Aujourd'hui aurait du être un jour historique. En effet, en cette matinée du 20 juillet 2021 le générateur dévoilait son chouchou, la coqueluche de l'audimat générateurien, Abbey Road des Beatles. Ce review aurait pu permettre de dire tout le bien que je pense de cet album classique, mais malheureusement aujourd'hui l'essentiel n'est pas là. En effet, aujourd'hui, robpaupière a definitivement passé un cap dans le mauvais goût et la provocation, il a franchi la ligne irreversible qui va me pousser a devoir lui regler son compte. Pour vous remettre un peu dans le contexte, rob est mon "camarade" d'écoute. Nous avons effectué nos classes au sein de notre établissement scolaire ensemble, et dès son plus jeune âge, rob démontrait de sacrées dispositions a la musique de merde. En effet, son lecteur mp3 de l'epoque laissait échapper des sonorités nauséabondes de James Arthur, auquel rob vouait un culte total, malgré mon incompréhension la plus totale. Un beau jour de mars, je faisait suscintement mention de ce générateur à rob, qui fut de suite alerté et s'incrusta de force dans cette aventure, me forçant, et ce malgré mon consentement, à creer un groupe afin que nous puissions écouter les mêmes albums en simultané. C'est alors que les véritables problèmes débutèrent. Chaque jour depuis mars, je subis les commentaires musicaux catastrophiques de rob. Il les étale absolument partout: du Cruisaders au petit déjeuner, du Sonic Youth au gouter, du Finley Quaye pour terminer la journée. C'est une ribambelle de groupes tous plus moyens/mauvais les uns que les autres que rob prend en admiration, et dont il me rabache les mérites chaque jour que dieu fait. Mais alors même que cette situation est déjà extremement difficile a vivre vous en conviendrez, aujourd'hui marque un tournant. En effet, en plus de cet album des Beatles, que comme vous l'avez compris nous ne commenteront pas aujourd'hui, nous avions un album de retardà rattraper: Freak Out!, de la bande de l'ignoble Frank Zappa. Cet album absolument affreux - que j'ai déjà ouvertement critiqué dans ma désormais célèbre review dont on vient regulierement me parler (merci à vous pour cela) - a été hautement apprécié par l'effarant robtunnel. Il apprecie en effet son côté "experimental". Il est de notoriété public que rob cherche depuis toujours à se donner un genre de connaisseur un peu snob qui ne prend pas avec moi, mais considérer 15mn de cris d'animaux et de bruits de cuisine comme de la musique experimentale, c'est un peu fort de Roquefort. En plus de cela, alors que je commencais a liberer un flot d'insultes à l'egard de rob pour cette opinion desastreuse, comme beaucoup trop souvent, j'eu le malheur de faire reference a une artiste que j'apprecie enormement, la déesse Lana del Rey, regrettant sa non presence dans la liste au profit de tels albums de merde (je fais ici bien reference a l'album de la troupe de l'handicapé Frank Zappa). Rob, en fin non connaisseur musical, me retorquera que Lana del Rey n'a pas sa place dans cette liste des 1001, et surtout pas a la place du zoo de Zappa. C'en était trop pour moi, et j'ai donc décidé de menacer physiquement rob, que j'affornterai à mon retour en France dans un combat a mains nues. Je suis plutôt serein, rob ayant le physique de ses idées, il ne ferait pas de mal a une mouche, hormis peut etre en lui presentant sa playlist Spotify. Je vous tiendrai au courant du déroulé de comba très prochainement, à bientôt chers lecteurs.

Non-content de nous proposer une ribambelle d'albums rock de merde. Robert Dimery, l'emminent créateur de cette liste scandaleuse n'a selectionné que deux albums français au sein des 1001. Parmi eux donc, cet album de Serge Gainsbourg, figure emblématique de la chanson française. Mais là encore, Robert avait tout faux. En effet, malgré la ribambelle d'albums comprennant au moins un titre classique de Serge Gainsbourg, Robert a trouvé le moyen de choisir un album experimental racontant une histoire dont tout le monde se fout, d'autant plus que les décérébrés votants du générateurs ne pipent pas un mot de français (ce qui vous en conviendrait, démontre une fois de plus leur manque flagrant de culture). La France est donc representee par cet album ridicule ou le Serge s'amuse a nous susurrer des mots a l'oreille, ce qui me plaça dans un inconfort palpable. Le pire dans tout ça, c'est que celui sur qui nos derniers espoirs reposent n'est autre que le hautement surcoté MC Solaar, que je me devrai de sanctionner d'une note assassine pour l'ensemble de son oeuvre. Ce mercredi matin ne démarre clairement pas de la meilleure des manières, d'autant plus que comme vous le savez, il semblerait que je n'ai plus d'eau chaude a mon domicile.

Aujourd'hui, comme chaque jour ouvrable, synonyme de jour de dur labeur, je me dirige vers mon lieu de travail comme à mon habitude, ouvre mon ordinateur, et avant même de consulter mes mails, je me dirige vers mon générateur préferé, mon seul petit plaisir de la journée. Je me hâte de valider ma review de l'album précedent, ainsi que ma note, et laisse les frissons envahirent mon corps alors que j'attends avec excitation le nouvel album que je m'apprête à découvrir. Tout d'un coup, la page s'actualise et me laisse apercevoir de quoi ma journée sera rythmée. Seulement, c'est la stupéfaction: l'inscription "Anniversaire de Robpullvert" vient s'afficher digitalement sous mes yeux ébahis. En effet, aujourd'hui, nous sommes le 2 Juillet, et cette journée sera comme tous les 2 Juillet un véritable calvaire. Rob prend en effet le contrôle de l'intégralité des canaux de distribution musicaux. A la radio, on peut entendre Hugh Masekala joué tambour battant, dans les supermarchés, c'est The Crusaders qui vient polluer vos achats de vivres pour la semaine. J'ai tenté d'aggriper frénétiquement mon téléphone afin de jouer un peu de Ray Charles, mais le pistes avaient été effacées et remplacées par des hurlements de douleur et des appels à l'aide. Cette journée aura une fois de plus été synonyme de souffrance et de torture psychologique, ce qui est finallement assez representif de ce qu'il en est de cotoyer les 364 autres jours de l'année les avis musicaux desastreux de robcuillère.

Robert a encore fait son pitre en selectionnant un album que je mets au defi quiconque de connaître, passons, l'heure est à un sujet bien plus important. Cela fait maintenant plusieurs mois que mon camarade robpecunière et moi cravachons pour vous divertir, grâce à des reviews d'albums toutes plus pertinentes les unes que les autres. Nous nous demandions aujourd'hui si un français avait déjà lu ne serait-ce qu'une seule de nos reviews. Si tel est le cas, nous vous donnon srendez-vous: à l'heure ou l'album Qui sème le vent recolte le tempo de MC Solaar tombera sur votre générateur, inscrivez la phrase suivante dans votre review de l'album: "Mike Ladd est le fils de Robert Dimery". Grâce à ce savant codage, nous saurons que nos reviews ont peut-être un jour touché une âme. J'emmenerai personellement des madeleines et une bouteille de jus d'orange à cette occasion.

Cet album bresilien me rapelle une anecdote vécue avec mon camarade d'écoute robinho, que je vais vous énoncer ci-dessous. Alors que nous entrions dans notre année de terminale, nous nous dirigions vers un bar bien réputé de l'agglomération bordelaise en une belle soirée de samedi soir. A peine le pas de la porte franchi, un chaudron de whisky nous était directement déposé dans les mains par le célèbre duo des Nicos. Jusque là rien d'anormal. Mais c'est alors qu'après quelques verres, rob commença, le nez un peu rouge, à me montrer une femme assise au bar. Il la trouvait magnifique, un qualificatif que je ne lui aurais pas trouvé, mais rob n'étant lui-même pas gâté par la nature, je compris rapidement que robinho devait s'attaquer à des femmes d'un standing inférieur. Soudain, rob se leva, et alla à la rencontre de la jeune femme. Ils se mirent à discuter un peu, quand tout d'un coup, le barman changea du tout au tout l'ambiance sonore, et lança une playlist de musique bresilienne. Rob devint alors tout bonnement intenable. Il laissa aller ses pas de danse, tentant d'impressionner la galerie. Ses Vans trouées frappait le sol, tandis que ses mains volaient de haut en bas. Etrangement, la cible féminine de rob était semble t'il assez impressionée, alors que le reste du bar n'osait regarder dans la direction de rob. Seulement, rob commit un erreur dans son processus de seduction. La vessie contractée par une danse si intense, il dut se rendre rapidement au toilettes, laissant la jeune femme seule. C'est la que j'entre en scène. Vous connaissez notre rivalité légendaire avec rob, et cette rivalité ne me permettait pas de le laisser rentrer accompagné ce soir. Je me levais donc, m'approchait de la jeune femme, et lui laissait un petit papier chiffoné dans la main, lui demandant de l'ouvrir à l'abri des regards indiscrets. La jeune femme s'exécuta, et quitta le bar en trombe avant que rob ne revienne de son arrêt au stand. Totalement abasourdi et déçu à son retour, rob préfera écourter la soirée et quitter lui aussi les lieux dans la foulée. Alors maintenant, vous vous demandez certainement ce que j'ai griffonné sur ce bout de papier pour inverser la situation de la sorte. Et bien cela se résume en quelques mots, cinq pour être précis: "Rob est fan des Crusaders"

Mix incroyable, clairement de la bonne musique mais manque un peu de folie/de moments forts. A un côté un peu elitiste relou, d'album que "tu peux pas comprendre". 2 saves sur 11.

Sonne forcément vieillot, mais de belles surprises. Album court, ce qui joue en sa faveur etant donné que je commençais à me lasser. 2 saves sur 10.

5 saves sur 8, album de grande qualité

2 saves sur 7, ça sera un 3 étoiles

2 saves sur 11, sans aucun interet, shanta Billie Eilish, ça sera un 2/5

c'est Queen donc c'est evidemment bien mais seulement 2 saves/11 dont un peut etre tiré par les cheveux, 3/5

une honte metallistique, ça va manger un bon gros 1/5

pas dingue, manque de punch, 2/5

abslument naze, 2/5

quelle voix, 4/5

absence de talent, 47 sons mais tous similaires, nul, 2/5

surprenant, merci au cousin d'Hugo Martins d'avoir inclus cet album à la liste, un très beau 3/5 bien mérité

un homme extremement sympatique, musicalement rien de particulierement interessant mais j'ai apprecié sa gentillesse et sa delicatesse, 3/5

Noman Hosni aura vraiment tout essayé, 2/5

pas desagreable a écouter ces petasses, 3/5

drole d'idee d'avoir foutu que des sons de merde au milieu de l'album, 3/5

ce diable de Jimi sait y faire avec une gratte, 3/5

fabuleux quel dommage que monsieur se soit cru plus malin que tout le monde a faire un album de 37h

un grand classique, rien a voir avec par exemple The Doors

dommage tout ce vomi, 3/5

une excellence prestation de Gerard de Palmas

sympatoche, ni plus ni moins, le 3 le plus mérité de cette liste

c'est tres sympa, 3/5

de tres bons sons, je me serai bien passé du son de 16mn ou il dit knock knock knock highlands a de multiples reprises, 3/5

c'est un peu court jeune homme, 4/5

tres long, trop long, Ray est neammoins un eleve appliqué, 3/5

j'aurai jamais ecouté ce truc et quelle perte ça aurait été, 4/5

chris dusseld tes commentaire commencent serieusement a m'agacer, 4/5

sympa retour en arriere, chris dussel fait très attention à ce que tu dis je t'ai à l'oeil, 3/5

sacre intro, sinon sympa sans grand renversement de situation, 3/5 vu qu'il y a pas 3.5

emchs tu commences serieusement a me les briser, 3/5

sans intêret comme le derneir album de chrisdusseld, 3/5 sans conviction

Dommage qu'ils soient moins bon que Bruce Springsteen et son tatouage tribal, un 4/5 bien mérité

rien a foutre, 3/5 et change moi cette chemise ridicule

Je ne me souviens déjà plus de ce que j'ai écouté

Vivement les 1001 comptines à écouter avant de s'endormir

Difficile d'être virulent sur cet album, je vais du coup écrire ma review sur Sepultura: vous êtes la honte du métal, votre présence dans cette liste n'est dûe qu'a votre amitié avec Robert Dimery. Robert, fais très attention à toi.

rupwert met encore des couches car il fait pipi au lit

je me suis tormpé lors de mon commentaire precedent, rupwert n'existe pas je parlais evidemment du detestable robwuppert

une honte auditive, qui finance ces rigolos?

c'etait pas vraiment bien mais passer après Slayer a été très bénéfique

Très clairement en avance sur son temps, les riffs sont formidables, mais globalement on se fout un peu de notre gueule à faire passer ça pour un des 15 meilleurs albums du site

L'album que Coldplay aurait rêvé de réaliser, mais ils préfèrent répéter "Para para paradise" dans la moitié de leurs sons

Je n'ose plus ouvrir mon application Spotify depuis que j'ai eu affaire à la cover de cet album, mettant en scène Cookie Dingler absolument nu, nous fixant de son regard gris acier.

Excellent album, en revanche j'ai pas trop apprécié sa décla comme quoi "tout le monde préfère sa propre race à celle des autres"

j'aimais bien mais tu t'es très vite mis a me briser les couilles

Evidemment de tres bonne qualité, même si ça vaut pas leur top album Elvis Costello ne croit pas que je t'ai oublié, je viens de me taper Armed Forces juste avant c'est de la grosse merde, sans compter les insultes répétees à l'encontre du pourtant fort sympathique Ray Charles qui ne finit depuis plus son assiette

Très sympa n'en deplaise à l'horrible Rob Wuppert qui n'aura décidément jamais rien compris à la musique

mais qui diable écoute et apprecie le reggae, quelles sont vos revendications, laissez nous tranquille par pitié

Il est peut-etre encore un peu tôt pour crier au complot, mais je peux vous dire que tu es attendu au tournant Mac, fais très attention à toi

sympa, j'ai particulierement apprécié le moment où Tom Waits fait irruption dans la salle de concert, et invective Sarah d'un "eh qu'est-ce que tu fais" avec un accent toulousain prononcé

c'etait pas nul, c'etait pas particulièrement bien non plus. Un album à très vite oublier, il faut se reconcentrer sur le prochain match

si je veux écouter de telles sonorités je me rends dans le bar lounge de mon hôtel, en aucun cas je ne lance le générateur des 1001 ALBUMS À ÉCOUTER AVANT DE MOURIR

Un commentaire sous forme de mea-culpa: il est de notoriété publique que j'ai consacré une grande partie de mon existence à critiquer la trinité du surcotage Beatles/Pink Floyd/Rolling Stones, la presence des Beatles dans ce groupe de privilégiés étant en grande partie dûe à leur affreux tube Yellow Submarine. Force est de constater que cet album est de grande qualité, c'est donc une grande partie de ma personnalité musicale qui s'effondre, la trinité n'étant desormais plus qu'un duo. Messieurs Beatles, vous ne perdez rien pour attendre, Pink Floyd/Rolling Stones: à très vite

1001 albums de salon lounge, ça va très mal se passer si je revois un tel album dans la liste

Absolument dingue, Robwup je vais devoir te faire taire tes critiques musicales font honte à la France

Une première mi-temps cataclysmique, néammoins Jimi est revenu des vestiaires avec de bien meilleures intentions. Délaissant sa voix de merde pour se reconcentrer sur ses fondamentaux, à savoir le maniement de la denommée "gratte" comme aime à l'appeler mon compère Robwurt pour se donner un air de guitariste de feu de camp, Jimi enchainera les dribbles chaloupées entre les cordes pour venir arracher la victoire dans le temps additionnel

Album tout bonnement exceptionnel, bien loin de la fraude Ghostface Killah subie precedemment. Malheureusement, la longueur de l'album ainsi que les interruptions répétées de mes collaborateurs pour raisons professionnelles ne peuvent permettre à l'album d'obtenir la sacro sainte note de 5/5, qui n'a toujours pas été attribuée de mon côté (mon compère Robtrippier ayant eu la main un peu lourde sur Back to Black, mais je ne peux lui jeter la pierre)

Mon compagnon d'écoute, l'inevitable Robtupperwear m'avait pourtant prévenu: cet album est extremement dangereux. C'est néammoins empli de curiosité que je me dirigeais en cette matinée vers mon compte Spotify, pour lancer l'album du denommé Jon Spencer. D'entrée de jeu, nous avons affaire à un imposteur - l'album ne contenant pas la moindre trace de blues. A la place, un cri strident s'echappe de la bouche de Jon a intervalle irregulier, ce qui rend l'écoute pour le moins désagréable. Pour le reste, un simple album de rock underground sans aucun intérêt, une sorte de Minutemerde en un peu moins pire. Un 2 néammoins, car nous avons déjà vécu bien pire dans cette fabuleuse épopée.

Mon projet initial était d'insulter et menacer directement tous les autres revieweurs de ce générateur, qui ont fait d'un des seuls albums francophones de cette liste minable un paria, un moins que rien, a en juger par la note globale attribuée. Néammoins, force est de constater que cet album était bien que surprenant relativement difficile à écouter par moments. De toute façon, mon camarade Robdubstep et moi même emettons de forts doutes quand à la qualité de la grammaire employées par l'illetré faisant office de chanteur de ce groupe

A ma grande surprise, cet album des Portes de Marbre était plutôt agréable et bien senti, et m'a permis de passer un bon moment. C'est ce que j'aurai écrit si j'avais écouté, comme me l'a fait remarquer en plein milieu de l'écoute mon compatriote l'illustre Robdesert, cet album avec mon seul écouteur gauche... En effet, dès l'instant où l'on a le MALHEUR d'insérer son écouteur droit à l'intérieur de sa trompe auditive, tous les maux de The Doors font irruption, ou plutot LE mal de The Doors, j'ai nommé le detestable Manzarek. Nous proposant un synthé aux sonorités d'orgue tout le long de ce putain d'album, Manzarev nous fait passer un véritable supplice, camouflant la performance de Jim Morrisson en utilisant des extraits de discours du Grand Schtroumpf. Le plus grave dans tout ça, c'est que Manzarev vient même imposer sa loi 7 minutes durant, sur le titre désormais classé comme indésirable Light My Fire, nous offrant un solo tout bonnement inaudibe, non sans rappeler le générique du non méconnu Il était une fois l'homme. Manzarev rentre dans le top 3 des ennemis publics de ce générateur, et rejoins ainsi Elvis Costello et le créateur de cette liste ridicule.

Comme vous le savez tous, je me suis reveillé ce matin de très mauvaise humeur, la faute au service e-banking de ma banque UBS ayant décidé de ne pas fonctionner au moment exact où j'en ai besoin. Ce n'est certainement pas cette parodie musicale qui aura réussi à rehausser mon humeur, 45mn d'allemand se prennant pour des esthètes musicaux, qui ne proposent pourtant qu'une soupe de sons fort peu ragoutante. J'espère ne jamais vous retrouver dans ce génèrateur

A l'ouverture de notre cher et tendre générateur, mon enervement fut palpable en ce mardi matin. A moins de 24h de l'écoute de la bouse allemande de NEU!, pourquoi diable retrouvons nous ENCORE des artistes aussi peu connus et influents dans cette liste? Néammoins, cet album de Matts Hummels fut de très grande qualité. Problème: la durée ridicule de cet album. Pourquoi s'infliger des heures de Minutemerde, Slayer ou encore Elvis Costello, quand la bonne musique est cantonnée à quelques 25mn d'eclaircie? The Beau Goebbels démontre une fois de plus sa fainéantise légendaire, lui qui s'était on le rapelle endormi sur le parvis du New Nick a quelques minutes de son concert en 1971.

Sans aucun intérêt, je n'ai même pas le coeur d'en rigoler, une imposture de plus dans la liste. Sauvé du massacre par le dernier son

Très sympa cet album de la voix française de Shark, notamment le moment où il échappe à la brigade de Port-Marie suite au match clandestin entre les Bleus de Tag et les Fantomes de la Cité de Ben. Étrange en revanche de ne pas apercevoir RIN sur cet album, qui a pourtant donné sa chance à Shark lors de son concert a Zürich en 2020.

Malgré un bandana des plus ridicules et une inspiration musicale limitée puisque Willie s'est en effet contenté de pomper ses camarades de classes plus brillants que lui, force est de constater que cet album est extremement agréable à écouter. Je n'enlève pas le point bandana a 80 ans car il ne figure pas sur la pochette, ça passe pour cette fois.

J'ai passé un très bon moment devant cet album de manualisme

Après une semaine semée d'embûches ou devrais-je dire d'artistes mediocres, inconnus du grand public seulement présent de par leur liens étroits avec le créateur de cette liste honteuse, un rayon de soleil en ce vendredi matin: la voix splendide d'Aretha Franklin. Attention toutefois, Aretha tente tout le long de la derniere piste de l'album de vous convaincre de lancer The Chain de Fleetwood Mac, mais ne craquez pas sous la pression, le monde est certes contre nous mais nous tenons bon.

Je commence à en avoir ras le cul de vos albums sans aucune saveur que personne ne connait

Malgré une haine irrémédiable contractée a la vision d'un enième album de rock à se coltiner en ce lundi matin, je dois bien admettre que cet album etait de très bonne qualité. Je ne mets pas 4 parce qu'il faudrait voir à pas trop se foutre de ma gueule non plus, si l'album etait si bien ils auraient probablement pris la peine de l'enregistrer en studio ces feignants, ça nous aurait évité d'écouter les groupies hurler a chaque fin de son.

Cet album des Beatles était excellent, et ce malgré un nom de groupe absolument ridicule et je suppose peu évident à porter au quotidien.

Tantôt Jimi Hendrix, tantôt Gun N Roses, mais surtout pleinement nul à chier.

La révélation de ces NRJ Music Awards faisait son retour en ce mercredi matin, malheureusement il n'a pas su répondre aux attentes placées en lui. La comparaison avec Jeremy Menez est dès lors inévitable.

Figure maternelle de la famille Springfield, Dusty s'impose neammoins comme la numero 1 de cette caste de chanteurs. Le titre The Windmils of Your Mind s'impose déjà comme l'un des tauliers du générateur. Néammoins, on se retrouve un peu dérangé par les nombreuses accusations de vulgarité à son encontre, entre ses jupes extremement courtes, sa descente de whisky qui ferait rougir un pilier de bar, ou encore cette phrase, sortie du contexte d'une escapade nocturne avec son amant gérant d'un club de moto: "tape dans l'fond j'suis pas ta mère". La famille Springfield reste ce qu'elle est, une famille bourrée de talent musicalement parlant, mais une famille également très rustique socialement parlant.

Je peux citer aisément 300 rappeurs plus agreables à écouter que cette daube

Alice in Chains redore le blason du metal, jusque la sali par des groupes minables pratiquant le desormais tristement celebre trash metal

Cet album etant ni plus ni moins qu'un copié collé niveau qualité et intérêt de ma part de Fishscale de Ghostface Killah, je vais me contenter de copier coller ma review: c'etait pas nul, c'etait pas particulièrement bien non plus. Un album à très vite oublier, il faut se reconcentrer sur le prochain match

C'est avec une curiosité prononcée que je me dirigeais vers cet album des Crusaders en ce mercredi matin, après que mon camarade robvipère m'ait fait part de son attirance pour ce disque. Malheureusement, comme bien souvent, Rob etait complettement a côté de la plaque. Lui, incapable de differencier un bel album d'une daube artistique la faute à une oreille musicale absente, lui critiquant le contenu photographique pourtant fort qualitatif de son partenaire de tablée aux 1001 sushis, lui qui cautionna les insultes emises a l'egard de Ray Charles par l'affreux Elvis Costello, en punissant le pauvre Ray d'un scindant 2/5, lui, qui ferait bien de remettre son tablier de critique, et de se trouver une nouvelle vocation.

Sympa sans plus j'ai pas de temps a vous accorder j'ai des albums a rattrapper

D'excellente qualité, je m'attendais a écouter un album du petit con de Petit Biscuit suite aux allegations de ressemblances colportees par mon compagnon d'ecoute le tres irritable robcouleuvre, mais il n'en etait rien. Une nouvelle opinion desastreuse pour Rob, un nouvel album a reecouter pour moi.

Cool, vous avez rien inventé

En ce mois de pride, notre generateur se met a la page en nous proposant ce bel album du très efféminé George Michael

Malgré la recherche desesperée de bad buzz de Ian Dury, faisant regulièrement allusion au sexe et aux femmes de manières generale, cet album restera eternellement aux oubliettes. Et pour cause, la qualité de ce dernier est hautement discutable, je mets neamoins 3 car je n'ai pas été dérangé non plus outre mesure

Fidele a lui-même, réputé pour avoir proposé dans sa carrière un nombre d'albums supérieur au nombre de départements en France, Frank Zappa nous offre un album sans intérêt, que je me garderai bien de relancer a quelconque occasion. L'album vaut un tout petit 3, mais pour l'audace d'avoir sorti autant d'albums de la sorte je mets 2.

