de ne recevoir que des albums dont la durée n'excède pas soixante minutes une fois l'interminable S&M de Metallica critiqué. Robert a maintenant intérêt à joindre la parole aux actes.
Un Todd en très, très grande forme sur cet album. Vous savez d'ailleurs probablement que j'accuse un léger retard sur le générateur depuis quelques semaines. Mon ennemi juré et compagnon d'écoute eltrapeze a donc eu tout le loisir d'écouter l'album, de contacter Todd, de devenir son meilleur ami et d'emménager en colocation avec lui. Lorsque j'arrivai à hauteur de l'album A Wizard/A True Star et compris que j'aurais très bien pu être à la place d'eltrapeze, je fus pris d'une colère noire et tentai de me rapprocher de Todd coûte que coûte. Celui-ci ne répondit à aucun de mes messages. Cette histoire me reste en travers de la gorge.
Un album sympathique mais ma foi bien trop long. De plus, une bonne partie des morceaux ont déjà été écoutés et critiqués dans d'autres albums, ça te dit rien Robert ? Les albums Metallica et ...And Justice For All ils te disent rien ? ??
Á ma grande surprise cet album n'est pas classé dans la catégorie trip-hop et pourtant, j'ai ressenti tous les désagréments procuré par ce genre musical sur mon comportement : montée de stress, mains tremblantes, pensées suicidaires, diarrhées et j'en passe.
Personne n'a vraiment compris pourquoi Robert a envoyé cet album dans le générateur il y a quelques semaines. Vous savez d'ailleurs que pour ajouter un album à la liste des 10001, notre ami Robert doit en enlever un autre, c'est la règle. Et ce petit farceur a de plus en plus tendance à enlever des albums récents que j'affectionne particulièrement pour les remplacer par des bouses comme celles-ci. J'espère pour lui qu'il n'a pas touché à Justin Timberlake sinon ça va très, mais alors très mal se passer...
Cet album de rock gentil passerait presque pour un chef d'œuvre grâce à la bousasse qui l'a précédée (celle de Throbbing Gristle).
Ces métalleux savent toujours aussi bien gueuler, et c'est tout ce qu'on leur demande.
Quand je tombai sur Brian Eno, je le trouvai roulé en boule dans un coin de la pièce. Après m'être approché lentement et lui avoir demandé ce qui avait pu le mettre dans un tel état, celui-ci répondit simplement par l'identité de mon pire ennemi : "eltrapeze". J'étais furieux. Cette situation me rappelai un souvenir d'enfance. Une fin d'après-midi, alors que j'étais en moyenne section maternelle, j'allai avec ma mère chercher mon grand-frère à l'école primaire après l'étude du soir. J'avais sur ma tête un immense chapeau de fou du roi rouge confectionné en classe le jour-même. J'en étais très fier. Il était 17h45 lorsque nous arrivâmes à l'école. L'heure de la sonnerie n'étant pas encore venue, je décidai de monter dans la classe où mon frère se trouvait dans le but de me pavaner avec mon grand chapeau sous le regard de ses camarades. Seulement voilà : ce chapeau ne fut pas du tout de goût de celui-ci qui me reprocha de lui faire honte. Je sortis alors dans la cour de récréation pour aller pleurer lorsque tout à coup, trois élèves semblant âgés de seize ans (je pense maintenant qu'ils avaient neuf ans) vinrent me voir pour me demander pourquoi j'étais dans cet état. Je leur racontai toute l'histoire depuis le début. Ceux-ci me confièrent alors la chose suivante : mon chapeau était le plus beau qu'ils aient jamais vu. J'étais alors pleinement consolé. Revenons-en à Brian Eno. Une fois que celui-ci eut prononcé le nom de mon ennemi juré, je me rappelai mon grand chapeau et lui confiai la chose suivante : "Ne pense pas à ce que t'a dit cette ordure d'eltrapeze, je le trouve très beau ton chapeau de fou du roi, Brian." — C'est vrai, tu le penses vraiment ? — Oui, je te le jure." Brian Eno sécha ses larmes et me fit un bisou sur la joue. Je l'avais pleinement consolé.
Autant mettre un album de Brel directement, Robert, non ? Tu trouves pas ??
Je pense que beaucoup d'entre vous savent que je parle un allemand impeccable.
Excellent moment. J'ai simplement regretté l'absence de reprises de Jacques Brel, auxquelles Scott Walker nous avait pourtant habitué il y a quelques jours.
Ces gars-là et leur rock industriel m'ont surpris et Dieu sait qu'il en faut beaucoup pour me surprendre. Demandez à Eric Antoine.
Après un album dédié à la téquila avec Tonight's The Night, c'est un Neil Young légèrement moins alcoolisé qui revient avec un nouvel opus intitulé On The Beach du nom des célèbres cocktails à base de vodka. Bilan : on préfère Neil avec deux-trois grammes de plus, pour être honnête.
J'ai ce matin été contacté par l'employeur d'eltrapeze qui m'a demandé pourquoi ce dernier réclamait une gigantesque enceinte de 5x4m derrière son poste de travail. Vous vous en doutez, j'ai couvert le générateur mais n'ai pas hésité à charger mon rival en conseillant à ce brave monsieur de licencier cette vermine sur le champ. Affaire à suivre dans les jours à venir...
C'était vraiment sympa mais je commence à en avoir marre de recevoir des appels du patron d'eltrapeze en pleurs au bout du fil et d'être obligé de le rassurer pendant une grosse partie de mon temps libre.
Quelle énorme frustration d'entendre Miriam Makeba fredonner l'air du lion étant mort ce soir-là sans jamais annoncer la triste nouvelle, obligeant ainsi son audience à rester dans le déni le plus total. Et je ne parle même pas du morceau One More Dance dans lequel Makeba reçoit un Carlito hilare, incapable de chanter la moindre note. Comme sur l'interlude de son album avec Mcfly.
Ces reines de l'âge de pierre ont su faire un album tout à fait convenable. Je me rappelle très bien l'époque de sa sortie, j'avais quatorze mois passés et des problèmes totalement différents de ceux que j'ai aujourd'hui. À propos, vous avez été nombreux à me demander des explications au sujet des appels entre le patron d'eltrapeze et moi-même, robcelluliaire, que j'ai rapidement évoqué dans ma critique d'Arcade Fire. Je me suis sans doute mal exprimé. Le patron dudit eltrapeze m'appelle chaque jour en sanglot car ce dernier lui fait des misères ; il réclame l'installation d'énormes baffles dans l'espace de co-working, ordonne que toute l'équipe se taise lorsqu'un album est joué, harcèle sexuellement ses collègues avec des citations de Marvin Gaye... ce brave monsieur est à bout. Comme je le disais déjà très bien dans ma critique de Supertramp, je ne cesse de lui suggérer la solution d'un licenciement pour faute lourde mais il tarde à passer à l'action. Je vous tiendrai au courant dès que j'aurai du nouveau.
Vous savez désormais que pour chaque centaine d'albums atteinte, Robert organise chez lui une réception avec moi, eltrapeze et certains des artistes générés depuis la dernière en date. Il est d'ailleurs coutume qu'il présente le premier album de la série des cent à venir. Les invités et moi-mêmes nous étions donc accordés sur le fait que c'était Stevie Wonder qui allait être libéré par Robert. La soirée partit sur de bons rails, bien que je faillis m'uriner dessus à plusieurs reprises au moment de répondre à eltrapeze, venu encore une fois me chercher des noises malgré la signature d'un nouveau pacte de non-agression. Robert demanda soudain qu'on amène le dessert. Il s'agissait d'une immense pièce montée. « Allez Stevie, on t'entend bouger, sors de là ! » lança Todd Rundgren, tendant au même moment un toast au tarama à la bouche d'eltrapeze. « Allez Stevie, on t'a reconnu ! » surenchérit Louis Bodin. Notre hôte commença à découper la base du gâteau lorsque soudain, Sly & The Family Stone s'en extirpa et entama son album Stand! devant une assemblée liquéfiée. eltrapeze fut pris de nausée et s'en alla vomir aux toilettes pendant que Todd lui tenais la tête et tentait de le consoler. Je me retrouvai bientôt presque seul devant nos amis sortis du gâteau à leur faire de grands pouces vers le ciel avec une pointe d'hypocrisie pour ne pas qu'ils se sentent vexés, et ce jusqu'à la fin de la soirée.
Je vais profiter de cet album de nouveau tango pour passer un coup de gueule au sujet de la commande que j'ai passée il y a deux jours. J'avais commandé un tartare de saumon et un supplément sauce dans un restaurant que je ne citerai pas et n'ai reçu qu'une salade, le livreur m'assurant que c'est tout ce qu'on lui avait donné. Je retentai l'opération le soir-même dans un autre restaurant de la même chaîne. Le tartare et son supplément sauce arrivèrent bien chez moi mais me rendirent malade toute la journée suivante. Autant vous dire que je ne suis pas près de recommander un tartare de sitôt.
J'ai toujours un peu vu Elvis comme le mathématicien Pythagore dans le sens où je trouve que pour l'époque c'est pas mal mais par rapport à ce qu'on fait aujourd'hui c'est tout de suite moins impressionnant.
Vous aurez bien entendu reconnu Jeff Buckley, dissimulé sous le pseudonyme de Beck dans le but d'attirer l'attention de son père Tim, l'ayant abandonné dès son plus jeune âge. Celui-ci ne sera pas dupe et continuera tranquillement ses tentatives infanticides.
Youssou N'Dour a compilé pour nous les meilleures sénégalaiseries de son époque pour en faire un album joyeux et bigarré.
Un album à travers lequel Tim Buckley exprime sa lassitude, lui qui tente depuis plusieurs année de se débarrasser de son fils Jeff, jusque-là sans résultat. Ce dernier parvient en effet à éviter la mort à chaque tentative et retrouve continuellement les pattes de son père excédé, d'où le titre Goodbye and Hello. Après s'être essayé à plusieurs méthodes comme la mise au congélateur, la strangulation ou encore l'abandon au milieu d'une forêt, Tim Buckley a soudain une idée : il va cette fois-ci le jeter dans une rivière, pieds et poings liés. Bébé Jeff est alors enveloppé dans un sac poubelle et solidement ligoté. Tim prend sa voiture, se rend près du cours d'eau le plus proche et mène à bien son projet. Le soir-même, alors qu'il boit sa tisane, on toque à la porte. Tim se lève et, une fois arrivé devant la porte, jette un coup d'œil à travers le judas : Jeff se tient debout sur le pallier et semble en parfaite santé. Il ouvre alors la porte la mine démoralisée et n'adressera pas le moindre mot à son rejeton pendant plusieurs jours.
Sam Cooke nous a cuisiné un album live très sympathique mais sans doute trop juste en terme de blagues, Tom Waits et Johnny Cash le distançant nettement sur ce terrain-là.
La country est un genre de musique totalement inefficace et sans effet dans les oreilles de n'importe quel ressortissant européen, et ce n'est pas ces trois greluches pleines de bonne volonté qui y changera quelque chose.
Comme pressenti, le chanteur a su se défaire de l'âme d'Elvis Costello et a réussi à nous montrer sa vraie personnalité. Qu'il reste toutefois prudent, on ne se débarrasse jamais vraiment de Costello.
Heureusement qu'il s'agit de Ray Price et non de Ray Charles parce que l'album qui suit est l'œuvre de Costello, et autant vous dire que ce dernier n'aurait pas été tendre avec notre ami timide et recroquevillé sur lui-même. Ray Price s'inscrit dans le genre Bob l'éponge Country à l'instar de Buck Owens et Merde Haggarl ce qui signifie que vous pouvez passer votre chemin. Pour rappel, la Country est objectivement un mauvais style de musique.
Vu le succès de la première émeute anti-Costello organisée par mon rival eltrapeze et moi-même, nous vous invitons à sa deuxième édition qui se tiendra le 19 septembre prochain, à 14h. Pour rappel, nous étions pour la première édition plus de vingt-mille émeutiers à nous être déplacés selon nous, dix-mille selon la police, et vingt-cinq selon Elvis Costello. À notre grande satisfaction, de nombreux magasins ont été vandalisés, des voitures incendiées, et des monuments tagués du slogan "no costello". Nous prévoyons de faire encore mieux la prochaine fois et avons hâte de vous y retrouver. À bientôt chers lecteurs.
Malgré une réelle volonté de se débarrasser de ses influences country sur cet album, notre ami Steve Earl ne réussira que partiellement son entreprise et se trouvera bien bête au moment de terminer son projet sur un morceau à la gloire du rodéo et du port d'armes. Bien essayé, toutefois.
R.E.M. est un groupe très sympathique. Je vais maintenant vous dévoiler une anecdote assez cocasse. Alors que j'étais en entretien d'embauche la semaine dernière, se produisit l'échange suivant : « — Maîtrisez-vous l'outil Microsoft Excel ? — Oui. — Pour quel genre de documents en avez-vous fait usage ? — Principalement des générateurs pirates. — Pardon ? — Des générateurs pirates. — Vous pouvez m'en dire plus ? — Non parce que sinon Robert va envoyer sa milice me trouver, ça s'est déjà produit après l'épisode du karaoké quand je me suis enfui avec une gondole. — Je ne saisis pas bien ce que vous êtes en train de me raconter. — Croyez-moi, ça vaut mieux comme ça. — … — Restez en dehors de tout ça. — … très bien. — Chuis pris ou pas ? — Nous vous rappellerons. » Croyez-le ou non mais j'obtins le poste.
Un album assez téléphoné de la part de Parliament, le groupe de députés se contentant de délibérer puis de voter un certain nombre de lois. Petit rebondissement toutefois vers la fin du projet avec le dépôt d'une motion de censure assez inattendue.
Comme l'a très justement souligné eltrapeze, Rocket From The Crypt tentera par tout moyen de ressembler au groupe Scorpion et n'hésitera pas à multiplier les piqûres. Fort heureusement, ces dernières resteront benignes et passagères bien qu'extrêmement douloureuses.
Cet album s'écoute assez calmement même si tout au long du projet, notre oreille nous suggère que quelque chose ne tourne pas rond. En voici l'explication : il a été produit par l'ignoble Ray Manzarek.
Quel plaisir de voir Tarzan se déplacer de liane en liane au sein de cette jungle africaine. L'album perd en saveur avec l'arrivée de Clayton et ses terribles intentions.
Autant j'ai pu apprécier certains albums d'Iggy Pop, autant j'aimerais lui dire que le fait de se déboîter l'épaule vingt-quatre fois en trente minutes et de remuer le bassin de droite à gauche ne suffit pas pour sortir un CD.
Un album agréable jusqu'à l'arrivée de Stifler et son humour vulgaire et hypersexualisé. Mention spéciale à Pause Caca.
Cet album est un foutoir sans nom mais ce qui me choque encore davantage, c'est la critique désastreuse qu'en a fait eltrapeze. J'ai eu l'occasion de le rappeler à l'ordre à ce sujet et une amélioration devrait être visible assez rapidement.
Jay Z est un sacré artiste de rap music. Je voulais vous partager une frustration. Vous savez sans doute que je déménage assez régulièrement ces temps-ci et qu'un objet m'handicape beaucoup lorsque je dois transporter mes affaires : il s'agit du grimoire de Robert. Celui-ci pèse environ vingt-cinq kilogrammes et m'oblige à un effort surhumain pour faire avancer ma valise sous le regard plein de pitié des passants. J'ai donc réclamé à Robert qu'il sorte son grimoire en format poche et vous tiendrai au courant de sa réponse. Celle-ci s'annonce cinglante.
Plus les albums de hard rock défilent dans le générateur, plus mon rival et compagnon d'écoute eltrapeze se rapproche de mon père étant donné leur passion commune pour ce style de musique. Le lendemain de la génération de cet album et alors que je déjeunais avec mes parents, j'eus la très mauvaise idée de mettre mes coudes sur la table. Mon géniteur se fendit alors de la réflexion suivante : « Je donnerais si cher pour que mon fils biologique soit eltrapeze et non toi, robphacochère… » Je courus m'enfermer dans ma chambre et allai pleurer sous ma couette.
Le chanteur des Big Black est très certainement l'homme le plus malsain de ces cent dernières années. J'en ai pour preuve sa manie d'entrer en salle des professeurs tout en confiant à ses collègues adorer quand le vent frais souffle dans le c** des gosses. Il y a des choses qu'on devrait parfois garder pour soi...
Un album parfaitement conclu par notre ami Michael Kiwanuka qui nous a évidemment rappelé l'épisode de l'intrusion de Norbert Episode au sein de mon domicile allemand. Sans parler de la prise d'otage…
Pour ceux qui ne seraient pas au courant, la présence de cet album de Dion est un énorme doigt d'honneur de Robert à la communauté générateurienne qui s'attendait évidemment à tomber sur Céline et ses deux-cent-trente-millions d'albums vendus. Que nenni… encore une vilaine farce de notre Robert national.
Cet album de notre ami Kanye est sans doute un poil trop expérimental pour moi, et dieu sait que j'adore les expérimentations. J'ai même vu plusieurs fois les Chemical Brothers en concert et ces derniers n'ont jamais rechigné à mélanger des solutions chimiques a priori totalement immiscibles. Comme quoi...
À l'instar d'eltrapeze, j'ai d'abord pensé que derrière l'artiste Leftfield se cachait le crâne chauve et luisant de Moby. Mon compagnon d'écoute ayant découvert qu'il s'agissait bel et bien de deux artistes différents grâce à l'usage d'un déguisement d'Eminem, j'empruntai cedit déguisement pour aller voir Moby directement et lui provoquer la peur de sa vie à des fins de pur divertissement. Je toquai donc à sa porte avec l'apparence de son traumatisme et notre ami dégarni sursauta comme attendu lorsqu'il m'aperçut. Encore une belle satisfaction.
Un très bon album bien que la nonchalance de Garfunkel et son manque de motivation commence sérieusement à bien faire. Celui-ci passera son temps à souffler, traîner les pieds, et oubliera parfois même que c'est à son tour de chanter. On aurait aimé le sentir plus impliqué.
J'ai écouté cet album sur le chemin du retour vers le domicile de mon grand-père sous les coups de minuit. Malheureusement, à mi-album, une pluie torrentielle s'est abattu sur moi et a totalement gâché la deuxième partie du CD, ce qui m'empêche de donner plus de trois sur cinq à l'ensemble.
Pour tous ceux qui auraient raté l'émission de la semaine dernière, il s'est produit un grand moment de télévision. Les Guns'n'Roses se sont présentés à Baltard avec leur album Appetite For Destruction et ont totalement retourné le public et le jury que je formais avec eltrapeze, Todd Rundgren et Manu Katché. La conclusion : quatre bleus de notre part. « C'est du très très grand Baltard, commença Todd. Vous savez à quel point je suis proche d'eltrapeze, et à mon avis, il a dû beaucoup apprécié votre performance - Oh que oui mon Todd, enchaîna eltrapeze. J'ai tout simplement adoré cette perf'. D'ailleurs, j'ai une pensée pour le père de roblitière qui a du se régaler devant son écran. - Eh oh... l'interrompis-je. Plus que jamais vous devez tapez 2 si vous voulez voir les Guns'n'Roses en finale chers téléspectateurs. - Je fais de la batterie, conclut Manu Katché ».
J'avais pour idée de laisser une chance au style de musique post punk qui, je vous le rappelle, est un style dégueulasse. The Fall l'a bien laissée passer en produisant avec Live At The Witch Trials une nouvelle dégueulasserie.
Cela commençait à faire un sacré long moment que Morrissey n'avait pas pointé le bout de sa race préférée dans le générateur. Et encore une fois, il peine à convaincre. Même accompagné de ses idiots de musiciens.
Les Steely Dan n'ont malheureusement pas confirmé les immenses attentes placées en eux dès l'étape des auditions et quittent donc l'aventure avec ce prime en demi-teinte. Peut-être seront-ils repêchés, qui sait…
En voyant apparaître cet album R'n'B dans le générateur, je me voyais déjà lui accorder au minimum une note de quatre étoiles. Ce style de musique fait en effet partie de ceux étant de bon goût, par opposition à ceux de mauvais goût comme le punk ou encore le métal. Malheureusement, et contrairement à ce que pense eltrapeze, cet album m'a insupporté du début à la fin, ne proposant que des boucles interminables sur lesquelles le chanteur prendra tout juste la peine de poser sa voix. Une belle escroquerie, en somme.
Le quotas boom-bap est rempli pour Robert qui peut maintenant commencer à nous reproposer de bons albums.
Robert recommence avec ses jonimitchelleries et ça comme sérieusement à bien faire.
La même soupe expérimentale pour Radiohead qui rechigne toujours à nous proposer un quelconque morceau réécoutable.
Notre ami est à deux doigts de rendre l'âme entre chaque piste de l'album, ce qui rend son écoute assez délicate et anxiogène. De plus, on peine à reconnaître notre joyeux luron et son emblématique cheveux sur la langue dans cet environnement non-carcéral. Était-ce vraiment Johnny Cash ?
Un début d'album extrêmement prometteur complètement gâchée par une soudaine envie de faire n'importe quoi. On commence à être habitué.
Les Pogues sont décidément les maîtres dans l'art de la Kermesse. Après avoir fermé les stands à hot-dogs et les chamboules-tout, ces derniers vont faire asseoir les parents devant la scène en attendant de leur montrer les prestations préparées par leurs petits. Si la classe de CE1 s'en tirera plutôt bien malgré plusieurs problèmes techniques, les CP verront carrément la fin de leur passage avortée suite à la fonte en larmes du petit Mattéo. Les parents, dans un élan de consternation, le hueront jusqu'à ce qu'il quitte la scène et demanderont à être remboursés. Une fin d'album difficile à encaisser.
Comme vous le savez déjà, notre ami Robert le castor prend un malin plaisir à dresser en travers de notre rivière générateurienne d'immenses barrages faits du bois d'albums (inter)minables dépassant de loin les soixante minutes légales. Celui-ci en est un parfait exemple.
J'ai rarement pour habitude de m'extasier sur les silexes et autres outils rudimentaires de nos amis du paléolithique lorsque je me rends dans des musées dédiés à ces idioties. J'ai davantage d'admiration pour ceux de ma génération, comme par exemple le casque de réalité virtuelle ou encore l'iPad Pro 12,9. De la même façon, l'âge-de-pierre-rap proposé par A Tribe Called Quest me donne à chaque fois l'envie d'un immédiat retour vers le futur pour m'écouter un bon album de rap actuel.
Un album injustement décrié par la communauté d'idiots que vous formez et dont eltrapeze semble être le chef.
Je me suis surpris à apprécier ces grossières américaineries. Profitez-bien, ça n'arrive pas si souvent.
Il s'agit là de l'album de la délivrance pour Muddy Waters. Depuis le début de sa carrière, celui-ci articulait chacun de ses projets autour de ses envahissants problèmes d'érection : « ♫ Mon sexe est un camembert ♫ » chantait-il déjà dans son tout premier projet, nous donnant un premier indice sur ces tracas psychologiques. « ♫ Vous ne vous blesserez jamais en vous cognant contre ma verge… ♫ » confirmait-il dans une magnifique ballade extraite de son album suivant. « ♫ Elle était molle, elle l'est encore, et molle, elle restera, a priori ♫ » se désespérait-il dans son dernier projet. Seulement voilà, une matinée de printemps, Muddy se réveille et, en ouvrant les yeux, aperçoit ses draps de lit dressés en chapiteau. Il ne peut pas y croire, mais c'est pourtant la vérité : il est "hard again". Il explose alors de joie et se presse vers le studio. Cet événement inattendu lui confère un torrent d'inspiration et il bouclera l'album en une seule journée (les percussions seront enregistrées au moyen d'impacts entre son membre et différentes cymbales). N'ayant pas la moindre minute à perdre, il organisera un shooting photo pour la couverture de son projet. Son sexe, toujours aussi rigide et vigoureux, tentera de s'extirper de sa braguette à maintes reprises devant un photographe dépassé par la situation mais d'un professionnalisme exemplaire.
Le style de musique préhistorique-rap confirme qu'il est l'un des ennemis publics du générateur.
Un trésor d'album de la part des Kate Bush Twins.
David Bowie n'est pas un artiste si exceptionnel. J'aimerais d'ailleurs que sa communauté cesse de le couvrir de fleurs et ce dans les plus brefs délais.
J'espère que c'est le dernier album de la semaine avec un drapeau américain sur la pochette. Ça commence à bien faire maintenant.
Comme vous l'a annoncé eltrapeze, la génération de cet énième album de Costello a créé un véritable ras-le-bol au sein de la communauté. L'opération Anti-Costello va avoir lieu très prochainement, restez connectés.
Vous connaissez malheureusement la règle ; quand au lendemain d'un album on n'en a plus le moindre souvenir, c'est que sa qualité laissait à désirer voire qu'elle était lamentable.
Comme vous le savez déjà, elrapeze et moi-même entretenons des relations en dents de scie avec Robert, notre castor national. Il y a quelques semaines, nous l'avons mis en garde au sujet de l'anormale quantité d'albums dont la durée excédait les soixante minutes. Malgré une légère amélioration les jours suivants, notre ami continue de nous provoquer, notamment avec cet album d'une durée de cinquante-neuf minutes et quarante-cinq secondes. Fais très attention, Robert…
Un choix de genre musical des plus incompréhensibles, eux qui nous avaient pourtant séduis avec des titres pop. Le punk est décidément une calamité qui peut surgir de n'importe où, restons groupés et sur nos gardes.
Une balade en forêt qui vire au drame après l'apparition de différents elfes et lutins venus nous flûter les oreilles. La situation ne s'arrangera pas d'un poil avec l'arrivée des gnomes et de leurs chants dépourvus d'une quelconque justesse.
Encore moins spécial que leur précédent album.
Le brocoli est un chou-fleur originaire d'Italie, à longue tige et fleurs vertes.
J'ai envoyé un courriel à Robert et celui-ci m'a bien confirmé que Bon Jovi appartient à la catégorie des joyeux gueulards.
Encore des âneries américaines étalées sur quarante-huit minutes. Même l'entourage proche de cette chanteuse m'a avoué en "off" avoir honte de cet album, et on les comprend.
Beck a été la grosse révélation du générateur la semaine dernière, et malheureusement, le comportement arrogant et vaniteux dont il fait preuve depuis que je lui ai annoncé avoir apprécié son album ont quelque peu gâché l'image que j'avais de lui, sans toutefois me faire changer d'avis sur sa note.
Du très bon touareg rock. J'avais prévu d'évoquer en détail les raisons pour lesquelles je n'arrive jamais à retenir le nom Clint Eastwood mais ai finalement décidé de m'abstenir. Si vous voulez connaître ces raisons, manifestez-vous d'une quelconque manière sous l'album de Taylor Swift.
Le simple fait qu'eltrapeze apprécie la musique de ces joyeux gueulards me donne une raison suffisante pour les rouler dans la boue. Passez votre chemin.
Vers la fin de l'album, j'ai osé demandé à Air s'ils étaient français. Ces derniers m'ont répondu "Oui, toi aussi ?!" le sourire aux lèvres et nous sommes alors allés boire un café en terrasse.
Sufjan fait n'importe quoi tout du long mais s'en sort admirablement bien. On regrettera simplement les quelques crachats et invectives lancées par celui-ci à l'égard de malheureux passants au fil de l'écoute.
Si vous êtes nouveau sur le générateur et que vous vous demandez pourquoi une si belle voix et une musique de si bon goût peut avoir une note moyenne générale aussi basse, dites-vous bien qu'une grosse partie de la communauté du générateur est constituée de punks à chien ne jurant que par les germs et les minutemerde.
Le problème récurrent avec les albums de Joni Mitchell, c'est qu'on est toujours très tenté de cliquer sur les threads horreur de notre ami Squeezie, recommandées à la droite de notre écran. Il faut pourtant tenir.
Les Carpenters ont justifié leur réputation. Dès le départ, on est forcé d'admettre que le bois sélectionné est d'excellente qualité, et cette bonne impression se confirmera au moment de la pose de la charpente. Du très très beau travail.
Comme attendu, Mathis livre une prestation exceptionnelle sur cet album. Les grilles d'accords sont parfaitement dessinées sur les feuilles A4, le métronome ajusté à un tempo assez lent pour que je puisse apprendre à jouer les boucles d'accords sans me décourager… L'école de musique peut vraiment être fier de son professionnalisme.
Beaucoup de gens oublient que Frank Black est un mammifère. Il fait d'ailleurs partie, avec les dauphins et les lamentins, des trois seuls mammifères qui passent toute leur vie sous l'eau.
Vous connaissez mon aversion pour tout ce qui est punk, néanmoins je me dois de souligner que ces gentils messieurs auront eu la sympathie de nous épargner les clébards et les canettes de 8.6.
Un album qui mérite une réécoute rien que pour l'entrée en matière du capitaine Victor Mc Bernik. Ce dernier va en effet lâcher son célèbre "Eeeeeleeectricityyyyy" et totalement relancer le projet qui commençait à battre de l'aile. Les interventions tardives du docteur Spratt et de la Sardine seront tout aussi délicieuses.
L'album fondateur de l'hôtellerie rock, tout simplement. Celui auquel tous les artistes assimilés à ce genre musical puisent leur inspiration, que ce soit pour le pliage des draps, le lavage des serviettes, l'accueil de la clientèle et j'en passe… Un classique.
Le review sur le mariage de Charles arrive très bientôt, encore un peu de patience.
Vous commencez à en avoir l'habitude, chaque nouvel album de musique soul - rnb est l'occasion pour moi de rappeler que les punks et métalleux sont totalement déconnectés de la réalité et qu'ils feraient bien de se décrasser les oreilles de toute urgence.
Qu'est-ce que tu nous as encore préparé, Robert... Cet album est tellement dépourvu d'intérêt qu'il doit se sentir comme un poisson dans l'eau dans cet incompréhensible générateur d'idioties. Robert, sache que je vais faire de la place dans mon emploi du temps pour surveiller tes moindres faits et gestes pendant les prochaines semaines…
The Divine Comedy prouve encore une fois qu'il est bien l'une des révélations masculines de ce générateur. Sa clope à la bouche, il mettra sa claque à tous les métalleux générés jusqu'ici avec une aisance redoutable. Cet album m'amène toutefois à dire une vérité que tout le monde pense tout bas mais que je serai probablement le seul à avoir le courage d'énoncer : il est temps d'en finir avec les reprises de la Marseillaise.
Un album extrêmement particulier de la part de Rush. Après avoir rendu en préambule un vibrant hommage au personnage emblématique de Midi les Zouzous avec le célèbre refrain "♫ Tom Sawyer c'est l'Amérique pour tous ceux qui aiment la liberté. Il est né sur les bords du Mississipi, Tom Sawyer c'est pour nous tous un ami. ♫" chanté dans un français parfait, le chanteur quittera le studio et ne reviendra que par intermittence pour nous chantonner quelques âneries supplémentaires. Étonnant.
On est désolé pour les Cocteau Twins d'assister à une telle quête d'identité. Après s'être partiellement émancipés de l'âme de Kate Bush, ceux-ci se sont fait envoûtés par celle d'Abba, avant de se faire rattraper par celle de Jean Cocteau. Quelle tristesse...
Il s'agira sans doute de ma note la plus étonnante au sein de cette escroquerie de générateur, mais j'ai bel et bien passé un moment d'anthologie en compagnie de ces Slovènes germanophones. De l'arrivée des chars d'assaut à la plantation du drapeau sur le territoire ennemi, je me suis tout simplement régalé bien qu'étant de nature non-belligérante. La seule personne que j'avais tabassé dans ma vie jusqu'alors était Robert. Or, depuis cet album, je ne compte même plus le nombre de personnes laissées en knock-out sur ma route. Comme quoi…
Du jazz très sympa. Quant à la critique au sujet du mariage de Charles, je vous promets qu'elle arrivera très prochainement, soyez patients.
Je m'en vais vous adresser un conseil qui va vous servir toute votre vie : quand eltrapeze vous annonce qu'il y a des cornemuses sur un album, vous pouvez être sûr d'attendre l'entrée en scène de cet instrument jusqu'à la dernière seconde. Pour rappel, l'oreille d'eltrapeze ne fait pas la différence entre le son d'une guitare et celui d'un djembé alors vous pouvez passer votre chemin la prochaine fois que vous tomberez sur une de ses critiques.
Ces gars-là m'ont bien plu malgré une reprise de With a Little Help From My Friends qui ne dit pas son nom. Un vrai coup dur pour Mathieu de la Nouvelle Star 11 qui avait pourtant beaucoup travaillé et obtenu un bleu de la part de Sinclair.
Un nouvel album d'âge-de-pierre-rap dont le thème (Ice-cube) peine à convaincre.
Cet homme est un virtuose dans l'art de parler anglais sur des type beats.
Je ne commenterai plus les albums des Velvet tant que Nico ne se sera pas excusé pour m'avoir rendu sourd pendant plus de deux semaines. Je vais donc en profiter pour vous donner des nouvelles de la critique au sujet du mariage de Charles, ne vous inquiétez pas, l'écriture a commencé. Elle devrait arriver très prochainement.
C'est en plein rendez-vous avec ma dermatologue que j'ai compris le problème : - Bonjour, alors racontez-moi ce qui vous arrive M. Robdémangière. - Bonjour Docteur, alors en fait j'ai des grosses plaques d'eczéma ponctuellement et je sais pas ce qui provoque ça... - Vous écoutez du trip-hop ? - Ça m'arrive, oui, à cause de Robert. - Cherchez pas plus loin... 50€ de consultation + 50€ de produits pharma = un 1/5 bien mérité.
Je voulais vous prouver qu'Eminem s'était inspiré de cette pochette pour faire peur à Moby grâce à des éléments de preuve irréfutables mais deux espions de Robert sont actuellement à mes trousses. Je vous tiendrai informés dès que je les aurai semés.
Ces gars là peuvent se targuer d'être les nouvelles pétasses du générateur.
Il s'agit là d'un immense soulagement : Robert a enfin libéré Stevie qui pourrissait dans une cellule de sa cave. La résolution d'un problème est toutefois suivie de l'apparition d'un nouveau puisque tout au long de son CD, la voix de Stevie Wonder sera couverte par un bruit récurrent, "crrrr crrrr" pour ne pas le citer. Eddy Mitchel en est l'auteur. Depuis sa reprise de Superstition, celui-ci n'a de cesse de vouloir reprendre les tubes de son idole malvoyante. Et lorsque la copie conforme dudit morceau retentit, les bruits s'intensifient jusqu'à ce que la peur s'entende dans la voix de Wonder. "Bloquez la porte !" l'entend-on crier à son équipe qui se hâtent alors à l'entrée du studio pour placer une chaise sous la poignée de la porte. Les crissements finiront par s'interrompre, au grand soulagement de notre chanteur autrefois croupissant.
Ces Dictators débordent d'énergie et cela va causer un très gros micmac au sein de leur lycée. En début d'album, ces petits rigolos présentent lors d'un exercice organisé par la professeur d'allemand Frau B. un programme politique basé sur l'idée d'une dictature "saine et variée". Tout y passe, du traitement des opposants politiques au programme éducatif des enfants. Frau B. leur reproche en fin de présentation le traitement de Seb Folin qui n'était plus censé apparaître dans leurs exposés, jusque-là rien d'anormal. Nos jeunes dictateurs n'ont ensuite plus de nouvelle de cet épisode jusqu'au moment où, en plein cours de géographie donné par Rossi, Frau B accompagnée de la CPE frappent à la porte pour demander des comptes à nos Dictators, totalement ahuris par la situation. S'ensuit une leçon de morale d'une quinzaine de minutes au terme de laquelle ils sont menacés d'un renvoi définitif de l'établissement. Bien heureusement, Rossi se décide à les défendre avec son désormais célèbre "Mais ils sont pas méchants, ils sont gentils." Ils s'en tirent finalement sans aucune sanction et profiteront encore de beaux moments placés sous le signe de la scolarité.
Comme je vous l'apprenais la dernière fois, Nick Drake est une personne différente de Nick Cave. Ceci étant dit je vais vous expliquer les conditions dans lesquelles j'ai écouté cet album, qui sont pour les plus assidus d'entre vous les mêmes que pour l'album Elvis Presley de l'artiste du même nom. Vous n'êtes pas sans savoir que j'ai élu domicile en Pologne depuis quelques mois déjà et que ma façon privilégiée de rencontrer les filles les plus chaudes de ma région reste d'utiliser l'application extrapeze, qui vous permet de localiser les ex-compagnes de mon ennemi eltrapeze dans un rayon de dix kilomètres et de les fréquenter comme bon vous semble. Avec la même manœuvre qu'à l'accoutumée, je leur fis cette fois-ci non pas passer des entretiens mais organisai une véritable olympiade. Au terme de plusieurs épreuves plus complexes les unes que les autres, la gagnante obtint le droit de passer une nuit avec moi dans ma Love-room. Je la poussai ainsi sur le Love-bed et lui susurrai ceci : « Je vais allumer mon enceinte JBL et lancer l'album de Nick Drake. Une fois cette action terminée, j'irai uriner aux toilettes et reviendrai pour te faire oublier eltrapeze et ses goûts musicaux exécrables. » Je m'exécutai. Lorsque je revins dans la Love-room, le visage de la jeune femme avait tourné blanc. « Que se passe-t-il ? » lui hurlai-je à la figure. Celle-ci pointa l'enceinte du doigt. Je compris immédiatement. L'album était déjà terminé.
Un album qui m'est apparu sans grand intérêt mais il est possible que je sois en grande partie responsable de cette appréciation. N'ayant aucune estime pour l'androgyne-pop proposée par Bowie, j'ai pour habitude d'écouter les albums de ce dernier avec la même oreille inattentive que lorsque j'écoute du Penguin Cafe Orchestra. Difficile de viser plus de trois sur cinq dans ces conditions...
Cet album est un peu à l'image des raviolis aux fraises dans le sens où on sent qu'il y a de l'idée mais le résultat est pas franchement convaincant.
Cet album du récidiviste Brian Eno m'a un peu créé la même sensation que lorsque je me sers mon café chaque matin. Vous pourriez vous dire que ce moment est agréable, il n'en est rien. J'ai déjà horreur du mécanisme des cafetières à l'italienne, et celle dont j'ai fait l'acquisition fuit de partout lorsque j'essaie de verser le café dans ma tasse. Je dois ensuite éponger chaque recoin de la cuisine et cela me met en rogne au moment de démarrer la journée. Il en est de même pour Brian, que j'ai passé mon temps à éponger péniblement tout au long de cet album.
J'ai passé un moment sympathique avec ces Who malgré un genre musical attitré totalement fantaisiste (hard rock) sans aucun lien avec le genre réel de l'album. Cette écoute a toutefois failli être gâchée par ma N+1. Je vous joins l'échange confidentiel en question que nous avons eu sur Teams : « - Robprocédurière ? - Quoi ? - Pourquoi ce processus est en cours de traitement depuis deux jours ? - Parce que c'est mon premier processus du genre alors j'y vais lentement, je prends le time... - Tu veux qu'on le fasse ensemble ? - Ouais carrément. - 12h15 ? - Non 12h22 parce qu'il restera Tommy's Holiday Camp et We're Not Gonna Take It à 12h15. - Pardon ? - J'y peux rien si la trackliste est longue comme le cul. » Je leur accorde donc un trois sur cinq.
Ces demeurés auront vraiment profité d'un moment de faiblesse pendant lequel je digérais mes pâtes aux poivrons pour s'en tirer avec un 4 certainement très cher payé.
J'avais préparé une magnifique critique de cette soirée d'anniversaire mais j'ai appris au dernier moment que je n'étais finalement pas invité, la faute à la fois où j'ai brûlé une moquette par le biais d'un charbon à chicha.
Je profite de cette critique pour adresser ma plus cordiale traînée de pisse à toutes les personnes qui portent des t-shirts tête de mort.
Ayant un retard monstrueux au sein du générateur et n'ayant plus le moindre souvenir de cet album, je vais procéder de manière inédite ; ma critique sera intégralement focalisée sur un passage de cinq secondes pris au hasard au milieu du projet. Le passage en question écouté à l'instant ne m'a pas particulièrement procuré d'émotion. J'y ai décelé un gloubi-boulga d'ambient électro sans le moindre intérêt. Robert, si tu me lis...
J'ai reçu hier soir un message de mon ennemi juré eltrapeze me confiant son inquiétude au sujet de l'état de santé de Robert. Celui que vous connaissez probablement sous son nom complet Robert Dimery, bien qu'il eût été en Erasmus au moment de publier son grimoire des 1001, est aujourd'hui un vieux monsieur sénil. D'après les nouvelles qu'eltrapeze me donna, Robert se serait persuadé d'être africain depuis plusieurs jours. Je me rendis donc à son domicile pour évaluer la situation par moi-même. À mon arrivée, Robert m'ouvrit grand la porte avec un accoutrement pour le moins minimaliste, celui-ci étant constitué d'un simple étui-pénien. « Ti vé di thiéboudiène ? » me lança-t-il avec un accent très caricatural qu'on aurait dit tout droit sorti de Tintin au Congo. « Non merci... » répondis-je avant que celui-ci ne tchipe de la manière la plus forcée qui soit. Je décidai de lui casser une énième fois la figure.
C'est comme Otis Redding mais en moins bien. J'ai failli lâcher une critique incendiaire en soulignant que Burke lui avait volé sa place mais Otis figure bien le classement, ràs... Il arrive que Robert fasse son métier correctement.
Profitez-en, ce n'est pas tous les jours que vous me verrez mettre plus de deux à du punk.
Robert a une nouvelle fois gâché la fête en libérant l'album d'un groupe mythique dépourvu d'un quelconque tube. À ce sujet, je voulais vous partager la grosse boulette que j'ai commise dans le cadre de mon activité professionnelle. Vous savez déjà que j'ai pour habitude d'envoyer quelques minutes après mon réveil un courriel de menace à Robert, c'est l'une des étapes qui composent ma routine matinale. Pourtant, hier matin, je n'obtins pas l'avis de lecture qui suit généralement l'envoi de celui-ci. Après vérification, il s'avéra que je l'avais en fait envoyé à mon client le plus important, également appelé Robert. Ce dernier, se rendant compte de mon erreur et voyant bien que les menaces en question étaient destinées à Robert Dimery et non à lui-même, transmit ledit mail et le vrai Robert en accusa bonne réception quelques minutes plus tard. Une belle frayeur mais un dénouement heureusement sans conséquence.