Un album très sympa de la part de Radiohead

En ce mardi matin de defaite footballistique, mon humeur etait des plus deplorables. Néammoins, le generateur me fasait une belle promesse en me servant sur un plateau le groupe Deee-Light, aux lettres non sans rappeler les plus belles heures de la voix de nez. Quelle ne fut pas ma deception à l'écoute de cet album, ou les principes fondamentaux de la voix de nez ne sont absolument pas respectés. Deee-Light fait honte a toute une frange de l'industrie musicale, choisissant volontairement un nom de scène faisant référence à l'univers de la nasalité, sans pour autant proposer une performance en adéquation avec les attentes. La quantité d'air insuflée entre les parois nasales de la chanteuse principale est grandement insuffisante, Dee-Light n'est tout simplement pas digne de son nom.

Robert Demery aimant jouer le hipster et fin connaisseur de la musique, ce petit malin s'est contenté de selectionner trois albums d'Aerosmith dans sa liste, dont deux qu'absolument personne ne connait. Néammoins, les chats ne faisant pas des chiens, l'album est evidemment excellent. Le vrai problème vient d'une information qui m'a été succurée a l'oreille par mon camarade l'humble robbouder: cet album n'aura reçu qu'une note de 3.15 de la part des fans, qui ont préféré sauver Quentin Mosimann en appelant au 3640. Une preuve de plus que vous qui me lisez ne connaissez rien à la musique, retournez sacraliser l'orgue inaudible de Manzarev et autres albums moyens qui vous donnent l'impression d'avoir une culture musicale.

Malgré un nom de scène des plus generiques qui n'inspirait rien de bien interessant, comme lors de la grande majorité des albums selectionnés par le gourou Dimery, force est de constater que cet album performé par une troupe de musiciens accompagnée de Morrissey a su me toucher.

En ce mercredi après-midi, synonyme d'un week end s'approchant à grand pas, un sacré épouvantail se dressait face a moi: Joy Division Bell, que je me languissais d'avance d'öcouter, et pour cause... Ayant eu la joie d'arpenter les montagnes helvète la semaine dernière, il se trouve que je dispose de quelques albums de retard sur mon compagnon d'écoute, le très inébranlable robpotter. Hors, ce dernier ne tarissait pas d'insultes envers cet album, lui accordant la note minimale (une etoile sur cinq pour ceux qui ne connaitraient pas bien le système en place). Seulement, il se trouve que j'ai personnellement apprécié cet album, malgré un chanteur il est vrai à côté de la plaque, mais peut-on lvraiment lui en vouloir étant donné sa petite forme de l'époque? Des mauvaises passes arrivent dans la carrière de chaque joueur, seul les plus grands arrivent à se maintenir au plus haut niveau, évitant les blessures. Rob nous targue une fois de plus d'une opinion musicale desastreuse, qui construit néammoins sa légende. Que nous reservera t'il la prochaine fois?

Robert Demery est fidèle a lui même en selectionnant un nouvel album completement anodin dans sa liste, la cohérence est respectée, bravo Robert pour ta liste de merde.

On sent vraiment toute l'influence de la pop de chambre sur cet album, notamment le moment ou Belle s'installe confortablement dans son lit, posant delicatement sa tête sur son oreiller pendant que Sebastian colle des posters de ses boys band favoris sur les murs.

Un nouvel album à placer aux oubliettes, écouté comme fond sonore, pas dérangeant mais pas surprenant non plus, un album taille patron pour la liste de Robert Demery, qui s'apparente de plus en plus a la liste des 1001 albums qu'il faut écouter sans y prêter la moindre attention. C'est ce que j'aurai dit si j'avais stoppé l'album avant la 7eme piste, a partir de laquelle les Kinks (une sorte de mix entre Kiss et Kings of Leon) se reveillent enfin pour nous proposer quelques sons très sympatiques. Il faudra veiller à régler son reveil correctement la prochaine fois, attention a vous les Kicekafesa.

Aujourd'hui, comme chaque jour ouvrable, synonyme de jour de dur labeur, je me dirige vers mon lieu de travail comme à mon habitude, ouvre mon ordinateur, et avant même de consulter mes mails, je me dirige vers mon générateur préferé, mon seul petit plaisir de la journée. Je me hâte de valider ma review de l'album précedent, ainsi que ma note, et laisse les frissons envahirent mon corps alors que j'attends avec excitation le nouvel album que je m'apprête à découvrir. Tout d'un coup, la page s'actualise et me laisse apercevoir de quoi ma journée sera rythmée. Seulement, c'est la stupéfaction: l'inscription "Anniversaire de Robpullvert" vient s'afficher digitalement sous mes yeux ébahis. En effet, aujourd'hui, nous sommes le 2 Juillet, et cette journée sera comme tous les 2 Juillet un véritable calvaire. Rob prend en effet le contrôle de l'intégralité des canaux de distribution musicaux. A la radio, on peut entendre Hugh Masekala joué tambour battant, dans les supermarchés, c'est The Crusaders qui vient polluer vos achats de vivres pour la semaine. J'ai tenté d'aggriper frénétiquement mon téléphone afin de jouer un peu de Ray Charles, mais le pistes avaient été effacées et remplacées par des hurlements de douleur et des appels à l'aide. Cette journée aura une fois de plus été synonyme de souffrance et de torture psychologique, ce qui est finallement assez representif de ce qu'il en est de cotoyer les 364 autres jours de l'année les avis musicaux desastreux de robcuillère.

Voici un résumé de l'album pour ceux qui seraient un peu pressés: klingklangklang boombadaboum pingibam (beaucoup de bruit pendant très longtemps - Paperplanes - bambadakling klong (un bruit très court mais intense)

Un album sympa mais pas revolutionnaire, même si j'ai apprecié la prise de risque au moment où Flash Mc Queen utilise Bessy la goudronneuse pour tenter de réparer la route 66 avec l'aide de son acolyte Martin la dépanneuse.

Drôle d'experience que cette écoute. En effet, à chaque fois que je lançais une nouvelle piste de cet album, la précédente s'effaiçait immédiatement de ma mémoire, tel le grand-père de Yugi emprisonné dans le puzzle du Millenium. Quand tout d'un coup, en plein milieu de l'album, une sonorité très familière se rappelait à mes oreilles: en effet, dissimulé entre deux sons digne des pubs britanniques les plus obscurs, j'ai pu redécouvrir le titre Despacito, tube international que je n'aurai pensé trouver ici. Un bien bel ascenseur emotionnel.

Du très très grand Morrissey. En effet, le chanteur sympathisant skinhead nous alpague avant même de lancer l'album, à l'aide d'une pochette dévoilant toute son humasexualité. On peut dès lors lancer l'album dans de très bonnes conditions, nous sommes dans l'univers de Morrissey. Il va alors nou enchaîner de prouesses dont il a le secret. Ici, il critique ouvertement les hommes de couleur, les déclarant indignes de la race humaine. Là-bas, il arborre une perruque blonde, se mettant a nu et se déclarant femme, tel ses idoles de jeunesses les New York Dolls. De plus, Morrissey ne cesse de se manipuler les tetons tout au long de l'écoute. Cet album fut plus qu'une écoute, mais bel et bien un voyage dans la fantaisie du raciste chouchou de Robert Dimery

Non content de proposer un album tout ce qu'il y a de plus chiant, The Who se permet en plus de faire durer cet album sur une vingtaine de son. Absolument infernal.

Je comprends désormais un peu mieux tous les geeks trentenaires aux cheveux gras, qui utilisent le smiley ":3" pour communiquer avec de jeunes filles. Cette description s'applique d'ailleurs a la moité des utilisateurs de ce generateur, ces gens qui vomissent la musique commerciale pour se la jouer marginale, et qui ont par conséquent descendu la muse Mariah Carey. Je n'oublierai pas.

C'était sympa mais je vois pas trop pourquoi je devrais absolument écouter ça avant de mourir.

Aujourd'hui, à l'ouverture de mon génèrateur favori, Patti Smith au menu. A la vision de la pochette, je me dis "tiens, un nouvel album d'un artiste effeminé à l'orientation sexuelle douteuse". Premier erreur de ma part, puisque après vérification de sa page Wikipedia, Patti n'est pas le diminutif de Patrick mais bien de Patricia. Mais la lecture de sa page Wikipedia m'en apprendra bien plus, et ce avant même d'avoir lancé l'album. Patrick est considéré comme le parrain de la punk, c'est donc sans surprise que je me lance dans un album composé exclusivemetn de musique folk rock. Pas la moindre note de punk, pas même une apparition de travestis a perruque blonde. Rien ne se sera passé comme prévu lors de cette écoute, mais n'est-ce pas la l'apanage de notre Robert, ne cesser de nous surprendre avec des albums tous moins interessants les uns que les autres?

Un album fort sympathique duquel je n'ai absolument rien retenu, inutile de me poser des questions à son sujet par conséquent.

Le gros problème de cet album, c'est qu'il est excellent, ce qui laisse très peu de place à l'inspiration pour de potentielles moqueries, dégradation de l'image ou encore invectivations envers Robert Dimery.

Comme vous le savez tous très bien, j'ai longtemps considéré les Beatles comme un groupe extrêmement surcoté. Néammoins, le White Album écouté il y a de cela une poignée de semaines m'avait bien rabattu mon clappe merde. Aujourd'hui, les Beatles sont retombés dans leurs travers. Un album absolument commun, sans rien de bien particulier, adulé par la communauté décérebrée du générateur. Je vous décris ci-dessous ce qu'il s'est passé chez chacun des auditeurs imbéciles utilisant ce générateur: *coupe son enceinte diffusant un solo d'orgue de 6mn de Manzarev* "Au jour d'aujourd'hui nouvel album!" (vous noterez que ceci n'est même pas du français correct) "Bittles!!!" (ceci n'est pas l'orthographe correcte du groupe susmentionné, une nouvelle preuve flagrante de la débilité des auditeurs) "Bittles, c'est 6/5!!!" (il n'y a que 5 notes selectionnables sur le générateur, de plus il est mathématiquement impossible d'obtenir une note supérieur au denominateur) *relance son solo de Manzamerde* Si vous analysez bien la situation, vous noterez qu'aucun auditeur n'a lancé l'album du jour, ils se sont simplement contentés de grassement noter cet album moyen à la vision du naming "Beatles". J'attends vos réponses en commentaires.

Je n'ai pas trop compris ce que cet album venait faire dans cette liste, quand des artistes comme Céline Dion se sont vus refuser l'accès à ce cercle de petit privilégiés. Néammoins, l'album débutait sur de belles notes, un début d'écoute plutôt amusante, moi et mes camarades procédant à une bataille de polochons. Toute cette petite troupe était hilares, hurlant des phrases en allemand n'ayant pas le moindre sens sorties de leur bouche. Quand tout d'un coup, l'ambiance change du tout au tout. Jurgen fait son apparition dans la pièce, et jette immédiatement un froid dans l'assemblée. Il fixe de ses yeux de glace le denommé Ludvig, tenant une chaise en plastique entre ses deux mains, et le sermonna immédiatemment d'un "Die Stuhle musst mie die Stuhle sein". S'en suivirent de pénibles heures pour notre joyeuse troupe, bien moins guillerette qu'à l'accoutumée. A suivre donc

L'artiste haïe des auditeurs décérébrés du générateur faisait son retour, et risque encore de s'attirer les foudres de cette belle bande de sous-hommes, puisque l'originalité est de mise. En effet, ne pas proposer un album de rock est automatiquement synonyme de sanction pour l'audimat de ce site, voir même de suppression de la liste par le grand Robert en personne, qui se contente dans ce cas de remplacer l'album par un groupe commençant par The.

Non-content de nous proposer une ribambelle d'albums rock de merde. Robert Dimery, l'emminent créateur de cette liste scandaleuse n'a selectionné que deux albums français au sein des 1001. Parmi eux donc, cet album de Serge Gainsbourg, figure emblématique de la chanson française. Mais là encore, Robert avait tout faux. En effet, malgré la ribambelle d'albums comprennant au moins un titre classique de Serge Gainsbourg, Robert a trouvé le moyen de choisir un album experimental racontant une histoire dont tout le monde se fout, d'autant plus que les décérébrés votants du générateurs ne pipent pas un mot de français (ce qui vous en conviendrait, démontre une fois de plus leur manque flagrant de culture). La France est donc representee par cet album ridicule ou le Serge s'amuse a nous susurrer des mots a l'oreille, ce qui me plaça dans un inconfort palpable. Le pire dans tout ça, c'est que celui sur qui nos derniers espoirs reposent n'est autre que le hautement surcoté MC Solaar, que je me devrai de sanctionner d'une note assassine pour l'ensemble de son oeuvre. Ce mercredi matin ne démarre clairement pas de la meilleure des manières, d'autant plus que comme vous le savez, il semblerait que je n'ai plus d'eau chaude a mon domicile.

Si l'on passe outre le fait que cet album soit un plagia des Midnight Runners, ainsi qu'outre le fait que ce groupe culminant à 40 000 auditeurs mensuels n'a sa place dans cette liste que grâce à sa complicité avec Robert Dimery, on peut alors apprécier l'album pour ce qu'il est, sympathique.

Nous devons des excuses a Joni, qui malgré un nom des plus generiques et un album semblant au premier abord tout ce qu'il y a de plus Dimeresque, nous a proposé une très belle performance. Malheureusement, Joni sera écoutée le même jour que le nouvel album de Laylow, L'etrange histoire de Mr Anderson, ce qui l'eclipse nécessairement du débat public.

Et j'sais pas si vous avez remarqué mais y a des fois, on lance un album, et 2 minutes après l'avoir fini on s'en souvient déjà plus. C'est tout pour moi j'm'appelle llabraise

Cet album démarrait sur les chapeaux de roue, une excellente musicalité se dégageait de ce dernier, mais un bruit désagréable se faisait de plus en présent au fil des pistes. En effet, tapis dans l'ombre du studio, je devinais une silhouette familière, se rapprochant pas à pas du micro d'enregistrement: cette silhouette, c'etait celle de Manzarek. De quelques sons etouffés sur les premières pistes, il finit peu à peu par devenir omniprésent, jusqu'à ejecter les pauvres Emerson Lake et Palmer du studio pour monopoliser les débats avec son immonde orgue. Un comportement absolument scandaleux qui je l'espère sera sanctionné par Robert Dimery au plus vite.

Comme vous le savez tous, je voulais sanctionner cet album d'un cinglant 2/5 pour sa longueur et sa monotonie, mais il faut reconnaitre que Ice-T a su créer une atmosphère qui lui permet de s'en tirer avec un 3. Je ne relancerai pourtant jamais cet album, jamais Robert tu m'entends? Tes albums de merde commencent a me courrir sur le haricot.

Tout d'abord, je voudrais démarrer ce review en présentant mes plus plates excuses. Je ne sais pas ce qu'il m'a pris hier, mais dans un élan de gentillesse et de bonté, la fin de ma journée de travail pointant le bout de son nez, j'ai accordé à ce piètre rappeur la note de 3/5, action que je regrette desormais enormément. Après une nuit agitée passée à me remémorer les differentes pistes de son album, j'en conclus que la valeur de son album n'etait en fait qu'un piteux 2/5. Piteux et 2/5, ce sont aussi des adjectifs que nous allons pouvoir utiliser pour l'album du jour. L'incomprehension est totale a la suite de cette écoute. L'album se présentait comme un album de rock banal et sans intérêt, tout a fait dans les standards de Robert. Mais c'etait sans compter sur les dernieres pistes de cet album machiavélique. En effet, c'est en effet un véritable livre audio qui se présente à nous dès la fin de cet album, qui se transforme petit a petit en enregistrement audio du zoo de la Palmyre, notamment de l'espace chimpanzés et volatiles. Une honte artistique, et alors que mes oreilles souffraient le martyre, je me mis a faire quelque recherches sur ce groupe criminel, et quelle ne fut pas ma surprise. Ce groupe etait en fait l'oeuvre de l'ignoble Frank Zappa, qui entache encore un peu plus son image, et rentre dans le top 3 des personnages les plus detestes du generateur, avec Manzarek et Sepultura.

Aujourd'hui aurait du être un jour historique. En effet, en cette matinée du 20 juillet 2021 le générateur dévoilait son chouchou, la coqueluche de l'audimat générateurien, Abbey Road des Beatles. Ce review aurait pu permettre de dire tout le bien que je pense de cet album classique, mais malheureusement aujourd'hui l'essentiel n'est pas là. En effet, aujourd'hui, robpaupière a definitivement passé un cap dans le mauvais goût et la provocation, il a franchi la ligne irreversible qui va me pousser a devoir lui regler son compte. Pour vous remettre un peu dans le contexte, rob est mon "camarade" d'écoute. Nous avons effectué nos classes au sein de notre établissement scolaire ensemble, et dès son plus jeune âge, rob démontrait de sacrées dispositions a la musique de merde. En effet, son lecteur mp3 de l'epoque laissait échapper des sonorités nauséabondes de James Arthur, auquel rob vouait un culte total, malgré mon incompréhension la plus totale. Un beau jour de mars, je faisait suscintement mention de ce générateur à rob, qui fut de suite alerté et s'incrusta de force dans cette aventure, me forçant, et ce malgré mon consentement, à creer un groupe afin que nous puissions écouter les mêmes albums en simultané. C'est alors que les véritables problèmes débutèrent. Chaque jour depuis mars, je subis les commentaires musicaux catastrophiques de rob. Il les étale absolument partout: du Cruisaders au petit déjeuner, du Sonic Youth au gouter, du Finley Quaye pour terminer la journée. C'est une ribambelle de groupes tous plus moyens/mauvais les uns que les autres que rob prend en admiration, et dont il me rabache les mérites chaque jour que dieu fait. Mais alors même que cette situation est déjà extremement difficile a vivre vous en conviendrez, aujourd'hui marque un tournant. En effet, en plus de cet album des Beatles, que comme vous l'avez compris nous ne commenteront pas aujourd'hui, nous avions un album de retardà rattraper: Freak Out!, de la bande de l'ignoble Frank Zappa. Cet album absolument affreux - que j'ai déjà ouvertement critiqué dans ma désormais célèbre review dont on vient regulierement me parler (merci à vous pour cela) - a été hautement apprécié par l'effarant robtunnel. Il apprecie en effet son côté "experimental". Il est de notoriété public que rob cherche depuis toujours à se donner un genre de connaisseur un peu snob qui ne prend pas avec moi, mais considérer 15mn de cris d'animaux et de bruits de cuisine comme de la musique experimentale, c'est un peu fort de Roquefort. En plus de cela, alors que je commencais a liberer un flot d'insultes à l'egard de rob pour cette opinion desastreuse, comme beaucoup trop souvent, j'eu le malheur de faire reference a une artiste que j'apprecie enormement, la déesse Lana del Rey, regrettant sa non presence dans la liste au profit de tels albums de merde (je fais ici bien reference a l'album de la troupe de l'handicapé Frank Zappa). Rob, en fin non connaisseur musical, me retorquera que Lana del Rey n'a pas sa place dans cette liste des 1001, et surtout pas a la place du zoo de Zappa. C'en était trop pour moi, et j'ai donc décidé de menacer physiquement rob, que j'affornterai à mon retour en France dans un combat a mains nues. Je suis plutôt serein, rob ayant le physique de ses idées, il ne ferait pas de mal a une mouche, hormis peut etre en lui presentant sa playlist Spotify. Je vous tiendrai au courant du déroulé de comba très prochainement, à bientôt chers lecteurs.

Cet album des Carmelo Grizzlies était portée en haute estime par mon camarade robtüchel. Il est vrai que les Grizzlies ont su faire preuve d'une combativité exemplaire, ne lâchant rien pendant 52mn, mais le resultat final n'est malheureusement pas à la hauteur des attentes, et les Grizzlies repartent avec un bon 3. Mais quelle force mentale auront-ils démontré tout au long de l'album! Une vraie bagarre pour le 4, qui restera pour sûr dans les annales du générateur.

Le générateur est en réelle perte de vitesse en ce moment, Nikos parlerait même de "bad buzz" pour l'outil de Robert. A suivre.

Malgré une pochette mettant en scène une bande de profonds débiles (une allégorie de l'audimat du générateur, portant sur ses épaules John Lennon?), il est vrai que cet album était de très bonne qualité. Merci à Robert de m'avoir rendu l'album disponible sur mon Spotify, j'ai apprécié la pensée.

Un album décevant après le très surprenant album comportant Come on Eileen écouté il y a de cela quelques mois, mais l'essentiel n'etait pas là: en effet, les Midnight Runners on réalisé une performance epoustouflante, réussissant à enregistrer les voix malgré un microphone disposé à plus de 15m du chanteur, égalant ainsi la distance record de cette discipline.

Grosse erreur de la part des Temptations, qui n'ont pas eu la présence d'esprit, a la sortie de leur album, de le rendre disponible sur les plateformes de streaming. Ceci plafonne par consequent directement leur note a 3/5. A l'heure du digital, il est tout bonnement scandaleux de ne proposer un album qu'exclusivement disponible sur Youtube. J'ai d'ailleurs alerté mon bon ami robtouillère de ce petit scandale, qui s'est empressé de le signaler directement à Robert Dimery, grâce à sa proximité extrême avec ce dernier. Des mesures devraient etre prises très bientôt, à bon entendeur.

J'ai apprécié cet album mais n'ai pas grand chose à en dire, par conséquent je vais ici vous dévoiler la discussion étrange que j'ai eu avec un homme bedonnant sonnant à ma porte ce matin: Homme bedonnant: *suisse allemand incomprehensible* moi: "sorry ich spreche nicht sehr gut deutsch" (désolé je n'avais pas entendu la sonnette) HB: *suisse allemand incomprehensible* moi: "Nein ich habe kein Auto" (oui exactement, mon album de fIREHOSE était un peu trop fort) HB: *imite le chimpanzé* LL: "Sorry, schöne tag" (vous imitez fort bien le chimpanzé)

Mon petit pêché mignon que ce bon vieux Morissey, présent pour la 37ème fois en 2 semaines dans notre bon vieux générateur. Je craque toujours pour sa fine epaisseur d'algue, entourant un riz cuit a point, qui laisse place à une explosion de saveurs avec la découverte du coeur saumon/avocat. A n'en pas douter, le meilleur élément de la carte du générateur.

Très belle performance de Van Halen by Van Halen, mais sachez que le combat face a rob se fait de plus en plus pressant. En effet, hier soir, j'eu la surprise de recevoir un message de mon petit frère, me demandant si je connaissais un certain robbelvedere. Je lui repondais que oh oui, je connais un certain robbelvedere, je le connais même très bien, lui et ses opinions musicales de merde. Il se trouve que rob a fait irruption dans la troupe de théâtre de mon petit frère, et a commencé, en pleine représentation, à substituer au cd diffusant la bande son de la pièce un album de Frank Zappa, sous le regard médusé de mon petit frère, en pleine représentation d'un morceau de bravoure. Cet acte terroriste ne restera pas impuni, rob ne vas pas s'en sortir comme ça. Je vous tiendrai au courant de l'avancée de cette affaire

Faut pas se foutre de ma gueule non plus

Cet album, deja fort peu fameux, dissimulait en son sein l'artiste préferé de mon coequipier robtonnerre, le terrible Finley Quaye. C'est donc fort logiquement que je sanctionne cet album d'un 2/5, le tarif pour toute apparition du mot Quaye, aussi appelé le Q word.

A l'ouverture du générateur aujourd'hui, mes yeux defilèrent horizontalement sur le nom de l'artiste: Billie Holliday. Un album de country donc, ça faisait quelque temps que nous n'en avions pas eu. Seulement, a l'ecoute, ce fut une catastrophe. Au dela de l'aspect visuel completement absent, les chapeaux de paille ayant été remplacés par des robes élégantes. Ensuite, aucune référence au Texas natal, mais plutot a des amants passés, on est bien loins des standards ayant forgé ce style musical legendaire. Par politesse je ne ferai même pas allusion à la nasalité misérable proposée par Billie. A vite oublier.

Un album sans plus, attention cependant a la double faute de français sur "dès que le vent soufflera je repartira, des que les vents tourneront nous nous en alleront" - la langue française est riche est complète, il s'agirait de ne pas la défigurer.

Alors oui, comme l'information a circulé, je n'ai pas pu executer mon devoir d'auditeur hier après-midi, préférant suivre le quart de finale de volleyball entre la France et la Pologne, qui a vu la France s'imposer au cours d'un match haletant. Je tiens d'ailleurs à présenter mes excuses à tous mes lecteurs assidus. Néammoins, cela ne m'a pas empeché de lancer cet album en cette matinée avec excitation, étant donné que mon compatriote auditeur robclairière m'avait annoncé un album horrible. Vous connaissez desormais la musique, chaque opinion de rob doit etre prise a son exact inverse. Par exemple, si rob choisit le poulet fermier au restaurant, privilégiez la pièce de boeuf. Si Rob porte un tshirt pour sortir en ville, armez vous de votre parapluie. Vous aurez compris où je voulais en venir, cet album était de bonne facture.

Pas particulierement interessé par cet album malgre une belle pochette et de belles promesses sur le premier son, je reviendrai plus fort dans une prochaine review.

Eminem déjà si fort, on regrettera que ce marginal de Robert a encore voulu se la jouer different en ne selectionnant pas The Eminem Show dans sa liste de 1001 albums. C'est comme organiser un gros repas d'anniversaire sans gâteau, ça ne devrait pas exister.

J'ai adoré cet album, pas trop le temps de commenter en ce moment, ne m'en tenez pas rigueur, les Jeux Olympiques sont extremement intenses en ce moment, et j'ai egalement besoin de prendre un peu mes distances avec rob pour reevaluer notre relation.

En cette matinée, j'ouvrais mon placard pour récupérer l'un de mes bols et ainsi me préparer mon traditionnel flocons d'avoine/graines de lin/cacao, me faisant comme vous le savez office de petit déjeuner depuis maintenant plus d'un an. Quand soudain à ma grande stupeur, au fond de mon bol pourtant nettoyé la veille à l'aide de liquide vaisselle, une petite trace de Fever Ray subsistait. Je ne me demontais cependant surtout pas, et remis un petit coup d'éponge pour apprécier ma collation matinale. Quelques heures plus tard, alors que je selectionnais ma tenue pour mon footing du midi, l'inscription "Nike" présente sur mon short de course avait été remplacé par deux mots. "Fever" et "Ray", encore eux. Je me dis qu'il s'agissait simplement d'une coincidence, et décidait de partir courir en calecon. En revenant de ma course a pied, une douche s'imposait forcement, au vu des temperatures redevenant plus prononcées en ce mois d'août fort peu ensoleillé jusque là. Après avoir rincé la sueur présente sur mon corps, j'aggripais mon gel douche, laissant couler le precieux savon sur mes mains abimées par de nombreuses seances d'escalade, quand soudain, je sursautais: en s'ecoulant, le liquide bleu sortant du flacon avait formé les deux mêmes mots, Fever sur la main gauche, Ray sur la main droite. Et cela se poursuivit toute la journée. Je reçu l'appel d'un client, le denommé Ray Fever a 14h, à 15h c'est un colis délivré par l'entreprise Fever Ray qui m'etait destiné. Fever Ray était absolument partout. C'est un veritable cauchemar que j'ai vécu aujourd'hui, vendredi 6 août 2021, et je ne peux que supplier le generateur de vite me proposer un nouvel album.

Je remarque avec surprise que les likes diminuent sur mes reviews en ce moment. Je m'attèle à vous proposer du contenu de qualité, il s'agirait de s'en rendre compte et de rapidement se ressaisir, sans quoi je devrais sévir.

J'en ai rien a foutre et je suis une nouvelle fois très enervé envers Robert pour nous proposer un enième album dont tout le monde se fout completement. Je me garderai cependant d'insulter Robert, étant donné qu'il a hier confirmé le remboursement de mon livre des 1001 albums, qui comme vous le savez ne m'avait pas été delivré malgré des semaines d'attente. Un ouf de soulagement.

Je n'ai rien a dire aujourd'hui, à très vite.

La situation est très simple: je ne présenterai plus une seule review construite tant qu'on n enous aura pas confirmé que la piste 3 de cet album est en fait la musique d'attente de l'URSSAF: robpenitencier est actuellement sur le coup, nous vous tiendrons au courant dès que possible.

Cet album obtient la note de 4 uniquement car Elvis Costello s'est vu attribuer un 4 à une époque d'extreme faiblesse de ma part, pour un album bien moins impressionnant. Je vous resitue le contexte. Alors que je lançais l'album Brutal Youth de Elvis Costello, avec mes yeux innocents d'auditeurs ne comptant qu'une dizaine d'albums généré, je sentis tout d'un coup une presence derrière moi, dans le centre commercial de Auchan Lac. Je me retournais, et aperçu un homme portant un chapeau cachant ses yeux enlunnetés, ainsi qu'un long impermeable. Cet homme me fixait intensement, amis je ne pu discerner sa personnalité. Un peu apeuré, je décidais de partir m'asseoir quelques bancs plus loin. Ce mysterieux interlocuteur continua de me suivre, et ce jusqu'à ce que je finisse l'ecoute de l'album. C'est alors que tout s'accelera. Au moment où je saisis mon téléphone pour accorder le 3 que cet album moyen meritait, l'homme à l'imper se rapprocha de moi, et avant même que mon pocue ne presse la troisième etoile, il l'agrippa, et me susurra à l'oreille "Es-tu sûr? Tu veux rejoindre Ray Charles?". Sous la pression de cet homme effrayant, je dû m'astreindre à attribuer à Brutal Youth la note de 4/5, extrêmement généreuse au vu du contenu proposé.

Je tiens a presenter mes plus plates excuses suite a ma review d'hier. En effet, il est bon de savoir que j'écris ces reviews sur mon temps de travail. Je me dois donc, afin de rester un employé modèle aux yeux de mes collègues, de taper ces reviews que vous aimez tant à une vitesse phénomènale. De plus, il est courant pour moi de rédiger ces reviews avec un Cracker à l'épautre dans la main droite, afin de pouvoir me substanter par la même occasion. Il est donc parfaitement compréhensible que quelques fautes de frappes se glissent entre les lignes. J'ai, par dessus le marché, la facheuse tendance, et ce depuis mes plus jeunes classes, de ne pas me relire. Cela m'avait notamment valu de complétement louper mon entrée en matière, lors d'un paragraphe argumenté sur les mémoires de la guerre d'Algérie. Je tiens d'ailleurs à rappeler à tout le monde que sans l'intervention de Pierre Mendès France (dit PMF, a ne pas confondre avec Pierre Menès ou encore Jeremy Menez France), dieu seul sait dans quelle situation se serait trouvée notre belle nation aujourd'hui.

Alors que je rencontrais Fred Neil en 1966 peu avant la sortie de son album, voici quelques extraits de nos échanges: ---- Moi: "Eh Fred, comment ça va depuis que tu t'es fait larguer? T'es toujours aussi nul?" Fred Neil: "J'essaye de remonter la pente, et de m'améliorer autant que possible jour après jour" --- Moi: "Eh Fred, j'ai vraiment pas apprécié comment tu m'as parlé l'autre jour, viens un peu tâter de ma salade de coup de poings" Fred: "Je suis désolé je n'avais pas pour intention de te vexer, j'accepte ma punition" ---- Moi: "Eh Fred, t'es vraiment qu'un pauvre type, en plus regarde un peu ce bide, t'as avalé un trombone ou quoi?" Fred: "C'est vrai que je me suis un peu laissé aller recemment, il faut que je me me reprenne en main" ---- Vous l'aurez compris, cet album n'avait aucun caractère.

J'ai beaucoup apprecié cet album, je regrette cependant deux points que je vais énoncer ci-dessous, mais avant je voudrais vous partager le score de mes trois derniers entrainements au Grand Quiz du Generateur: 11/20 - 9/20 - 13.5/20 Des resultats en dents de scie qu'il va falloir veiller a stabiliser pour esperer une victoire sous les yeux de Jarry et Arnaud Ducret. - le passage en français était une horreur absolue, et je sais de quoi je parle parlant moi-même la langue de Molière avec une aisance toute particulière, propre aux ressortissants français dont je fais partie - y en a marre des artistes qui croient berner leur monde en laissant 2mn de vide avant un son caché, de 1 on s'en branle que tu rajoutes un son ou non, de 2 quand on voit 10mn de bande sur le dernier son et qu'il n'y a plus de bruit après 3mn on se dit que soit tu es completement abruti et tu as oublié de couper l'enregistreur (ce qui est deja arrivé, cf The Doors), soit tu nous a dissimulé un son.

Ici on est très fan de Robbie Williams et on ne s'en cache pas, n'en déplaise à robserpillère. Ce dernier essaye depuis plusieurs mois de moquer mon éducation musicale, comparant les artistes ayant bercé mon enfance tels Robbie Williams, à des boysband obscurs comme par exemple les 2be3. Ces informations sont bien sûr totalement erronées, ce que je peux en revanche vous dire en toute franchise, c'est que rob, se croyant musicien avec sa guitare de merde, reprend des chansons de groupes tel Tragedie ou encore de l'illustre K-maro. Les performances musicales émanant de son bec à merde se passent evidemment de commentaire. A suivre donc.

Cet album V pour Vendetta ne m'a fait ni chaud ni froid. Je trouve neammoins très sympa l'annonce d'une nouvelle saison de la Ferme Célébrité en fin d'album.

Robert a encore fait son pitre en selectionnant un album que je mets au defi quiconque de connaître, passons, l'heure est à un sujet bien plus important. Cela fait maintenant plusieurs mois que mon camarade robpecunière et moi cravachons pour vous divertir, grâce à des reviews d'albums toutes plus pertinentes les unes que les autres. Nous nous demandions aujourd'hui si un français avait déjà lu ne serait-ce qu'une seule de nos reviews. Si tel est le cas, nous vous donnon srendez-vous: à l'heure ou l'album Qui sème le vent recolte le tempo de MC Solaar tombera sur votre générateur, inscrivez la phrase suivante dans votre review de l'album: "Mike Ladd est le fils de Robert Dimery". Grâce à ce savant codage, nous saurons que nos reviews ont peut-être un jour touché une âme. J'emmenerai personellement des madeleines et une bouteille de jus d'orange à cette occasion.

Si je vous retrouve votre duo intro/outro ridicule je peux vous jurer que ça va très mal se passer.

Apres plusieurs dizaines de minutes passées à écouter cet album, je commençais à ressentir de violents maux de tête, dûs à la voix absolument insupportable de Joan Baez sur cet album. Je m'empressais donc d'aller verifier sur Wikipedia la longueur réeelle de cet album, car je ne pouvais tenir 1h30 dans ces conditions. Fort heureusement, Wikipedia me précisait que seules les 8 premières pistes de cet album faisaient partie de l'album original, le reste n'etant que rajouts destinés à faire revenir le buzz au centre de cet album. Malheureusement, mon collegue d'ecoute le trépidant robornière n'a pas eu la présence d'esprit de vérifier la longueur de l'album. Il est actuellement dans un coma profond, jonglant entre la vie et la mort. Je vous tiens au courant des conséquences de cette erreur sur la suite de notre groupe d'écoute dès que rob se retrouve définitivement hors d'état de nuire.

Pour analyser cet album, je suis allé à la rencontre du denommé Mickey afin de profiter de son oeil aiguisé de critique musical: "ça c'est pas mon Quentin ça, ça c'est de la musique de lopette ça" Dithyrambique, un constat sans appel que je partage entièrement.

Alors que mes yeux s'attardaient sur le nom de cet album, je me mis à effectuer quelques recherches sur mon navigateur internet preferentiel: "est-il possible, et ce même avec toute la bonne volonté du monde, de naître plusieurs fois dans la même vie?" Ce à quoi Google me répondit "non c'est formellement impossible". Vous l'aurez compris cet album était un véritable supplice.

Excellentissime, surtout le moment où le fils de Schreck se saisit de Morrissey et déclenche l'interupteur de son briquet au plus proche de son corps tremblant.

J'ai passé un très mauvais moment à l'écoute de cet album, comme trop souvent en ce moment, je demande donc officiellement à mon camarade d'écoute robboomer, proche de Robert, de le contacter dans les plus bref delais afin de redresser la barre.

Je n'ai pas le temps de m'attarder sur cette review mais je vous présente à tous mes salutations distinguées.

Compliqué de me consacrer aux reviews en ce moment, étant donné que je suis de retour au bureau, et que je me vois mal rédiger de somptueuses reviews au milieu de l'open space pour les lecteurs ingrats que vous êtes (1 semaine après notre appel, toujours aucune review sur l'album de MC Solaar mentionnant le code secret!).

Je tiens a saluer le travail effectué par Robert depuis que mon camarade d'ecoute robpeucher l'a alerté sur la baisse de qualité des albums du generateur. En effet, nous sommes gâtés ces derniers jours, même si je me doute bien que dès l'instant ou je presserai la troisième étoile, afin d'attribuer à cet album une très belle note de 3/5 (le système de notation n'ayant toujours pas changé, une étoile égalant 1/5, deux étoiles 2/5 etc etc), un nouvel album de rock completement oubliable fera son apparition.

La motivation à rédiger des reviews a totalement disparue, je suis du coup forcé de chercher à me réorienter dans un secteur d'activité me convenant plus.

Cet album m'a renvoyé à l'un des jeux videos fétiches de ma jeunesse, Guitar Hero World Tour, où après avoir vaincu Ozzy Osbourne au terme d'un duel de solos endiablés dans un bar du Mississipi, j'affrontais l'equipe FUT de Eddie Van Halen, comprenant entre autres un Arjen Robben TOTW et un Christian Pander au pied d'argent.

Je suis très surpris de pouvoir me permettre d'accorder un nouveau 4, ce qui porte mon total de 4/5 à cinq attributions sur les six derniers albums. Je suis d'autant plus surpris que cet album n'avait sur le papier rien pour m'attirer, album de rock des années 60 rimant toujours avec copie des Beatles. Il n'en etait rien pour une fois, cet album étant rempli de personnalité, on peut néammoins regretter la petite faute de parcours sur la 6eme piste, lorsque le chanteur de Love commence a frénétiquement répeter "we all live in a yellow submarine, a yellow submarine, a yellow submarine", comme un spasme difficile à effacer. Mais nous n'en tiendrons pas rigueur pour cette fois.

Un nom de scène bien trop long. Trop long, c'est également un qualificatif qui sied très bien à cet album. Vous me direz "il ne dure que 44 minutes", mais c'etait 44 minutes de trop.

Depuis que j'ai écouté cet album, je suis devenu tout bonnement insupportable dans l'open space, hurlant à l'oreille de mon collaborateur de me transmettre le dernier fichier en vogue, braillant en plein milieu d'une réunion que le café est de toute façon dégueulasse, criant à qui veut bien l'entendre que oui, le studio d'AC/DC est localisé rue du café des délices.

Une homosexualité debordante de la part de notre ami George Michael, qui reprend tous les codes de la homosexual pop, très chère à notre ami robbière. En effet, ce genre musical porté par George Michael et Ricki Martins, n'a plus rien à prouver, et vient recolter un nouveau 4/5. Bien dommage donc de ne pas voir ce genre figurer dans le classement des genres du générateur. Un manque d'ouverture d'esprit peut-être? Je vous tiendrais au courant dès que j'en saurai un peu plus sur les motivations réelles de Robert.

Hier, mon compere robinière et moi lancions une gigantesque opération de piratage sur le générateur, afin de créer une émulation autour du rendez-vous secret que nous avons fixé dans l'une de nos précédentes review. C'est alors que nous fîmes une horrible découverte: Robert, le créateur de la liste, l'omniscient Robert qui possède toutes les libertés, détiendrait MC Solaar en ôtage. Nous allons tenter de nous infiltrer au domicile de Robert pour en sasvoir un peu plus lors d'une prochaine review, en attendant restez à l'abri chers lecteurs.

Ce qu'il s'est passé est tout bonnement effroyable. Comme annoncé dans notre review précédente, robpalombière et moi même sommes entré par effraction au sein du domicile de Robert. Ce que nous y avons découvert dépasse l'entendement. Tout d'abord, dès l'entrée dans le salon, nous découvrions une centaine d'ordinateurs diffusant en boucle le dernier album de Mike Ladd, ce qui provoquait un brouhaha absolument insupportable. Mais nous n'étions pas venu pour cela. Nous descendions alors au sous-sols à pas feutrés, chaque avancée du genous nous éloignant des sonorités slam de Mike Ladd, mais nous rapprochant d'une mélodie bien familière... "ique ton coeur", *avancée du genou*, "qui pique ton coeur", *avancée du genou*, "l'as de trèfle qui pique ton coeur"... Nous touchions au but. Dans cette cave, spécialement amménagée pour l'occasion, nous pouvions deviner la silhouette de MC Solaar, faisant face au mur de sa gêole, et répétant inlassablement les quelques vers du refrain de Caroline t'envoles pas. Tout se passa alors très vite, tandis que je crochetais la serrure, robpalombière tendit la main à MC Solaar. Il fallut peu de temps pour que nous remontions discrètement les marches menant au rez de chaussée, et nous eclipsions discrètement du domicile de Robert pour rejoindre notre véhicule garé quelques rues plus loin. Nous l'avions fait, nous avions délivré MC Solaar. Mais alors que nous laissions notre joie éclater, rob poussa alors un cri: "Merde!! J'ai fait une connerie!! J'ai oublié nos cartes d'identité sur la table basse du salon!!!" - En effet, rob avait fait une connerie, puisqu'il avait oublié nos cartes d'identité sur la table basse du salon. Sur ces cartes d'identité figurent nos pseudos d'auditeur du générateur, ce qui laisse désormais à Robert toute liberté de nous localiser, dès l'instant ou il réalisera que MC Solaar avait été retrouvé...

Je m'attendais précisemment à écouter cet album très peu intéressant, tous les codes ont été respecté: - le n word est bel est bien présent, Ice Cube ne laisse aucune place au doute et use et abuse de ce mot si cher au rap de toute époque. - les interludes sont elles aussi de la partie, et comme lors de l'album précédent n'apportent aucune plus value à l'album. Ice Cube a bien pris soin de de ne pas les mettre en valeur. - la musicalité est elle toujours bannie des débats, Ice Cube affectionnant tout particulièrement les albums monotones sans aucune variation.

Les sonorités de cet album me sont apparues fort désagréables. Où sont passés la rigueur et le pragmatisme allemand au moment de concevoir ce navet de musique electronique? Je me souviens d'un temps où les studios allemands étaient un exemple d'organisation, les micros étant bien alignés, les tables de mix en ordre de marche, on ne décelait aucun bruit parasite, seule la voix de l'ingénieur son rythmant ce balais de production sonore. Ce temps semble désormais bien loin, il serait bon de redonner à l'Allemagne sa gloire d'antan.

J'ai passé un très bon moment en compagnie d'Inspecteur Gadget, même si j'ai trouvé la structure des pistes un peu redondante: Gogo rise and fall, gogo tomorrow's, gogo blueskinned beast. Vous l'aurez compris cet album présentait des sonorités très intéressantes.

Je n'ai que très peu apprecié cette appropriation culturelle que se permet le groupe des Teardrop Explodes, utilisant à intervalle regulier notre belle langue française, dans des phrases n'ayant pas le moindre sens. Si l'on ne maîtrise pas son sujet, il vaut mieux se faire discret. Mais bon, vous me ferez remarquer a juste titre que robgruyère se permet bien de critiquer des albums de musique...

Un scandale, non content de complètement plagier les Beatles, comme 95% des groupes des années 60, les membres des Byrds ont pris en otage le pauvre Gene Clark, contraint de chanter, attaché à une chaise, les mains liès par une bande de scotch. Fort heureusement, il réussira un beau jour de Juillet à se delivrer de son triste sort, et nous proposera le desormais célébre album No Other.

Il n'y a absolument rien a retenir de cet album, je le considère comme un simple test de fidélité au generateur, qui nous propose juste derrière un album de Cat Stevens. Et un album de Cat Stevens, ça se mérite, ici en s'infligeant une heure de rap minable.

Je n'ai pas grand chose à raconter sur ce projet, étant en proie à une semaine qui s'annonce très éprouvante temporellement, je vous prie de bien vouloir comprendre que je ne peux me permettre de prendre le temps d'écrire des reviews brillantes. J'ai eu Robert au téléphone, il comprend et ne m'en tient pas rigueur. Un album qui ne demande qu'à confirmer donc.

Et bien moi je l'ai bien aimé cet album, n'en déplaise au pittoresque roblumière, qui une fois de plus ne rend pas service à la musique avec une nouvelle review étalant sa méconnaissance la plus totale du rock n' roll.

Cet album bresilien me rapelle une anecdote vécue avec mon camarade d'écoute robinho, que je vais vous énoncer ci-dessous. Alors que nous entrions dans notre année de terminale, nous nous dirigions vers un bar bien réputé de l'agglomération bordelaise en une belle soirée de samedi soir. A peine le pas de la porte franchi, un chaudron de whisky nous était directement déposé dans les mains par le célèbre duo des Nicos. Jusque là rien d'anormal. Mais c'est alors qu'après quelques verres, rob commença, le nez un peu rouge, à me montrer une femme assise au bar. Il la trouvait magnifique, un qualificatif que je ne lui aurais pas trouvé, mais rob n'étant lui-même pas gâté par la nature, je compris rapidement que robinho devait s'attaquer à des femmes d'un standing inférieur. Soudain, rob se leva, et alla à la rencontre de la jeune femme. Ils se mirent à discuter un peu, quand tout d'un coup, le barman changea du tout au tout l'ambiance sonore, et lança une playlist de musique bresilienne. Rob devint alors tout bonnement intenable. Il laissa aller ses pas de danse, tentant d'impressionner la galerie. Ses Vans trouées frappait le sol, tandis que ses mains volaient de haut en bas. Etrangement, la cible féminine de rob était semble t'il assez impressionée, alors que le reste du bar n'osait regarder dans la direction de rob. Seulement, rob commit un erreur dans son processus de seduction. La vessie contractée par une danse si intense, il dut se rendre rapidement au toilettes, laissant la jeune femme seule. C'est la que j'entre en scène. Vous connaissez notre rivalité légendaire avec rob, et cette rivalité ne me permettait pas de le laisser rentrer accompagné ce soir. Je me levais donc, m'approchait de la jeune femme, et lui laissait un petit papier chiffoné dans la main, lui demandant de l'ouvrir à l'abri des regards indiscrets. La jeune femme s'exécuta, et quitta le bar en trombe avant que rob ne revienne de son arrêt au stand. Totalement abasourdi et déçu à son retour, rob préfera écourter la soirée et quitter lui aussi les lieux dans la foulée. Alors maintenant, vous vous demandez certainement ce que j'ai griffonné sur ce bout de papier pour inverser la situation de la sorte. Et bien cela se résume en quelques mots, cinq pour être précis: "Rob est fan des Crusaders"

Je suis à deux doigts de devenir particulièrement vulgaire pour écrire cette review, comment peut on servir un album aussi minable, mais pire, comment peut on considerer cet album comme "à écouter avant de mourir"? Là Robert, permet moi de te dire que c'est la honte, et que tout le générateur est déçu de ce choix, on pensait que tu valais mieux que ça. Autant en emporte le vent donc.

J'ai d'abord apprécié cet album le temps d'une piste ou deux, puis après plus de 3h de travail sur mon double écran Dell, je me suis rendu compte d'un petit soucis: L'album ne contenait en fait qu'une seule piste, j'avais seulement pressé la touche "Enable repeat" de mon lecteur Spotify. Un eternel recommencement.

J'ai écouté cet album sans y prêter la moindre attention, étant donné la nouvelle assourdissante que mon camarade robbulière m'a partagé aux alentours du quatre-heures, alors que je degainais une belle nectarine: Jonny Halliday a fait découvrir Jimi Hendrix, en lui proposant la première partie de son concert. Par lien logique, on peut donc en conclure que Jimi Hendrix a chanté devant de gros motards français remplis de whisky, chantant en coeur "Oh Marie, si tu savais". Pas sur qu'il ait connu plus intense durant sa modeste carrière qui s'en est suivie.

Je m'attendais à un album de musique electronique, quelle belle surprise que de retrouver du bon rock de crise d'adolescent. Voici mes conseils pour pleinement profiter de ce sympatique projet. 1. Accrochez des posters de vos groupes de rocks favoris aux murs de votre chambre 2. Descendez à la cuisine et dites à vos parents que vous voulez sortir ce soir avec des amis. 3. Un refus devrais s'en suivre, piquez une petite crise de colère en prennant osin de garder votre voix très aigüe. 4. Montez en trombe vers votre chambre, et enfermez-y vous. 5. Vous pouvez desormais lancer cet album de Incubus, bonne écoute.

Comme vous le savez, j'ai une bonne dizaine d'albums a rattrapper suite a une semaine de vacances bien méritées sur la côte Atlantique. J'ai donc des preoccupations bien plus importantes que d'analyser l'album du cadavre de Leonard Cohen

Toujours de réaliser la fameuse remontada generateurienne, je ne peux me permettre de vous proposer des reviews bien senties comme à mon habitude. Je vous redirige vers mon camarade d'écoute robULM qui lui dispose d'une quantité de temps illimitée à accorder au generateur.

L'incoutournable Deerhunter, ayant marqué de son empreinte de cerf l'année 2010, se trouvait donc au menu aujourd'hui. Etant a 90% vegetalien, je tente toujours de profiter un maximum de mes rares ecarts nutritionnels, en m'offrant de beaux steaks et autres entrecôtes. Seulement, la viande de cerf qui nous était proposée aujourd'hui était extrêmement fade, et nous laissait un arrière goût d'éléphant. Bien dommage de partir sur un tel repas, avant une nouvelle semaine remplie de fruits et légumes.