Un album de trash metal pas si désagréable, les clébards ayant été amenés chez le toiletteur quelques jours avant l'enregistrement.
Un bon album de salon de coiffure house. Celui-ci commence par une attente assez courte sur le canapé proche de la porte. On est ensuite pris en charge par Jessica qui vient nous enfiler une blouse puis nous shampouine avec beaucoup de délicatesse. On s'installe ensuite devant le miroir et explique à celle-ci comment on va les couper avec l'aide d'une photo de Robbie Williams. Jessica se met alors au travail et nous pose des questions de plus en plus intrusives : "Ca va ? Ca fait combien de temps que tu les as pas coupés ? Tu mets de la cire dans tes cheveux ou pas ? Hein ? Alors ? Tu réponds oui ou merde ?!" Elle nous montrera ensuite l'arrière de notre tête puis nous fera enfin payer. C'était pas trop tôt.
Étant actuellement très pris par la Coupe du monde, je n'ai pour la première fois pas ouvert le générateur au cours d'un jour ouvrable. Lorsque j'allumai mon portable au soir, j'eus la surprise de voir que Robert m'avait laissé dix-sept messages vocaux m'astreignant d'écouter In It For The Miney. Ce fut l'occasion pour moi de lui rappeler que je lui avais déjà cassé la gueule plusieurs fois et qu'un nouveau bourre-pif n'était pas à exclure.
J'avais beau ne pas connaître cette gothique, c'était finalement tout comme tant Romano en a parlé dans la radio libre de Difool.
Il semble que nombre d'entre vous n'ont pas encore enregistré l'information, mais Nick Cave et Nick Drake sont deux personnes différentes. Un test ADN a d'ailleurs été réalisé après prélèvement d'une mollaire sur le cadavre de ce dernier et les résultats ont bien confirmé ce que je vous raconte.
Un album ma foi sympathique même si je me vois dans l'impossibilité de lui donner plus de trois pour une raison assez simple : étant en pleine écoute de celui-ci, je n'ai pas entendu ma cafetière à l'italienne totalement s'emballer dans ma cuisine. Café bouillu, café foutu...
The Band prouve encore une fois avec cet album que derrière ce nom de scène se cache bel et bien un groupe de musique.
Comme vous vous en doutez, cet album a donné lieu à une énième déconvenue pour Robert qui en a encore pris plein la figure. Eltrapeze et moi l'avons encerclé alors qu'il était sur le chemin de sa boulangerie et l'avons roué de coups, et ce devant plusieurs témoins. En espérant que son séjour à l'hôpital l'aura au moins un peu fait réfléchir.
Quel dommage que cette formation ne compte qu'un seul Stephen Stills et non pas l'intégralité de tous les Stephen Stills...
Bien qu'il s'agisse d'un album sympathique, les protagonistes ne grandiront pas d'un pousse sur toute la durée de l'album, à notre plus grand regret.
De sacrées bonnes synthpoperies qui auront trouvé leur public au creux de mes oreilles crasseuses.
Malgré un propos totalement incohérent, l'album offre une énorme bouffée d'air à une période où le générateur est souillé de clébards mal shampouinés. Pour être même très honnête, Bebel m'a donné envie d'entrer dans l'ascenseur de mon lieu de travail et d'effectuer d'inlassables allers-retours du premier au dixième étage. Malheureusement, je travaille depuis mon domicile. Quelle poisse...
J'ai remarqué quelque chose de curieux. Chaque album non disponible sur spotify et seulement trouvable en intégralité sur youtube commence par "yo tout le monde c'est Squeezie !", quelqu'un saurait-il pourquoi ? Au delà de ça, j'ai plutôt apprécié ce concert même si, ayant été placé au tout premier rang, j'avais le sexe moulé du chanteur en vis-à-vis pendant plus d'une heure. Désagréable.
Un album à mettre au compost après utilisation pour qu'il puisse être tansformé en engrais.
Cette bande de petits merdeux a su redresser le niveau du générateur à un moment où il en avait grand besoin.
Contrairement à ce que suggère son allure sinistre, cet album va finalement jazzer un max, et ce ne sera pas pour nous déplaire.
Ces gars-là vont prendre un malin plaisir à vous abrutir pendant quasiment quarante minutes, faites très attention...
J'ai été très supris au moment où cet album arriva à son terme de constater à quel point les Go-Betweens m'avaient acoustiqué la gueule.
Cet album semble avoir été la principale source d'inspiration de Lomepal pour son dernier album de hard rock / trash metal.
Je vais vous expliquer en quoi ce projet a été le théâtre d'un véritable désastre. En voyant la pochette de cet album apparaître sur ma page d'accueil, j'étais persuadé que la personne qui nous montrait fièrement sa tête n'était autre qu'un homme. C'est pour cette raison que je décidai d'organiser une session d'écoute avec tous mes amis masculinistes. Je précise que je n'ai personnellement rien contre les femmes, mais ce groupe d'amis est très réticent à leur égard et ont une opinion très tranchée sur celles-ci. « Bon allez, on lance l'album du mec là, j'ai trop hâte » lance mon ami José. Petite alerte sur le morceau d'introduction : c'est une femme qui prend la parole. « Pourquoi c'est une gonzesse qui chante ? » lança alors le gros Marcel. « Ça doit être la première partie, t'en fais pas » tentai-je de le rassurer tandis que les autres convives semblaient très agacés par la situation. Vint ensuite la deuxième chanson, accompagnée du même problème. « Mais encore cette grognasse ?? » s'impatienta José le poilu, à raison. « Il doit y avoir un problème, normalement c'est bien un homme qui doit chanter, il n'y a qu'à voir la pochette et ces cheveux courts » répondis-je sous la pression. Les morceaux suivants ne montrèrent aucun signe du tant attendu mec pour lequel nous étions tous réunis. Très énervés, mes amis partirent sans se retourner et ne m'adressèrent plus jamais la parole.
Je sais que beaucoup d'entre vous trépignaient d'impatience de connaître mon opinion sur cet album. Hélas, je ne pouvais pas me prononcer jusque-là en raison d'une clause dans un des contrats me liant à Buena Vista Social Club. Ledit contrat étant aujourd'hui arrivé à son terme, je peux désormais affirmer que cet album est très sympathique.
Un album très sympathique dans lequel les Byrds vont chacun s'attribuer le rôle d'un des Beatles et livrer une prestation similaire à ces derniers.
Un très bon album qui toutefois n'obtiendra pas la note de cinq sur cinq, ce qui empêchera MJ de réaliser le grand schelem. La raison en est assez simple, tout au long du CD, on peut entendre mes deux tutrices de mon premier cabinet d'avocat discuter de mon travail et préparer mon renvoie à l'étage d'en dessous. Plusieurs faits me sont reprochés ; j'aurais notamment compté des mandataires sociaux comme faisant partie de l'effectif de l'entreprise dans un audit excel et j'aurais également effectué des recherches sur Google, et non sur les sites spécialisés. Le résultat ne se fera pas attendre puisque on entend très bien ma main tremblotante venir signer l'accord de fin de période d'essai sur Burn This Disco Out.
Après une longue discussion avec mon camarade d'écoute et ordure humaine eltrapeze, nous pensons avoir trouvé la formule exacte pour obtenir une chanson de Bob Dylan (qui marche aussi avec Johnny Cash à condition de rajouter des prisonniers en bruit de fond). Voici en gros ce que ça donne : "(En ne laissant l'air passer qu'à travers le nez) Eh je vais vous parler de ce gars-là.... ♫ pffffrrrrFFFFFFFFrrrrpprrrrr (harmonica) ♫ Il marchait dans la rue et il pleuvait.... ♫ ppppRRRRrrrrfffRRRRRRRRRFRRRRRrrrrrrpprrr ♫ Alors il a acheté un parapluie.... ♫ cccCCCCRRRRPPPFFrrrrr ♫ Mais il était troué... alors il l'a jeté à la poubelle... ♫ Gliing gliinng gliiiing (guitare) ♫ Donc le gars est rentré chez lui tout mouillé... Sauf que sa porte était fermée il avait oublié les clés... ♫ fffRRRRRRRCCCCCRRRPPffrrrr (harmonica encore) fffRRRRTTTTTRRRppp ♫ Alors il a fait toc toc toc, aux portes du paradis, toc toc, toc toc, toc toc toc, paradis, toc toc, ..." Je déteste.
Je profite de cet album pour vous faire une annonce ayant un lien avec le thème du système sonore. Vous savez probablement qu'une fois admis à l'école des critiques musicaux par laquelle eltrapeze et moi sommes passés, il nous est demandé de nous procurer plusieurs accessoires indispensables, parmi lesquels une enceinte JBL. La particularité de cette dernière est que ce n'est pas l'élève qui la choisit mais c'est elle qui choisit son auditeur. Et, comme prévu, l'une d'entre elles me choisit. Faisons un pas dans le temps. Lorsque je m'installai en Allemagne l'année dernière accompagné de mon enceinte, je remarquai dès le premier jour que deux autres enceintes similaires étaient déjà présentes dans la maison de ma famille d'accueil. Inutile de vous dire que j'étais extrêmement dérangé par cette présence. L'une avait la dragonne entortillée et était donc reconnaissable, mais l'autre ne présentait aucune différence avec la mienne. Faisons un deuxième pas dans le temps. Lorsque je fis mes valises le matin de mon départ, me trouvant pressé par l'arrivée de mon train en gare, j'emportai l'une de ces deux enceintes sans savoir laquelle était la mienne. Le problème est que, je le rappelle, l'enceinte choisit son auditeur. Ces derniers mois, plusieurs indices me font penser que ce choix fait à la hâte n'a pas été le bon. Des passages de Kraftwerk parasitent régulièrement l'écoute des albums générés. Et plus encore, en pleine nuit, l'enceinte s'allume toute seule et m'ordonne de partir à la guerre par le biais de passages de l'album Opus Dei. C'en est trop. J'ai donc pris la décision de mettre fin à cet enfer. Je me rendrai ce soir chez Mediamarkt et y acheterai un casque Sony WH-1000xm4.
Je m'attendais à ce que ces moines déambulent dans leur monastère les bras croisés et les mains rentrées dans la manche opposée, ou a minima qu'ils brassent de la bière, il n'en sera rien. Ceux-ci passeront leur temps à se relaxer sur une playlist Jazz prise au hasard sur YouTube.
Contrairement à ce qu'en a pensé eltrapeze, il s'agit d'un album très solide. Il prend encore plus de sens lorsque l'on a vu son biopic au cinéma cette année, ce qui n'est pas mon cas.
Ça nasille du début à la fin, et ce n'est pas pour me déplaire. J'ai d'ailleurs beaucoup aimé cette fin d'album où l'on découvre Mick Jagger et David Bowie tout nus dans le même lit, nous affirmant à maintes reprises que ce n'est pas ce que nous croyons.
Comme vous le savez, Robert a décidé d'ignorer tous les albums ayant eu un succès commercial après les années 2000 et préfère générer ceux plébiscités par les hipsters et leur chemise à carreaux. Quel dommage.
Malgré une pochette qui laissait entrevoir un album d'homosexual pop, les amateurs du genre (dont je fais partie) ne trouveront pas la moindre piste susceptible de les satisfaire. Quel gâchis...
Je trouve ça extrêmement suspect que Rattus Norvegicus soit généré juste après Suede... Robert ?
Malgré le fait que l'écoute de cet album aie été la toute première sur mon nouveau casque Sony WH-1000xm5 (et non pas WH-1000xm4 comme je l'annonçais il y a quelques jours), cedit appareil ne créa aucun miracle. Les Strokes devront faire un peu mieux s'ils veulent vraiment m'impressionner.
L'album des TLC est en effet très sexy, mais les textes aguicheurs ont complètement ruiné le projet. Je vous cite quelques passages pour illustrer mes dires : • Creep, premier couplet : « Allez-vous tous ignorer le fait que j'AI UN ÉNORME CUL ? » • Waterfalls, refrain : « NE REGARDEZ PAS ma story si vous ne voulez pas vous M A S T U R B E R ? <3 :P » • Let's Do It Again, outro : « WOW!! :O »
Je pense que beaucoup d'entre vous ont écouté cet album sans même savoir que Jah Wobble était depuis 2006 le détenteur du record de la personnalité la moins célèbre du monde. Un huissier s'est en effet basé sur le fait que personne n'ait jamais entendu parler de Jah Wobble pour homologuer ledit record. Ce dernier a pourtant bien failli lui être retiré en 2018 après qu'un internaute a découvert que son compte Instagram comptait trois abonnés. Une enquête a finalement prouvé qu'il s'agissait de bots (le groupe de chaudières TLC pour être précis).
Un des rares albums où l'on peut voir Paul McCartney dans sa version ailée. La différence avec celui des Beatles est légère mais notable. On peut ainsi l'apercevoir de temps à autre survoler les gratte-ciels du centre-ville et effectuer différentes acrobaties. Pourquoi pas.
C'est très bien essayé de la part de Neneh, mais vous savez tous que je suis un expert en sushi (cf mes critiques d'At Fillmore East et de Led Zeppelin). Je m'en vais donc "débunker" certaines idées rencontrées dans cet album : · "L'alimentation des Japonais repose quasi intégralement sur les sushis"- Buffalo Stance. FAUX, leur consommation reste occasionnelle au Japon. · "Un sushi sans poisson cru, ce n'est pas un sushi." - Love Ghetto. FAUX, il existe des sushis faits avec du poisson cuit, on les appelle "yakizushi". Arrête de raconter n'importe quoi Neneh. · "Certains restaurants proposent des formules de sushis à volonté."- Outré Risqué Locomotive. VRAI, j'évoque deux d'entre eux dans mes critiques d'At Fillmore East et de Led Zeppelin. · "Les sushis au thon, au saumon ou à la crevette doivent être dégustés de préférence avec une sauce sucrée."- My Bitch (bonus track). FAUX, la sauce salée est à privilégier. Voilà, j'espère que vous comprenez maintenant qu'il ne faut pas croire tout et n'importe quoi.
Si vous voulez progresser en anglais, vous pouvez soit lancer la vidéo "English Conversaton; Learn while you Sleep with 5000 words", soit cet album de Nick Cave qui y ressemble comme deux gouttes d'eau. Jetez par exemple un coup d'œil à ce passage : « NICK CAVE: Hey The Bad Seeds, how are you doing ? THE BAD SEEDS: We are great. We are getting hungry though. NICK CAVE: Yeah. Me too, what time is your lunch break ? THE BAD SEEDS: In about ten minutes. NICK CAVE: Oh great, I have my break in about ten minutes too. Should we go get something to eat ? THE BAD SEEDS: Yeah, that sounds great. Do you know of any good restaurants around here ? NICK CAVE: Yes. There's a great Chinese restaurant around the corner. THE BAD SEEDS: Oh, we love Chinese food. Let's go! NICK CAVE: Ok let's do it! I can't wait to eat some spring rolls. THE BAD SEEDS: Spring rolls are good, but we love dumplings. NICK CAVE: Me too, let's get an order of both! THE BAD SEEDS: That's a great idea. »
Écoutez, ça fait au moins deux semaines que Robert me réclame une critique des Creedence Clearwater et ça commence à bien faire. Ces gars-là ce m'inspirent rien de spécial, je vais pas me forcer quand même ?? Robert ??
Le R'n'B est ce qui est arrivé de mieux aux États-unis depuis l'arrivée des conquistadors au XVIème siècle. Robert refuse toutefois de reconnaître ce genre de musique et préfère classer ces albums dans la pile Pop ou Hip-hop. Quelle honte... Vous commencez à en avoir l'habitude, chaque nouvel album de R'n'B est l'occasion pour moi de m'enquérir de la santé mentale des fans de métal. Aux dernières nouvelles, ces derniers suent toujours autant dans leur T-shirt tête de mort et grattouillent régulièrement le dos de leurs innombrables clébards couverts de puces porteuses de maladies que l'on pense disparues. N'hésitez pas à me dire si la situation a évolué.
Vous savez très bien que la popularité de la rap music est en chute libre depuis le lancement de ce générateur. Cet album est toutefois excellent, il faut l'avouer. En réalité, son seul gros problème est qu'Eminem passe son temps à nous expliquer que son surnom, c'est Slim Shady. Il nous le répète à tort et à travers : Slim Shady, c'est son surnom. Et très clairement, on en a rien à foutre que les gens l'appellent Slim Shady. Vraiment rien à taper. Mon surnom à moi c'est Robtentaculaire et je ne vais pas en faire un album pour autant. J'invite eltrapeze à nous donner son avis dans les plus brefs délais.
Un album très américain, dans le sens exécrable du terme. Wilco, qui nous avait régalé sur ses deux premiers albums, a fini par céder aux sirènes de la country, enfilant successivement un chapeau Stetson et des santiags. Il partira attraper des vaches au laceau et disparaîtra petit à petit à l'horizon, ignorant nos nombreux appels. Bien triste.
La britpop est un genre qui déçoit rarement depuis le début du générateur. J'ai toutefois eu envie de casser la gueule à Robert et ne m'en suis pas privé dès que j'eus fini cet album.
Des petits cons.
C'est dans ces moments-là qu'on aime le générateur. Le genre d'album qu'on lance sans grand intérêt et qui, à l'arrivée du tube, nous fait hurler un "Ça c'est mon Robert ça !!". Super.
Un album qui rappelle un peu certains projets de Sparks. Il n'y a pas de hasard, leur musique s'inscrit dans le courant débile-pop.
Une pochette de très haute volée, visiblement réalisée par un expert du logiciel Paint. Il y étale toute sa technique, utilisant plusieurs polices d'écriture et plusieurs couleurs. Il arrive même à donner à certaines lettres un contour blanc grâce à l'astuce suivante : écrire le texte une deuxième fois, le mettre en blanc et le poser sur un calque qu'on viendra placer en dessous du texte d'origine. Du grand art.
C'est un vrai plaisir de retrouver dans cet album certains artistes comme T-rex ou Dinosaur Jr. qui évoluent ici dans leur environnement naturel.
La performance du chanteur est totalement éclipsée par les lignes de basse ultra-charismatiques. Il n'y a pas de hasard, c'est moi-même qui en tiens le manche et fais étalage de ma technique, sous le regard agacé des différents membres.
Un album au cours duquel New order passera son temps à essayer de nous convaincre qu'un nouvel ordre mondial est en marche. L'artiste passera en revue toutes ses théories complotistes de la plus vraisemblable à la plus absurde et finit contre toute attente par nous convaincre. Une belle découverte.
Je voulais simplement vous annoncer qu'eltrapeze confondait U2 et Coldplay, de son propre aveu, ce qui laisse extrêmement perplexe quant à la pertinence de ses critiques musicales.
À chaque période difficile du générateur son lot de baragouineurs. Suba tentera nous expliquer son point de vue et de l'argumenter pendant tout l'album sans que l'on en comprenne quoique ce soit. Bien essayé.
Aucun intérêt une fois qu'on a passé les violons et le plagiat du premier morceau.
Comme très souvent lorsque je manque d'inspiration, je vous propose de vous référer à la critique de mon ennemi juré eltrapeze, bien que je sois en désaccord total avec son opinion.
Encore un album de Post-Erasmus-Indie pour Robert qui n'en finit plus de réclamer des baffes et qui les obtient en général très rapidement.
Le problème avec le fait d'avoir des critiques en retard est qu'une bonne partie des albums que nous génère ce bon vieux Robert ne nous laissent aucun souvenir après quelques jours. Celui-ci en est un parfait exemple.
J'ai très rarement entendu un album aussi funkadélique que celui-ci, le dernier en date étant celui de Sinclair.
Cet album est pour moi la tête de mort qui fait déborder le clébard. Je savais très bien avant de lancer l'écoute que ces messieurs n'allaient pas figurer parmi mes artistes favoris du générateur pour les avoir vus se produire au Joyeux Gueulards Festival, mais là c'en est trop. L'album se dirigeait droit vers un 2 sur 5 mais les coupures de son arrache-oreilles parsemées çà et là auront raison de lui. Allez vous faire foutre.
De l'androgyne rock extrêmement bien exécuté. L'album dressera un tableau ultraréaliste d'une jeunesse américaine prise en sandwich entre le soda et le baseball. Très sympa.
Un album très intéressant dans lequel on suit un groupe de collégiennes faisant la queue pour le concert d'un boys band. Les textes parlent essentiellement d'appareils dentaires mais on s'y retrouve sans problème.
Fort heureusement et contrairement à ce qui a pu être annoncé, cet album n'a aucune accointance avec cet horrible genre musical qu'est la country.
À noter que j'ai configuré hier soir cet album comme réveil-matin. Il me fallait en effet un son électronique pour lequel je n'avais aucune affinité afin de ne pas associer mes réveils pénibles à un artiste que j'apprécie. On peut dire que 808 State fait parfaitement l'affaire
Paul Simon est de passage en terre africaine pour notre plus grand plaisir. On aurait toutefois aimé qu'il s'exprime en langue locale ou même en français, mais notre ami n'en a pas eu les couilles.