Aujourd'hui je pense avoir enfin découvert les réelles motivation de Robert. En effet, Robert est un ennemi de la France. Sa technique pour nous faire sombrer: selectionner quelques artistes français seulement, et proposer seulement le moins bon album de leur discographie. Ainsi, l'auditeur décérebré et inculte du générateur pense avoir affaire aux quelques meilleurs albums issus de l'héxagone, alors qu'il n'écoute en fait qu'un condensé de musique moyenne voir mauvaise. Vous ne me croyez pas? Dans ce cas pourquoi Robert a enregistré un album en son nom, disponible dans cette liste, au cours duquel il fredonne dans un français hésitant, sur fond de guitare desaccordé? "Chaime le France, c'est mön pays", sérieusement... Je vous tiendrai au courant dès que j'aurais discuté des retombées d'une telle decouverte avec mon camarade robniel.

Un album hautement superieur au deuxieme volet de la saga Led Zeppelin. Les realisateurs n'auraient jamais dû laisser Katniss Everdeen tirer sur le toit des Hunger Games avec une flèche electrique. A qui le dis-tu elpanez, a qui le dis-tu...

Je suis de très mauvaise humeur en cette matinée, pour je ne sais quelle raison exacte, voici donc quelques théories pour expliquer cet état mental: - Je n'arrive pas à me concentrer sur mon travail (critique d'albums) - Ma collègue m'écrit des messages qui ne m'interessent pas et me mettent en rogne - Je dois rencontrer le propriétaire de mon ancien appartement ce soir, que je deteste - J'attends un colis qui n'est toujours pas arrivé Vous l'aurez compris, cet album était bien meilleur que le précedent du groupe Pixies.

Prince vient une nouvelle fois prouver le théorème suivant: Plus la féminité d'un artiste du générateur est importante, plus ce dernier a de chances de proposer un bon album. J'en appelle donc à tous mes lecteurs: lorsque la fonction commentaires sera rendue disponible sur notre site favori, merci de me propsoer votre liste de chanteurs effeminés.

Le grand problème de cet album se trouve dans le très célèbre titre Fast Car, et je vais vous expliquer pourquoi. Vous êtes desormais très familiers de mon camarade d'écoute robcuillère, célèbre pour ses reviews d'albums absolument desastreuse. En plus d'être un piètre critique musical, un menteur, et un plus mauvais amant que moi, rob a une autre tare: il est un piètre musicien. En effet, il fut un temps ou rob se pensait devenir le nouveau James Arthur, jouant de sa gratte pour séduire les femmes. Vous l'aurez deviné, la qualité de sa musique était evidemment désastreuse, et comme tous les piètres guitaristes, rob s'amusait à interpéter Fast Car. Je ne peux desormais plus apprecier ce titre, qui me rapelle a quel point rob nous cassait tous les oreilles. Je vais tâcher de me procurer des enregistrements de rob pour étayer mes propos.

Malgré les coups et blessures portés par robespierre à Portishead, ces derniers ont su garder la tête haute et nous proposer un album qui - bien qu'inférieur à leur immense classique écouté quelques mois plus tôt - ravira tous les fans de trip-hop. Je tiens a remercier Robert qui m'a préparé une sacré liste d'albums pour mon retour de vacances, puisque c'est déjà le 5ème 4/5 consécutif que j'attribue. Robert a essayé de tester notre fidélité au générateur en nous proposant des albums tous plus nuls les uns que les autres à plusieurs reprises, mais maintenant qu'il connait notre docilité, il n'hésite pas à nous recompenser quand l'opportunité se présente. Merci, Robert.

Le soit disant groupe de petits genies vient nous proposer un album plagia des Beatles, à l'instar de tous les groupes moyens ayant exercé entre 65 et 80. Ma sentence est donc irrevocable, et je me vois leur attribuer la note mediocre de 3/5, synonyme je le rapelle d'album moyen, sympatoche, ne cassant pas trois pattes à un canard. Canard... C'est justement l'animal que les Pink Floyd ont décidé de ramener dans leur studio d'enregistrement afin de finaliser la dernière piste de leur album. Et c'est justement là que le bas blesse. Pour n'importe quel auditeur lambda, ramener un canard sur la dernière piste est anecdotique, mais pas pour une oreille si afutée que la mienne. Car ce canard, il ne vient pas de nulle part. En effet, ce canard a été tout simplement kidnappé par le leader des Pink Floyd, lord de l'un de ses passages au Penguin Cafe. Un acte innomable, qui marquera d'ailleurs un sérieux coup au futur du Penguin Café, qui ne parviendra plus à ramener des clients sans son canard vedette. Le Penguin Café devra mettre la clé sous la porte par la suite, tandis que les Pink Floyd jouiront d'une carrière légendaire, grâce à l'apport de ce bon vieux canard.

La coqueluche de Robert, l'homme le plus représenté de la liste faisait son apparition aujourd'hui. Et on peut dire qu'il frappe fort du poing sur la table. En effet, Neil Young va passer la totalité de l'album à invectiver le serveur du bar au sein duquel il enchaîne les whisky depuis l'ouverture, en matraquant son poing solide sur le bar, un grave "un autre" s'esquivant de sa bouche. Nous finirons cette écoute par quelques vomissements, ainsi qu'un leger coma pour le Neil. Comme on dit de par chez nous, pose la bouteille si tu sais pas boire.

Un nouvel album soporifique de la part du chouchou de robpanière, j'ai en effet eu le temps de faire trois siestes malgré comme vous le savez une nuit de sommeil de très bonne qualité derrière moi.

Aujourd'hui je remarquais avec satisfaction que le generateur faisait peau neuve, en offrant un classement des reviewers les plus populaires. Or, stupeur, ni mon camarade roblumière, ni moi, ne figuront dans ce top 10. Si il est évident de comprendre pourquoi rob ne figure pas dans ce top, étant donné la qualité minable de ses commentaires, ma non présence a fait l'effet d'une bombe dans le petit monde du générateur. Des émeutes ont été recensées à New York, Sidney et Bangkok, pour protester devant ce traitement infâme imposé par le Diktat de Robert. J'appelle tout le monde à garder son calme, nous allons tenter de trouver une solution pour palier à ce coup de trafalgar infligé par Robert.

Cet album de Dizee Rascal était très agréable, mais parasité par un nombre beaucoup trop important de Dizee Rascal Type Beats. Ils y sont absolument tous passés !

Contrairement à mon camarade d'écoute robserpillère, je ne prends pas 3 mois pour réfléchir à mes reviews, les redigeants spontanément dès mon écoute terminée. C'est pourquoi la qualité de mes reviews est très irrégulière, ayant des obligations professionnelles à tenir, ce qui n'est pas le cas de rob qui se permet de diffuser du Ice Cube en tant que sonnerie dans le lycée où il officie. Dans une prochaine review, je vous expliquerai comment rob a piraté le générateur afin de faire monter ses reviews dans le classement global.

Ne vous laissez pas amadouer par cet album il est vrai appréciable, le reggae est un style musical qui doit absolument être combattu, avec la plus forte conviction. J'ai d'ailleurs prévu d'installer des camps de regroupement des auditeurs de reggae, et de les soumettre à des travaux forcés. Comme l'a un jour dit une des personnalités les plus en vogue du générateur: tout le monde préfère sa propre race, et deteste la race reggae. Des paroles à méditer.

Qui dit groupe en The dit album absolument médiocre et oubliable. En hommage à tous les The oubliés, j'ai décidé de procéder à une review de silence.

Paul Simon a une très belle voix, ça c'est indéniable. Seulement, dès la première piste du morceau, le bon Paulo commet un erreur qui lui coûtera très cher: l'utilisation du synté des îles. Mais laissez moi vous replonger dans le contexte. C'est en 1965 que l'éminent auteur allemand Chris Dusseldord mentionnera pour la première fois le concept de "Insel Synthetik" dans une publication qui fera l'effet d'une bombe dans l'industrie musicale. Ce synthétiseur, à la sonorité extrêmement désagréable, trouvera ensuite très rapidement refuge dans le reggae, qui usera et abusera du Insel Synthetik. On pensait donc le Insel Synthetik disparu, ou tout du moins tenu en vie dans l'intimité de quelques tribues reggae, mais c'est la que Paul Simon fait son apparition. On ne s'attend pas à retrouver ce son désagréable dans un album de folk. On se retrouve désemparé, dérangé, et on espère ne plus jamais revivre cette experience. Pour ce dur rappel, Paul Simon récolte la note de 3/5.

Cet album était sympathique, mais nous ne sommes pas là pour commenter la qualité des albums. Je tenais aujourd'hui à féliciter Yeah Yeah Yeahs, qui s'empare de la tête du classement des noms de groupes le plus nul du générateur. Et ce n'etait pourtant pas gagné d'avance face a la ribambelle de groupe en The, que j'ai déjà évoquée dans une precédente review. Attention cependant, car je peux voir dans mon historique qu'un artiste du nom de "Yes" m'attend d'ici quelques albums (pas besoin de vous rappeler pourquoi j'ai quelques albums de retard, étant donné que vous suivez tous attentivement mes reviews). L'habit ne fait pas le moine donc.

Ne vous laissez par berner par Buddy Holly. Ce charlatan a essayé d'échaper à la règle universelle des The, en greffant son nom devant celui de son groupe, The Crickets. Malheureusement, cela ne prend pas, et cet album rejoint le monde des The. Seul le pouvoir de l'amitié pourrait réussir à les libérer... A suivre dans le prochain épisode.

Très surprenant de retrouver des chansons très très familières associées à un groupe très très peu familier. Je n'en dirai pas plus, mais je pense qu'il y a Robert sous roche, si vous voyez ce que je veux dire. Mon camarade robcomère est actuellement en train de mener l'enquête dans les locaux du Generator Hostel, il vous en dira plus très bientôt dans l'une de ses reviews.

Album incroyable, je n'aurais pourtant pas misé un copec dessus, ce qui me rapelle une anecdote que je vais vous partager. A l'époque où je passais mon examen du permis de conduire, j'ai proposé une très mauvaise performance face a mon examinateur. Le stress de l'examen me poussa a faire une erreur qui semblait éliminatoire. Je rentrais chez moi très déçu, et l'annonce du déroulé de l'examen à mes parents fit l'effet d'une bombe. Ils etaient fous de rage, me repprochant de ne pas avoir assez exercé la conduite avant de passer l'examen. Cependant, quelques jours plus tard, le resultat me parvint sous la forme d'une lettre recommandée. J'apprennais alors que j'avais réussi mon examen d'une courte tête, et était ainsi l'heureux titulaire du precieux sésame, au nez et a la barbe de mes géniteurs. Ceci prouve donc bien que cet album était excellent, et si l'on lit bien entre les lignes, on peut même deviner la note de 4/5.

Rien n'était attendu de cet album, c'était juste un mauvais moment à passer. Cela a été fait, il est grand temps désormais de jeter cet album à la poubelle. Je tenais à profiter de cette tribune pour rappeler à Robert qu'il ne m'a toujours pas envoyé mon livre des 1001 albums. Je peux comprendre un léger retard, mais cela fait maintenant plus de 4 mois que je lui ai commandé son livre. Mais je ne m'inquiète pas, Robert est un homme de parole qui ne manquera pas à son engagement.

Un album qui a particulièrement plu à mon compère roblumière, lui étant je le rapelle président du fan club des groupes de pétasses. 4 mois après les New York Dolls, c'était donc au tour des Go-Go danseuses de faire chavirer le coeur de notre ami, qui s'empressa de se munir de son vernis à ongle pour lancer cet album. Je dois bien lui reconnaitre que cette fois, cet album était excellent.

Je viens d'apprendre comme vous la non-condamnation de mon compère robprunière, suite a son agression sexuelle sur mineure. Je trouve la decision du Reichtskrieggericht tout bonnement scandaleuse, et demande officiellement une nouvelle tenue du jugement. Je vous tiendrai au courant des avancées.

Avant de démarrer la critique de cet album, il faut que je vous remette un peu de contexte. Il faut savoir qu'en plus du générateur des 1001 albums, j'ai crée 3 générateurs pirates, me proposant respectivement des albums de rap français, hard/punk rock, rnb/pop/chanson française. Dans le dernier cité, j'ai récemment découvert Elvis Presley, au cours d'un excellent album intitulé Today. C'est donc avec joie que je lançais cet album de Elvis Presley, m'attendant à aussi bien voir mieux, étant donné que Today n'avait pas été selectioné par Robert dans sa liste des 1001. Mais c'était mal connaître ce diable de Robert... Souvenez vous, Robert prend toujours soin de selectionner les albums les moins intéressants de chaque artiste. Face à cette nouvelle désillusion, j'ai décidé de partager mes générateurs pirates aux plus intéressés, plus d'informations à venir dans ma prochaine review d'Elvis Presley.

Je n'ai absolument aucune inspiration pour cette review, par consequent je vais vous partager ci-dessous une liste des qualités de mon camarade robtunnelier:

Et bien moi j'ai beaucoup aimé cet album n'en déplaise à robpelletiere. L'occasion d'encourager tout le monde à lire ses dernières reviews, qui sont toutes plus décevantes les unes que les autres. C'est donc ça le niveau requis pour être le deuxieme revieweur le plus populaire du générateur? Laissez-moi rire...

Bien essayé de la part des Minutemerde mais la couverture ne prend pas, ils sont très facilement reconnus et jugés comme il se doit. 2/5, et qu'on ne les y reprenne plus.

Je serai un peu moins dur que mon camarade d'écoute robpalombière, étant un fan de Gene Clark de la première heure. Seulement, il est vrai qu'enchaîner cet album très banal des Byrds après une écoute déjà compliquée des Minutemerde peut pousser à des conclusions hâtives sous le coup de l'émotion. Ici, nous savons raison garder, et attribuons à cet album la note qu'il mérite vraiment, à savoir un 3/5. Le 3/5 oubliable, celui où vous avez déjà oublié ce que vous venez d'écouter. Le générateur traverse une mauvaise passe en ce moment mais ne vous inquiétez pas, je viens d'avoir Robert au téléphone et il a tenu à m'assurer que tout devrait rapidement rentrer dans l'ordre.

Grâce à cet album, j'ai enfin pu comprendre où voulait en venir mon camarade d'écoute robnouricière lorsqu'il évoquait le genre musical "Bob l'éponge". Je vais vous révéler ici le secret de ce genre musical. Lancez l'album de Merde, et concentrez-vous sur l'instrument à cordes utilisé. Maintenant, pensez fort à Bob l'éponge, dégustant un Krusty Crab dans l'enceinte de Monsieur Crabe, en compagnie de son camarade Carlos. L'immersion devrait être des plus totales, et des bulles ne devraient pas tarder à sortir de votre bouche. Un grand merci à rob et à l'album de merde du jour pour ce petit secret révélé.

Il est difficile pour moi d'écrire ce review, pour une raison logistique très simple. A l'écoute de cet album, la circonference de ma boite cranienne à commencer à augmenter de façon exponentielle. Passé la 5ème piste, ma tête égalait la taille d'une pastéque, passé la 8ème, c'est à la citrouille que je ressemblais. Ne vous inquiétez pas cependant, ma tête est en train de lentement dégonfler, mais il m'est difficile de distinguer les touches de mon clavier. Pardonnez moi cette review un peu bâclée, je reviendrai plus fort comme disait Olivier Minne.

Je n'ai pas eu le temps d'écrire ma review hier après l'écoute de cet album, mais vu que Robert n'a visiblement pas eu le temps de réparer le générateur personne ne m'en tiendra rigueur. La série noire continue, la vague de perturbations entrevue courant de la semaine dernière persiste dans le ciel générateurien, une éclaircie est attendue au plus vite.

Je pense que le choix de cet album n'était qu'une bonne blague de ce petit rigolo qu'est Robert, cela me rapelle d'ailleurs une anecdote à son sujet. Il y a de cela quelques mois, mon camarade d'écoute robcrinière et moi même décidions de commander le livre de Robert, la bible du générateur, le grimoire des 1001. Alors que rob reçu l'assomoir sans le moindre délais, le mien tardait à arriver. C'est après plusieurs semaines que je reçu enfin un colis estampillé Robert Dimery. Je l'ouvris avec excitation, mais c'est alors qu'une fois la couche de carton déballée, je découvris la supercherie: un bloc de ciment était en fait contenu dans le paquet envoyé par Robert. La deception fut immense de mon côté, et depuis ce jour, je mène une croisade contre Robert et son fils Mike Ladd.

Il faut savoir que j'ai écouté cet album il y a 4 jours, je n'ai donc rien a raconter dessus, mais je voudrais souligner un point important. C'est aujourd'hui la 47ème fois que nous tirons Frank Sinatra dans le générateur, et ce après une serie absolument noire d'albums absolument moyens. Par conséquent, j'ai pris la décision de m'éloigner de Robert pour quelques temps, ayant besoin de prendre un peu de recul sur la situation.

C'est sans surprise que vous ne me voyez pas faire l'éloge de cet album, appartenant a la sous-race du reggae. Il s'agissait pourtant d'un album de LA référence du genre, c'est pourtant toujours aussi peu appréciable. Ma demande pour Robert: moins de reggae, plus de genre musicaux de qualité, tels la homosexual pop. A bon entendeur

Je n'ai pas très bien compris pourquoi, malgré un talent musical indéniable, le groupe a fait le choix de demander à tous ses membres de parler en même temps en guise de fond sonore. C'est extrêmement désagréable. Autre point dérangeant, je trouve assez scandaleux que le groupe ait choisi le nom de Funkadelic, car il est bien connu que le style funk appartient au seul et unique roi de la funk, Sinclair Si c'est bon comme ça. Une belle preuve de manque de culture et de respect envers les aînés de la funk, que je me dois de sanctionner.

Cela fait maintenant 1045 minutes que le générateur n'a pas récolté le moindre 4/5 pour l'un de ses albums. Une période de disette sans précédent, qui fera certainement date. J'ai néammoins apprecié l'apparition des potes, plus sensuels que jamais, dans le clip de You Can Leave Your Hat On. A voir et à revoir.

Je me suis endormi 5 fois au cours de cet album, présentant QUINZE chansons (oui oui, quinze chansons) toutes similaires les unes aux autres. Sans plus m'attarder sur ce fossile de la musique, je vais vous dévoiler un petit secret à propos de Frank Sinatra. En effet, Frank Sinatra est très proche de Robert Dimery, l'auteur de cette liste. Et cette proximité ne vient pas seulement du fait que Frank Sinatra se retrouve chaque semaine dans notre générateur, non non, cela va bien plus loin, je parle ici d'une proximité familale. Replongeons nous dans le contexte. C'est en 1958 que Frank Sinatra, grand-père de Robert Dimery, git sur son lit d'hopital, atteint d'une violente tumeur. Robert se presse à son chevet en petit fils modèle, mais ce n'était pas pour vivre les derniers instants en compagnie de son grand paternel. En effet, dans sa main gauche, Robert tient un microphone, qu'il tent a Frank, lui demandant de chanter une chanson. Bien qu'épuisé par un traitement médical lourd, Frank s'éxecuta, par amour pour son petit fils, et nous livra l'album Songs For Swingin' Lovers.

Nouvel album de l apart du raciste préféré du générateur, et nouvelle grosse performance, qui permet de mettre un terme à la traversée du désert que subit le générateur actuellement. Néammoins, toujorus pas de 4/5 attribué depuis maintenant plus de 17 années. Robert est injoignable, mon camarade robpelletière et moi commençons a perdre espoir...

Un album très interessant n'en déplaise a robtunnelier, qui doit être sanctionné pour sa mauvaise review. J'ai engagé mon propre paternel afin de mener la traque, et corriger comme il se doit rob. Il est actuellement en transit vers Stuttgart, et ne devrait plus tarder à remettre rob à sa place.

Performance remarquable de cette troupe d'uluberlu, qui réussit a faire de son tube majeur le plus mauvais son de l'album. C'est un petit peu comme la parodie Colors de robpanel, si vous voyez ce que je veux dire...

C'est avec un enthousiasme certain que je lançais cet album du beauf le plus célèbre des Etats-Unis, monsieur Bruce Springsteen. Malheureusement, cela ne s'est pas déroulé comme prévu. Dès les premières notes de l'album, c'est le drame. Bruce coince les cheveux de sa coupe mulet dans sa guitare. S'en suivent des hurlements de douleurs, qui ne seront interrompus que par la fin de l'album. Un véritable coup du sort.

Vous n'êtes pas sans savoir que je possède 3 générateurs pirates en plus du générateur des 1001, afin d'étendre au maximum ma culture musicale. Aujourd'hui, robpenitencière, qui avait déjà réussit le tour de force de s'incruster dans mon aventure des 1001, a réussi à dénicher le lien menant à mon gigantesque fichier Excel proposant ces 3 générateurs clandestins. A peine arrivé, il tente déjà de remodeler le fichier selon ses préférences, alors même que la communauté pirate vivait jusqu'alors dans une parfaite harmonie musicale. Il détruit les classements des uns et les commentaires des autres, ne laissant que fumée et pleurs sur son passage. La communauté des générateurs clandestins prépare une réponse à cette intrusion, je vous tiendrai au courant dans une prochaine review des avancées de la rebellion.

Excellent album de la part de Queen B, n'en déplaise a robparmentiere, adorateur de musique de merde. Ce petit plaisantin n'a en effet relevé de cet album que la briève apparition de son chanteur de merde favori, le denommé Sampha. En effet, il est vrai que l'on peut retrouver Sampha pendant quelques secondes dans le fond sonore, supplier l'auditeur d'écouter son album de merde. Je vous retranscris ses paroles ci-dessous: "S'il vous plait, achetez mon album, ou au moins essayer de l'écouter sur Spotify" dans un français parfait. Cela ne prend pas, nous ne lançerons pas Sampha et attribuons a Beyoné la note de 4/5.

Une très belle campagne de mobilisation contre les dangers de la cigarette offerte ici par Janis Joplin, qui ne cesse de choquer par sa voix absolument détruite par le tabac. Les esprits sont marqués, on espère que cela servira de leçon aux jeunes auditeurs du générateur.

Vous n'êtes pas sans savoir qu'aujourd'hui, le générateur a élu l'un de ses chouchous comme album du jour, avec The Dark Side Of The Moon de Pink Floyd. J'ai depuis de nombreuses années défendu le fait que cet album était un album surcoté, seulement apprécié d'une classe de hipsters se la jouant puriste. L'heure est venue de le démontrer. Je dispose d'actuellement un album de retard, avant le grand affrontement avec les Pink Floyd. Tenez vous prêt, les murs vont trembler.

Cet enorme connard de Johnny Cash nous crache son arrogance à la figure pendant 34mn, ou devrais-je dire 17mn puisque 50% de l'album est passé à faire des blagues sur la denière femme qu'il a engrossée, le tout devant un public hilare. Une honte, je trouve d'ailleurs que cela ne ressemble pas à Robert de faire la promotion d'un tel marasme, je vais mener l'enquête et vous tiens au courant.

De la musique pour pseudo intellectuels, il semblerait qu'il y ait une grande coalition de tous les hispters du monde pour erriger cet album sur un piedestal. Pendant 45mn il ne se passe absolument rien, à part 3 solos il est vrai brillants. Ma conclusion: je vous pisse tous au cul.

La supposée série dorée m'attendant ce lundi matin à mon bureau tourne ne eau de boudin. En effet, je me reveillais ce matin avec la perspective de pouvoir enchaîner les 4/5, voir même peut-etre de pouvoir atribuer la note suprême, grâce à un enchainement Pink Floyd - Notorious Big - Bruce Springsteen - Michael Jackson - The Beatles. Pour l'instant c'est une catastrophe, d'autant plus que mon derneir commentaire sur l'album de merde des Pink Floyd a entraîné des poursuites judiciaires à mon encontre, sous l'impulsion d'un dénommé "R. Teillère". Je ne sais pas qui est ce petit connard mais j'espère le retrouver rapidement.

L'album débute à ma grande surprise par une confession de Bruce: il deteste la parodie de lui même qu'il est devenue, et c'est la la principale information à retenir de cet album. En effet, depuis maintenant des années, Bruce nous explique être enfermé dans une spirale infernale, le forçant par exemple à déblaterer des atrocités mysogines et à diffuser des pets de façon importune. C'est sur une note d'espoir que cet album débute, puisque Bruce explique vouloir changer, pas seulement mentalement mais également physiquement, puisqu'il a pris la décision de raser sa coupe mullet depuis l'épisode de la guitare (voir review sur Nebraska). Malheureusement, le côté obscur de bruce va rapidement reprendre le dessus. Tout d'abord par le biais de courtes interjections au milieu de ses textes: "La bite !", "grognasse !", "pastis !". Ces cris parasites vont venir destabiliser l'auditeur. Puis plus on approche de la fin de l'album, plus le Dark Bruce devient dominant, jusqu'au climax, l'outro de l'album. Ici, Bruce, arborrant un marcel laissant apercevoir une touffe de poil sur son torse, va tout simplement lacher une enorme caisse dans son micro, avant de partir dans un fou rire gras. Bruce est malheureusement malgré toute sa bonne volonté probablement irrecuperable.

225 albums, c'est ce qu'il aura fallu attendre avant qu'enfin, le jour de gloire arrive. Oui, les rumeurs sont vraies. Comme vous l'avez probablement entendu a la pause café de votre lieu de travail, ou encore au detour d'une conversation dans les transports en commun, j'ai enfin attribué la note de 5/5. Après des tonnes d'albums absolument moyens (Sinatra), absolument surcotés (Pink Floyd), absolument désastreux voir dangereux (Frank Zappa et son zoo de macaques), la lumière est venue de l'artiste ayant bercé mon enfance. En effet, alors que mon camarade d'écoute robtertiaire dû passer ses jeunes années à écouter exclusivement The Crusaders, j'ai pour ma part eu la chance d'être éduqué par les performances artistiques sensationnelles de Michael. A noter que rob n'a vraiment pas eu une enfance facile, puisque dû à cette Crusaders dépendance, robdû rentrer dans une classe spécialisée dans notre lycée (ndlr: CLIS), afin de remettre à niveau sa culture musicale. Merci Michael en tout cas

Au début de cette folle aventure, j'avais en tête une très célèbre trinité, la trinité du surcotage, j'ai nommé Beatles - Pink Floyd - Rolling Stones. Si les Pink Floyd ont depuis confirmé leur statut de groupe le plus surcôté de l'histoire, les Beatles avaient su me faire douter grâce aux excellents Abbey Road et White Album. Seulement, depuis, force est de constater que les Beatles ont également des albums tout à fait banals, complétement adulés par le grand public qui n'y connait rien à la musique. En parlant de réglade, je tenais à revenir sur le cas d'un des décérébrés du générateur. Hier, alors que j'attribuais la note maximale à Bad de Michael Jackson, je vis la note globale de 3.76 s'inscrire sur mon écran. Je sursautais de stupeur, et me dirigeais en furie vers l'espace commentaire. Ici, en tant que deuxième commentaire, figure un petit malin ayant attribué la note minimale de 1/5 à ce bijou musical. Ce petit malin, dont l'album préféré est la daube auditive de Kraftwerk, a voulu faire son intéressant en descandant l'album de MJ. Le cliché typique de l'individu sans vie sociale, se pensant au dessus de tout le monde en detestant la musique commerciale. Son review est une calamité, que j'ai d'ailleurs demandé à Robert de supprimer du générateur. De plus, son amour pour Kraftwerk prouve les liens très étroits que cet individus entretient avec le nazisme, là aussi Robert est sur le coup, et une perquisition devrait être menée dans les prochains jours au domicile de ce jeune imbécile. Vous l'aurez compris, les Rolling Stones seront attendus au tournant.

J'aurai aimé pouvoir parler de cet album, mais je n'ai malheureusement rien écouté, et pour cause: j'étais beaucoup trop concentré sur la langue absolument immense arborée par Gene Clark sur cet album. Une bien belle évolution physique pour l'ennemi de toujours de Cat Stevens, affaire à suivre.

J'étais très content de relancer ce groupe que j'avais particulièrement apprécié sur leur autre album présent sur le générateur. Malheureusement c'est un fiasco total, qui atteint son paroxysme lorsque le groupe tente tout simplement d'imiter Led Zeppelin, dans une performance absolument désastreuse. J'ai à ce sujet contacté Robert, qui m'a mis en relation avec le chanteur du groupe Led Zeppelin. Ce dernier m'a déclaré que Love n'était, je cite "qu'un groupe de sac à merdes". Les mots sont lourds mais nécessaires.

Je n'ai aucun souvenir de cet album, et pour cause, un événement tragique a eu lieu ce week end. Replongeons nous dans le contexte. Vous n'êtes pas sans savoir que mon camarade d'écoute, robsepulturière, a récemment pris un grand tournant dans sa vie. En effet, dans la continuité de l'emergence de ses idéaux musicaux extrêmes, il décidé d'emmenager en Allemagne pour se rapprocher de Kraftwerk et NEU75. Il faut savoir que rob, s'étant récemment fait virer de son cabinet d'avocats suite à ses prises de paroles musicales intempestives, est en grande difficulté financière. C'est pour cela que rob a choisi de vivre en famille d'accueil en Allemagne. C'est là, au sein de cette famille, que l'impesable va se produire. Alors que rob ouvrait la porte menant à l'intérieur du domicile de sa famille, il fut directement intercepté par la mère, horrifiée. En effet, cette dernière avait retrouvé un CD des Crusarders caché entre les chaussettes de rob. Pour "purifieren" rob selon ses termes, elle se décida à lui jouer une chanson de Michael Kiwanuka. Or, Michael Kiwanuka vien tde faire son entrer dans la liste des 1001 albums du générateur. Rob a donc brisé le serment générateurien, en écoutant une chanson n'ayant pas encore été générée... Mais ce n'est la que le début des rebondissements, la suite dans le prochain review.

Suite à l'annonce de robbrindegruyère de son erreur, je m'empressais de contacter Robert afin de le mettre au courant. Robert était supéfait: il avait pourtant accordé sa pleine confiance à rob, qu'il considérait jusqu'alors comme son bras droit. Je tentais d'arrondir les angles, expliquant que rob avait été pris par surprise par la mère de sa famille d'accueil. Compréhensif mais néammoins furieux, Robert décrocha son téléphone, prononça quelques mots en espagnol, et raccrocha rapidement le combiné. Je compris de suite ce qu'il venait de faire: une équipe de tueurs en série était déjà en route pour éliminer, non pas rob, mais la personne qui l'avait poussé à fauter. rob quand a lui, se voit retirer sa place de bras droit, qui me revient logiquement de droit. Si e jvous raconte cette histoire, c'est à titre préventif, pour bien vous faire comprendre qu'il ne faut pas chercher à jouer avec le générateur. Ici, la mère de famille en a payé le prix fort, mais Robert ne souhaite pas de nouveau avoir besoin d'en arriver là. A bon entendeur.

Je ne pense pas grand chose de cet album, qui ne m'a ni surpris, ni interessé, ni plu. Mais j'accepte la sentence, après une série des plus excitantes concoctée par Robert. L'occasion pour moi de vous en dire un peu plus sur cet homme. Suite à ma récente promotion en tant que bras droit de Robert, j'ai la chance de pouvoir vivre au plus près du gourou du générateur, et d'ainsi me rendre compte du travail formidable qu'il propose. Il faut savoir que Robert est en contact permanent avec les quatres coins du globe, afin d'être mis au courant des dernières sorties musicales, mais également afin d'organiser des descentes de police/milice si necessaire. Il entretient d'excellentes relations avec la plupart des chefs d'état, qui le laissent opérer sans la moindre barrière. Là où la journée de Robert devient complétement formidable, c'est sur le coup de 19h. C'est à cet instant que Robert décide de l'album qui arrivera sur vos écrans au petit matin. Pour se faire, Robert a un long processus de pensée, bien trop complexe et trop long à décrire ici, qui débouche toujours sur un album qui n'est pas là par hasard. Alors la prochaine fois que vous critiquerez l'album généré du jour, tournez sept fois votre langue dans votre claque merde, si vous ne voulez pas vous exposer à la vendetta de Robert.

Une fois n'est pas coutume, un des albums les mieux notés du générateur tient enfin son rang. Ce qui n'est pas le cas de mon camarade d'écoute robtenaillère, qui compte une fois de plus de multiples reviews de retard. Après son déclassement de bras droit de Robert à simple auditeur générateurien (a mon profit, puisque je le rapelle je suis le nouveau bras droit de Robert), rob multiplie les bavures. Un long chemin de croix, qui seul dieu (Robert, dont je suis le bras droit) sait où cela le menera.

Aujourd'hui je suis assis à côté de mon manager au bureau, il m'est donc absolument impossible de rédiger des reviews de qualité. En effet, à tout moment ce dernier peut pivoter sa tête sur le côté, et ainsi me réprimander pour le 3/5 accordé aux Pink Floyd il y a de cela quelques jours. A très vite je l'espère dans des conditions plus propices.

Hier, nous avons été victimes d'un énorme soucis technique au bureau, qui m'a empêché de pouvoir écouter mes albums générés comme à mon habitude. En effet, un electricien devait venir s'assurer que le système d'alimentation de l'étage était en bon état, et effectuer quelques réglages si necessaires. Seulement, après quelques minutes passées à examiner les differents circuits électriques, la lumière de l'étage commença à crépiter, pour ensuite clignoter. Après quelques minutes, nous étions plongés dans la pénombre. Pas d'inquiètude cependant, puisqu'un professionnel était déjà sur place, il devait sûrement tester la robustesse du système. Après plusieurs dizaines de minutes sans lumière, je me rendis à la cuisine pour chercher un verre d'eau. Quelle ne fut pas ma surprise: la cuisine était absolument inondée. Soudain, je fut pris d'un flash mental très puissant. Je me rendis au bureau de mon directeur, et lui demandais des informations sur la société de maintenance des locaux de notre étage. Un brin surpris, il me dit que la société en question était intitulée "Die Türe AG". Commençant à comprendre, je me rendis dans la salle électrique, et y découvrit une carte de visite laissée par l'electricien: Joachim Mörrisone, Elektriker. Je partis alors dans un franc rire, m'exclaffant: "Ahahahah, sacré Jim".

Un Iggy Pop plus courbé que jamais au sein de cet album. Il parvient même lors de la piste 5 à toucher son talon avec sa tête, avant de rapidement remettre sa chaussure de compensation et ainsi retrouver un équilibre parfait.

La question que tout le monde se pose à l'écoute de cet album, c'est pourquoi diable Siouxsie and the Banshees se sont retrouvés par deux fois dans le générateur. Je me suis d'ailleurs posé la même question le premier jour de ma classe de 4ème. Après une année de 5ème passée dans la même classe que celui que vous connaissez désormais tous, robpenitencière - la faute à une option Krautrock choisie il est vrai un peu au hasard - je me rejouissais de pouvoir passer une année entière sans avoir à cotoyer cet individu. Alors que je m'installais dans ma nouvelle salle de classe, la 5ème singer-songwriter, pas une trace de rob à l'horizon. Je commençais à prendre des notes sur les instructions du professeur Rock, la mine enjouée grâce à la perspective d'une année sans embûche. Soudain, trois bruits secs retentirent contre la porte. Le professeur Rock s'interrompit, et alors qu'il entrouvait la porte, je pus reconnaître un son malheureusement très familier, trop familier. En effet, des notes de Part of a Whole de Hugh Masekala retentissaient à l'exterieur de la classe, et j'aperçu alors l'horreur: c'était bein rob qui se dressait là, son enceinte JBL en main comme à son habitude. Cet imbécile avait en effet oublié de mettre son reveil, et était arrivé en retard pour son premier jour de classe. J'ai donc pour la deuxième année consécutive dû me coltiner rob, malgré les 8 classes de 5èmes existantes, un sentiment que je redécouvre donc ce matin, à la vision d'un deuxième album de Siouxsie and the Banshees, malgré l'existence de milliers d'albums potentiellement candidats ä l'election générateurienne.

Bonjour à tous, malgré les rumeurs colportées par mon adversaire robtinaturnière, je suis toujours bel et bien en vie. Je reviendrai très bientôt vers vous pour vous expliquer les raisons ayant conduites à mon absence.

Afin de vous expliquer les raisons de ma disparition sans pour autant alerter robvipère, je vais vous transmettre un message codé, qu'il vous suffira de déchiffrer afin de me venir en aide. Voici l'énigme: "A l'heure ou les loups garous sont de sortie, le chanteur violeur d'enfants dansera, eltrapèze reviewra, robvipère trépassera"

Voici ce qu'il s'est passé. Alors que je m'appretais à partir pour un simple week end de visite chez mes parents en France, un événement étrange est survenu. Alors que je grimpais dans l'avion, je glissais un bonjour aux stewards, et glissais rapidement un oeil vers la cabine de pilotage. J'eu alors comme une srte de bug mental, la silhouette du pilote me semblant familière. Mais qu'à cela ne tienne, c'etait sûrement une simple fausse impression. Je m'installais alors confrotablement dans le siège 21C, attendant le décollage devant nous ammener vers Bordeaux pendant 1h30. Je m'endormis rapidement, la faute à une nuit écourtée par le reveil matinal. A mon reveil, ce fut l'incompréhension la plus totale. En effet, en regardant pas le hublot, je cru apercevoi des pierres volcaniques, ainsi qu'un soleil de plomb. Rien de tout cela ne ressemblait à ce que je m'attendais à retrouver à Bordeaux. Soudain, le pilote de l'avion pris la parole: "Nous sommes bien atteri à Tenerife, mon copilote et moi même, robvipère, vous souhaitent la bienvenue" Ce diable de rob avait tout simplement détourné mon avion afin de m'empêcher d'écrire mes reviews, car en effet, aucun vol retour n'était prévu avant une semaine plus tard. Rob quand à lui, est reparti avec le même avion. En agissant de la sorte, il espérait s'attirer les faveurs de Robert, étant en situation délicate avec ce dernier depuis l'épisode Michael Kiwanuka. Mais ce n'est là que le début des péripéties, rob ayant préparé plus d'un piège dans cette semaine maudite...

La légende dit qu'après avoir entendu les enregistrement des Zombies dans le studio voisin à celui des Beatles, John Lennon rentra dans une colère noire, fustigeant ses camarades de groupe, déclarant notamment: "ça c'est de la musique, pas comme ta guitare de merde Paul!". La suite vous la connaissez, les Beatles se sépareront, et l'audimat générateurien commencera alors à les surcoter.

Les Sonic Youth recoltent ici un 2 pour l'ensemble de leur oeuvre musicale, leur présence à trois reprises dans la liste étant une honte absolue. C'est ce que je m'appretai à écrire, avant d'effectuer une dernière vérification sur le nombre d'apparition du groupe Sonic Youth dans la liste des 1001. Il se trouve que ce groupe revient à 5 reprises, c'est une boucle infernale, un cauchemar sans fin, un scandale d'état.

The Roots est un groupe de chenapan. En effet, ces derniers ont réussi à me piéger en cet après-midi. Alors que j'ouvrais le générateur, et visionnait le nom "The Roots" écrit en grosses lettres sur l'immense écran de la salle de réunion, je soupirais. "Encore un groupe de rock moyen en The", murmurai-je, devant l'incompéhension de mes collaborateurs. Mais laissez moi vous remettre dans le contexte. Durant ce mardi, ma journée fut chargée de réunions, ce qui m'empêchait tout bonnement de rattraper mon retard sur le générateur, accumulé suite à l'astucieux détournement d'avion orchestré par robdinèrent. Fou de rage, je me rendis alors dans le bureau de mon directeur, lui tendant mon contrat au visage. -Tu sais pas lire connard ?! C'est en substance ce que je lui ai dit, la clause précisant que dans le cadre de mon activité professionnelle, j'ai droit à un album par jour faisant face à son nez. Il me répondit qu'il fallait que je fasse preuve de flexibilité, et que si il m'etait impossible découter un album aujourd'hui la faute à une journée trop chargée en réunion, je pourrai toujours en écouter deux demain. Je piquais alors une colère: - Ah ouais et les reviews ils vont s'écrire tout seuls ?! C'est alors que je pris la décision de générer mon album du jour pendant ma première réunion de la journée. Revenons donc où nous en étions, entre deux annonces de mon manager, je générais enfin cet album des Roots: - Mmmmh encore un groupe de rock moyen en The... Mes collaborateurs étaient stupéfaits. Je ne compris pas de suite pourquoi, mais alors que je commençais à lancer l'album Phrenology sur les enceintes de la salle, tout s'éclaircit: The Roots n'était en fait pas du tout un groupe de rock moyen, mais bien un groupe de rap moyen.

Je tiens à alerter toute la population du générateur: je pense que Tom Waits a été enlevé par Robert, et remplacé par une doublure. En effet, grâce à une analyse pointue, j'ai pu remarquer que la voix de Tom Waits a complétement changé. De plus, Tom Waits nous avait habitué à de francs rires lors de ses interludes poilantes, rien de tout ça ne nous fut proposé au cours de cet album. Il est temps de se mobiliser pour tenter de retrouver le véritable Tom Waits.

Cet album m'était absolument inconnu avant de le lancer. Vous pourriez donc vous dire que c'est un miracle qui a eu lieu ici, étant donné ma réputation qui m'interdit de donner le moindre 5/5 a tout artiste n'etant pas Michael Jackson. Mais vous vous trompez, cela ne releve pas du miracle. Ce 5/5 était même très attendu de ma part. En effet, j'entretiens depuis de nombreux mois une relation musicale très forte avec la figure paternelle de la famille robperimètre, avec qui nous échangeons très régulièrement au sujet du générateur. Il a pour sa part déjà terminé le générateur il y a de longues années, et vit desormais en complète autonomie dans une grotte, entouré de vinyles. Lorsque je lui évoquais Boston comme album du jour, il hocha la tête et déclara: "Très très bon tirage, j'ai au moins un de leur vinyle en ma possession." Je savais à cet instant précis que j'allais passer un grand moment de musique.

L'album était sympa sans plus, mais je voulais juste souligner a quel point Louis Prima marchait sur Frank Sinatra. Il est d'ailleurs bien connu de tous que Frank Sinatra avait pour habitude de mandier devant la porte du studio du Livre de la jungle, espérant récupérer quelques toplines de Louis Prima. Cela n'aura pas suffit, car 60 ans plus tard, nous n'avons aucun mal à discerner le véritable patron des années 50 de sa pâle immitation adulée par Robert.

Cet album est une honte, et c'est déjà la deuxième fois que The Who nous font le coup. Seulement, ce groupe semble perpetuellement épargné par les critiques, et je vais vous révéler aujourd'hui pourquoi. The Who n'a en effet rien d'un groupe historique, leur musique étant de piètre qualité, tout comme leur pochette ridicule soit dit en passant. Seulement, après une matinée de recherche, je suis parvenu à découvrir leur secret, ce qui leur assure cette popularité incompréhensible. En me baladant sur Youtube, j'ai pu avoir accès à une interview de ce groupe minable. Sans parler du contenu de l'interview, aussi vide que leurs albums, on peut apercevoir un premier détail important en arrrière-plan: un totem d'immunité posé sur l'étagère. Oui, je parle bien ici du totem d'immunité de Koh-lanta, animé par Dennis Brogniart, dont un certain... Robert est très proche. Mais ce n'est pas le seul détail important. En effet, si l'on prête suffisament attention à la 4ème piste de cet album, on peut entendre Robert remettre en mains propres ce totem au leader du groupe The Who. Ils ne se cachent même pas! Je vais donc attribuer ma note de 2/5, en sachant malheureusement déjà que cette note sera modifiée dans la plus grande discretion par Robert.

Je ne vous cache pas que je ne m'attendais pas, en lançant cet album, à accorder la note maximale, vous connaissez ma réputation. Trêves de plaisanteries, aujourd'hui je vous propose un petit quizz. Pour jouer c'est très simple, il vous suffit de répondre à la question suivante. Où ai-je rencontré le père de robpellemèle? Reponse A: Il est venu chercher rob à l'école après notre cours de Krautrock pour l'ammener à son cours de salsa. Reponse B: Nous nous sommes rencontrés lors d'un concert de Jethro Tull, après avoir apprécie ensemble le solo d'Aqualung. Réponse C: Le père de rob était en fait notre professeur de rock psychédèlique en classe de 4ème world. Pour jouer rien de plus simple, je vous invite à poster votre réponse sous la review de l'album de votre choix.

Un album extrêmement satisfaisant de la part du renommé groupe anti LGBT un papa + une maman. Les discours homophobes dissimulés ici et là tout au long de l'album donnent un aspect vraiment authentique au produit final, on se remémore avec nostalgie la période dorée où George Michael n'éxistait pas encore. Un morceau d'histoire à mettre entre toutes les mains.

Je sais avant même de noter cet album qu'il a probablement reçu les suffrages de l'auditeur générateurien. En effet, cet album est un album étant parfaitement dans les standards du hipster basique. On s'ennuie tout le long de l'album, mais c'est justement là que l'auditeur vient intervenir d'un ai rhautain, pour nous dire que nous n'avons pas compris la profondeur de la musique qui nous est proposée par The Cure. Moi, je ne suis pas de ces horribles personnages, et attribue donc un 3/5 faisant foi au vu de ma culture musicale que vous savez absolument dementielle.

Comme vous le savez tous je suis le bras droit désigné de Robert, tout puissant du générateur, et de par ce statut spécial, je suis en contact direct avec les différents artistes du générateur (ou leur dépouille physique, dans le cas d'artistes tels Leonard Cohen). Parmi tous ces artistes, j'entretiens une relation toute particulière avec le leader des The Icarus Line. Nous avons fait les 400 coups ensemble dans notre jeunesse, et je lui ai par conséquent demandé une faveur. En effet, connaissant parfaitement les goûts - hautement discutables - de mon camarade robtenaillère -, j'ai demandé au leader du groupe de composer un album regroupant absolument tous les codes musicaux que rob deteste. Ainsi, je pourrai lui faire passer une écoute pénible sans uq'il s'en rende compte. Je m'attends donc à ce que rob attribue un 1/5 à cet album, avec une review emplie de critiques.

Un finish excellent de la part de Iron Maiden, qui a fait le choix de mettre le paquet sur les 3 derniers sons. Cela aurait pu être suffisant pour aller décrocher le 4/5, cependant, j'enlève un point pour une raisons très simple: l'image d'Iron Maiden est très régulièrement utilisée à des fins pédophiles, ceci ne pouvais donc rester impuni. L'habit ne fait pas le moine, mais le pédophile certainement.

Une performance absolument minable de la part de Dr. Dre, qui vient récupérer la place de pire album de rap du générateur, éjectant ainsi Queen Latifah du trône. On peut légitimement se demander pourquoi cet album figure dans la liste, en lieu et place de 2001, le meilleur album de Dre. Mais ça, seul Robert en détient la réponse, en sécurité dans un de ses nombreux coffre-fort.

Janelle commet ici une des erreurs élémentaires du générateur: nous proposer un album bien trop long. Ceci est la preuve d'une arrogance la plus absolue, Janelle pensant pouvoir nous tenir intéressé pendant une heure. Cela n'est evidemment pas le cas, mais le grand début d'album lui assure tout de même un 4/5 bien mérité. A noter que mon camarade d'écoute robteillère fait preuve de la même arrogance vis a vis de sa propre musique, ce dernier se permettant de donner des concerts payants. En effet, ce dernier s'est reproduit en Pologne ce week end, devant un auditoire d'environ 4 personnes. La non plus, impossible pour rob de tenir son auditoire pendant une heure, mais cela va même plus loin, puisque 3 des 4 spectateurs ont quitté le concert dès le premier refrain entamé par rob. Un fiasco pour la salle de concert, qui ejectera rob sans même lui payer son cachet.

Soucieux de bien comprendre la musique de chacun des artistes du générateur, ainsi que leur histoire, robpenitencier n'hésite pas à se rendre sur les lieux ayant marqué la confection des albums du jour. Nous le retrouvions par exemple il y a quelque jours au Panama pour l'ecoute de Willie Colón et Rubén Blades. Aujourd'hui, c'est à Berlin qu'il se trouve. Malgré une empreinte carbone désastreuse, on ne peut que saluer la perseverance et la passion de rob, qui je l'espère, saura trouver grâce auprès de Robert, qui ne lui a toujours pas pardonné l'épisode Kiwanuka.

Kate Bush présente la particularité interessante d'être une légende de la musique sans proposer de musique particulièrement marquante. La question que vous me posez maintenant, c'est pourquoi? Et bien je n'en sais rien, seul Robert détient la réponse dans son coffre fort, confectionné de sorte à ce que seul le détenteur du code secret puisse l'ouvrir.

J'ai adoré cet album de grande qualité. Petit bemol cependant, le moment où le T-rex dévore sa proie n'était peut-etre pas necessaire, et entâche un peu cet excellent projet. L'enquête continue.

Cet album fort peu interessant ne présente non plus aucune caractéristique le rendant reconnaissable, je n'ai par conséquent aucun angle de review. Je suis en revanche l'heureux propriétaire d'un billet pour le concert de My Chemical Romance a Munich, le 6 juin 2022, auquel il semblerait que je doive me rendre seul n'ayant aucun ami appréciant la bonne musique. Par conséquent, si l'un d'entre vous souhaite me rejoindre à ce concert, merci de me le faire savoir sous la review de l'album Exit Planet Dust de The Chemical Brothers.

Cet album est la représentation de l'Amerique débile et grasse. Une femme à la voix tout a fait banale, chantant des paroles niaises sur une guitare elle aussi des plus banales. Tous les clichés lyricaux y passent, l'auditeur américain décérébré est servi. Un 3/5 pour la Zaz américaine.

Les Minutemerde ont encore échoué dans leur couverture, on les reconnait immédiatement.