Il se trouve que j'avais plutôt apprécié cet album à sa sortie, je vous joins d'ailleurs la conversation que j'avais eu avec 50 cent à son sujet : "50 Cent: Salut Robsoupière, comment vas-tu ? Robsoupière: Bonjour 50 Cent, ça va. J'ai écouté ton album "Get Rich or Die Tryin" récemment, et je dois dire que j'ai été agréablement surpris. C'est pas mal. 50 Cent: Merci, je suis content que tu aimes. Robsoupière: Mais ne crois pas que ça te donne le droit de prétendre que tu es un artiste accompli. Tu as encore beaucoup à apprendre. 50 Cent: Bien sûr, je suis toujours en train d'apprendre et de grandir en tant qu'artiste. Robsoupière: J'espère bien. Et si tu veux apprendre de moi, tu devrais écouter attentivement ce que j'ai à dire. 50 Cent: Bien sûr, je suis tout ouïe. Robsoupière: Tu devrais être reconnaissant que je prenne le temps de t'écouter. Après tout, tu n'es qu'un rappeur de seconde zone. 50 Cent: Je suis désolé si j'ai offensé qui que ce soit. Je suis juste là pour faire de la musique et divertir les gens. Robsoupière: Tu ne sais même pas ce que tu veux dire. Écoute, j'ai une proposition pour toi. Mon père avait un magasin de béquilles qui a fait faillite. Je peux te vendre une béquille à moitié prix si tu veux. 50 Cent: Euh, je ne suis pas sûr d'avoir besoin d'une béquille, mais merci quand même. Robsoupière: Ne sois pas timide. Tout le monde a besoin d'une béquille à un moment donné. Et puis, tu pourrais en avoir besoin pour ta prochaine vidéo musicale. 50 Cent: C'est une idée intéressante, je vais y réfléchir. Robsoupière: Parfait. Et pour te remercier d'avoir discuté avec moi, je vais te donner une petite tape amicale sur la joue. (Le son de petites tapes se fait entendre) 50 Cent: (souriant) Merci, Robsoupière. C'était une expérience intéressante. Robsoupière: Tout le plaisir est pour moi, 50 Cent. Rappelle-toi, je suis là si tu as besoin de conseils musicaux."
Un album de Janis Joplin ordinaire sur fond de clopes, de trajets en poids lourd et de torse poilu.
Des gratouilleries sans grand intérêt si vous voulez mon avis. Inutile de dire que je m'attendais à mieux pour le 666ème album du générateur.
De joyeuses gueuleries parfaitement assumées de la part de System Of A Down. Le seul problème à l'horizon est que tous mes collègues se sont concertés pour me répondre "okay" quand je leur dis bonjour. J'espère vraiment que la situation va évoluer et vous tiendrai au courant.
Je vous ai déjà répété que j'avais assisté à ce concert à la patinoire de Bordeaux alors il va falloir penser à arrêter de le générer à tout va. Petite anecdote à ce sujet, à la fin du show, les guitaristes ont jeté leurs médiators dans la fosse, faisant de nombreux heureux. Mais ils ne se sont pas arrêté là puisque le batteur a fini par être lancé lui-aussi parmi les spectateurs. C'est mon père et moi qui réussîmes à l'attraper et le ramener chez nous. Il est aujourd'hui un membre à part entière de notre famille.
Je ne me souviens plus exactement de ce que nous ont proposé ces juifs argentés mais je me rappelle très bien les entendre répéter "la vérité !" à tort et à travers, rendant l'expérience assez peu agréable.
Ces mecs-là boombappent à foison sans penser une seule seconde que leur musique sera la définition de la ringardise quelques décennies plus tard. Quel destin..
Un très bel hommage des Rolling Stones envers le roi de la couillasse, j'ai nommé Bruce Springsteen. Je pense que je n'apprends rien à personne en disant que le lundi est un jour particulier dans mon entreprise puisque c'est le jour où nous nous faisons livrer des panières de fruits frais. Et justement, en ce lundi matin, n'ayant pas beaucoup de travail, je décidai de manger une poignée d'entre eux en écoutant les Rolling Stones. Laissez-moi maintenant vous partager une difficulté à laquelle je suis confronté pour que vous compreniez là où mène cette anecdote. Étant astreint à recevoir des appels téléphoniques de clients, seules quelques options s'offrent à moi pour justifier le fait de m'absenter un instant de mon bureau. Sachant que le statut "va se chercher un café" ne figure pas dans le menu déroulant, je choisis systématiquement "restroom break", ce qui fait que le logiciel m'affiche comme étant aux toilettes environ trois heures par jour en cumulé. Ce qui m'amène à la mésaventure dont je voulais vous parler. En revenant de la cuisine après avoir jeté mes trognons de pomme et peaux de clémentine, je fus interpellé par mon patron devant tout l'open space: "Alors ça va la chiasse, espèce d'énorme porc ?" Croyez-le ou non, mais je fus extrêmement gêné par cette réflexion.
Comme très souvent lorsque j'ai une dizaine de critiques à rattraper, je vais utiliser une de mes techniques de secours consistant à vous copier mot pour mot l'avis à chaud laissé dans la boîte aux lettres de mon principale antagoniste, eltrapeze : "Lightning Bolt c'est odieux". Pas besoin d'en rajouter, semble-t-il...
Un bon album de ringos-folk, ce genre musical mettant généralement en scène un chanteur, le plus souvent extrêmement ringard, venant nous bassiner avec ses histoires peu passionnantes sur fond de guitare acoustique. Merci Bert.
Que cela fait plaisir de voir les Clash abandonner leurs coiffures en crète et laisser leurs douzaines de clébards au chenil le temps d'un album. Le résultat est loin d'être catastrophique.
Les albums d'rnb post 2010 font toujours un bien fou au générateur, c'est une vraie constante. Je vais m'abstenir de répéter une énième fois ce que je pense des clébards à tête de mort mais vous connaissez mon avis les concernant.
J'ai personnellement bien aimé cet album. Coïncidence amusante, je suis tombé sur une critique très pointue de cet album dans un des journaux entreposés sur la table d'une salle d'attente il y a quelques jours. Je vous la colle ci-dessous : « Les Beatles, le célèbre groupe de rock britannique, sort leur deuxième album, "With the Beatles". L'album contient des hits tels que "All My Loving" et "It Won't Be Long". Les cinq jeunes musiciens talentueux, Paul McCartney, John Lennon, Ringo Starr, George Harrison et le père de robvipère, ont chacun apporté leur touche personnelle à chaque morceau. Dans "All My Loving", Paul McCartney donne le ton avec sa voix douce et les accords accrocheurs de sa guitare, accompagné de la batterie enjouée de Ringo Starr. George Harrison apporte une touche exotique avec son solo de guitare dans "Don't Bother Me". Le père de robvipère ajoute une touche de légèreté à la chanson "Little Child" avec sa flûte enjouée, tandis que John Lennon fait entendre sa voix distinctive dans "Not a Second Time". Bien que le père de robvipère soit un musicien talentueux, il est parfois incontrôlable. Dans "Money (That's What I Want)", sa flûte est un peu trop envahissante, couvrant les autres instruments. Dans "Hold Me Tight", il se laisse emporter et joue de façon désynchronisée avec les autres membres, créant un léger déséquilibre. Cependant, ces petits accrocs ne diminuent pas la qualité de l'album. Avec les Beatles, cinq jeunes musiciens talentueux, ont créé un album mémorable qui restera gravé dans l'histoire de la musique. "With the Beatles" est un must-have pour tous les fans de rock et de pop. »
Les albums de trip-hop ne seront plus commentés.
Je trouve que mon père est toujours en mauvaise compagnie quand il sort à la fête forraine avec eltrapeze.
Cet album m'a rappelé les trajets en voiture à bord de la Citroën Picasso de mon père quand j'étais tout petit. C'était souvent l'occasion pour nous d'entrer en conflit et de mettre le doigt sur sa relation privilégiée avec mon rival, eltrapeze. Je vous colle ci-dessous l'un des échanges que nous avons eus alors qu'il m'emmenait à l'école primaire : Robvipère : Papa, je ne veux plus écouter Ace of Spades de Motörhead. C'est la cinquième fois que tu le mets depuis le début du trajet. Père de Robvipère : Robvipère, tu dois apprendre à apprécier de la bonne musique. Eltrapeze adore Motörhead. Robvipère : Mais je n'aime pas ça. Pourquoi tu préfères eltrapeze à moi ? Père de Robvipère : C'est une question de goûts musicaux. Eltrapeze et moi avons les mêmes goûts, c'est tout. Robvipère : Mais c'est injuste. Et puis, pourquoi tu verrouilles les portes de la voiture ? Père de Robvipère : Robvipère, écoute-moi bien. Mon magasin de béquilles est en train de couler. Quand j'ai lancé mon commerce, tout le monde voulait avoir une béquille chez soi. Mais maintenant, elles n'intéressent plus personne. Robvipère : Pourquoi ça ? Père de Robvipère : Le boom de la béquille est passé. Les gens ont trouvé d'autres moyens pour se déplacer. Et puis, les béquilles, ça ne fait pas rêver les gens. Robvipère : Je comprends. Père de Robvipère : Non, tu ne comprends pas. Tu ne m'aides même pas dans la partie comptable ni dans le marketing. Tu pourrais m'aider à trouver des idées pour relancer les ventes. Robvipère : Mais je suis critique musical ! Père de Robvipère : C'est vrai. Mais eltrapeze m'aide, lui. Il est toujours de bon conseil pour moi. Il m'aide même à trouver des solutions pour mes problèmes de couple et ma dépression. C'est pourquoi je vais lui léguer le magasin quand nous aurons redressé la barre. Robvipère : C'est injuste. Père de Robvipère : Je suis désolé, Robvipère. Mais c'est comme ça. Je ne peux pas changer d'avis. Robvipère : Je comprends. Mais je suis quand même déçu. Père de Robvipère : C'est bien mon fils. Maintenant, écoute Ace of Spades.
Un album composé à l'aide d'une théière si l'on en croit les propos de mon ennemi publique à moi, j'ai nommé eltrapeze. Rien d'étonnant que ces propos soient si à côté de la plaque, tant eltrapeze a subi un véritable choc émotionnel ces dernières semaines, en essayant de se lancer dans le stand up. Toute cette séquence pathétique a été enregistrée et je vous copie avec plaisir le script que l'un des témoins m'a transmis par mail : Eltrapeze se tient devant le public, un sourire nerveux sur le visage. ELTRAPEZE : Bonsoir tout le monde ! Vous savez, j'ai longtemps été critique musical, mais j'ai décidé de me lancer dans une nouvelle carrière. Je veux faire de l'humour, de la blague, de l'hilarité. Le public le regarde avec scepticisme. ELTRAPEZE : Et pour commencer, j'ai un petit roast à vous proposer. Vous connaissez tous Robbandoulière, le célèbre critique musical. Eh bien, j'ai quelque chose à vous dire à son sujet... Le public commence à siffler, mais Eltrapeze continue, aveuglé par sa jalousie. ELTRAPEZE : Vous savez, j'ai toujours été jaloux de Robbandoulière. Tout le monde l'adore, mais je suis sûr qu'il y a des choses que vous ne savez pas sur lui. Par exemple, saviez-vous qu'il a conquis l'une de mes ex-compagnes ? C'était un véritable traumatisme pour moi ! Le public est de plus en plus consterné. Eltrapeze essaie de rattraper la situation, mais c'est trop tard. ELTRAPEZE : Oh, allez, je plaisante bien sûr. Robbandoulière est un grand critique. Mais sérieusement, qui est prêt à voir le vrai Robbandoulière ? Soudain, Robbandoulière apparaît au fond de la salle, sous les applaudissements du public. ROBBANDOULIÈRE : Oh, Eltrapeze. Toujours aussi mauvais dans tes critiques, toujours aussi mauvais dans tes blagues. Le public se met à rire, mais Eltrapeze est terrifié. ELTRAPEZE : Robbandoulière ! Je ne m'attendais pas à te voir ici ! ROBBANDOULIÈRE : Je suis venu t'arrêter avant que tu ne te ridiculises encore plus. Tu essaies de nuire à ma réputation, mais tu ne fais que te ridiculiser toi-même. Le public applaudit, et Eltrapeze essaie de sauver la situation. ELTRAPEZE : Oh, allez, Robbandoulière, ne sois pas si sérieux. C'était juste une blague. ROBBANDOULIÈRE : Ah, une blague. Alors laisse-moi t'en raconter une. Pourquoi les poulets traversent la route ? Pour se rendre chez Eltrapeze, le seul endroit où ils sont sûrs de ne pas finir en nuggets ! Le public éclate de rire, et Eltrapeze se rend compte qu'il a perdu la bataille. ELTRAPEZE : D'accord, d'accord, tu as gagné. Tu es le meilleur critique, le meilleur humoriste. Je suis nul. ROBBANDOULIÈRE : Tu l'as dit, Eltrapeze. Tu l'as dit. Le public se met à rire de plus belle, et pour couronner le tout, ils asseoient Robbandoulière sur une chaise et le font tourner comme dans une bar mitzvah. Eltrapeze quitte la scène, honteux. Sa tentative de se lancer dans l'humour a été un échec cuisant.
Pas étonnant que Soundgarden ait gagné le prix de Joyeux Gueulards de l'année cinq fois d'affilée quand on voit à quel point ceux-ci m'ont baisé la gueule pendant toute la durée de l'album. Bravo à eux.
Un album immédiatement oublié une fois terminé. Encore bravo Robert.
C'est une bonne idée de la part de U2 de vouloir viser le public germanophone, mais le propos est loin d'être assez agressif pour que ce projet soit réussi. Je les invite à prendre exemple sur Laibach et leur album Opus Dei.
Petit fait cocasse, je ne me suis pas rendu compte que l'album était terminé et commençais à me demander pourquoi Sonic Youth avait intégré un chanteur à voix de merde dans leur groupe avant de me rendre compte que Spotify avait enchaîné avec un morceau de Joy Division. Évidemment.
Un album contenant d'immenses tubes qu'eltrapeze n'a même pas su reconnaître tant sa culture musicale est limitée. Vous savez pertinemment que je n'ai en ce moment que trop peu de temps à consacrer à mes critiques. C'est pour cette raison que j'ai décidé de m'aider de l'intelligence artificielle pour en rédiger certaines et rattraper mon retard. J'ai en ce sens demandé à ChatGPT de rédiger une courte biographie d'eltrapeze. À noter qu'avec une consigne de seulement quelques mots, le logiciel a totalement su cerner la personnalité de mon rival. Voici la biographie en question : "Eltrapeze est un critique musical polémique et incompétent, né dans les années 90. Il a toujours eu une passion pour la musique, mais malheureusement, il n'a jamais réussi à percer dans l'industrie musicale malgré ses tentatives répétées. Eltrapeze est surtout connu pour ses critiques acerbes et souvent injustes envers les artistes qu'il couvre. Il est très critique envers la musique populaire et préfère se concentrer sur des genres plus obscurs, ce qui peut parfois le faire passer pour un snob. Malheureusement pour Eltrapeze, il vit constamment dans l'ombre de son rival Robbandoulière, un critique musical célèbre et respecté. Eltrapeze est jaloux de la popularité et de la réussite de Robbandoulière et ne rate jamais une occasion de critiquer son travail. Outre sa jalousie maladive envers son rival, il y a beaucoup de choses qui ne vont pas chez Eltrapeze, notamment : - Son manque de compétence musicale : Eltrapeze a souvent du mal à reconnaître les accords ou les notes, ce qui peut le faire passer pour un critique ignorant. - Son manque de rigueur : Eltrapeze est connu pour ne pas faire suffisamment de recherches sur les artistes qu'il critique, ce qui peut mener à des erreurs ou des incompréhensions dans ses critiques. - Son manque d'empathie : Eltrapeze est souvent très dur envers les artistes qu'il critique, même lorsqu'ils font preuve de talent ou de créativité. Il est souvent perçu comme étant trop négatif et trop critique. - Son manque de reconnaissance : Eltrapeze ne reconnaît jamais le talent des artistes qu'il critique et préfère se concentrer sur leurs défauts. Cela peut donner l'impression qu'il est incapable d'apprécier la musique. En somme, Eltrapeze est un critique musical malheureux, jaloux et incompétent, dont les critiques sont souvent décriées pour leur manque de rigueur et de professionnalisme." Pas besoin d'en rajouter.
Qu'est-ce que tu veux que je te dise Robert ?
Cet album a été librement inspiré d'une histoire qui m'est arrivée. Je vous colle l'article sorti dans la presse à ce sujet : "Robfructisgarnière crée un malaise chez le coiffeur Robfructisgarnière, critique musical de renom, a causé un scandale chez le coiffeur aujourd'hui. Alors qu'il se faisait coiffer par Jessica, la jeune coiffeuse lui a demandé comment il voulait sa coupe. Au lieu de lui répondre, Robfructisgarnière a sorti une photo de pélican de sa poche et l'a montrée à la coiffeuse. La scène a rapidement tourné au drame lorsque Jessica, visiblement confuse, a maladroitement coupé les cheveux de son client. Robfructisgarnière a alors accusé la coiffeuse de délit de pélicanerie et a appelé la police. Lorsque la police est arrivée sur les lieux, Jessica a expliqué la situation et montré la photo de pélican à l'officier de police. Bien que l'image ne soit pas incriminante en soi, la confusion de Jessica et la réaction exagérée de Robfructisgarnière ont conduit la police à arrêter la coiffeuse pour délit de pélicanerie. Le délit de pélicanerie est une infraction rarement poursuivie par les tribunaux, mais dans ce cas, la police a jugé que l'accusation était justifiée. Jessica a été mise en examen et risque une amende substantielle ainsi qu'une peine de prison."
Cet album a pour seul mérite de comprendre l'interlude détenteur du record du nombre de you know what I'm sayin en une seule minute. Et ce qui est encore plus fort, c'est que personne ne sait aujourd'hui ce que les protagonistes voulaient dire.
De nouvelles clébarderies sans intérêt.
Une grande majorité d'entre vous ont déjà été informés du fait que j'ai écouté cette escroquerie d'album en rentrant chez moi à pied après une dure journée dans l'open-space. Cette semaine a d'ailleurs eu son lot de faits marquants dont un en particulier que je m'en vais vous raconter. Comme vous le savez probablement, Céline Dion a mis sa carrière entre parenthèse depuis quelques années. Une rumeur enflait ces derniers mois selon laquelle elle réfléchirait sérieusement à s'essayer au monde de l'entreprise et à ma grande surprise, la chanteuse a finalement choisi la mienne pour effectuer son premier stage. Je vous retranscris la conversation qu'elle a eue avec mon patron à son arrivée alors qu'ils étaient à seulement quelques mètres de moi : « Mon patron : Bonjour Céline, tout d'abord, je tiens à vous féliciter pour votre incroyable carrière musicale. Mais maintenant, nous avons une situation très urgente et technique à régler ici. Céline Dion : Merci beaucoup, je suis prête à vous aider. Quel est le problème exactement ? Mon patron : Il s'agit d'un problème avec notre système de gestion de la relation client, qui cause des erreurs dans les e-mails que nous leur envoyons, entraînant des mécontentements et des pertes financières importantes. Céline Dion : Je comprends l'urgence de la situation, que puis-je faire pour vous aider ? Mon patron : Nous avons besoin de compétences techniques avancées pour réduire le nombre de connexions simultanées sur notre serveur de messagerie, qui est à l'origine du problème. Nous avons besoin que vous vous concentriez à plein temps sur la résolution de ce problème. Céline Dion : D'accord, comment dois-je m'y prendre ? Mon patron : Dans un premier temps, vous allez devoir ouvrir le logiciel de dépannage, puis sélectionner l'onglet "Outils de diagnostic". Ensuite, vous devrez exécuter un scan complet du serveur de messagerie, en utilisant les paramètres suivants : "Type de scan" doit être réglé sur "Scan complet", "Méthode de scan" doit être réglé sur "Scan approfondi", et "Fichiers à inclure dans le scan" doit être réglé sur "Tous les fichiers". Assurez-vous que toutes les autres options sont désactivées. Céline Dion : J'ai bien noté ces instructions. Et après ? Mon patron : Une fois que le scan est terminé, vous devrez analyser les résultats pour identifier les problèmes potentiels. Si vous trouvez des problèmes, vous devrez prendre des mesures pour les résoudre. Céline Dion : Entendu, je vais commencer immédiatement et vous informer dès que j'aurai des résultats. Mon patron : Très bien. Il est important que vous respectiez les délais impartis pour la réalisation de cette tâche afin que nous puissions livrer un travail de qualité à notre client. Il est possible que cela implique de rester dans les bureaux tard dans la nuit. Je vous recommande de manger des sandwiches triangle devant l'ordinateur pendant les pauses repas pour ne pas perdre de temps. Céline Dion : D'accord, je comprends. Je ferai de mon mieux pour résoudre ce problème dans les délais impartis. Mon patron : Nous avons confiance en vos compétences et vos capacités, Céline. Si vous avez besoin d'aide, n'hésitez pas à le signaler. Nous sommes impatients de voir les résultats que vous pourrez obtenir. »
Eltrapeze et moi sommes d'accord là-dessus, John Martyn s'est très bien appliqué à nous baiser la gueule avec cet album.