Un album qui s'est dévoilé sur le tard, chose que n'aura jamais réussi mon camarade d'écoute robpinaillère. En effet ce dernier n'a jamais vu sa carrière décoller, la faute à un talent minime si ce n'est inexistant.

Un album qui n'a pas su me convaincre, pour moi tu ne mérites pas de continuer l'aventure. Mais c'est au public de voter aujourd'hui, si vous souhaitez voir Madonna rejoindre Baltard tapez 2 sous la review de l'album Music de Madonna.

Cet album bien que très moyen musicalement, a permis de présenter une des apparitions les plus spectaculaires de l'histoire de la musique. Mais laissez moi vous remettre dans le contexte. Concert de Woodstock en 1972. Les Stooges s'appretent à présenter pour la première fois leur album Fun House, après le succès de leur album eponyme. Le show débute par un solo des musiciens des Stooges. Ce premier morceau résolument acoustique ne présente aucun chant, et pour cause, Iggy Pop n'est pas présent sur scène. Mais personne ne semble déçu, ni même déboussolé dans le public, et pour cause: tous ces fans ont tous écouté l'album précédent des Stooges. Soudain, le deuxième son démarre, les guitares débutent leur travail, quand tout à coup la voix d'Iggy Pop se fait discrètement entendre. C'est l'effervescence dans la salle. Tout le monde se met à chercher le grand Iggy: "Où peut il bien être cette fois?" - "J'ai beau scruter la scène je ne vois rien!" - "Il ne peut quand même pas être caché dans ce minuscule sac à dos?!". C'est alors que le tempo de la musique se ralentit, les lumières s'assombrissent. Le refrain va bientôt débuter. Tout d'un coup, les lumières se focalisent sur une petite malette posée au centre de la scène. Elle était la depuis le debut du show, adossé à un micro, mais personne ne l'avait remarquée. La malette commence à s'ouvrir de l'intérieur, et laisse entrevoir la chevelure blonde d'Iggy, Iggy sortit d'abord sa hanche toute désordonnée, avant de laisser le reste de son corps suivre dans des craquements terrifiants. Il s'extirpa juste à tant pour lancer le refrain, sous la folie la plus totale des spectateurs. Même si le reste du concert fut résolument moyen, les spectateurs en avaient eu pour leur argent avec cette prestation phenomenale de contortionnisme.

Attention Robert, après une période d'eldorado du générateur, voila que tu te remets a nous proposer une longue serie d'albums de qualité insuffisante pour obtenir un 4/5. Nous ne céderons pas à la panique, mais restons néammoins sur nos gardes.

La grande force de cet album, c'est sa durée très courte, qui fait ici opposition à certains artistes ignobles aperçus par le passé (je fais ici référence à Dr Dre et toute la clique des Ice entre autres). On remercie Astrud pour cela, et attendons avec impatience le prochain album.

Même si j'ai étrangement plutôt apprecié la musicalité offerte par cet album, j'ai en revanche était bien moins conquis par le choix artistique de The Prodigy. Pourquoi avoir choisir un aquarium comme lieu de deroulement de cet album? Et pour cause: on se retrouve très rapidement trempé en lançant l'album, la faute à une immersion des plus totales dès les première secondes. Il devient très vite impossible de respirer. De plus, de multiples animaux marins viennent déranger notre concentration pendant l'écoute, ce qui au bout du 5ème crabe me chatouillant les pieds, a commencé à me taper sur les nerfs. Pour toutes ces raisons, l'album de recoltera qu'un 3/5.

Un excellent album de la part de ces bons vieux Beach Boys, qui n'ont en revanche toujours pas trouvé le moyen de mixer correctement leur album. La prochaine fois, cela ne passera pas et sera pénalisé comme il se doit. Je ne m'attarderai pas sur les multiples bruits d'animaux fermiers présents sur l'enregistrement, qui gachent un peu la prestation du chanteur du groupe. C'est leur choix artistique, et l'on se doit de le respecter.

Très peu de personnes le savent, mais les Sonics sont les ainés d'une formidable famille musicale. Laissez moi vous faire un petit recapitulatif. Les Sonics sont les premiers de la famille a avoir vu le jour. Après de nombreuses années passées à écumer les salles de concert, les Sonics se sont décidé à procréer, ce qui nous a donné l'horrible groupe de Sonic Youth. Mais l'histoire ne s'arrête pas là, puisque quelques annés plus tard, les Sonic Youth eux-memes assureront leur descendance, grâce au single Dirty South de RIN. Où celle magnifique histoire va t'elle s'arrêter, seul l'avenir nous le dira.

Depuis quelques semaines, j'ai comme vous le savez pris l'habitude de lancer l'album du jour de bon matin, en faisant ma vaisselle. Ceci me permet ainsi de joindre l'utile à l'agréable, et d'ainsi démarrer ma journéee du bon pied. Aujourd'hui, c'est l'exact opposé qui s'est produit, cet album m'ayant mis de très mauvais poil. De plus, je me suis retrouvé à casser trois assiettes et un verre à pied, ce qui vient amincir un peu plus mon stock de vaisselle déjà diminué par l'écoute récente des Germs. Affaire à suivre.

Cet album ne laissait présager rien de bon, mais c'était finallement pas mal du tout, et pour cause: ces bonnes vieilles prunnes electriques ont bien pris soin de copier un maximum le style des Beatles, que ce soit musicalement ou physiquement. Un tel effort de reproduction est souvent synonyme de bon album dans le générateur, comme nous l'ont prouvé par exemple les Beau Bummels par le passé. 3/5 par conséquent.

Un Isaac Hayes un peu envahissant sur cet album. En effet dès les premières notes de cet album, ce dernier nous invite à toucher son crâne dégarni, d'une propreté il est vrai impeccable. Nous refusons poliment, mais ce dernier revient à la charge à plusieurs reprises, fonçant tête baissée en notre direction afin de juxtaposer son crâne parfaitement rasé à nos yeux ebahis. Nous ne lui en tiendrons pas rigueur au vu de la qualité exceptionnelle de ce crane.

Un album tres agreable, mais qui n'arrive malheureusement pas a la cheville de Lana del Rey, malgré des efforts evidents en ce sens.

Cet album supposement legendaire s'est bien foutu de notre gueule, se contentant de distiller des sons au mieux sympathique sur la quasi totalité des pistes. Seulement, cet album est bien malin, puisqu'il contient egalement le legendaire Walk this way, qui vient seul sauver un 4/5 fort peu mérité.

Il faut savoir avant de lire ce review que je deteste les chansons de Noël, que je trouve extrêmement déprimantes. Tomber sur cet album ne me ravit donc evidemment pas. Mais la où cela devient vraiment difficilement supportable, c'est que je me retrouve à écouter cet album le 27 décembre, la faute à un leger retard, une fois les festivités bien retombées. Une difficile experience, j'espere qu'aucun autre album de Noël n'a été glissé par Robert dans la liste.

J'ai ecouté cet album hier pour me rendre à un repas organisé par la famille Dimery, destiné à me féliciter pour mon année 2021 "exceptionnelle" selon les dires de Robert. Robert m'a remis à cette occasion une statuette de Morissey, supposer représenter le trophée de meilleur auditeur du générateur.

Cet album m'a cauyé de sévères somnolances dans le train supposé me rappatrier à mon domicile. Ceci aurait pu permettre a n'importe quelle personne mal intentionnée de subtiliser ma statuette de Morrissey, figurant en évidence sur mon siège voisin. Pour cela, Beck recolte la note de 3/5.

Robert nous a pour ainsi dire bien baisé, choisissant parmi la maigre sélection d'albums des années 2000 un album préhistorique, composé dans les années 60 au Abbey Road studio.

Un début tonitruant de la part de notre Manu national, qui m'a rappelé mes escapades à la plage dans la voiture de mon voisin, grand fan de Manu mais également de Christophe Maé. Un personnage haut en couleurs mais d'une extrême sympathie. Petit point d'attention, il ne faut surtout pas confondre le Manu de Manu Chao avec le Manu de Tu me mets quelques whites, ces deux individus n'ayant absolument rien a voir.

Je m'attendais à écouter un album de reggae en lançant cet album, ce ne fut pas beaucoup mieux puisqu'il s'agissait bien d'un album d'une heure de hip-hop, genre que j'avais pourtant signalé à Robert ne plus vouloir voir dans ce générateur. Robert n'a eu que faire de mon mécontentement, et s'expose à un terrible retour de bâton de ma part.

Cet album n'etait en fait qu'une pâle copie de Radiohead, par conséquent, nous allons un peu changer notre ligne éditoriale et ne pas s'attarder sur la critique de l'album aujourd'hui. Vous avez été nombreux à réagir à ma review précedente, où je me suis permis il est vrai de menacer directement Robert. Sachez que l'on ne m'y reprendra pas, laissez moi vous raconter ce qu'il s'est passé hier. Dans la soirée, après avoir écouté pas moins de 3 albums du générateur pour rattrapper mon retard contracté pendant les vacances de Noël, je m'installais confortablement sur mon canapé, le sentiment du devoir accompli illuminant mon visage. Quand tout d'un coup, mon téléphone se mit à sonner. "C'est Robert", m'écriai-je à la vision des 6 lettres composant le nom du gourou du générateur s'affichant sur mon écran de téléphone. Seulement, je n'eut même pas le temps de décrocher le combiné que l'appel avait été raccroché. Je restais circonspect pendant quelques dizaines de secondes, hésitant à rappeler l'enarque. Quand tout d'un coup, une notification apparue sur mon téléphone. "Nouveau message vocal". Le doigt tremblant, je me décidais d'appeler ma messagerie vocale, et ce que j'y découvrit me fait encore frissonner à l'heure où j'ecris ces lignes. Robert n'avait en effet laissé que quelques mots sur ma messagerie, toris pour être précis: "À très vite"

Le groupe Yes ne surprend plus, c'est le moins que l'on puisse dire, avec ce troisième album ne m'ayant pas fait le moindre effet. Fort heureusement, cela en est desormais terminé de ce groupe, que l'on ne devrait plus revoir sur les antennes du générateur.

21 sons pour 51 minutes de musique, le ton était donné d'entrée: nous avons bien affaire a un album de punk. Mais a ma grande surprise, ce dernier n'etait pas asbsolument dégueulasse comme tous ses petits camarades, réussissant à se hisser au rang d'audible. Un bien beau pied de nez a toute la classe de Terminale Punk.

J'ai passé un très bon moment à l'écoute de cet album, seulement voila, cela fait plus de 25 albums que nous n'avons pas été surpris, pas été marqué par quelconque album. Je me sens vidé de mon energie vitale, et songe au pire. Robert, ceci est un appel à l'aide, nous avons assez souffert et réclamons au moins deux gros albums dans les 5 prochains, sans quoi cela pourrait être la fin de l'aventure.

1h03, c'est le chiffre a retenir puisqu'il s'agit de la duréee de cet album. De très longues 1h03, qui m'ont bien mis en rogne en cet après-midi ensoleillé. J'aurai bien preferé profiter de ledit soleil plutôt que de la musique sans intérêt du pitre Orbit, que j'espère ne jamais recroiser sur mon chemin. C'est pour toutes ces raisons que j'ai accordé à l'album la note de 3/5.

J'ai adoré cet album, je suis en revanche un peu déçu par l'attitude du chanteur sur la 5ème piste de cet album. En effet, apres de solides prestations sur les 4 premières pistes, ce dernier s'est senti poussé des ailes. Il est en effet devenu absolument intenable. Les efforts des autres membres du groupe pour tenter de le ramener a la raison furent vain, il était absolument déchainé, et ne revint dans un calme relatif qu'a la fin de la chanson. Une belle frayeur pour tous les auditeurs du générateur, qui n'entâche en rien la qualité exceptionnelle de cet album.

9 mois, c'est le temps qu'il nous aura fallu avant de découvrir le tant attendu Rumours de Fleetwood Mac. Laissez moi vous expliquer le déroulé des opérations. Alors que mon camarade d'écoute robvernières et moi n'étions encore que de jeunes auditeurs du générateur, nous nous dirigâmes pour la première fois vers le classement global du générateur (à l'époque composé uniquement des 15 meilleurs albums du générateur, les plus anciens s'en souviendront). Et là, quelle ne fût pas notre stupeur. Au milieu des noms légendaires connus de tous tels les Beatles, les Pink Floyd (nul), Led Zeppelin et autres Nirvana, on pouvait retrouver le nom de Fleetwood Mac. Plus fort encore, ce nom figurait bel et bien en tête du classement. Or, mon rob et moi-même n'avions absolument jamais entendu parler de ce groupe. Nous prîmes alors la décision de nous diriger vers la page spotify du groupe pour en savoir plus, et la ce fut le choc: le groupe était extrêmement connu, avec une ribambelle de hits à disposition. Aucun ne nous semblait familier. C'est alors que cette aventure pris une toute autre tournure. Il faut savoir que rob et moi avons prêté serment d'allégance à Robert avant même de démarrer l'aventure générateurienne. Ce serment comporte plusieurs promesses, comme celle de toujours se tenir à disposition de Robert, mais une de ces promesses, peut-être la plus dure de toute se définit comme ceci: "Tu n'écouteras point les albums n'ayant été généré, et ce même si ces albums tu connaitras déjà". Cette promesse, dans un français parfait, peut paraître difficile à comprendre, laissez moi donc vous donner un exemple très concret: je suis un très grand fan des Red Hot. Les Red Hot n'ont pas été généré par Robert pour le moment. Cela fait donc plus de 9 mois que je n'ai pu écouter ces derniers, étant donné qu'ils sont pour le moment tenus en ôtage par Robert. Maintenant que vous avez bien compris, rappelez vous: nous ne connaissons pas Fleetwood Mac, et ne pouvons les écouter tant que ces derniers ne sont pas générés par Robert. A partir de ce moment là, Fleetwood Mac va devenir omniprésent dans nos vies. Sur les stories Instagram de nos amis, Dreams est choisi en musique de fond pour nous pousser à la faute. Sur les vidéos Youtube, l'album Rumours est placé en arrière plan de nos youtubeurs musique preféré. Plus fou encore, sur l'une de mes playlists Spotify figure The Chain. Je n'ai pourtant pas la moindre idée de ce à quoi cette chanson ressemble. Le mystère est entier. Mais après des mois d'embûches, de bâtons dans les roues de nos détracteurs, Robert nous offre enfin l'écoute de Rumours, en ce jeudi 6 Janvier 2022 synonyme d'épiphanie. Et là, quel ne fût pas notre choc. Cet album représente en effet une course entre les deux chanteurs de Fleetwood Mac, l'un de sexe masculin, l'autre de sexe feminin. Seulement, la femme est beaucoup moins à l'aise que son compère masculin, à la voix superbe et au rythme impeccable. Pendant tout l'album, elle tentera de refaire son retard lors de chanson solitaires, qui lui furent accordé afin de se remettre à niveau. Malheureusement, le cycle sera sans fin. A chaque retour du fabuleux chanteur masculin, il surclassera en tout point cette pauvre femme, prennant une avance considérable que cette dernière ne parviendra jamais à combler, se prennant régulièrement les pieds dans le tapis. Elle ne sera jamais capable de ne serait-ce accompagner ce merveilleux chanteur, dôté qui plus est d'une magnifique chevelure, se retrouvant même ne retard sur les refreins. Ici s'achève le mystère Fleetwood Mac.

Un album d'une extrême sexualité comme Marvin Gaye en a l'habitude, absolument tout y passe. Seul petit bémol, Marvin passe son temps à se tripoter le téton sur toute la longueur de l'album, ce qui peut perturber un public moins aguerri. Mais quand on aime Marvin, on s'en réjouit et on en redemande.

Et bien moi j'ai beaucoup apprecié cet album, et d'ailleurs j'en profite pour dire à rob que je l'emmerde.

Robert prouve une fois de plus son racisme debordant, et je vais en quelques mots vous expliquer pourquoi: Robert prend un malin plaisir à selectionner des albums de musique africaine de piètre qualité, et de les ranger immediatement dans la catégorie "world", sous pretexte que ces artistes ne viennent pas de son monde à lui. On se retrouve donc avec une multitude de style différents, tous regroupés sous l'égide "world", qui dans le vocabulaire de Robert, pourrait s'apparenter à "les autres", voir de bien pires appelations que je ne me permettrais pas de rédiger ici. Robert, l'Afrique est grande, et les sénégalaiseries des deux comparses Baaba Maal et Mansour Seck méritent certes un 2, mais certainement pas sous le label world.

Cet album m'a permis d'établir une nouvelle règle faisant désormais loi: si un album comporte des chansons de plus de 10 minutes, c'est forcément un album de merde. En effet, proposer une chanson d'une durée supérieure à 10 minutes démontre un égo surdimensionné, l'artiste pensant pouvoir nous captiver sur une durée aussi longue. C'est d'ailleurs pour ça que l'ignoble Frank Zappa s'évertue à proposer des horribles morceaux interminables. Cet album n'échappe pas à la règle, et vient récolter un 2/5 bien mérité.

Alice Cooper démontre une fois de plus a quel point ses liens avec Robert sont étroits, c'est en effet la seule explication à sa double présence dans la liste. J'ai en revanche beaucoup apprécié l'ouverture d'esprit d'Alice, qui enchâine les propos visant à détruire les clichés binaires et le patriarcat.

C'est punk donc c'est nul, je ne pense pas qu'il y ait besoin d'en dire plus. La règle est parfaitement respectée, avec de nombreux sons courts suivant la même rythmique exécrable, pour un album d'une durée totale assez courte. Tout y est, cet album ne peut donc recevoir une note supérieure à 3/5.

Cet album était de grande, il est en revanche dommage que Jamiroquai se soit endormi sur sa table de mixage. En effet, après 7 sons tous plus impressionnants les uns que les autres, Jami, ayant offert une folle énergie pendant ces plus de 30mn de musique, se trouve en effet un peu las. Le voilà qui se met donc à fermer les yeux quelques secondes pour reprendre ses esprits, mais ces quelques secondes se transformeront en de longues minutes. C'est dommageable, mais n'enlève rien à la qualité de l'album pré-sieste.

Aujourd'hui, nous découvrions enfin l'album du traître absolu, le Judas de la grunge, j'ai nommé Dave Grohl. Ce dernier, ancien batteur du groupe Nirvana, a en effet pris le temps de bien copier sur son petit camarade de classe Kurt, afin de lui subtiliser absolument tout son style musical, et de le recracher dans un album sans aucune originalité. Dave Grohl va même plus loin dans le plagiat: il se permet en effet de reproduire des scènes de la vie courante du groupe Nirvana, s'étant déroulées dans l'intimité du studio d'enregistrement. Cela atteint même le ridicule, quand sur la fin de l'album, Dave Grohl reproduit le rituel de son camarade Kurt, en enfournant une boite de Pastabox dans le micro-ondes. Ceci n'a evidemment rien à faire dans un album de grunge, mais il semblerait que Dave Grohl se soit quelque peu perdu dans sa tentative desespérée de sauver son année scolaire de terminale grunge. J'ai tout simplement adoré cet album, je lui accorde donc la note de 4/5

Alanis nous offre une proposition musicale beaucoup plus hétérosexuelle que son frère Morrissey, présentant également beaucoup moins de racisme. Seul point commun, une pochette minable. On a beau chercher à refouler son éducation, les gênes finissent toujours par nous influencer.

Un album d'une qualité exceptionnelle de la part des Dire Straits, qui n'est pas que le simple fruit du hasard. En effet, les Dire Straits sont réputés pour avoir toujours su bien s'entourer. Mais laissez moi vous replonger dans le contexte. Nous sommes dans le début des années 80, quand les Dire Straits commencent à se regrouper en studio. La musique bat son plein, les enregistrements sont très prometteurs grâce à l'énorme aisance de chacun des membres du groupe avec leur instrument respectif. Mais très rapidement, on se rend compte au sein du studio que ce groupe, certes composé de grands musiciens, n'a en revanche aucune connaissance en arrangement sonore. Il leur faut donc recruter un ingénieur son. Rapidement, le premier candidat se présente dans le petit studio britannique. Mais c'est alors un véritable fiasco. Ce dernier oubliera de brancher la guitare de Mark Knopfler sur la première prise, avant de complétement saturer son micro. Après une troisième tentative au cours de laquelle Jim Morrison - car vous l'avez compris, c'était bien lui qui se cachait derrière l'ingénieur - fera tomber son sandwich sur la caisse claire du batteur Terry Williams, le groupe excédé finit par mettre Jim à la porte. Jim Morrisson répétera par la suite dans de nombreux médias que les Dire Straits sont un véritable cauchemar pour les ingénieurs sons, les accusant de perfectionnisme nocif. Pas d'inquiètude pour Dire Straits, ils finirent par recruter un ingénieur son qualifié, et purent boûcler ce magnifique album.

Aujourd'hui, j'ai décidé de prendre tout le monde à contre-pied et de m'adresser directement à David Bowie. David, tu fais partie du cercle très fermé des plus grands escrocs de la musique mondiale, dirigé je le rapelle par Frank Zappa. Ton album est une mixture dégueulasse de sonorités ratées, que tu tentes de porter avec une voix des plus banales et insignifiantes. La présence d'un guitariste correct te permet de sauver un 3/5 inespéré au vu de l'entame d'album expérimentale nauséabonde. Maintenant, je vais m'adresser a toi robtenaillère. ça fait maintenant plusieurs jours qu'aucune review n'a été postée de ta part, ce qui met Robert dans une colère noire. Dans cette colère, par ta faute, Robert a décidé d'aller porter quelques coups de fouets à Ray Charles afin de se calmer. Ce dernier est maintenant encore un peu plus recroquevillé dans sa celulle mitoyenne aux New York Dolls, qui ne cessent de le pointer du doigt en gloussant et poussant des cris aigus. Je te suggère, au nom de Robert, de rapidement te reprendre en main, sans quoi tu sais à quelles sanctions tu t'exposes...

Cet album ne m'a ni inspiré, ni interessé. Je vais par conséquent vous décrire mon emploi du temps de la journée: De 7h à 11h30, je suis contraint de travailler, et donc comme vous le savez d'écouter les albums des générateurs (celui ci ainsi que les générateurs pirates que j'ai en ma possession). De 11h30 à 13h30, je prends soin de faire un peu d'activité physique, ainsi que de me substanter en nourriture. De 13h30 à 17h, je reprends mon activité professionnelle, qui consiste je le rapelle à écouter les albums générés. A 17h30, j'ai rendez-vous à l'ambassade allemande, afin de préparer mon appel à l'encontre de la décision de justice du tribunal de Basse-Saxe, qui me refuse l'accès à son territoire. A 19h, je serai de retour chez moi pour un nouveau repas, que j'effectuerai en écoutant quelques vinyles de mon choix que j'ai en ma possession. Vers 21h, j'irai me coucher, afin d'attaquer une nouvelle journée, avec je l'espère un bel album proposé par Robert.

Bob Dylan est extrêmement talentueux, cela va sans dire. Il chante incroyablement bien et joue de la guitare comme un dieu. Seulement, un énorme point noir se glisse dans la prestation de Dylan. En effet, Bob Dylan possède l'un des horcrux du générateur. Nous avions déjà découvert le premier horcrux du générateur à l'écoute de deux albums des Doors, avec le désormais célèbre orgue de Manzarek. Ici, c'est l'harmonica de Dylan que nosu croisons sur notre chemin. En effet, les horcrux du générateurs sont des objets qui, lorsque utilisés par leur possesseur, ont le pouvoir de détruire tout plaisir musical. Ici, l'harmonica de Dylan est absolument inaudible. Il vient nous fracasser les oreilles a de multiples reprises en fin de chanson, après de longues minutes de plaisir passées à écouter la voix de Bob Dylan avec sa seule guitare. Je tiens également à corriger par avance les potentiels commentaires me signalant que j'oublie un horcrux déjà rencontré: non, le portail de Nico n'est pas un horcrux, il s'agit d'un objet certes très puissant, mais bien loin de la puissance totale des deux objets sus-cités.

Je tenais dans ce review à réagir à la dernière note attribuée par mon camarade d'écoute l'insipide robespierre. En effet, ce dernier a defrayé la chronique en attribuant la simple note de 2/5 au dernier album de Bob Dylan, Highway 61 Revisited. Même si cette note est evidemment choquante, il y a des explications à aller chercher dans l'enfance de rob. Mais laissez moi vous raconter son histoire. Je connais rob depuis maintenant de nombreuses années, comme déjà expliqué dans plusieurs de mes reviews que vous suivez assidûment. Il faut savoir que rob a pendant longtemps tenté de devenir un chanteur du générateur, venant ennuyer tout le monde avec sa guitare de merde. Or, à cette époque, rob ne se contentait que de jouer des reprises de Bob Dylan. La qualité étant vous vous en doutez plus que douteuse, rob n'a jamais percé, et garde depuis cette époque une rancune tenace à l'égard de Bob Dylan, le tenant pour responsable de son échec. Un jour, il m'a même déclaré "Si j'avais choisi de faire des reprises de Hugh Masekala, je serai au moins deux fois plus connu aujourd'hui". J'acquiesai pour ne pas le vexer, en lui demandant de lâcher mon bras par la même occasion. Cette note n'est donc pas représentative de la qualité de l'album de Dylan, elle est seulement teintée de subjectivité et de haine.

Avant de lancer cet album, je n'avais aucun doute sur la grande qualité de ce dernier, et pour cause: j'ai récemment rendu visite au père de robpalmière, dans sa caverne remplie de vinyls que vous connaissez desormais tous. A peine rentré dans sa demeure, je surprenais le père de rob en plein travail de ses gammes pantatoniques. Ses doigts défilaient sur sa guitare avec une aisance incroyable. Soudain, tout en continuant se partition de guitare, il réussit à enlever ses chaussures, et se mit a tapoter sur son piano avec ses orteils, accompagnant ainsi parfaitement sa guitare. C'est alors qu'il m'aperçut enfin: "Oh quelle surprise, salut Louis, ravi de te voir, installe toi". Il faut savoir que j'entretiens une relation étroite avec le père de rob, qui me considère comme son réel fils. En effet, rob et son père ne s'entendent pas du tout, et ne communiquent que très rarement depuis que rob a suggéré à son père d'écouter le dernier album des Crusaders. Mais passons. Une fois bien installé, et le père de rob ayant enfin fini sa divine performance musicale, nous commençons à discuter. Rapidement, j'expliquais la raison de ma visite: "Oui père de robpalmière, c'est aujourd'hui. Robert a généré Machine Head de Deep Purple. Que peux-tu me dire sur cet album?". Il se mit alors à tout me raconter, de la genèse du groupe, leur histoire, à une démonstration des suites d'accords les plus impressionnantes présentes sur cet album. Une mine d'information, divulguée avec passion. Après plusieurs heures, je pris enfin congé de mon hôte, non sans repartir avec un vinyl de 10cc, glissé dans mon sac par le patriarche de la famille palmière.

Suite aux récentes decouvertes fracassantes de mon camarade d’écoute robpellemèle sur l’illustre Jim Morrisson, je me suis moi aussi enfermé à la bibliothèque afin d’effectuer quelques recherches. Ce que j’y ai découvert va complétement dans le sens des trouvailles de rob, mais laissez moi vous raconter. Nous sommes le 22 novembre 1963, quand Jim Morrison, équipé d’une salopette et d’un crayon derrière l’oreille (vous l’aurez donc reconnu, étant donné que je viens de donner son nom), sort de son domicile et s’installe au volant de son véhicule. Son itinéraire, il l’a bien étudié toute cette semaine, il se rend donc à l’hôtel où siège son client du jour. Arrivé devant l’hôtel, le client est bien présent accompagné de sa femme, et s’empresse de monter dans le véhicule après un « bonjour » poli et rempli de charisme. Jim commence alors à rouler doucement dans les rues de Dallas, afin de mener son client à bon port, sans prendre le moindre risque sur la route. En effet, Jim vient tout juste d’endorser ce nouveau métier de chauffeur privé, et après de nombreux échecs professionnels, il tient à mettre cette fois toutes les chances de son côté. Soudain, deux coups de feu retentissent, et des hurlements se font entendre. Jim se retourne, et retrouve son passager étendu sur la banquette, deux trous de balle sur la poitrine, sa femme paniquée. Ce passager, vous l’aurez reconnu – et ce malgré qu’il ne porte pas de crayon derrière son oreille – c’était John Fitzgerald Kennedy, 35ème président des États-Unis d’Amérique. Jim tentera bien de faire un massage cardiaque au pauvre John, en pressant fermement son poing sur les blessures béantes de ce dernier, mais cela n’eut pour effet que d’accélérer l’hémorragie, et d’ainsi précipiter un peu plus Kennedy vers son tombeau. Jim Morrison avait donc commencé à opérer bien avant de simuler sa mort en 1971 comme mon camadare robpellemèle l’a récemment découvert, mais que d’autre nous cache Jim Morrisson ?

Ce matin, je lançais cet album au moment de me préparer un bon thé matinal. Alors que ma tasse était à moitié remplie d'eau bouillante, Elvis s'arrêta soudain de chanter. Je me demandais ce qu'il pouvait bien se passer. "Peut-être un problème de connexion" soupirais-je. Je dévérouillais alors mon téléphone pour vérifier la qualité du signal wi-fi, mais la connextion semblait impeccable. J'ouvrais donc l'application Spotify, et c'est là que je compris: l'album était déjà terminé.

Depuis quelques jours, le nombre de like sur mes reviews a drastiquement diminué, ce qui me vaut de ne toujours pas accéder au tant convoité classement des 10 meilleurs critiques du site. Je me place donc en grève, en attendant une évolution de la situation.

Etant un habitué des albums de musique, j'avais avant même de lancer l'album reperé le derneir son de 10mn, et savait déjà que l'objectif était de cacher une chanson, comme de nombreux illustres groupes l'ont fait par le passé. Cette pratique extrêmement chiante il faut bien le dire, permet toujours au groupe l'utilisant de caler un sample egyptien de pyramide dans la plus grande discrétion. Ici, The Offspring vont plus loin, se déguisant absolument tous en sphynx, et restant immobiles a quates pattes pendant de longues minutes. L'un des membres va même jusqu'a se couper le nez. Un spectacle original, se déroulant donc dans l'intimité la plus totale d'une fin d'album des plus secrètes. Un délice.

Une incompréhension totale à l'écoute de cet album. Que cherche à nous dire John Zorn? Quel message tente t'il de nous faire parvenir? Je vais tâcher de percer le mystère John Zorn, et reviendrai vers vous dès que j'ai du nouveau.

Cet album a été enregistré dans des conditions exécrables. En effet, un volatile est venu se glisser dans la caisse claire du batteur du groupe. Ceci va complétement venir gâcher la prestation proposée sur cet album. Dans la première partie de l'album, les différents membres du groupe vont venir tenter d'amadouer le volatile, à l'aide de différents appâts. Le volatile répondra par de nombreux cris et gloussement, mais ne se décidera pas à sortir de sa cachette. Dans la seconde partie de l'album, le batteur tenta d'utiliser ses baguettes afin de doucement pousser le volatile vers la sortie de la caisse, mais là aussi, tout ce qui sera obtenu sera des cris et gloussements de la part du volatile. Enfin, la troisième et dernière partie montre un groupe résigné à accepter la présence du volatile, qui fait désormais partie intégrante du groupe et de leur enregistrement musical, pour le plus grand bonheur de tous les ornithologues.

L'auteur de cet album s'est bien foutu de notre gueule. En effet, ce dernier, après une mauvaise journée passée sur son lieu de travail, s'est contenté d'ouvrir son micro et de gémir dedans pendant 42 longues minutes. Une performance indigne de la liste de Robert, qui est d'ailleurs très déçu et devrait procéder à quelques sanctions. Je vous tiens au jus.

J'ai bien écouté cet album comme convenu dans la charte du générateur, malheureusement j'ai oublié d'écrire mon review une fois celui ci terminé. Par conséquent, cet album étant fort peu intéressant, ni même remarquable, je n'ai evidemment plusieurs heures après rien à en dire. Néammoins demain Elvis Costello sera au menu, et je compte bien lui faire sa fête. A très vite.

Cela faisait 9 mois que cet album apparraissait assombri, avec un cadenas aposé sur sa pochette dans ma bibliothèque Spotify. Aujourd'hui enfin, après 9 long mois d'attente, nous avons pu débloquer le bijou de Jeff Buckley. Tel un bon vin, cet album, grâce à la censure totalitaire imposée par Robert, s'apprécie d'autant plus. Pour cela, je remercie Robert, qui n'hésite pas à user de sa force autoritaire pour nous dicter des lois toutes plus formidables les unes que les autres. Merci Robert, tu fais de la population générateurienne une grande population, à la race pure et aux valeurs intactes.

Elvis Costello possède une voix absolument ignoble. Sa musique s'en trouve forcément impactée, et sa multiple présence dans la liste est donc difficilement explicable. Une émeute a d'ailleurs débuté à ce sujet dans la matinée du Lundi 31 Janvier 2022, vite désamorcée par les multiples CRS envoyés par Robert pour rétablir l'ordre. Vous vous demandez surement également, comme tous ces émeutiers, pourquoi Elvis Costello est autant protégé par Robert? C'est très simple, ces deux hommes, très amis, partagent un lourd secret. Suite à une rixe avec les 15 membres de Stephen Stills dans un bar londonien, Costello se vit contraint de kidnapper Ray Charles. Afin de l'incarcérer, Costello se tourna vers son ami de toujours, Robert, qui fit préparer une celulle pour l'occasion dans la cave de son domicile (mitoyenne à celle des New York Dolls, mais tout ça, vous le saviez déjà si vous lisez mes reviews). En échange, Elvis Costello donna plusieurs de ses albums à la liste des 1001, un échange de bon procédé somme toute. Mais revenons sur cet album. Il est, comme attendu, absolument moyen, Elvis Costello se contentant de tordre sa voix horrible dans tous les sens pendant plusieurs longues dizaines de minutes. Le problème, et ce qui n'aide d'ailleurs pas notre ami Elvis, c'est que je débutais cet album de très mauvaise humeur. Et pour cause. Cela fait plusieurs semaines que je tente de réintégrer le top 10 des meilleurs critiques du générateur. Je vérifie par conséquent régulièrement la 10ème place de ce classement, pour voir si une évolution a eu lieu. Or, à chaque fois que je clique sur le bouton me présentant le 10ème meilleur critique du générateur, la face ridicule de Elvis Costello, prostré derrière son appareil photo apparaît sur mon écran. Et oui, le soit disant 10ème meilleur critique du générateur, ayant abandonné l'aventure depuis longtemps, nous a quitté en laissant un 5/5 final à cet album ridicule de Elvis Costello. Ceci en dit long sur les réels goûts de ce petit con, et sur ses potentiels liens avec Robert. Malgré tout, j'accorde à cet album la note de 3/5, les Attractions n'ayant rien demandé à personne.

Le problème de Queen, je vous le donne en mille, c'est que certes, ils ont proposé un nombre de titres légendaires hallucinnants sur leur carrière. En revanche, ils sont incapables de tenir un album, la faute à une endurance très en dessous des standards. Cet album le démontre très bien, puisque Freddy Mercury va venir faire irruption sur cet album avec une énergie folle, multipliant les jeux de voix exceptionnels. Les musiciens le suivent, tout comme les auditeurs, dans une belle symbiose. Seulement, après quelques chansons dans une ambiance incroyable, Freddy Mercury commence à suffoquer, et demande une pause à ses musiciens. Il ira s'asseoir sur un banc au bord du studio, et ce pour la demi-douzaine de sons qui suivent. Une fois requinqué, et de nouveau bouillonnant d'energie, Freddy Mercury reviendra nous offrir le titre légendaire Bohemian Rhapsody, avant de s'effondrer de fatigue sur l'épaule de son bassiste.

Comme vous le savez désormais, avant même les débuts du générateur des 1001, j'étais déjà en train d'essayer de confectionner le parfait générateur pirate. Alors qu'aujourd'hui trois superbes générateurs pirates me permettent de générer de nouveaux albums à volonté, les premiers prototypes étaient beaucoup moins convaincants. Par exemple, l'un des premiers prototypes ne me proposait que des albums de The Police. Après deux albums écoutés dans la douleur, j'abandonnais logiquement ce prototype, la faute à une diversité vous l'aurez compris pour le moins discutable. Je garde depuis un très mauvais souvenir du groupe The Police, et c'est pour cela que je lui accorde la note de 3/5.

Vous aviez découvert le producteur de Nico dans une critique précédente de mon compagnon d'écoute, l'invétérable robplumière. Celui-ci allait même jusqu'à affirmer que ce mystérieux producteur, utilisateur compulsif de portails rouillés et autres flûtistes débutants, n'était autre que Jim Morrisson. Je n'irai pas à m'avancer jusque là, ne connaissant pas tous les détails de l'enquête, mais j'ai moi aussi pour ma part pu éclaircir un peu plus le mystère entourant ce mythique producteur. Après avoir causé la dépression de Nico, suite à la publication de l'album Chelsea Girl, dans le contexte que vous connaissez, le sombre producteur dû se trouver un nouveau pied à terre (Nico ne souhaitant plus collaborer avec elle pour des raisons évidentes). Il prit alors un avion direction le Brésil, où il rencontra une troupe de joyeux hippies. Alors que ces derniers chahutaient dans leur crasse, le producteur noir prit à partie un des membres de la troupe. "Vous êtes vraiment sympas, ça vous dirait de faire de la musique?" Le membre hippie lui retorqua dans un brésilien parfait qu'ils n'avaient jamais fait de musique, et qu'ils ne savaient ni chanter, ni jouer de quelconque instrument, mais le producteur obscur lui fit comprendre qu'il n'y avait pas à s'inquieter, qu'il allait s'occuper de tout. Il prit soin de regrouper tout ce petit monde au studio, qui se retrouva rapidement recouvert d'un nuage causé par les multiples projections de marijuana sur les murs, quand dans le même temps, un deuxième avion atterissait dans le plus grand secret sur le sol brésilien. A son bord, toute la panoplie du producteur démoniaque: des portails rouillés de toute taille, allant du portillon aux grands portails de chateau, ainsi qu'une nouvelle troupe de flutistes débutants, jouant tous plus faux les uns que les autres. La suite, vous la connaissez, l'album Os Mutantes vit le jour, et l'identité de celui que nous appellerons désormais le producteur aux portails reste un mystère dans l'industrie musicale.

Le lundi n'est pas une journée que j'apprécie particulièrement, c'est pourquoi la qualité de mes reviews tent à diminuer en cette journée. En effet, dès mon reveil, j'ouvre le générateur après 3 jours de pause comme chaque semaine. De là, je me retrouve systématiquement noyé sous une multitude de commentaires de mon camarade d'écoute robpellemèle, qui accorde des notes ahurissantes à chaque album que Robert met gentillement à notre disposition. Cet effet s'estompe progressivement au fil de la semaine, d'où le regain en qualité de mes reviews courant mercredi.

Si l'absence de talent avait un nom, ce serait sans aucun doute Dirty Projectors. J'ai de plus très peu apprécié le moment où le chanteur du groupe, en plein milieu de sa "performance", avale soudainnement le soleil, avant de nous le recracher à la figure dans un ray de lumière éblouissant. Un album à fuir donc.

J'ai beaucoup aimé ce festival de bruit. The Prodigy ne cesse de nous surprendre en se montrant un peu plus bruyant à chaque apparition. Le pic de l'album est sans conteste le moment où le bruit proposé par The Prodigy nous force tout simplement à éloigner le casque de nos oreilles. C'est à ce moment là qu'on réalise à qui l'on a réellement affaire, un groupe devenu maître dans l'art de la nuisance sonore.

Cette bande de joyeux compagnons m'a mis de bonne humeur en ce mardi matin dès les premières notes de leur album. En revanche, quelques minutes plus tard, mon humeur a viré du tout au tout. J'ai en effet fait une découverte très désagréable: les pistes de l'album ne sont pas organisées dans l'ordre sur Spotify. Une erreur majeure qui coûtera aux Pogues une potentielle très belle note.

J'ai eu la chance de tomber sur la version "Alben für die Ewigkeit" de l'album du jour, ce qui m'a permis de profiter d'une performance exceptionnelle. En effet, en plus des enregistrements originaux de Sananda Maitreya (ou Terence Trent D'Arbanville, c'est au choix), des adlibs issus des plus grandes personnalités de la musique allemande ont été rajoutés à chaque pré-refrain. Ici, c'est RIN qui vient nous gratifier de son "oh junge" legendaire. Là, c'est Sido qui vient répéter sans interruption "der beste Rapper ich bin". Nous avons même la chance d'assister à un salut nazi parfaitement efectué de la part de Xavier Naidoo en fin d'album. Une version collector à mettre entre toutes les mains.

Michel Sardou est un artiste de légende, ayant marqué le paysage musical français, cela va sans dire. Je vais néammoins aujourd'hui vous révéler le gros problème qu'aura connu Michel Sardou tout au long de sa vie. Nous sommes en 1982, quand Michel Sardou, déjà auréolé de sa couronne d'artiste majeur de la chanson française, s'en va en studio nous produire un titre qui va complétement changer sa vie. La chanson "Les lacs du Connemara" était née. En l'espace de quelques semaines, la chanson devint tout simplement virale. Le succès était phénoménal, et Michel Sadou se réjouissait de cette situation. Mais c'était la le début des problèmes pour Michel. Après quelques semaines, le tube était toujours sur toutes les langues. Les gens interpellaient Michel dans la rue de façon de moins en moins subtile. "Eh Michel, comment ça va au Connemara ?" "Eh Michel, tu peux nous faire la météo du ciel irlandais ?" *Eh Michel, t'es là... baaaaaaas au Connemara ? C'est ta chanson les lacs du Connemara Michel !" Cela commençait à devenir tout bonnement invivable. Le problème, c'est que le titre était devenu un hymne pour toute la population des différents bars de France. Et cette tradition perdure encore, des années après, les jeunes en manque d'identité n'hésitant pas à rappeler qu'ils adorent la chanson "Les lacs du Connemara" afin de montrer qu'ils appartiennent au groupe social des buveurs de bière. Michel Sardou ne parviendra jamais à se détacher de sa chanson, qui lui collera à la peau pendant des années, et lui colle aujourd'hui encore à la peau, faisant oublier le reste de sa discographie pourtant de bonne qualité.

J'ai passé de très douloureuses dernières 18h. En effet, hier soir, au moment de faire ma vaisselle comme chaque soir, le niveau d'eau de mon évier restait figé. La conclusion était évidente: mon évier était bouché. Après de multiples tentatives d'usage de différents produits chimiques et autres recettes de grand-mère, je me rendis dans mon magasin de bricolage pour y récupérer une ventouse très puissante. Une fois rentré, j'appliquais la ventouse sur l'entrée d'eau de l'évier, et pressait à de nombreuses reprises, non sans avoir bouché l'autre entrée d'eau avec un chiffon au préalable. Après une vingtaine de coups, je sentis quelque chose heurter ma ventouse. Je soulevais alors cette dernière à l'aide du manche, et découvrit alors un petit bout de Frank Zappa, qui était probablement bloqué dans la tuyauterie et empéchaît l'écoulement correct de mon eau. Cette mauvaise expérience derrière moi, et j'ai pu replacer le petit bout de Frank Zappa dans ma poubelle.

Joni Mitchell nous propose sur cet album une démonstration de comment complétement rater son imitation de Lana del Rey. Tout est absolument raté, aucune émotion n'est transmise. A ne reproduire sous aucun pretexte.

Alors que cet album démarrait sur les chapeaux de roues, avec un Neil Young extrêmement touchant, nous transportant à l'aide de sa seule voix et de ses instruments, la suite nous a tous laissé sans voix. Mais laissez moi vous expliquer ce qu'il s'est passé. Tout d'abord, il faut savoir que cet album a été enregistré en live dans une petite salle de concert de Nashville. Cette salle de concert présente une particularité, c'est qu'elle est située en pleine campagne, loin de toute civilisation. Alors que tout le monde s'installe dans la salle, se réjouissant d'entendre Neil Young les bercer de sa voix, un homme va commettre une erreur. Cet homme, c'est l'intendant de la salle de concert de Nashville. Ce dernier avait été mis au courant: il faut absolument que tu fermes à double tour la porte menant vers l'exterieur de la salle de concert. Pourtant, équipé de son crayon à papier dissimulé derrière son oreille, il oubliera ce détail qui lui semblait futile, et laissa la porte entrouverte. Après une dizaine de minutes de concert, c'est la que le drame se produit: une horde de chevaux sauvages fit irruption sur la scène au galot, détruisant tout sur son passage. Le bruit des sabots frappant le parquet de la scène camoufle complétement la voix de Neil Young, ainsi que les différents "Huuuuuuh" jetés ici et là par ces chevaux absoluments déchaînés. C'est dans cette panique la plus totale que les 20 dernières minutes de l'enregistrement se dérouleront, laissant un arrière goût amer à cet album, qui démarrait comme expliqué de fort belle manière.

Je tiens à prendre les devants suite à l'événement s'étant produit hier. J'ai en effet brisé l'un des commandements du générateur par erreur, contre mon gré. Vous n'êtes pas sans savoir que je possède plusieurs générateurs pirates, que j'ai déjà évoqués dans de multiples reviews d'albums. Or, l'un de ces générateurs a présenté un dysfonctionnement, et m'a généré automatiquement l'album Heroes de David Bowie. Mes générateurs pirates sont conçus pour ne me donner que des albums ne figurant pas dans la liste de Robert. Pensant le système infaillible, j'écoutais cet album, sans me douter qu'il figurait dans la liste des 1001 albums à ne surtout pas écouter avant qu'ils soient générés. Après quelques minutes d'écoutes, je reçus immédiatement un message de robdenayer, m'invectivant d'un "Eh mais t'écoutes Bowie là ?!". Je compris immédiatement que j'étais dans l'erreur, et avouait directement ma faute à Robert. En revanche, je ne compris pas comment rob avait pu être alerté aussi rapidement. Je vérifiais donc les réglages de mon générateur pirate, et y découvrit un virus, déposé là par un hackeur du nom de "RobCrusaders". Je fis donc rapidement le lien entre ce hackeur et l'ignoble rob, et clarifiait une deuxième fois toute la situation à Robert. Ce dernier se montra magnanime: il générera seulement une liste de 5 mauvais albums à la suite en guise de punition, et me fit jurer, pieds et poings liés, que cela ne se reproduirait plus.

Je m'excuse auprès de tout le monde pour cette série d'albums insipides que nous devons nous coltiner, j'en suis le principal responsable comme expliqué dans mon review précédant. Tout devrait revenir dans l'ordre dès demain, puisque Robert nous a promis un album de Radiohead pour repartir sur les chapeaux de roues après cette punition bien méritée. Le firewall anti virus robien a été rétabli sur mon générateur pirate, aucune nouvelle erreur ne surviendra de mon côté, ce qui nous permettra de profiter pleinement de l'expérience offerte par Robert.

Cet album n'a présenté absolument aucune surprise. Comme tout album de Radiohead, il est en effet d'excellente qualité. En revanche, comme tout album de Radiohead, il ne sera jamais réecouté. Robert ne s'y est pas trompé puisqu'il a delivré à chaque utilisateur du générateur une version jetable de l'album, qui s'autodetruit dès la dernière piste terminée.

J'ai écouté très attentivement cet album, mais je suis au regret de vous annocner que la liste de Robert ne me fait actuellement plus bander. Les albums insignifiants s'enchaînent à une vitesse éclaire, et l'on commence à douter des réelles motivations de notre gourou suprême à tous.

La série noire du générateur se poursuivant jour après jour, et ce malgré la promesse de Robert de ne la faire durér que 5 jours, je commençais à me trouver de plus en plus excédé. Cet enervement a dépassé la limite du raisonnable à l'écoute de cet album absolument minable de Bob Dylan, et j'ai donc pris une décision: j'allai me rendre au domicile de Robert pour lui toucher deux mots sur ses manières peu orthodoxes. Je me présentais sur son parvis, et poussais la porte menant dans son entrée. A ma grande surprise, je ne suis pas accueilli par un chaleureux "Ah eltrapèze, ça faisait longtemps, installe toi !" comme Robert en a l'habitude, lui qui me considère comme la prunelle de ses yeux. Un silence pesant régnait dans l'habitacle. Je trouvais cela un peu étrange, Robert ayant pour habitude à cette heure de la journée de coordonner différentes actions policières aux quatre coins du monde depuis son bureau, donnant sur la porte d'entrée. Je me dis qu'il s'était peut-être eabsenté pour quelques minutes, et décidait de passer le temps en rendant visite à Ray Charles, dans sa gêole présente au sous-sol. Une fois la vingtaine de marches avalées, ce fut le choc: la cellule de Ray Charles avait été forcée, et le pauvre soulman n'était plus à l'intérieur ! Qu'avait-il bien pu se passer ? Devant ma mine effarée, les New York Dolls m'invectivèrent de leur voix de crecelles: "Hiiiiiiiiiiihihihi tu cherches Ray Charles?" "Oui, que lui est t'il arrivé ?! Vous êtes ses voisins de celulles depuis des années, vous savez forcément ce qu'il s'est passé ?!" "Monte au premier étage hiiiihi, mais tu risques d'être surpris hihihiiiii" Les New York Dolls se mirent à éclater de rire de leurs voix aigües sur cette dernière phrase. Il faut savoir que je n'ai normalement pas le droit de me rendre au premier étage de la maison de Robert, puisque cet étage renferme ses immenses quartiers, qui sont interdits d'accès à quiconque ne fait pas partie de la famille Dimery (Robert et Mike Ladd en l'occurence). C'est le pas tremblotant que j'entamais l'escalade des pas moins de 230 escaliers menant à ce lieu secret. Alors que je m'approchais de la dernière marche, j'entendis les bribes d'un dialogue. "Tu vas payer pour tes actes" [...] "Mais c'est la faute des Stephen Stills..." [...] "Je vais te faire vivre un calvaire". Je décidais alors de faire irruption dans la salle pour en avoir le coeur net. "Mais qu'est-ce qui se passe ici ?!" Ce que je découvrit me fait encore frissonner à l'heure où j'écris ces lignes. Robert était ligoté au sol, la semelle d'un homme sur le visage. Cet homme, c'était Ray Charles, complétement métamorphosé. Il était equipé d'une longue cape noire, et d'habits eux aussi entièrement noirs. Son visage était obscur et renfermé, ses yeux enflammés de haine. Le Dark Ray Charles se retourna vers moi brusquement: "Déguerpis si tu veux avoir la vie sauve, rien ne m'arrêtera, Robert doit payer:" Terrifié, je courrus en sens inverse les 250 marches précedemment avalées, comprennant soudainement ce qu'il s'était passé: les albums de la liste n'étaient plus générés par Robet mais par le Dark Ray Charles. Il fallait absolument intervenir pour rétablir l'ordre générateurien.