Le tube de cet album est constamment repris par des petits cons.
Ce Gang Of Four m'a rappelé dans une certaine mesure les Stephen Stills bien qu'ils n'aient pas un centième de la filouterie de ces derniers. Je suis d'ailleurs tombé récemment sur la biographie de Bonnie Brammlet, qui était serveuse au moment de l'incident du bar ayant impliqué Elvis Costello et Ray Charles. Sa version de cette altercation est assez différente de celle que je vous partageais en critique de This Year's Model, je vous la colle ci-dessous : « Le bar est animé, Elvis Costello est légèrement ivre, les gens discutent et boivent autour des tables. Je prends des commandes ELVIS : (d’une voix forte) “Ray Charles est tellement timide qu'il y a un décalage horaire entre ses deux fesses !” ROBERT : (amusé) “Ha ha, elle est bonne celle-là, Elvis.” Je me dirige vers le bar pour prendre une commande. Tout à coup, je remarque que Céline Dion est assise à quelques tables plus loin, écoutant la conversation. CELINE : (en parlant fort) “Avez-vous entendu ce qu'il vient de dire ? Elvis vient de faire une blague sur les fesses de Ray Charles !” Le bar devient soudain très calme, tout le monde se retourne pour regarder Ray Charles, roulé en boule dans un coin de la pièce. MOI : (criant) “Oh non, Ray est ici !” Soudain, le groupe Stephen Stills apparaît dans le bar. Ils mettent la pagaille. STEPHEN (LEADER) : “Allez, écoutez-moi ! Maintenant, c'est notre bar !” Je panique et cours vers Ray. MOI : (criant) “Ray, tu dois nous aider ! Ils vont tout détruire !” Ray roule rapidement vers les membres de Stephen Stills, qui se tiennent ensemble, se préparant à attaquer. STEPHEN (ANESTHESISTE) : “Laissez-moi m'en occuper !” MOI : (criant) “Vous ne toucherez pas à Ray !” Les Stephen Stills se dispersent en essayant de d'attaquer Ray Charles. Cependant, celui-ci est trop rapide pour eux et les frappe comme une boule de bowling. STEPHEN (TROMPETTISTE) : (criant) “Aïe !” STEPHEN (PERCUSSIONISTE) : (criant) “Arrêtez-le !” Ray continue de rouler et de frapper les membres du groupe, qui tombent tous au sol. MOI : (criant) “Vas-y, Ray, donne-leur une bonne leçon !” Les Stephen Stills battent en retraite. STEPHEN (LEADER) : “On ne reviendra jamais ici ! C'est nul !” Les clients se rassemblent autour de Ray Charles, qui commence à faire des acrobaties en boule. MOI : (chantant) “Ray, Ray, Ray !” CLIENTS : (chantant en ronde autour de Ray) “Ray, Ray, Ray !” RAY : (riant) “Je n'avais pas autant fait d'exercice depuis un moment !” »
Reviens me demander une critique quand le groupe aura percé, merci Robert.
Purple Rain est le morceau incontournable pour tous les fans d'androgyne-pop en plus d'être une exceptionnelle conclusion à cet album.
Ce Billy Bragg m'a été vendu comme un sacré client par eltrapeze, vous vous doutez bien qu'il n'en a rien été. Passez votre chemin.
Je dois dire que l'album "Nevermind" de Nirvana est de très bonne facture. Les riffs de guitare de Kurt Cobain et la batterie puissante de Dave Grohl ont créé une véritable révolution dans l'industrie musicale. Les morceaux "Smells Like Teen Spirit" et "Come as You Are" sont des classiques qui ont marqué toute une génération. Cependant, une note discordante se fait entendre à partir du milieu de l'album. Le professeur de guitare Mathis rejoint le groupe en plein milieu de l'enregistrement et ne cessera de donner des conseils à Kurt sur sa façon de tenir sa guitare et sa position. Ces interventions à répétition agaceront Kurt, comme en témoignent les phrases que l'on peut entendre en fond sur les morceaux "Lithium" et "Something in the way": "Déplie ton majeur quand tu fais des barrés, Kurt" et "Plus souple, le poignet...". On peut entendre Cobain s'impatienter. Sur le dernier morceau, les membres du groupe mettront Mathis à la porte à coups de pied aux fesses. Bien que cela n'ait pas affecté la qualité de l'album, il est dommage que Mathis ait essayé de s'imposer dans un projet qui n'était pas le sien. Malgré tout, "Nevermind" reste un album incontournable pour tous les fans de grunge et plus généralement de rock.
Elton John est tout simplement en feu sur cet album. Son implacable homosexualité y est utilisée au meilleur escient possible pour nous produire un projet irrésistible. Du grand Elton.
Le génie de Ray Charles réside principalement dans sa capacité à se rouler en boule pour écraser ou aplatir ses adversaires. Il peut également tourner sur lui-même comme une vrille pour écraser la terre afin d'y plonger.
Cet album de house a eu un impact très négatif sur ma journée de samedi. À chaque fois que l'envie me prenait d'ouvrir le générateur en dehors de chez moi, je passai pour un gros dégueulasse pas gêné de regarder des photos pornos en public. Merci Robert. D'ailleurs Robert puisque c'est de toi que l'on parle, veux-tu bien arrêter de nous demander de l'argent pour financer ton générateur ? T'as pas assez de sous comme ça déjà mon salaud ? Robert ??
Le groupe est ici au complet avec Crosby, Nash, Young, ses chevaux demeurés et l'intégralité des Stephen Stills, toujours aussi marlous. L'enregistrement s'arrêtera très vite en raison de la pagaille mise par les Stephen Stills, ces derniers tentant chacun leur tour de tenir le plus longtemps possible sur les crazy horses de Neil Young.
Pas mal le coup du revolver au milieu.
Il s'agit-là d'un vrai feel-good album. On peut y voir les Flying Burrito Brothers se composer différents burritos l'un pour l'autre en prenant bien soin de sautiller par intermittence. Le projet dérape toutefois lorsque l'un des frères se décide à frire le tortilla servant d'enveloppe au burrito. Son frangin l'assénera de coups de poing en lui rappelant qu'un tortilla frit transforme instantanément un burrito en chimichanga. Une bien triste conclusion pour un projet qui avait si bien démarré.
Un album magnifiquement conclu par une You know I'm saying-outro rappelant comme deux gouttes d'eau le You know I'm saying-interlude de l'album Enter The Wu-Tang (36 Chambers). Vous savez je suis en train de dire ?
C'était évidemment à prévoir, mais Robert a fait une overdose de cocaïne en ce jeudi, après s'être rempli le pif de poudre toute la semaine dans l'unique but de nous envoyer les artistes les plus incontournables du générateur, même si cela allait lui coûter sa santé. L'hôpital m'a contacté pour me dire qu'ils allaient garder Robert en observation pour le moment. Après les Beatles, Nirvana, Kendrick Lamar, Ray Charles et autre Elton John, l'apparition de ce Rahul Dev Burman a été synonyme d'un très brutal retour à la réalité. L'album en question n'étant pas disponible sur Spotify, je vous joins comme à l'habitude un certificat d'écoute signé par Daniel Ek: "Certificat d'écoute Je, soussigné Daniel Ek, patron de Spotify, atteste que Robcuillère a écouté l'album "Shalimar" de Rahul Dev Burman, même si l'album n'est pas disponible sur Spotify. Cette écoute a été effectuée sur YouTube. Fait à Stockholm, le 4 mars Daniel Ek"
Chaque nouvel album de Bowie généré nous rapproche du jour où plus aucun album de Bowie ne pourra être généré. C'est ce que je me répète pour tenir.
On ne félicite jamais assez les rappeurs qui sortent des albums de moins de quarante minutes. Merci Jeru.
Un album dans lequel les Wailers prennent les cartes d'Exodia le Maudit du deck de Bob Marley et les jettent à l'eau, prétendant qu'il est impossible pour lui de les récupérer. Bob est choqué et en colère, car il sait que ces cartes sont extrêmement rares et précieuses. Cet événement marque le début de la quête de Bob Marley pour récupérer toutes les cartes d'Exodia le Maudit et prouver qu'il est le plus grand duelliste.
Cet album expérimental de Radiohead est une tentative étrange et quelque peu frustrante de fusionner la technologie et la musique. Bien que le concept de crier "Ok Google" tout au long de l'album soit intéressant, l'absence de réponse du moteur de recherche laisse l'auditeur avec un sentiment d'incomplétude. La musique elle-même est éclipsée par cette performance vocale répétitive et perturbante, laissant l'auditeur se demander si l'expérience en valait vraiment la peine.
Je fus très étonné quand je vis que Robert avait généré deux albums de reggae en trois jours. Je me rendis donc chez lui pour voir ce qui s'y passait. À mon arrivée, je vis Robert avachi sur son canapé crasseux, les yeux rouges et le regard plongé dans le vide. Il arborait un bonnet jamaïcain ainsi que des dreadlocks desquels sortaient des mouches à merde: "Tout va bien Robert ? - Yeah man Babylon, Baby-Babylon..." - Non mais tu veux que je t'en colle une ou quoi ? - Jah man, cool, tout est irie ! Juste en train de profiter de l'herbe sacrée et de la bonne vibe du reggae. - Tu continues à parler comme ça et je t'éclate. - No problem man, thanks for the vibes ! One love." Je l'attrapai par les dreads, le traînai jusqu'à sa porte d'entrée et lui claquai cette dernière en plein sur son nez.
Des morceaux de sucres très à propos avec une Björk ma foi bien plus inspirée que quand elle fait du trip-hop, ce genre musical atroce.
Ce laboratoire stereo a totalement raté son expérience et l'a malencontreusement publiée sous forme d'album. Une énorme gaffe, en somme.
Robert a tellement de cocaïne dans les nasaux que même les albums de Lou Reed en deviennent bon. Il paraît d'ailleurs que Lou Reed a attendu que Nico soit partie faire les courses pour enregistrer l'album en vitesse et ainsi éviter toutes les ondes négatives émanant de celle-ci. Et quelle bonne idée...
Je compte arrêter de distribuer les quatre sur cinq à tout va après cet album, vous êtes prévenus.
Cet album tombe au mauvais moment puisque je voulais parler de Robbie Williams. Comme vous le savez, notre ami Robbie s'est produit hier dans ma ville de résidence. Une amie à moi s'est rendue à son concert et m'a dit qu'elle avait vu le père d'eltrapeze torse nu dans la fosse et qu'il n'arrêtait pas de pleurer et de crier de manière hystérique en se dandinant. Ce qui est bien avec eltrapeze c'est qu'en plus de se ridiculiser lui-même avec ses critiques musicales pitoyables, il peut également compter sur sa famille pour le tirer encore plus vers le bas.
Tout le monde va évidemment parler de la performance vocale de Sébastien mais que dire du pelage de Belle... Il est doux et soyeux, avec une couleur blanche brillante. De plus, il est facile à entretenir et à garder propre grâce à sa texture lisse.
Des véritables baiseurs de gueules sont ces gars-là. J'ai aujourd'hui reçu un message de Robert me félicitant d'être enfin à jour dans mes critiques. Il s'est en effet passé sept mois depuis la dernière fois recensée. Une nouvelle extrêmement positive en somme.
Une très sympathique pause dans ce générateur foireux est cet album de chillax-jazz. C'est bon Robert, tu peux rebalancer la sauce.
C'était évidemment à prévoir, cet album bien qu'exceptionnel à tous les niveaux, a été survendu par ce buveur de chicoré qu'est eltrapeze. Son père le groupie.
Un Willie Nelson très crispé comme en témoigne la pochette. Celui-ci était tout bonnement en train de se faire dessus au moment où le photographe prit le cliché, ce dernier immortalisant ainsi une colique extrêmement mal venue.
Un album digne de la réputation de Manson. Celui-ci arrive en effet sur scène et chie dans la bouche d'un spectateur avant de broyer des poussins par dizaine et de les manger crus. Il n'hésite ensuite pas un seul instant à sodomiser des marcassins avec son pénis tatoué de long en large devant un public aux anges. Quel personnage...
Heureusement que je n'avais rien d'autre à faire que d'exercer ma profession pendant l'écoute de cet album sinon je l'aurais trouvé interminable. On est tout simplement pris en otage pour une durée de 2h52 à écouter 69 ballades de post-dépucelage-indie contoctées par l'affreux Robert.
Je me suis un peu senti comme Sami Naceri quand il a appris qu'un Taxi 4 allait sortir et qu'il ne faisait pas partie du casting. Allez chier, les Kinks.
Encore une preuve de la sénilité de Robert qui nous a déjà donné la plupart des sons de cet album à bouffer.
Des petits cons à première vue qui s'avéreront finalement être d'une extrême gentillesse.
Du clébard admirablement bien brossé, bien toiletté, vous allez être surpris.
On assiste cette fois-ci à une véritable bataille de connaissance en chimie entre les deux chemical brothers. Plusieurs thèmes seront passés en revue parmi lesquelles la chimie organique, la chimie inorganique, la biochimie, la chimie analytique, etc... sans pour autant que l'un ou l'autre ne prenne l'avantage. L'album finira par un status quo qui n'arrangera personne, pas même le groupe Status Quo.
Jean-Michel Jarre s'aventure ici sur le terrain des Chemical Brothers et fait bien pâle figure quand on sait que les deux frères ont été générés la veille. En quarante minutes, Jarre sera incapable de nous donner la formule chimique de l'élément-titre de son album. Pitoyable.
Un Stevie Wonder barricadé dans son studio alors que l'on entend une fois de plus Eddy Mitchell grogner à la porte. Ce dernier n'arrivera finalement pas à entrer pendant la session et n'apparaîtra fort heureusement pas sur le projet.
The Surcôting Stones continuent leur bout de chemin dans le générateur en ne convainquant personne sur leur passage.
Pas grand chose à dire à part que l'un des deux est Simon tandis que l'autre semble davantage être Garfunkel.
Brian Eno est totalement dévergondé sur cet album qui n'a rien à voir avec celui sur les avions.
Un album qui s'évertue à nous proposer un nouveau format de la CAN qui se tiendrait en été et tous les quatre ans. C'est non.
Je me réjouissais d'avance d'écrire ma critique expliquant point par point en quoi Nina Simone était surcotée, elle qui détient jusqu'à ce jour la version la plus charabiesque de Ne Me Quitte Pas. Malheureusement, les premières pistes de l'album ont installé une énorme climatisation chez moi, si bien que je me dois d'admettre que Simone est une sacrée cliente.
Ma gueule a été intégralement baisée par cet album de baragouine-funk.
Leonard Cohen est surprenamment vivant dans cet album, et c'est plus ou moins tout ce qu'on lui demande, quand on voit ce qu'il nous a proposé dans sa version empaillée.
Un Cohen qui s'essaie à la synthpop avant que son entourage ne débarque dans le studio et lui demande de se calmer. L'album finira plus tranquillement.
Cet homme est tout ce qu'il y a de plus détestable avec son chapeau et sa façon de parler ridicule. Et ça n'a pas loupé, je l'ai détesté dès la première seconde. Plus jamais tu nous remets ces conneries Robert.
Bon écoutez ça fait plusieurs semaines que les Fishbone croupissent au fond de mon historique au bout d'un moment ça commence à bien faire.
Quand il n'est pas trop occupé à imiter Nick Cave ou plus généralement être une personne sans intérêt, Bill Callahan se prend parfois à souhaiter que plusieurs personnes soient un aigle. Grand bien lui fasse.
Une Lauryn Hill des plus mal éduquées qui ne va pas hésiter à mettre les pieds sur son bureau et roter à la figure du professeur. L'album se termine avec un conseil de discipline bien mérité.
Kanye se fait ici voler la vedette par son narrateur, inspirant et expirant les h comme personne.
Je pense que vous savez tous désormais que je me suis mis à la course à pied il y a quelques jours. Ce que vous ne savez pas en revanche, c'est qu'au vu de mes chronos tutoyant l'exceptionnel, j'ai décidé de lancer mon entreprise de coaching pour entrer en concurrence directe avec mon rival de toujours et piètre athlète, eltrapeze. Ma société s'appelle désormais teambrucelee et propose divers programmes de course. À l'inverse d'eltrapeze qui s'obstine à emmener ses clients en montagne, je profite de mon environnement urbain et du fait de me trouver dans une des villes les plus polluées d'Europe pour entraîner les miens dans des zones bien plus risquées. Le décor que je propose est celui d'usines désaffectées ou encore de centrales nucléaires en activité. De plus, mes tarifs frôlent l'inaccessible. Les prix augmentent à chaque séance et il est quasi impossible pour mes clients de revenir sur leur engagement, la faute à l'emprise psychologique que j'exerce sur eux. En bref, eltrapeze a aujourd'hui un gros caillou dans sa chaussure domyos premier prix.
le père d'eltrapeze
Les Pink Floyd sont très forts, ça ne fait aucun doute. En revanche, à chaque fois que je bois du café délicieusement préparé par ma nouvelle machine, je ne peux m'empêcher de penser à eltrapeze qui doit au même moment se râper le cul en montagne avec trois grammes de chicoré dans la besace. Chacun sa vie.
Passés les frissons ressentis sur Amsterdam, Brel transitionne vers une succession de chansons sans intérêt. Le public ne s'y trompe pas et le siffle copieusement, réclamant qu'il leur chante un de ses classiques (Ne Me Quitte Pas était sortie en 59). Malgré cela, Brel s'entête et persiste dans son idée avec par exemples des chansons sur les timides dont les gens présents n'en ont que foutre. Une soirée gâchée qui se terminera pas une sortie de scène sous les huées. Mérité.
Ces gars-là enchaînent les michaeljacksonneries sans aucun complexe et qui peut leur en vouloir ? Eltrapeze ?
Traffic était déjà venu nous laisser un souvenir des plus périssables et remet le couvert avec ce projet déjà oublié.
Un album sans cesse interrompu par la voix robotique de mon application de running. Exemple : "I've been lovin y... distance : 2km duration 14 minutes 08, 142 kilocalories burnt". Pas de la faute d'Otis mais tout de même à signaler.
Comme pour ma critique de The xx, je vous redirige vers toutes les autres déjà écrites pour les albums classés Post-Erasmus-Indie, soit tous les albums générés datés de 2005 à 2015. Robert, cesse immédiatement.
Bon j'ai énormément de critiques de retard alors qu'on en finisse et vite, chatgpt écris-moi une critique incendiaire de Dire Straits en trois phrases : La musique de Dire Straits est un ennui mortel, une succession interminable de solos de guitare sans âme qui donnent l'impression que Mark Knopfler a été payé au temps passé. Les paroles sont quant à elles d'une banalité affligeante, rappelant le niveau d'un élève de primaire. Dire Straits est une insulte à l'intelligence musicale de quiconque ose l'écouter.
Les Talking Heads continuent à nous raconter des idioties sans que personne n'accorde du crédit à celles-ci. Bien triste.
Un album bien concis. Simon, voyant Garfunkel quitter le studio au bout de 28 minutes, lui adressera alors la phrase si souvent reprise aujourd'hui : "Bah alors tu prends ton aprèm ?". Bâclé.
Parfait merci Robert c'est bon tu peux arrêter avec Taylor Swift maintenant on a compris.
Nos amis du groupe Queen ont tout réussi sur cet album, sauf de faire que je m'en souvienne. Je me joins donc pour cette fois à eltrapeze et à sa critique acerbe.
Tom Waits peut revenir tant qu'il veut, nous l'attendons toujours avec ce qui est désormais appelé le "plafond des trois étoiles". Peu importe la qualité de la performance, des textes, des instruments, le style globalement naze de Tom Waits est un tel handicap qu'il est pour lui inenvisageable de viser plus haut.
Encore un nouvel album de psychédéliqueries publié par un parfait inconnu dans les années 60. Ne sont pas les Beau Brummels qui veulent.
N'ayant aucun souvenir de ce que nous a proposé ce monsieur, j'ai remonté la conversation que j'entretiens avec eltrapeze dans le but de retrouver un indice. Bien que ce dernier ne tarit pas d'éloges sur cet album, j'ai quant à moi gardé le silence sur mon ressenti et ai partagé des captures d'écran de ce qui allait devenir l'affaire Gomez.
Peu de gens savent que Van Morrison a rempli toutes ses salles de concert en mâchant son prénom quand il se présentait aux programmateurs pour que ceux-ci le confondent avec Jim. Il allait même aux rendez-vous avec un crayon derrière l'oreille et une salopette en jean...
Un album concept dans lequel Iggy va accrocher des fils à tous ses membres et se laisser manipuler par un marionnettiste professionnel. Un régal de désarticulation.
Au bout d'un moment qu'est-ce que vous voulez que je vous dise sur Dylan à part que ses textes à la con, son harmonica de mes couilles et son nez par lequel passe tout l'air se tirent la bourre pour savoir lequel de ces éléments est le plus insupportable de l'album. Tous ex-aequo.
Ne se trémoussent pas assez.
Ah d'accord et donc ?
Il faut absolument arrêter d'encourager les artistes qui s'égarent dans la country et continuer de ne rien répondre lorsqu'il nous demandent si l'on aime ce style de musique.
Pour ceux qui n'auraient pas vu passer l'info, Robert est actuellement en dépression, ce qui explique la série abominable qu'il est en train de nous proposer. Je l'ai appelé ce matin dans la matinée pour lui demander de prendre un rail de coke ou deux histoire de se changer les idées. Je vous tiendrai informés.
Les Rolling Stones peinent toujours à prouver qu'ils ne sont pas le groupe le plus surcoté de tous les temps. Il leur reste un album pour prouver le contraire.
Salut Chatgpt, peux-tu me créer une critique musicale qui soit à la fois valable pour The World is a Ghetto de War et The Suburbs de Arcade Fire parce que ça fait deux semaines que je dois écrire une critique des deux et je les confonds. Bien sûr, voici une critique courte qui convient aux deux albums : The World is a Ghetto de War et The Suburbs de Arcade Fire sont deux albums qui abordent la question de l'aliénation sociale de manière émouvante. Alors que The World is a Ghetto explore les tensions raciales dans les quartiers défavorisés, The Suburbs se concentre sur la solitude et l'isolement dans les banlieues. Les deux albums offrent des réflexions sur les difficultés de vivre dans un monde où la communauté est en train de se défaire, tout en proposant une musique captivante et rythmée. Si vous cherchez des albums qui parlent de la condition humaine avec une grande sincérité, The World is a Ghetto et The Suburbs sont des choix incontournables.
Salut Chatgpt, peux-tu me créer une critique musicale qui soit à la fois valable pour The World is a Ghetto de War et The Suburbs de Arcade Fire parce que ça fait deux semaines que je dois écrire une critique des deux et je les confonds. Bien sûr, voici une critique courte qui convient aux deux albums : The World is a Ghetto de War et The Suburbs de Arcade Fire sont deux albums qui abordent la question de l'aliénation sociale de manière émouvante. Alors que The World is a Ghetto explore les tensions raciales dans les quartiers défavorisés, The Suburbs se concentre sur la solitude et l'isolement dans les banlieues. Les deux albums offrent des réflexions sur les difficultés de vivre dans un monde où la communauté est en train de se défaire, tout en proposant une musique captivante et rythmée. Si vous cherchez des albums qui parlent de la condition humaine avec une grande sincérité, The World is a Ghetto et The Suburbs sont des choix incontournables.
Pas si mauvais que ce que cette ignoble pochette laissait entendre.
Une très belle performance de Lenny Kravitz qui va confectionner une merveilleuse robe à Katniss Everdeen pour la parade des tributs. Cette dernière fera bonne impression auprès des sponsors potentiels mais Lenny mourra dans le deuxième film. Tant pis pour lui.
Donald s'est pris pour Stevie Wonder sur tout l'album et ça a très bien marché sur moi. Coup dur pour Stevie qui après avoir été enfermé dans la cave de Robert pendant des années est aujourd'hui enfermé dans son studio dont la seule issue est bloquée par les griffes d'Eddie Mitchell.
Je déteste habituellement tout ce que nous propose Björk et celle-ci le sait très bien. Néanmoins, je dois dire qu'elle a su me faire rentrer dans son album malgré mes réticences, notamment en m'attrapant les pieds et en me traînant sur une cinquantaine de mètres alors que je me débattais de toutes mes forces.
Les Soft Cell auront au moins essayé de redresser le niveau du générateur lors d'une période extrêmement critique. J'ai de nouveau fait livrer plusieurs kilos de coke à la porte de Robert, en espérant qu'il plonge dans le tas à pieds joints.
Un album quelconque de la part de la mère spirituelle de Taylor Swift.
Peter Frampton a bien surpris son monde en rejoignant le club des baiseurs de gueule de ce générateur.
k.d. lang nous offre ici une très belle performance, entretenant avec une virtuosité dont elle a le secret le doute sur son identité de genre. Et qui peut lui en vouloir quand on écoute le projet...
Un album qui confirme en tout cas que Ginuwine a bâti toute sa carrière autour du fait de roter avec une voix de robot. Personne ne lui en voudra.
Je m'attendais à un véritable défilé de clébards tous plus dégueulasses les uns que les autres, il n'en sera finalement rien. Tout juste un ou deux saint-bernards, et bien brossés qui plus est.
Une véritable farce de la durée d'un album. Rappelez vous que Robert a laissé ces chanteurs d'anniversaire intégrer le générateur et a refusé l'entrée à Céline Dion.
David s'est retrouvé bloqué dans un studio d'enregistrement contre son gré et essaiera tant bien que mal de produire quelque chose de pas trop mauvais. Avec un peu de chance et de débrouillardise, il réussira finalement à s'en sortir sans trop se ridiculiser.
Une excellente prestation des Last Shadow Puppets et notamment du chanteur. Celui-ci arrivera en effet déguisé en panda et attisera la curiosité du jury. Le masque ne tombera qu'à la toute fin, quand Kev Adams, dans un élan de lucidité, le soupçonnera d'être Alex Turner, le chanteur des Arctic Monkeys. Dans le mille.
Deux heures de débiles qui parlent en accordant leurs guitares.
Un album qui nous rappelle encore une fois qu'entre 1980 et 1989, les portes de la popularité s'ouvraient à celui qui chantait le plus comme un débile.
Un album évidemment surcoté par mon père comme vous pouvez vous en douter.
Je m'attendais à voir Rob Stewart se pointer dans le générateur puisque je l'ai aperçu hier soir alors qu'il vomissait au travers d'une bouche d'égoût devant la galerie commerciale. Il m'a même coupé l'appétit.
Que les gens qui aiment Dylan viennent devant ma porte demain matin pour que je leur renverse un sceau de pisse depuis le premier étage.
Robert continue de mettre le doigt là où se situe précisément notre désintérêt.
Peter Gabriel s'est retroussé les manches pour nous sortir de cette série catastrophique proposée par Robert et sen est plutôt très bien sorti. À ce sujet, une énorme cargaison de cocaïne a quitté le port de Buenaventura en Colombie ces derniers jours et devrait bientôt accoster devant la porte d'entrée de chez Robert, en espérant que ça lui donne envie de s'en remettre plein les narines.
Un début tonitruant avec des sirènes et des girophares dans tous les sens mais la bande à Sting une fois sur place ne trouvera pas la moindre trace de la cargaison de coke destinée aux nasaux de l'abruti Robert.
J'ai écouté cet album en courant et je peux aujourd'hui affirmer qu'il existe un effet Rolling Stones. Ce dernier consiste en une surestimation totale de sa propre performance. Résultat des courses, je pensais avoir fait 8 kilomètres au moment de rentrer chez moi alors que mon application n'en affichait qu'1,5km, exactement comme quand Mick Jagger lorsqu'il sort du studio et pense avoir enregistré un très bon album.
Je ne peux pas mettre plus de trois étoiles étant donné que les damnés ont utilisé le E-word dans le titre de leur album.
Un album qui m'a rappelé mon passé de connard écoutant Jeep's Blues de notre ami Duke après l'avoir entendu en boucle dans le film American Hustle. De l'eau a coulé sous les ponts depuis.
N'ayant plus aucun souvenir de cet album et accusant un retard d'une dizaine de critiques, j'ai ici reproduit ma technique consistant à réécouter cinq secondes au hasard et baser ma note celles-ci. Résultat de l'opération : deux-trois notes de piano et quelques percussions tardives. Un peu léger...
Un album de numérique funk à l'image de Toi + Moi de Grégoire, sorti en 2008.
J'ai écouté cet album au bureau et, comme vous pouvez vous en douter, mes collègues n'ont pas arrêté de regarder à mes pieds si je n'avais pas ramené de clébard dégueulasse avec moi. Fort heureusement ce ne sont pas mes goûts musicaux à moi mais ceux de Robert que j'avais dans les oreilles.
Emerson m'a cette-fois ci régalé, c'était bien la peine de s'entêter à le générer. Bravo Robert.
Je crois avoir confondu Bongo Rock avec l'album Django Django dans ma critique, je vous renvoie donc à cette dernière.
Contrairement à ce que pourrait en dire Wikipedia, les Pet Shop Boys ont laissé la synthpop dans un tiroir et de ce fait perdu tout leur intérêt. Dommage.
Les White Stripes tentent ici un pari fou, celui de faire un album entier sans chanter popolopopopo. Ceux-ci le relèveront en partie bien que le batteur, dans un moment d'absence, entamera un popolo... avant que les autres membres du groupe ne viennent lui mettre la main sur la bouche. On s'est fait très peur du côté des White Stripes.
Pour ceux qui n'auraient pas eu l'info, Robert a d'ores et déjà annulé le dîner prévu pour les 900 albums en raison de la perte totale d'engouement pour le générateur. Celui des 1001 albums ne sera maintenu que si la situation s'améliore.
Dès les premières notes, j'ai demandé à Django Django d'y aller mollo avec les percussions mais cette demande ne fut jamais satisfaite.
J'étais persuadé qu'eltrapeze allait adorer cet album, ces gars-là maintenant un rythme effréné du début à la fin. C'était bien mal connaître eltrapeze, celui-ci demandant à ses apprentis coureurs de ralentir dès que l'un d'eux tente la moindre accélération. Eltrapeze est un briseur de couilles.
Vivement la fin de ce générateur, qu'on puisse definitivement oublier que la country existe.
Loupé Fiasco avait tendu le baton pour se faire battre avec un nom pareil, il n'en sera rien. Un véritable régal pour les oreilles est cet album de rap à la pochette d'un mauvais goût inégalable.
J'étais à peine sorti du lit quand Nick Cave et les Bad Seeds me mirent un sac sur la tête et m'annoncèrent qu'ils me prenaient en otage pour les prochaines quatre-vingt-deux minutes. J'ai connu de meilleurs réveils.
Un très sympathique album de jazz jusqu'au moment où Charles libère son animagus en forme de lapin et se mette à déambuler devant Harry Potter et ses camarades en plein cours de potions. Pas nécessaire.
Des Pet Shop Boys qui retrouvent le goût de la synthpop après l'avoir abandonné dans Behaviour. Ils s'offrent même le luxe de chanter la chanson Allez Paris-Saint-Germain en bonus track avec l'incontournable Guillaume Hoarau. Très bien senti.
Beaucoup de gens oublient que dans les années 1970, plus de trois gueules sur dix étaient baisées par Elton John.
Tom Waits revient une énième fois pour essayer de nous prouver qu'il peut obtenir plus de trois sur cinq sur un album. Encore raté.
Ces joyeux gueulards m'ont tout simplement hurlé dessus du début à la fin, ne me laissant à aucun moment le temps de me justifier.
Je vais encore une fois consacrer un temps précieux à contester l'avis plein de mauvaise foi émis par le duo eltrapeze-père. Cet album est excellent contrairement à ce qu'ils ont pu en dire, leur mauvaise appréciation de celui-ci n'est que la traduction de leur haine envers moi, rien de plus. N'en tenez aucun compte.
Une très belle revanche du tango prise sur les autres styles de musique, parmi lesquels le punk et le métal considérés aujourd'hui encore par beaucoup comme des clébarderies.
En cette période trouble du générateur, Steely Dan confirme une nouvelle fois son statut d'élève appliqué. Une véritable valeur sûre.
Comme on pouvait s'y attendre, l'album Tical est un exemple de méthodologie. L'artiste commence ainsi avec une phrase d'accroche, une définition des termes du sujet, pose les enjeux de celui-ci et en sort une problématique. Il annonce ensuite le plan puis développe ses idées de manière ordonnée dans un I] et un II] eux-mêmes divisés en A) et B). Un exemple du genre.
Ces petits gars ont passé un album entier à se prendre pour les Crusaders. Dommage pour eux mais on me la fait pas à moi.
Les musiques les plus récentes sont objectivement supérieures en tout à celles d'avant l'an 2000, n'en déplaise à mon ami italien raciste, homophobe et misogyne. Ma seule réserve concernant cet album réside dans le fait que le son résonne énormément du début à la fin en raison de l'architecture des églises qui comprend de grands espaces, des matériaux réfléchissants tels que la pierre et le bois, et des surfaces qui renvoient le son. Cela crée une réverbération prolongé qui n'est pas forcément agréable à l'écoute.
Cette horrible ville qu'est Saint-Etienne.
Les albums très courts sont toujours valorisés alors un grand bravo John Cale. Tu peux retravailler l'aspect musical en revanche.
Radiohead rame toujours autant pour nous proposer un son réécoutable malgré la qualité de l'album. C'est non, Radiohead, on ne réécoutera pas la moindre piste de votre projet.
Une belle surprise, n'en déplaise à eltrapeze, qui a quant à lui été une très mauvaise surprise pour ses parents le jour de sa naissance.
J'ai un problème, je n'ai aucun souvenir de cet album que j'ai pourtant écouté il y a moins de quarante-huit heures, est-ce que c'est de ma faute ou plutôt celle de Robert qui nous génère de la merde à longueur de journée ?? Hein Robert ??
Un parfait mélange d'indienneries et de roboteries. Bravo Talvin.
J'aurais bien aimé donner une bonne note mais les éléments suivants m'en empêchent : - Le nom Marianne Faithfull est insupportable, j'ai toujours détesté l'entendre. - Marianne est bien trop alcoolisée. - La première note juste arrive après d'une demi-heure, Marianne ne sachant absolument pas chanter.
Une pochette d'album qui ne paye pas de mine avec un faciès tout à fait banal. Ce Grant Lee Buffalo va pourtant partiellement nous baiser la gueule, se cachant de temps à autre derrière un masque de Jeff Buckley bébé.
J'ai commencé à consommer cet album sans me poser trop de questions avant de me rendre compte à mi-chemin que celui-ci était périmé depuis les années 70. Une bien mauvaise expérience.
Ces avalanches ont sans doute été victimes d'un directeur artistique sous cocaïne. Je suppose que c'était leur première et dernière apparition dans le générateur du limité intellectuellement Robert.
Un album correct bien que le concept consistant à jeter les membres du groupe Muse dans des niches de clébards est un peu léger à mon sens.
Les Lemonheads vont pendant près de 30 minutes prendre la voix d'Elvis Costello pour nous expliquer en quoi ce qui est arrivé à Ray Charles est terrible. Et ça l'est effectivement quand on voit que celui-ci ne se déplace plus qu'en roulant telle une boule de billard.
Une intro très sympathique qui va se prolonger puis s'éterniser jusqu'à la fin de l'album.
Malgré une pochette d'album qui laisse penser que Stephen Stills (Leader) va jouer tout seul, la réalité sera tout autre. Il s'agit encore à ce jour de l'album qui compte le plus de Stephen Stills jamais recensé. Ils sont si nombreux qu'il est pratiquement impossible de tous les compter.
Même si Robert sait bien que j'ai un faible pour les ballades cuculs des années 80, ce baril de connerie qu'il est a encore généré un album sans tube alors que l'ami Bonnie en a quelques-uns. Je donne un trois sur cinq, dans ces conditions.
Les Scissor Sisters ont été adoptées par Elton John et les Bee Gees, et l'influence de cette co-parentalité se ressent à chaque instant à l'écoute de cet album de coiffure-pop.
Un album qui fait malheureusement partie des très nombreux du genre que j'oublie de commenter juste après l'écoute et qui tombent dans l'oubli le plus total à peine quelques jours après.
Je n'ai pas envie de laisser cette critique non-écrite pendant trop longtemps alors je vais en profiter pour réaffirmer mon soutien envers William Orbit qui est constamment harcelé par eltrapeze.
J'ai dû me remettre 30 secondes de ces punkàcheries dans les oreilles pour me rappeler ce que c'était et franchement ça m'a suffit.
Un album très sympathique de la part d'Elliott Smith qui s'est fait connaître en étant écouté à l'avant du bus par Lomepal.
Un album de très mauvaise qualité. Rien d'étonnant quand on sait qu'aux Etats-Unis, les frites sont généralement beaucoup plus grasses que celles que l'on consomme en Europe. Je n'ai malheureusement aucun moyen de le prouver.
Comme vous le savez probablement, dès lors que je ne me souviens plus du contenu d'un album, mon premier réflexe est d'aller fouiller dans la conversation que j'entretiens avec mon ennemi juré eltrapeze pour y chercher une éventuelle réflexion partagée. J'ai donc écrit "vine" dans l'outil de recherche et suis tombé sur ce message envoyé par cet inculte assumé datant du 9 octobre 2018 : "ah tiens d'ailleurs ça y est j'ai choppe la vine Frank Ocean." Vous l'aurez compris, je n'ai tiré aucune information intéressante de cette recherche mis à part qu'eltrapeze n'est pas foutu d'écrire un message correctement.
Une très belle performance de la Kiwanukance qui s'est même permis de faire des intros pour plusieurs chansons alors que rien de l'y obligeait.
Les années 80 regorgent de gros débiles et ceux-là m'ont bien régalé je dois dire.
Un très bon album de Franz Ferdinand qui débouchera malheureusement sur l'assassinat de celui-ci et indirectement sur la Première Guerre mondiale. On a connu meilleurs dénouements.
Un odieux album sans chant que j'ai dû écouter à deux reprises, la faute à un endormissement intervenu lors de la première écoute.
Dr. John réussit ici l'exploit d'être aussi insupportable que Tom Waits, ce qui n'est pas donné à tout le monde.
Tout ce qui touche de près ou de loin au métal est ignoble, vise un peu les bébés-cadavres.
De l'ice-cube rap tout ce qu'il y a de plus glacé et cubique en somme, ces gars-là n'ont rien inventé.
Cet album aurait pu être un véritable baise-gueule s'il n'avait pas été gâché par ces infatigables bruits de klaxons et autres menaces échangées entre automobilistes.
C'est toujours sympathique mais il n'y vraiment pas de quoi écouter ça à l'avant d'un bus.
Même quand Robert nous tend des perches de plusieurs dizaines de mètres pour que l'on écrive des critiques de qualité en envoyant des albums allemands, la motivation est toujours aussi absente depuis quelques centaines de jours. Vivement la fin de ce générateur.
Un naufrage d'une heure qui aura commencé par ce qui restera sans doute considéré comme le pire morceau d'introduction du générateur.
J'avais prévu d'écrire ma critique sur le récent mariage de Charles le Pirate, que vous connaissez sûrement pour être l'une des très mauvaises fréquentations d'eltrapeze, mais j'ai finalement décidé de me raviser en raison des poursuites pour diffamation auxquelles je m'expose.
Je soupçonne la chanteuse d'être liée de près ou de loin à Nico et ses portails, je vais mener mon enquête et vous tiendrai informés.
Des espagnoleries qui ne me font ni chaud ni froid contrairement à ce sac-poubelle humain que certains appellent eltrapeze, à raison.
Je suis désolé d'avoir attendu aussi longtemps pour écrire cette critique, mais j'attendais tout simplement de vérifier une théorie. Le lendemain du jour où j'ai écouté cet album, en voyant ma gueule dans le miroir de ma salle de bain, j'ai été stupéfait de voir à quel point Bobby Womack l'avait baisée. J'ai ainsi voulu consater sur la durée les effets de la baise de Womack sur ma gueule, et je peux vous affirmer après deux mois que ma gueule porte encore les stigmates de sa baise à chaque recoin. Rien d'étonnant quand on sait que le Womack est l'ambassadeur de l'énorme-baiseur-funk, ce courant musical consistant à baiser absolument tout ce qui bouge.
Marty a décidé de postuler pour le prix de l'artiste le plus ringardos du générateur et sa candidature va sans doute être sérieusement considérée.
Robert, ne génère plus jamais deux albums de country d'affilée c'est un conseil que je te donne.
Aucune de ces small faces n'a baisé la mienne en tout cas.
Des psychédéliqueries sans grand intérêt si tu veux que je te donne un avis objectif mon bon Robert. J'ai d'ailleurs prévu de passer prendre un café chez toi en début d'après-midi.
Personne n'a jamais écouté ça Robert il faut que tu te réveilles.
Je crois que Robert nous provoque, là. Fais très attention Robert.
J'attendais depuis longtemps que Robert nous génère un album plus tranquille pour mettre un terme à la série d'excités qu'il nous a récemment proposée. Et malgré une pochette de type tête de mort qui nous a tous bien fait peur, cet album de chialeuse-folk a parfaitement fait l'affaire.
Je pense que personne dans l'entourage de Mylo n'a osé lui faire de retour objectif sur son projet sinon difficile de croire qu'il l'aurait sorti. Je vais donc me charger de le faire : ton album est aussi répétitif que mon cul, voilà c'est dit.
Les White Stripes avaient la dernière fois été privés de leur tube mais se sont tout de même efforcés de produire quelque chose d'à peu près satisfaisant. On les sent ici totalement libérés, s'égosillant à coups d'interminables popolopopopo du début jusqu'à la fin de l'album. Un très bon moment.
Je reste persuadé que ce petit gars mi-homme mi-vibrato aurait dû chialer un bon coup sur les quatre minutes du morceau d'introduction pour repartir sur de meilleures bases. Celui-ci a finalement choisi d'étaler sa chialade sur tout le projet. Reviens-nous en forme toto.
Un album de ville-américaine-rock à l'image de Boston (à ne pas confondre avec l'état-américain-rock, représenté par Texas) Ces Illinoisans abuseront des trompettes mais ce n'est pas moi qui vais m'en plaindre.
Contrairement à ce qui se dit sur les réseaux depuis hier, je ne me suis pas totalement endormi mais était plutôt plongé dans un état de somnolence très avancé pendant que j'écoutais cette nullerie. Ceci dit, j'étais parfaitement conscient pendant l'intro et l'outro, à mon grand regret.
On me l'avait vanté pendant ma période pré-générateurienne, autant dire que le plus alcoolisé des pro-vax a constamment déçu. Un coup la bouche vomissante de tequila, un autre malmené par des chevaux complètement tarés... même sa version sobre ne m'a pas fait le moindre effet. Très peu pour moi, Neil Young.
Encore une idiotie francophone générée par ce camion-citerne de connerie qu'est Robert. Tom-Tom se présente en effet devant les platines et sera bientôt rejoint par Nana avec qui il se prendra le choux. Les deux personnages nous offreront alors une énième scène gaguesque dont j'ai toujours autant de mal à comprendre le succès.
Cet album a renforcé ma théorie selon laquelle derrière Suede se cache en fait Morrissey.
J'ai toujours pensé que jouer de la flûte tout nu n'était pas un concept d'album assez fort pour se lancer dans une telle entreprise et je crois que ça s'est vérifié ici.
J'ai ce matin prévenu Robert que j'allais prendre un thé chez lui en fin d'après-midi. Une fois que ledit thé fut préparé et dégusté, je cassai finalement la gueule à mon hôte comme planifié intialement, la faute à une série d'albums catastrophique dont la fin ne semble pas se profiler. Remets-toi de la poudre dans le nez Robert, s'il te plaît.
Je ne me suis rendu compte qu'à la dernière piste qu'il s'agissait de Nick Drake et non de Nick Cave, sur qui j'avais basé toute ma critique. Puisque il s'agit de Drake, je tiens à dire que j'attends toujours qu'il prenne sa vie en main et qu'il arrête de nous chialer dans les oreilles. Les choses auraient sans doute été différentes s'il avait rencontré les Bad Seeds avant Nick Cave. Nul n'en saura jamais rien.
Robert m'a donné raison de lui avoir cassé la gueule autour d'un thé il y a deux jours, l'album généré ce matin étant un album de R'n'B, style que j'affectionne tout particulièrement. Toutefois, ce que ne semble pas savoir Robert, c'est que le sous-genre en question, le Dégoulinant'n'B, ne fait vraiment pas partie de mes favoris. J'irai donc lui recasser la gueule en soirée.
Cet album répertorié hard-rock par Wikipédia est certainement la chose la moins hard-rock que j'ai entendue de ma vie. Bien essayé, Meat.
Je suis désolé pour Amy qui nous avait autrefois sauvés d'une entame de générateur catastrophique, mais cet album m'a un peu laissé sur ma grosse dalle.
Le groupe Sleater-Kinney nous propose ici un tour de leur magasin spécialisé dans les colliers à clous et les laisses de clébards. L'endroit est évidemment miteux, totalement insalubre, la moquette est couverte de bave et de puces. Les Sleater-Kinney nous présentent tour à tour, l'air un peu honteux, quelques objets de leurs collections parmi lesquels des colliers faits en cuir synthétique de basse qualité et de clous qui se détachent facilement, mais aussi des laisses en nylon fragile avec des mousquetons qui se coincent fréquemment. L'odeur nous guidera très vite vers la sortie.
Je me suis retrouvé aussi désorienté que Sinclair à la Nouvelle Star lorsqu'il réalisait à chaque début de prestation que ça n'allait pas être de la funk. Car c'est tout sauf de la soul. C'est du préhistorique-rap.
Très franchement sympa, même si on se demande pourquoi cet album et pas n'importe quel autre.
Peter Gabriel s'efforce pendant tout l'album d'imiter la voix de Phil Collins et s'en sort plutôt bien, il faut l'avouer.
Après avoir croisé la route de la pire intro du générateur avec Metal Box de Public Image Ltd, nous voici confrontés à la pire outro avec le morceau éponyme. Tout bonnement insupportable.
Un Todd en très grande forme qui va passer toquer à notre porte muni de pétards et de claques-doigt fraîchement volés la veille au vieux qui nous les vendait beaucoup trop cher à la kermesse de fin d'année. Il est très certainement mort d'ailleurs.
Blondasse a bien réussi son coup mais n'a pu éviter de me rappeler des trajets en voiture sur fond d'elle-même pendant lesquels on suffoquait sous 34 degrés et que ça puait le cuir brûlant dans toute la Citroën Picasso. Heart of Glass représente ceci pour moi.
Malheureusement, et comme l'a dit eltrapeze, l'éventuelle qualité des albums d'Echo And The Bunnymen sera toujours éclipsée par l'épisode de l'intrusion chez Robert.
J'avais très bien reconnu Pharrell caché derrière ses doigts contrairement à eltrapeze qui n'a qu'un sur dix aux deux yeux. Bigleux.
Plus les albums de métal sont courts, moins je suis durs avec eux. Je m'abstiendrai donc de faire le moindre commentaire sur un quelconque clébard.
C'était vraiment sympa et ça confirme tout le bien que je pense des années 2000. J'en profite pour pisser sur les 90 au passage.
J'attends à l'heure actuelle un avis de mon père sur ce groupe pour décider de si je les incendie ou pas. Inutile de vous préciser que je choisirai dans tous les cas l'avis opposé à celui de mon géniteur.
Le problème avec The Verve, c'est qu'on a l'impression qu'ils sont toujours à deux doigts de lâcher Bitter Sweet Symphony et cela nous empêche d'être totalement détendus.
Robert peut continuer de générer cette andouille, c'est pas pour autant que je vais comprendre ce que vous lui trouvez de particulier.
Un album de bruit de fond conclu par un "okayyy" de la part de Steven Wilson, répondant ainsi à mon bonjour.
On vous aime bien R.E.M mais il faudrait penser à ne plus revenir s'il vous plaît.
C'est vraiment gentil de la part de Norah Jones de nous reposer les oreilles. Plus que deux cents albums et on pourra enfin oublier Robert.
Le sexe est en feu mais ne le sera jamais autant que celui de Bobby Womack.
Scott a enfin décidé de laisser Jacques Brel tranquille et c'est bien tout ce qu'on lui demandait.
Missy se débat comme elle peut sur les instrus de Timbaland et parvient à éviter la catastrophe.
Est-ce qu'on peut ouvrir le débat John Lennon = surcoté ou on attend encore un peu ? Donnez votre avis sous l'album de Mike Ladd.
Rien de bien intéressant à raconter au sujet de ces surfeurs de fions qui nous proposent un énième album soi-disant incontournable mais absolument pas agréable à l'oreille. Dommage pour de la musique.
De la britpop à moitié convaincante selon moi. Robert arrête de nous demander de l'argent.
Beck a toujours fait bonne figure dans ce générateur mais je lui conseille d'arrêter d'imiter Kurt Cobain avant que ça ne tourne mal. Il est prévenu.
Je me souviens avoir aperçu cet album dans la conversation officielle du générateur, j'en profite pour rappeler que je pisse toujours avec la même intensité sur la personne en top commentaire sous Tracy Chapman.
La génération d'avant avait des goûts de chiottes.
De très sympathiques africanaiseries, comme attendu.
J'ai très peu d'estime pour la house music. Restez sur vos rooftops et nous faites pas chier.
Celui qui s'est fait connaître en prononçant son prénom très vite propose ici un album d'assez bonne qualité, toujours dans son style gémissant caractérstique.
J'ai étonnamment aimé cet album et vais pouvoir m'en vanter à la récré de 10h demain matin.
Que brûlent les goûts musicaux des gens nés dans les années 80.
Un usage de notre belle langue française à très mauvais escient, comme bien souvent.
Robert nous offre un festival de chialeurs en ce moment, il va très certainement mal mais tant pis pour lui.
Un album qui va permettre à nos amis de l'Electric Light Orchestra à prendre de la distance sur leurs rivaux de toujours, j'ai nommé les manchots du Penguin Cafe Orchestra.
Une Christina Aguilera des grands jours qui samplera les choristes et invitera d'ailleurs Kad Merad en duo sur le morceau en question. En parlant de choristes, j'en profite pour vous partager une anecdote. Quand j'étais en classe de CP, la maîtresse nous annonça un beau matin qu'un monsieur allait nous apprendre des chansons. Ce vieux monsieur arriva bel et bien accompagné de ses mystérieuses intentions (je suppose maintenant qu'il était pédophile). Nous apprîmes donc lesdites chansons, totalement idiotes au passage, et n'entendirent plus parler du vieux pédo pendant plusieurs mois. Vers la fin de l'année, alors que nous étions tranquillement en train de travailler en classe, celui-ci se pointa pour nous annoncer que nous allions nous produire le lendemain soir dans une grande salle de concert devant des milliers de personnes. "Tu te fous de notre gueule ?" répliqua l'ensemble de la classe. Vous vous en doutez, nous avions complètement oublié ses chansons à la con et le concert fut une cacophonie.
La musique post années 2000 est toujours infiniment plus agréable à l'oreille que toute celle du vingtième siècle. J'ai particulièrement apprécié la présence d'un son caché en fin d'album, M. Pokora l'avait aussi fait quelques années plus tard dans son album Player.
Tout est dans le titre. Une vraie mascarade. Comme 80% des albums de ce générateur.
J'ai le 4 sur 5 très facile quand Robert nous balance autre chose que ses groupes de rock et d'indie à la con. Sans parler des groupes de punk et de métal à vomir.
Un album qui lance la fameuse décennie des années 80, également appelée la décennie des gros débiles.
Avec un nom comme ça on se doutait que ça allait chialer un maximum et on a pas été déçus.
Désolé Robert mais étant en plein déménagement, j'ai écouté cet album sur une enceinte à très faible volume alors que je multipliais les va-et-vient dans mon futur ancien appartement. Autant te dire que je n'en ai eu que foutre.
Un album que j'ai malheureusement écouté en plein récurage de WC, ce qui n'a pas aidé à le mettre en valeur. Dommage...
Un James Brown absolument bouillant, la voix puissante et pas nasale pour un sous, les narines de notre ami étant remplies de cocaïne. Irrésistible.
C'est sympathique mais je crois que le bonhomme a déjà eu assez d'albums dans la liste.
Dommage pour The Healer mais ça fait déjà deux jours que j'ai guéri de ma sinusite.
Que ce générateur se termine au plus vite.
Des Kings of Leon qui ont décidé de viser un nouveau marché, voyant que celui du sexe était monopolisé par Bobby Womack. Le pari est à moitié réussi.
Ça enchaîne tube sur tube sans sourciller. J'ai justement acheté un surmatelas et des fausses plantes à Ikea ce samedi.
Un album pas dégueu contre toute attente. J'étais pourtant déjà prêt à lui chier dessus rien qu'au titre et à la pochette.
Les Steely Dan font toujours le travail mais j'ai de plus en plus l'impression qu'on s'est fait berner par l'intro de leur premier album généré. Attention à ne pas faire une Richard Hawley.
La décennie des 90s est la plus insupportable musicalement. Bien plus que celle des 50s et leurs dinosaures ringos emmenés par exemple par Buddy Holly & The Crickets.
Un album de chialade que j'ai plutôt apprécié. J'ai tout de même deux remarques : - La formule "I miss you / Bring me back to + nom d'Etat américain est à bannir définitivement. - La mandoline et l'harmonica sont deux instruments indésirables qu'il faut utiliser avec parcimonie voire dans l'idéal pas du tout.
Un album de castors reconnaissables à leur queue plate et leurs longues dents incisives.
Un album évidemment de très mauvais goût mais ça on s'en doutait rien qu'à la couverture. Il est important de rappeler que les fans de métal schlinguent la mort et imposent leur odeur à tout le monde à longueur de journée.
On en arrive quand même à s'étonner lorsqu'on tombe sur un bon album. Robert, ton projet est un échec de A à Z. Tu auras de nouveau droit à un bourre-pif.
Quand on en arrive à sauter de joie qu'un album fasse 27 minutes c'est bien que Robert a complètement foiré son projet de grimoire à la con.
Heureusement qu'il fait très froid cette semaine parce qu'il aurait été hors de question que j'écoute ça par plus de 15 degrés. Pour info, le cadavre de Cohen est conservé entre 5 et 7 degrés afin de limiter la prolifération de la flore bactérienne.
Contrairement à ce qu'avait annoncé eltrapeze dans sa critique diffamatoire, je ne vais en aucun cas taper sur Nanci. Celle-ci a en effet eu la très bonne idée de voler les guitares de Cat Stevens pendant son sommeil avant de lui rendre au lendemain, ce qui a à mon sens sauvé le projet.
Le Morrison Hotel a toujours été l'un des plus mal notés sur les différents guides touristiques. D'après les différents avis, on y trouverait dans les chambres des prises électriques au plafond, des radiateurs hors service ou encore des spaghettis de câble en évidence. Les clients mécontents voyaient après chaque signalement débarquer un Jim Morrison ni pleinement réveillé ni aimable, venant trifouiller on ne sait quoi avec son tournevis inadapté avant de repartir la main gauche dans le caleçon. On peut difficilement s'imaginer pire.
Une entrée assez surprenante de Brian Eno qui va se présenter en pleurs, habillé de son chapeau de fou du roi. Il nous implorera alors de le frapper du plus fort qu'on peut, nous expliquant qu'il est un bon à rien de toute façon. Si c'est vraiment ce que tu veux Brian...
Un Jean-Daniel très inspiré depuis sa chambre étudiante.
Un album de you-know-i'm-saying-rap légèrement moins atroce que les autres du genre.
Little Richard va ici s'efforcer de relever le niveau de sa décennie de gros ringards parmi lesquels on trouve évidemment Buddy Holly & The Crickets et son leader Martin Lamotte.
On attendait patiemment que Getz et Gilberto s'associent pour nous baragouiner dans les oreilles et voilà qui est maintenant chose faite.
Le chanteur nous offre ici un très bon album de musique en partie gâché par les allers-retours incessants de mon ami torse-poil.
Un album qui donne le ton de ce qui deviendra la décennie des attardés mentaux. Ces deux débiles s'associent pour produire un album à la fois musicalement intéressant et surtout complètement con. À souligner la performance du chanteur, incapable de relier deux informations entre elles ni de connecter ne serait-ce que deux neurones et totalement perdu au milieu de l'instrumental. Il ne réalisera qu'à la fin de l'album se trouver dans un sudio de musique.
Très heureux de constater que le chanteur des Doves a rendu la voix de Chris Martin à son propriétaire, qui se faisait un sang d'encre.
Un album d'une qualité exceptionnelle qui saura plaire à tout le monde sauf à eltrapeze. Pour information, si jamais on vous montrait la photographie d'une déchetterie et que l'on vous demandait d'y retrouver eltrapeze, vous en seriez tout bonnement incapables.
Je me suis longtemps demandé pourquoi l'expression "énorme daube" avait été créée aussi peu de temps après la publication de cet album et j'ai finalement compris hier soir.
Le mec se déchaîne tout du long alors qu'on ne lui a rien demandé. Une belle perte d'énergie en somme.
Plusieurs albums plus tard, Neil Young retente l'aventure avec ses Crazy Horses, encore une fois totalement fous et incontrôlables. Il essaiera de les dompter tant bien que mal, sans réussite.
Très sympa de lancer l'album d'un fameux Richard Thompson et d'entendre uniquement sa femme. Il était parti où Richard ?
Long et chiant, un peu comme les séances de sport trop chers pour ce qu'elles sont d'eltrapeze.
Je vais faire une observation qui vaudra pour tous les groupes à la con comme celui-ci. Quand bien même la musique serait inscrite dans tel mouvement contestataire de mes couilles, en réaction à tel style de musique de mon gland, inspiré de tel contexte de mon anus, si musicalement c'est de la merde, ça restera de la merde à jamais. Laissez nos oreilles en dehors de tout ça.
Un nouvel album de castor-beat caractérisé par des boucles interminables et répétitives. Goldie a d'abord utilisé ses incisives pour tailler des sillons dans un tronc d'arbre, créant ainsi un vinyle fait maison. Il a ensuite enregistré les pistes en utilisant des instruments rudimentaires qu'il a fabriqués à partir de branches et de cailloux. Pour la voix, il a invité d'autres animaux à participer en utilisant leurs sons naturels, parmi lesquels des pets. Le résultat est un enregistrement singulier, mais réservé au monde des castors.
Dans les années 80, l'IMD (indice moyen de débilité) était si haut qu'il faisait passer The Cure pour des génies. Des études récentes ont montré qu'ils étaient simplement moins débiles que les autres. Encore un mythe qui s'effondre grâce aux progrès de la science, un peu à la manière de la saignée thérapeutique, qui prétendait que la saignée du patient pouvait guérir diverses affections. Il n'en est rien.
Un album singulier dans lequel Tim Buckley nous parle de ses incessants changements d'humeur. Il explique en effet être très heureux dès qu'il parvient à abandonner le petit Jeff dans un lieu qu'il considère comme idéal, et très triste lorsqu'il réalise que Jeff a retrouvé son chemin grâce à la poignée de cailloux qu'il a disséminée. Un projet très touchant.
Robert a décidé de nous compliquer la vie avec cet interminable album de castor-rock uniquement disponible sur Youtube. Fais très attention Robert...
Même remarque que pour l'album précédent, ça démarrait bien mais c'est vite devenu insupportable. George Castorrison.
Une très belle intervention des Manic Street Preachers venus décastoriser le générateur, qui en avait grandement besoin.
Un Morrissey fidèle à lui même, c'est-à-dire préférant sa propre race.
S'il y a bien une seule chose à retenir de ce générateur chaotique, c'est qu'à quelques exceptions près, les albums sortis après l'an 2000 sont tous meilleurs que les albums sortis avant l'an 2000. Point.
Un album de plus sur lequel les vieux s'excitent alors que tout ce qui sort aujourd'hui est bien mieux.
Malgré toutes les victoires que j'ai pu accumuler dans ma vie, être capable de résister à une heure de métal sans vomir ni me tailler les veines reste sans doute la chose qui me rend le plus fier aujourd'hui.
Très chouette, comme tous les albums sortis après l'an 2000. Par opposition à tous les albums sortis avant, nettement moins bons.
Si même mon père n'a jamais entendu parler de ces tocards, c'est qu'ils n'ont vraiment rien à foutre ici.
Rufus s'est ici efforcé de copier Jeff Buckley jusque dans les moindres détails, allant même jusqu'à supplier son père de l'abandonner, bien que celui-ci lui rappelle qu'il a déjà dépassé les 30 ans. Un vrai coup dur.
Britney est bien meilleure sur de la chaudasse-pop.
Bien meilleur que l'album moyen de Britney sorti au même moment.
J'ai trop peu de temps disponible dans ma vie pour écouter des punks barboter pendant 40 minutes.
Ce mec-là ne m'inspire aucune sorte de souvenir.
Un album rempli de Gifs envoyés par toute l'équipe, se plaignant avec humour de démarrer une nouvelle semaine de travail. Vivement le weekend...
Bien mais pas aussi bien qu'eltrapeze semble insinuer.
Un album de Kiwanuk-soul dans lequel SAULT s'engage pour une cause qui lui tient à cœur. Je soutiens moi-même plusieurs causes que je vais lister ci-dessous : ● L'interdiction de la country. ● L'interdiction du metal. ● L'interdiction du post-punk. ● L'interdiction du trip-hop. ● L'interdiction d'eltrapeze. ● L'interdiction du père d'eltrapeze. ● L'interdiction de mon propre père, s'étant bien trop rapproché d'eltrapeze.
Un attrape-touriste.
Cet album réussit la prouesse d'être à la fois futuriste par sa narration et préhistorique par la ringardise du rap qui y est pratiqué.
Un album sympathique dans lequel Solange va proposer à Sampha de prendre place à sa table. Celui-ci s'y installera sans encombre. Pour rappel, sa sœur Beyoncé lui avait fait la même proposition mais avait retiré la chaise au dernier moment, ce qui l'avait fait tomber à la renverse et l'avait traumatisé pendant un certain temps.
Il me semble avoir raté le moment où l'album justifiait le fait d'être dans une liste avec un nom pareil.
Ça tube un max et ça on peut pas leur enlever.
Un album qui m'a rappelé cet épisode où j'ai renoncé à acheter une casquette Roxy alors qu'elle m'allait très bien pour la simple et bonne raison que je suis un homme.
J'ai été extrêmement déçu de constater que Nirvana et son leader Mathis avaient bâti leur carrière en piochant dans le répertoire des Muppets. Ceci explique en partie les différents "Maaaa" qui ponctuaient leurs albums.
Pas assez mémorable pour que je personnalise cette critique avec une quelconque remarque concrète sur cet album généré il y a plus d'un mois déjà. Le temps passe vite.
Les années passent et on se fout toujours aussi royalement de ce que racontent les chanteurs de country. Les ranches au Texas ça ne parle à personne.
J'ai envoyé deux casseurs de gueule à l'adresse d'eltrapeze pour qu'ils lui rendent une petite visite.
Un album de roi-de-la-glisse-rock qui tiendra toutes ses promesses, les Pearl Jam envoyant du pastaga de bout en bout.
On en a marre de toi Robert.
Le fait de chanter de la country justifie tout ce qui est arrivé de mal à Waylon Jennings dans sa vie.
Plutôt pas mal à l'échelle du générateur c'est-à-dire nul à chier a l'échelle de la musique en général.
Peter continue de faire bonne figure sans non plus casser trois pattes à un canard. C'est l'occasion de rappeler que seulement 20 albums sur presque 1000 cassent jusqu'ici les trois pattes du canard. Robert est un nullos confirmé.
Dommage pour The Weeknd et son album After Hours, mais 2020 est bien l'année de Fiona Apple. C'est bien simple, le nom de Fiona Apple était sur toutes les lèvres. Fiona Apple par-ci, FIona Apple par-là... Dernier avertissement, Robert.
Encore un comportement odieux de la part du Dinosaur Jr. qui va venir charger et donner des coups de tête à ses proies pour ensuite les achever puis les dévorer. Vraiment inacceptable.
Pas si mal de souvenir. Aucun intérêt de souvenir aussi.
Un affrontement entre filles et garçons bien peu utile dans la mesure où on en connaît déjà l'issue (cf l'album Rumours de Fleetwood Mac dans lequel le garçon marche sur l'eau et la fille se prend constamment les pieds dans le tapis).
Un album très mélodieux et satisfaisant dans l'ensemble, on regretta simplement que John se transforme en Helmut Fritz vers la fin et se mette à lister toutes les choses qui l'énervent. Incompréhensible.
Le directeur artistique était mort depuis combien de temps ? On peut savoir Robert ??
Si par un quelconque hasard vous deviez un jour trouver en urgence une personne insensible à la musique de Neil Young, je vous invite à me contacter.
Un album sûrement très chouette à sampler, beaucoup moins à écouter en revanche.
Je pisse sur les années 90.
Un album qui a eu pour seul mérite de bousiller une journée de la triste vie d'eltrapeze.
C'est insoutenable.
Comment veux-tu que Def Leppard ait une quelconque crédibilité dans ce générateur si même mon père n'est pas fan.
Un album plutôt sympa, dommage que fumer des joints ne soit plus cool passé le lycée, Snoop Dogg aurait été sacrément populaire.
Vraiment pas de souvenir et c'est rédibitoire à partir de 1000 albums générés. Désolé les supergrass.
Ça t'arracherait le cul de générer de la bonne musique un peu plus souvent Robert ?
Eltrapeze survend toujours les albums sans intérêt.
C'est très long et très américain donc pas franchement malin de surcroît, mais étonnamment pas si désagréable à l'oreille. Tu t'en sors bien Robert.
Le générateur de Robert étant designé comme un cul, j'ai cliqué sur l'album Street Signs d'Ozomatli pour écrire ma critique de celui-ci. Pour ce qui est de l'album précédemment cité, on se retrouve sur youtube avec des reprises filmées depuis le salon d'inconnus. Autant vous dire que Robert mérite une paire de bourre-pifs.
Ces gars-là imitent si bien les beatles qu'ils mériteraient presque une émission quotidienne animée par Nikos.
Mais t'es un vrai déglingo Frank Zappa ma parole. Ma parole.
Je considère que ça gueule assez pour être rangé dans la catégorie des joyeux gueulards.
Ça psychédèle un max et c'est franchement pas ce qu'on leur demandait de faire en 1991.
Ça alterne de bonnes séquences et d'autres où Robert Wyatt veut absolument faire son intéressant. Toujours est-il que le seul Wyatt que j'estime est le fils de Piper la sorcière et Léo l'être de lumière (puis avatar).
Je tiens à me féliciter d'avoir mené ma demi-heure de course à pied à bien pendant que ce marchand de sable essayait de m'endormir à chaque seconde.
Un album assez remarquable de la part de Lana Deltrapeze .
À peine deux secondes ont fallu pour que mon sexe durcisse comme de la pierre et pointe vers le plafond. Rien d'anormal, Marvin Gaye est la référence absolue de l'ultra-sexual-soul.
Un album curieusement excellent contrairement à celui que Bono et ses joyeux singes ont enregistré sur la Tour Eiffel pendant que je faisais visiter Paris à Louis Bodin.
Neil Young merci pour tous tes albums youtube-friendly mais on veut plus te voir ici.
Nul à chier mais on s'y attendait vu leur autre album de la liste.
De souvenir, ces gars-là étaient excessivement doux. À raison.
L'énorme influence qu'a eu cet album tient au fait que n'importe qui l'ayant écouté s'est cru capable de faire de la musique. Daubesque à souhait.
Un album de New wave à première vu moins débile que le niveau moyen de l'époque qui, je le rappelle, était plus haut que le niveau de cholestérol de Fats Domino.
C'était assez agréable à écouter, ce qui est déjà un exploit en soi dans cet horrible générateur.
Un album assez peu commun dans lequel Skepta va enchaîner les attaques envers Dizzee Rascal sur des Dizzee Rascal Type Beats.
John a surpris son monde en produisant de la très bonne musique avant l'an 2000, chose que seuls Michael Jackson, Stevie Wonder et Cat Stevens ont réussi.
Un album assez puéril de la part de Led Zeppelin. Ces derniers vont en effet débarquer dans différents squats munis de bombes de peinture et taguer les murs d'un "Led Zep" du plus mauvais goût avant de détaler comme des lapins. Pas digne d'eux.
Un grand merci à Tori Amos d'avoir placé mon vendredi après-midi sous le signe des taylorswifteries. J'aurais une petite remarque au sujet de l'avant-dernier morceau : Je conseille aux artistes d'arrêter d'enregistrer des pistes en acapela quand leur voix ne justifie pas cette entreprise. Je suis l'une des quelques personnes légitimes à le faire.
Holger Czukay n'a pas volé sa place dans la liste si l'on se fie à son statut de rockstar. Un de ses morceaux comptabilise plus de deux millions d'écoutes, c'est tout simplement phénoménal. Chapeau l'artiste.
Cf les autres albums de préhistorique-rap, j'ai vraiment plus la force de me répéter.
Ça gueule énormément mais je crois que je ne vais plus faire l'effort de commenter quoique ce soit ; eltrapeze et moi avons déjà commencé à amener des jeux de société et attendons patiemment la fin de ce générateur de malheur.
Stevie met encore une fois sa claque à tous les autres artistes du générateur. Dommage pour lui, Eddy Mitchell continue de roder et de grogner autour de sa propriété.
Un album qu'on attendait avec impatience et qui a bien tenu son rang de pire du générateur puisque tout simplement épouvantable. Merci Robert d'être l'homme que tu es, c'est-à-dire une ordure de première catégorie.
On ressort de cet album avec une réelle impression de s'être fait shoegazer la gueule, ce qui n'est pas nécessairement une mauvaise chose. Par souci d'objectivité je suis malheureusement obligé d'enlever une étoile par rapport à la note que j'aurais accordée en temps normal, l'album précédent étant Kollaps d'Einstürzende Neubauten.
Des Charlatans imitant Oasis et les Rolling Stones mais toujours avec la voix de merde de Bob Dylan. Un très mauvais ménage.
C'est une très bonne idée de mélanger le rock et le hip-hop, il doit sans doute y avoir beaucoup d'adeptes de ce style musical (zéro, pas une seule personne).
C'est ça qu'on veut mon Justin.
Ces deux frères sont probablement les dinosaures qui s'en sont le mieux sortis dans ce générateur. Et pourtant c'est loin d'être génial, ça veut tout dire du niveau de l'époque. Deux petites remarques: • Il fallait vraiment s'ennuyer à mourir en 2007 pour avoir l'envie de remasteriser cet album. Il y avait pourtant plein de choses à faire à l'époque, comme par exemple aller voter pour Nicolas Sarkozy. • L'intro pompée par Claude François a permis de lancer l'escroquerie de carrière de ce dernier sous le signe de la nasalité, c'est à souligner.
Une performance remarquée de la part de R.E.M. qui avait laissé nos oreilles jusque-là indifférentes.
Heureusement que c'était court vu comment ça casse la tête.
C'est pas souvent que je mettrai 4 à du métal alors profitez bien.
Très bonne idée les interludes où Jazmine va répéter "ah nan mais moi j'aime trop baiser tsais, ché pas si tu vois ce que je veux dire" à tue-tête.
Une bonne description de cette album serait celle-ci : des guitares piquées sur des vidéos de relaxation auxquelles on aurait superposé la voix tremblotante qu'aurait Taylor Swift si elle se rendait à un oral de rattrapage du bac.
J'ai bien aimé, merci Robert. J'espère qu'on pourra rester en bons termes après la fin du générateur.
Ne partez jamais faire un jogging en écoutant ce mec s'endormir sur son micro.
Un baise-gueule assez inattendu je dois dire.
Les Kinks se démènent toujours avec les même vigueur pour remonter ne serait-ce qu'un tout petit peu dans mon estime avant la fin du générateur mais c'est malheureusement peine perdue. Désolé les Kinks.
Vraiment pas dégueu, on regrettera simplement la pochette qui m'a fait réduire ma fenêtre google chrome en urgence plus d'une fois au milieu de l'open space.
Un T. Rex toujours aussi brutal avec les dinosaures plus faibles mais je pense qu'il est trop tard pour essayer de le faire changer...
Un très joli coup de Robert qui a décidé de nous générer l'album de sa correspondante allemande que personne ne connaît.
Merci aux Circle Jerks d'avoir compacté leur horrible album en vitesse x4 pour qu'on en finisse plus rapidement.
J'avais tout sauf envie de me faire trip-hoper les oreilles dès le matin mais parfois on n'a pas d'autre choix.
Forcément bien puisque sorti après l'an 2000. La musique du 20ème siècle est inadaptée à nos oreilles actuelles, rendez-vous à l'évidence.
Un album sans doute très sympathique que j'ai malheureusement écouté en essayant de rattraper une erreur que j'avais commise au travail. Une histoire de repas organisé par erreur à ma demande pour fêter le licenciement d'un salarié. L'intervention du magicien avait coûté bien trop cher à l'entreprise pour être décommandée.
C'est très bien essayé de la part de Robert d'essayer de nous faire croire qu'il s'y connaît en blues malien mais personne n'est dupe.
J'aurais adoré être un boomer pour apprécier cet album à sa juste valeur.
Ça fait 1049 jours que Robert nous prive de nos goûts musicaux pour nous générer ses âneries.
Est-ce que les gothiques à voix de merde peuvent y aller mollo sur la création d'albums parce qu'après des gens comme nous sont obligés de les écouter.
Forcément un peu mieux que le reste du générateur puisque récent.
Pas en lien direct mais je déteste l'expression "âge d'or du rap", arrêtez de l'utiliser s'il vous plaît.
Un album sympathique mais parasité par différentes publicités et placements de produits, notamment pour Rhinoshield et NordVPN.
Pas grand chose d'agréable à l'oreille mais on commence à être habitué avec ce générateur de bouses.
Si vous vous demandez pourquoi Ghostface Killah est en featuring sur tous les morceaux de l'album, la raison est très simple. Celui-ci devait à la base poser sur l'intro mais au moment où Raekwon le remercia d'avoir participé, Ghostface l'informa que le prochain bus ne passerait à leur arrêt que dans 58 minutes et qu'il avait donc le temps de poser sa voix sur quelques autres morceaux. Raekwon, pas très emballé par l'idée, se retrouva un peu obligé d'accepter. Au terme du sixième morceau, ce dernier demanda à son ami un peu intrusif s'il pouvait ramasser le sabre laser qu'il avait apporté et quitter lentement le studio pour qu'il puisse enfin enregistrer sa partie solo du projet. Mais Ghostface avait apparemment oublié ses clés chez lui et ses parents ne rentreraient que dans deux heures. Raekwon dut alors avec dépit le laisser finir l'album avec lui.
Une écoute d'album qui n'a fait les affaires de personne. Ni celles de King Crimson, ni les miennes.
L'introduction nous ramène exactement là où John Zorn nous avait laissés à la fin de son album. On le voit terroriser les New-Yorkais avec sa trompette greffée à la bouche. Soudain, en arrière-plan, apparaît une moitié du visage de Miles Davis, dissimulée derrière un abribus. Celui-ci bondit alors sur John Zorn et l'engloutit bientôt de la tête aux pieds tel un python dans une lente déglutition. Après quelques longues minutes, les orteils de Zorn disparaissent au fond de la gorge de Davis et l'estomac de ce dernier prend peu à peu la forme de notre terroriste. Notre ami commence alors l'enregistrement de l'album et le résultat ne se fait pas attendre : de véritables John-Zorneries. Après une heure et demie de sonorités atroces, on entend le ventre de Davis gargouiller avant de le voir recracher sa proie, encore en chair et en os mais recouverte d'acide.
J'adore Rufus et il me semble que c'est réciproque si j'en crois les nombreux likes et emojis flamme qu'il a posés sur mes stories.
Pour ceux qui se demandent ce que devient Navii, il écoute maintenant du John Zorn et vend des doudounes Napapijri.
eltrapeze est un tricheur
The Streets va ici réaliser son rêve d'enregistrer un album entier sans aucune préparation ni matériel ni technique ni rien du tout.
Mais que quelqu'un bouche son nez par pitié...
J'ai toujours confondu les groupes Linkin Park et Simple plan. Malheureusement, faire le faire ménage dans mon cerveau ne fait pas partie de mes résolutions pour 2024.
Vous voyez ce moment où quelqu'un veut absolument vous faire découvrir une chanson et qu'en l'écoutant vous trouvez ça ni bon ni mauvais, c'est juste pas votre style et vous commencez à en avoir marre au bout d'une minute ? Et bien c'est ce que nous fait vivre Robert depuis, non pas une minute, mais le temps de 1060 albums c'est-à-dire environ 50 000 minutes.
Tu vois Robert, à chaque fois que tu génères de la bonne musique on met 5, c'est pas plus compliqué que ça.
On appréciera l'optimisme du chanteur qui s'essaiera à une reprise de The Power of Love sans disposer d'un début de bagage technique pour réussir son entreprise. Les pieds dans le tapis.
On a fait le tour du big beat on peut arrêter maintenant merci bien.
Un album tout ce qu'il y a de plus atroce, mais c'est pas au bout du 1068ème généré par Robert qu'on va se rendre compte que son livre est une escroquerie à plus de 20€.
Robert n'a plus aucune énergie en cette fin de générateur et nous sort ses toutes dernières cartouches indies qui ne nous feront évidemment pas le moindre effet.
Un album sorti à une époque où le sexe de Kings of Leon était encore loin de flamber. Il était même d'après certaines sources plutôt ennuyeux voire pantouflard.
J'étais sur mes gardes avant de lancer l'album mais la menace s'est en effet révélée mineure, celle-ci s'atténuant au bout d'une vingtaine de minutes à peine.
On est rarement déçus par nos baragouins lusophones et c'est peut-être même la seule réussite de cet exécrable générateur de punkàcheries.
Pour info je n'ai toujours pas confirmé à Robert ma présence ou non à la soirée des 1089 albums et je me réserve toujours le droit de rester chez moi.
C'était vraiment cet album de l'année 2012 qu'il fallait choisir ? Le Bal des Enfoirés ça te dit un truc Robert ??
C'est toujours agréable d'accompagner un suicidaire pendant sa masturbation, merci Robert.
On sait que les White Stripes maîtrisent leur popolopopopo mais on aimerait les entendre chanter autre chose ou au moins d'autres onomatopées que po et lo.
Ça a tout juste le mérite de pas casser les oreilles. Vous avez dès à présent la possibilité de me contacter ainsi qu'eltrapeze sur une adresse courriel que nous venons d'ouvrir : robertestleperedemikeladd@gmx.com Celle-ci peut servir à nous demander ce qu'il faut penser de tel album ou plus simplement connaître la date de la prochaine émeute anti-Costello.
C'était peut-être le seul mannequin allemand à qui c'était pas trop une mauvaise idée de mettre un micro entre les mains, par opposition totale à un autre dont le pseudonyme commence par Ni et finit par co. Dites-nous tout le mal que vous pensez des albums de Nico sur robertestleperedemikeladd@gmx.com
Cet album est une énorme surprise. Alors que l'on voit arriver Van Morrison sur scène habillé d'une salopette et d'un crayon derrière l'oreille, celui-ci va contre toute attente se débarrasser de son accoutrement et révéler à son public qu'il n'a aucun lien de près ou de loin avec Jim Morrison. La salle semble alors tomber des nues. Certains commencent même à partir quand soudain, Van démarre son concert. Personne n'en croit alors ses oreilles ; Van met sa misère à Jim sur tous les plans et livrera une performance mémorable. Il jettera comme un clin d'œil son crayon dans la fosse au terme du dernier morceau. Du grand art.
Album d'américaneries sans trop d'intérêt que je ne vais pas commenter plus que ça par manque de temps mais surtout d'envie. Je vous invite en revanche à me faire une liste des coquilles et différentes fautes d'ortographe qui se cachent dans mes quelques 1080 critiques pour les corriger une fois que le générateur aura les fonctionnalités d'un vrai site internet et pas celles d'une page web des années 90. Cela se passera bien sûr via l'adresse électronique robertestleperedemikeladd@gmx.com
Vous m'excuserez mon manque d'inspiration mais d'après les statistiques, c'est le 582ème album de rock qu'on écoute depuis le début du générateur alors je sais vraiment plus quoi vous dire. Vous pouvez en revanche continuer de m'envoyer des mots doux sur l'adresse robertestleperedemikeladd@gmx.com
C'est la première et dernière fois que vous me verrez donner quatre étoiles à des gothiques mais ceux-ci nous ont tout simplement offert un moment d'anthologie avec le morceau This Corrosion qui rentre aisément dans le top 20 des meilleurs morceaux du générateur. À tous nos lecteurs gothiques, vous avez l'occasion de nous expliquer pourquoi vous êtes comme ça via l'adresse électronique robertestleperedemikeladd@gmx.com
Un album très doux de la part de notre ami Rey Misterio qui vient prendre à contre-pied son image de bagarreur. Vous pouvez d'ailleurs me donner votre avis sur le jeu WWE Smackdown vs. Raw 2008 sur Xbox 360 par courriel à l'adresse robertestleperedemikeladd@gmx.com
Alors que Buddy Holly & The Crickets emmenés par Martin Lamotte se dirigeaient tranquillement vers le titre de groupe le plus ringard du générateur depuis plus de deux ans, nos Louvin Brothers viennent de leur chiper la distinction à moins d'une semaine de la ligne d'arrivée. Un vrai coup dur. Malheureusement pour les Brothers, j'avais annoncé il y a quelque temps que la mention d'un nom d'état américain dans une chanson était désormais sanctionné d'une étoile en moins au moment de la note. L'introduction intitulée Kentucky et le morceau Alabama ont dans ce sens été perçus comme des provocations. Trois moins un nous donne ainsi deux. Pour une quelconque explication sur les barèmes utilisés par eltrapeze et moi, nous vous invitons à nous contacter directement via robertestleperedemikeladd@gmx.com
Un culte en tout cas pas voué par mon père qui a qualifié cette musique de "sautillante", ce qui est probablement le pire jugement qu'on puisse porter sur un album de hard rock. Puisque que vous n'aurez à partir de jeudi prochain plus aucune nouvelle de mon père, le père de robvipère, je vous laisse ici une adresse courriel qui vous permettra de vous enquérir de ses nouvelles robertestleperedemikeladd@gmx.com
On saluera la dévotion de ce monsieur même si on aurait aimé qu'elle dure moins longtemps, disons une heure et quart de moins. Je souhaitais à cette occasion vous informer que je suis ouvert à toute opportunité de casting dans l'industrie cinématographique de Bollywood. N'hésitez pas à m'envoyer vos synopsis à l'adresse robertestleperedemikeladd@gmx.com
Mon dieu que c'est sans intérêt... Combien d'albums de psychédéliqueries on a dû se taper à cause de toi Robert ? Le seul élément sympathique est la présence du poisson qui va tenter par tout moyen de perturber Country Joe pendant l'enregistrement de son disque. Le générateur s'arrêtera pour eltrapeze et moi dans deux jours mais l'aventure continuera bien évidemment via l'adresse électronique robertestleperedemikeladd@gmx.com que je vous conseille de noter sur un bout de papier pour ne pas l'oublier.
Un album tout à fait banal qu'eltrapeze a bien entendu apprécié. Rien d'étonnant quand on sait que ses oreilles sont pleines de matière fécale. C'est l'occasion pour moi de vous rappeler qu'il est possible pour vous de recueillir mon avis au sujet de n'importe quel album via l'adresse courriel robertestleperedemikeladd@gmx.com une fois ce générateur de nullités arrivé à son terme.
Nick Cave et ses Bad Seeds ont jusqu'ici mis la barre si bas que c'est presque étonnant de les entendre sur un projet à peu près audible. Puisque cet album est le dernier du générateur, je vous propose un bilan de celui-ci : Un naufrage total. En tout point. Robert est un escroc. N'oubliez pas que l'aventure se poursuit avec notre newsletter via l'adresse robertestleperedemikeladd@gmx.com