Cet album est le début d'un arc germanique initié par le Dark Ray Charles, qui devrait nous ammener le long du territoir allemand. La première étape de ce voyage initiatique est Hamburg, et devrait prochainement être suivi de Cologne, Munich pour enfin se poser en Basse-Saxe, à Luneburg. Un festival de sonorités qui ravira petits et grands.

Alors figurez vous que j'ai écouté cet album, et n'en ai pourtant aucun souvenir, si ce n'est une reprise éhontée de War Pigs. Il me semble cependant avoir passé un bon moment, 3/5 donc.

J'ai énormement apprécié le clin d'oeil de Led Zeppelin à son public français, avec la présence d'un Nikos Aliagas absolument déchaîné sur la totalité de l'album. Ce dernier commence par nous donner les dernières actus sur Lolo Ferrari, avant de nous parler du Festival de Cannes à venir. Ensuite, il repétera à intervalles réguliers ses phrases telles que "Salut c'est Nikos" ou encore "ça buzze ça tweete". Enfin, il nous proposera un tour d'horizon de l'actu people en moins de 60 secondes.

Cet album, comme de nombreux autres, a été marqué de la patte du célébre Jim Morrisson. Nous sommes en 1975, dans le célèbre RheinEnergie Stadium. Après une victoire de l'Allemagne face à la Suède scéllée grâce à un doublé de Lukas Podolski, enfant de la ville, un concert sera organisé mettant en scène le jazzman Keith Jarett. Ce dernier devait venir proposer une heure de show, offrant son fabuleux piano-voix à la population homosensible de Cologne. Ce dernier sera accompagné de Jim Morrison à la technique, qui devra s'occuper de toute l'ingénieurie sonore, comme à son habitude. Quelques heures avant le concert, Jim monte sur scène, équipé de son crayon derrière l'oreille, et procéda aux derniers ajustements. Il tourna notamment le microphone en orbite sur 3.5 tours, avant de s'écrier "Là c'est bon, tout est prêt". La suite, vous la connaissez certainement désormais. Keith Jarrett va chanter une heure durant dans le micro, sans se douter que ce dernier ne captait absolument pas sa voix. Le public, un peu décontenancé, apprécia cependant cette heure instrumentale.

Cet album ne m'a procuré aucun intérêt particulier, ressemblant comme deux gouttes d'eau à de nomrbeux autres groupes moyens entendus jusque là. J'en profite pour adresser un message à Robert: nous traversons actuellement une crise du générateur sans précédent, et réclamons les Red Hot très rapidement, sans quoi nous n'hésiterons pas à migrer la population générateurienne sur l'un de mes générateurs pirates. A vos actes monsieur Dimery.

Cette bande de joyeux insulaires nous propose un deuxième album qui met de très bonne humeur pour démarrer la journée. L'occasion pour moi de profiter d'un rayon de soleil, et de me rendre chez mon "Haarfriseur" local afin de me refaire une beauté.

Un somptueux album de la part du second artiste islandais de ma journée. En effet, vous n'êtes pas sans savoir que je suis en possession de plusieurs générateurs pirates, et aujourd'hui mon générateur pop m'a proposé l'excellent groupe KALEO. Une journée donc placée sous le signe du grand froid, que je compte compléter en me jouant quelques chansons du dernier album d'Ed Sheeran, figure de proue de la rayon surgelé pop.

On pourrait me reprocher de ne pas appliquer mes reviews en ce moment, mais rendez vous à l'évidence: c'est toujorus mieux que mon camarade d'écoute robpoirière qui présente actuellement à son actif une dizaine d'albums de retard. Un comportement scandaleux, que je ne manque de rapeller à Robert chaque matin. Ce dernier n'a pas encore décidé de la moindre sanction à l'égard de rob, mais je vous tiendrais au courant de l'avancée de ce dossier.

Je ne garderai pas un grand souvenir de cet album, ni du premier album de la part de ce groupe d'ailleurs. Petit point sur la situation de rob, qui depuis mon dernier review datant d'une heure, n'a toujorus pas daigné écrire le moindre review de son côté. Une situation innaceptable, qui nous met tous directement en danger en nous exposant au courroux de Robert. Affaire à suivre.

Je tiens a remercier chaudement toute l'équipe de Weather Report, grâce à qui j'ai pu profiter plusieurs fois pleinement profiter de mes vacances. Grâce à une prévision météo à 7 jours des plus précises, j'ai pu amménager mon emploi du temps lors de visites de plusieurs pays, afin d'éviter le mauvais temps. En lançant l'album d'aujourd'hui, j'ai également pu réamménager mon planning de la semaine, me décidant à annuler ma sortie à vélo prévue pour jeudi, grâce à l'annonce d'une perturbation sur tout le nord de la Suisse alémanique lors de la piste 5 de l'album. Encore une fois, un grand merci à Weather Report.

Ce groupe est branché sur courant alternatif, proposant des chansons exceptionnelles, suivies de chansomns absolument incomprehensibles. Malheureusement, l'electricien sensé passer au studio pendant l'enregistrement de l'album pour fixer ce problème d'approvisionnement electrique n'arrivera jamais à temps, ce qui nous empêche de profiter d'un album régulier.

Non content de nous avoir cassé les oreilles sur un premier album encore aujourd'hui considéré comme le pire album de cette liste, Sepultura revient avec un projet grandiloquant d'1h16. Malgré quelques promesses intéressantes d'un projet certes heavy metal mais digeste, Sepultura ne pourra jamais tenir l'auditeur pendant toute la durée de l'album. Pire encore, pour ajouter à leur médiocre musique, Sepultura a profité de la visite du producteur aux portails dans leur pays de résidence, le Brésil, pour l'inviter sur la dernière piste de l'album (le producteur aux portails étant présent sur place suite à sa collaboration avec Os Mutantes, voir la review de leur album). Difficile de laisser passer toutes ces erreurs, Sepultura s'en tirera néammoins avec un 2/5, soit le double de la note du très critiqué Arise.

Je suis un fervent hater de Coldplay, je ne supporte en effet pas la voix de leur chanteur, ni son facies. Je deteste également leur tube Viva la vida, et également une longue liste d'autres tubes tous plus niais les uns que les autres. Cet album est a vrai dire plutôt correct, mais pour l'ensemble de leur oeuvre, j'attribue a Coldplay la note de 3/5.

Pendant 38mn, les membres du groupe Happy Mondays vont tenter d'utiliser absolument tous les codes des années 80 pour essayer d'obtenir un semblant de succès. Malheureusement, ils resteront tout du long à côté de la plaque, ne parvenant jamais à toucher dans le mille.

Je suis beaucoup moins dithyrambique que mon camarade d'écoute l'inusable robdewaulter, l'album est en effet très bon, mais bien loin de pouvoir s'accorder les faveurs d'un 5/5, ni même d'un 4.5. De plus, contrairement à rob, je n'ai pas la mémoire courte, et me rapelle aisément aux précédents albums absoluments minables proposés par ce groupe.

C'est bien simple, James Taylor est en fait une version évoluée de Gene Clark. En effet, James nous porpose une country impeccable pendant 30 délicieuses minutes, qui parvient même à surclasser celle de son grand ami Eugene Clark. Seul petit bémol, une présence scénique inexistante, James passant l'intégralité de l'album prostré sur son tabouret, à plusieurs mètres du jury. Il faudra travailler l'aspect chorégraphie de sa performance, sans quoi la place en finale risque d'être compromise.

Un album bien américain, construit dans le but de faire pleurer dans les chaumières des ménagères quarantenaires du pays de l'oncle Sam. Ce n'est donc absolument pas surprenant de voir mon compère ropvipère lui accorder la note de 4/5, lui ayant une fragilité et une émotivité au-dessus de la moyenne. En effet, rob en vient aux larmes très rapidement, ce qui le rend attachant mais également extrêmement irritant. Dernièrement par exemple, je disais à rob qu'il en faisait peu être un peu trop sur le dernier album des Who. rob se mit alors à fondre en sanglots, laissant un "Mais pourquoi tu dis ça?" sortir de sa bouche. Pour ma part, je n'accorde à cet album que la note de 3/5.

Cet album n'avait aucun intérêt particulier, si ce n'est de confirmer la théorie selon laquelle pochette ignoble = mauvais album. Le seul album dérogeant à cette règle étant bien évidemment le superbe Comme une étoile de Gilbert Montagné.

Cet album demarrait de la meilleure des manières, avec des solos de guitare chaloupées, et de fantastiques rythmiques proposées par les différents musiciens du groupe. Quand dès la deuxième piste, l'album pris une toute autre tournure. En effet, dès lors, un personnage absolument consternant va venir faire son apparition. Au premier abord, ce personnage que nous appelerons M., nous apparait des plus sympathiques. Il arbore en effet une bouille bien ronde, avec son crane chauve et sa bedaine mignonnette. Lorsqu'il s'exprime, un leger cheveu sur la langue vient rendre le dialogue chantonnant. Il tente d'ailleurs tout de suite de nous mettre à l'aise, avant même que les instruments débutent la deuxième piste. "Inzstallez vous, auzourd'hui z'est la CAN" Mais ne vous y trompez pas: derrière le gentil M. se cache en fait un personnage redoutable, aux idéaux racistes extrêmement limite. "çza z'est pas ma CAN çza" lorsque le guitariste noir du groupe commencera son solo. Ce seront ses premières paroles, qui en emméneront de nouvelles toutes plus limites les unes que les autres, que je ne peux retranscrire dans ce review, pour ne pas offenser mes amis africains. Ce suprémaciste blanc répondant au nom de M. sera instoppable, et viendra complétement ruiner l'écoute de cet album. Je demande d'ailleurs aujourd'hui sonnalement à Robert, au nom de la lutte contre le racisme, de retirer cet album de sa liste.

En cette matinée du 9 mars 2022, Robert a donc décidé de nous enchaîner la gueule de deux albums de rock experimental. Les deux albums sont evidemment cataclysmiques, le premier nous présentant differents primates hurlant sur un fond de tam tam, tandis que le second passe en revue tout l'assortiment du rayon quincaillerie de Bricot Depot. Ceci a generé non pas un album mais une haine phénoménale en moi. Je me suis donc dirigé directement chez Robert, suis rentré dans son domicile sans frapper, et me suis rué sur ce dernier dans un élan de fureur. Je l'ai attrapé par le col, et rué de coups, afin qu'il retienne bien la leçon. Une fois son quart d'heure terminé, il m'a certifié qu'il tenterait de faire mieux sur les prochains albums.

Un très bon album de la part de ces joyeux singes. Cet album était d'ailleurs une très belle représentation de l'essence même du générateur, de la l'ADN Robert. En effet, cet album des années 60 était une copie conforme des Beatles, comme de nombreux autres albums avant cela. Même si les Monkees ont tenté de se démarquer en recrutant Zac Effron, visible sur la droite de la pochette avec son pentalon doré ridicule, on peine malgré tout à les considérer comme autre chose qu'un simple sous Beatles.

Cet album n'a trouvé que mon desintérêt le plus total. Fort heureusement, la version deluxe contenait la chanson "J'écoute du Miles Davis" de Navii, ce qui a permis de pimenter un peu le tout, pour un resultat qui reste très médiocre. Il va falloir que Miles Davis se reprenne en main dans les prochaines années, si il veut enfin réussir à exprimer son potentiel.

La dernière piste de cet album a provoqué une situation que nous aurions tous souhaité éviter. En effet, dans la dernière chanson de leur album plus que moyen, les Gun Club invitent Jony à se retirer, l'invectivant à de multiples reprises à l'aide de "Goodbye" prononcés tantôt d'une voix douce, tantôt d'une voix plus ferme. Seulement, le caractère sulfureux de Jony est connu de tous. A l'écoute de cette outro, il devient absolument furieux et intenable, fracassant tout sur son passage. On peut entendre sur les deux dernières minutes de la piste les chaises voler et les murs se briser. Une véritbale cacophonie qui ne vient pas servir un album déjà trèS limite.

Ce groupe faisant partie de la grande famille des equipements electroniques, dans laquelle on retrouve par exemple Radiohead ou encore le groupe français Téléphone, nous propose un album en demi-teinte. En effet, comme l'a très bien souligné mon camarade d'écoute robturistuperds, le chanteur est en grande difficulté sur toute la durée de l'album. Je vous invite d'ailleurs à le soutenir via la cagnotte ouverte par rob. Cette faiblesse au chant est dommageable, car tout l'attirail electronique était en revanche bien au rendez-vous: les cables RVB étaient parfaitement branchés, le téléviseur correctement connecté à l'alimentation centrale, on pouvait même distinguer un cable HDMI prêt à être utilisé. Un album au gout amer, qui recolte donc la note de 3/5.

Ce gaillard est tout bonnement excellent, je ne le connaissais que de nom, force est de constater que sa réputation n'était pas fortuite. Je regrette en revanche les odeurs de cannabis s'échappant du CD sur les premières pistes. Meme si ces dernières viendront s'estomper assez rapidement, elle auront eu le temps d'un peu ternir mon plaisir à l'écoute.

Je ne connaissais Moby que pour le célèbre épisode l'ayant opposé à Eminem. Comem vous le savez tous, début des années 2000, Moby était tranquillement attablé en terrasse d'un restaurant de Detroit, profitant d'une belle journée avec ses amis. Soundain, Eminem passait dans la zone, et sans que personne ne comprenne vraiment pourquoi, se mit à insulter copieusement Moby, qu'il ne connaissait pourtant ni d'Adam ni d'Eve. Moby, sous le choc, en perdit l'apétit, et pris congé de ses amis, laissant une somptueuse salade niçoise à moitié entamée sur la table. Si vous vous dites que cet épisode hubuesque est complétement injuste pour le pauvre Moby, vous vous trompez lourdement. En effet, cette "conversation" (terme discutable puisque Moby n'eut le temps de prononcer le moindre mot) fut relayée dans les médias, et Moby jouit après ça d'un succès fulgurant. L'opinion publique ayant été prise d'affection pour ce jeune chauve, il dû se resigner à démarrer la musique, ce qui nous ammène à cet excellent album.

L'écoute de cet album a été gâchée par une réflexion m'ayant accompagnée tout au long des 50 minuts proposées par Elvis Costello & The Attractions: mais pourquoi diable les Attractions n'ont-ils pas sorti un album solo.

Ce matin, un phénomène surnaturel s'est produit. En effet, au moment même où je terminais cet album, j'avais déjà oublié ce qu'il contenait.

Excellent album de la part de cet enorme balourd, qui m'a même fait songer a lui accorder la note de 4/5. Malheureusement, les bruits de miettes intempestifs présents ici et là tout au long de l'écoute m'ont dérangé, et je parlerai même pas de l'énorme gargouillement ventral de fin d'album.

J'ai une histoire assez particulière avec cet album de Kraftwerk que je vais vous raconter brièvement. Il y a de cela 2 ans et demi, je démarrait mon nouvel emploi dans une grande entreprise internationale par une journée d'intégration. Après nous avoir donné deux trois généralités au sujet de l'entreprise et des locaux, du matériel informatique fut distribué à chacun d'entre nous. Une fois tout le monde servi, il était temps de tester le matériel. Tout d'abord l'ordinateur portable, qui après quelques manipulations fût rapidement allumé sur le bureau de chacune des nouvelles recrues. C'est alors qu'un intervenant passa dans les rangs, distribuant le CD "Trans Europe Express" de Kraftwerk à chacun des employés. Il nous fut alors demandé d'insérer le CD dans le lecteur de l'ordinateur prévu à cet effet, et de nous équiper de notre casque audio. Après 40m d'écoute, l'intégralité du systéme audio était parfaitement réglée, et aucun bruit parasite ne venait entâcher l'écoute. Cela fait donc 2 ans et demi que cette anecdote a eu lieu, et je ne déplore pas le moindre soucis acoustique depuis cette date.

Ce style musical est toujours aussi usant mentalement, nous enchaînant la gueule de titres très courts tous similaires les uns aux autres. A la suite de cette grande épreuve psychologique, j'accorde la note de 3/5.

Je vais vous raconter dans ce review l'histoire saugrenue derrière la couverture de cet album. Tout d'abord, il est bon de replacer le contexte, et de rappeler que cet album a été enregistré AVANT l'épisode de la guitare. A cette époque, Bruce n'avait donc pas encore engagé sa tentative de reconversion, et jouissait d'une beaufitude des plus totales. Nous sommes le 12 mars 1978, quand Bruce a rendez-vous avec un photographe réputé, professionnel de la couverture d'album. Ce dernier demande à Bruce de poser devant une fenêtre, volets fermés, afin d'accentuer le noir de la veste portée par Bruce. Il conseille également à Bruce de prendre un regard sérieux, presque séducteur, afin d'ajouter à la gravitude du cliché. Au moment où le doigt du photographe rentre en contact avec la détente de l'appareil photo, l'impensable se produit: Bruce dégrafe son pentalon, laissant apparaître son appareil génital. "Mais qu'est ce que tu fais Bruce ?!" s'exclama le photographe, stupéfait. "Bah c'est mes boules, mes grosses couillasses" rétorqua Bruce, avant de partir dans un rire gras. Le photographe étant choqué, et le cliché malgré tout plutôt réussi, il fut décider de rogner la photo, afin de ne laisser apercevoir que le haut du corps de Bruce en guise de couverture d'album.

Un mot pour définir cet album: incompréhension.

J'écris ces quelques lignes dans une colère noire: cela fait maintenant plusieurs semaines, que dis-je semaines, cela fait maintenant plusieurs mois que Robert s'amuse à nous distiller des albums d'une banalité effarante, dénués de tout intérêt. Chaque matin quand je me reveille et me rend sur mon générateur, qui autrefois fut mon générateur favori, je ne vibre plus, je suis résigné d'avance à voir un nom complétement inconnu s'afficher sur mon écran. Une fois l'album lancé, 30 secondes me suffisent en général pour décréter que l'album sera inintéressant. Je n'ai rien contre les Spacemen 3 en particulier, ils ne sont pas plus nuls que les autres, ils arrivent tout simplement au mauvais moment. Pour l'ensemble de l'oeuvre de Robert, je vais donc accorder la note de 2/5 à cet album, faisant d'avantage office de bruit que de musique. [...] Mea culpa, j'ai écrit ce review avant d'avoir fini l'album, les Spacemen 3 méritent amplement ce 2/5, voir même plus puisque je vais leur accorder la note de 1/5 la faute à l'horrible Suicide présent sur l'album en tant que 8ème piste.

Je suis extrêmement fan du groupe Depeche Mode, et suis donc très satisfait que mon appel à l'aide publié dans la critique de l'album des ignobles Spacemen 3 hier ait touché le coeur de Robert. En espérant que cet album symbolise le début d'une nouvelle ère générateurienne, basée sur une augmentation du pouvoir d'achat et de la qualité de vie de toute la population générateurienne.

Un excellent album de hotellerie rock, les Eagles en mettent absolument partout: ici les serviettes sont parfaitement pliées, là-bas la litterie laisse entrevoir une douce odeur de lessive. Un album à mettre entre toutes les mains.

Dès le début de cet album, je me suis demandé ce qui était arrivé à Tom Waits. J'ai d'abord pensé qu'il était tombé sur la tête, étant donné le grand n'importe quoi qu'il nous propose des les premières chansons de l'album. Mais j'ai très vite changé mon fusil d'épaule, comprennant rapidement le problème: Tom Waits est tout simplement complétement torché sur cet album. En effet, ce dernier, pour surmonter une rupture amoureuse, noyera son chagrin dans l'alcool lors d'une triste soirée hivernale. C'est la que les enregistrements de cet album seront pris, entre de trop nombreux verres de whisky. Cet album a d'ailleurs fortement inspiré le personnage du Capitaine Haddock, que nous pouvois retrouver dans les aventures de Tintin.

D'abord absolument scandalisé par le racisme décomplexé des Turbo n-word, j'ai fini par me laisser convaincre et à me prendre au jeu. Les atrocités xénophobes déblatérées tout au long de l'album ne m'ont rapidement plus dérangées, et ont même réussi à alterer ma vision d'une société idéale, originalement basée sur la solidarité et l'acceptation de l'autre. Un grand bravo messieurs.

Aujourd'hui était un jour particulier, puisque nous fêtions l'anniversaire du générateur. En effet, vous n'êtes pas sans savoir qu'il y a de cela tout juste un an, je débutais cette aventure générateurienne avant d'être très vite rejoint par mon envieux camarade d'écoute, le désormais très célèbre robpaupière. A cette occasion, nous avons mis les petits plats dans les grands, en décidant de signer un pacte de non aggression, afin de pouvoir célébrer cet événement comme il se doit. Le projet était le suivant: nous devions débuter la soirée d'anniversaire par quelques biscuits et boissons, afin de nous ammener vers le vrai climax de la soirée. En effet, à 23h55, nous avions prévu de nous cacher derrière les meubles du salon, car à minuit pile, Robert devait faire irruption dans la maison pour nous dévoiler notre album du jour, l'album cadeau d'anniversaire. La soirée débutait sur de très bonnes bases, rob et moi-même choisissant chacun notre tour une chanson à jouer sur l'enceinte disposée au milieu de la pièce, afin de respecter notre quota musical respectif. Aucun débordement ne fût à déplorer, si ce n'est une petite prise de bec sur la place de la trip-hop dans l'histoire de la musique, sans conséquence fort heureusement. Mais au fond de nous, ce que nous attendions réellement, c'était les douze coups de minuit, pour découvrir cet album anniversaire concocté par Robert. Il se murmurait d'ailleurs que l'album devrait être l'un des albums de Nirvana présent dans le générateur, que nous n'avons pour l'instant pas eu la chance d'écouter. Soudain, c'était l'heure. Je courrais me cacher derrière la bibliothèque du salon, pendant que rob peinait à dissimuler son imposant corps grassouillet derrière le canapé. La porte s'entrouvit doucement, et les premières notes de musiques retentirent, précédent un Robert vêtu de ses plus beaux habits. Et la, ce fut la stupéfaction. Les premières notes très latino crachées par Robert laissèrent bientôt place à la voix de Jorge Ben Jor, qui se mit à baragouiner dans un brésilien incompréhensible. Ce n'était absolument pas Nirvana à qui nous avions affaire. Notre déception se lisait sur notre visage, et les explications de Robert sur l'impact de Jorge Ben Jor sur la samba rock ne suffirent jamais à rattraper cet anniversaire gâché. Rob ne réussit d'ailleurs pas à retenir ses larmes, et partit s'enfermer dans sa chambre.

J'ai l'impression que les différents sites de critiques musicaux, s'amusant à faire des classements proposant toujours cet album des Ramones en très bonne position, se sont bien foutus de ma gueule pour rester poli. Petit coup de coeur pour le premier titre de cet album, mettant en scène différent joueurs de foot extrêmement techniques, effectuant des dribbles chaloupés sur différents terrains délabrés du monde entier. Une belle touche sportive qui laissait augurer du meilleur, malheureusement je n'ai par la suite pas été convaincu.

Les Jam sont probablement très sympathiques mais ce n'est clairement pas avec l'album Sound Affects que nous allons redorer le blason du générateur.

Je pense que Robert prend un malin plaisir à se foutre de nous.

Cet album m'a permis de comprendre que le groupe CHIC proposait en fait du sous Sister Sledge. J'ai par conséquent demandé à Robert de réduire la note de leurs deux précédents albums d'une étoile. A bon entendeur.

Un cas d'école aujourd'hui: cet album était super, et méritait probablement un 4/5. Malheureusement, la présence unique de cet album sur l'outil Youtube rend une telle note impossible à accorder. Nous ne cessons de le rabacher, mais à l'heure du numérique, il s'agirait d'évoluer un peu et de se mettre à la page.

Contrairement à mon camarade d'écoute le très peu éclairé roblumière, j?ai beaucoup apprecié cet album, qui aura même frôlé le 4 grâce à un très bon dernier son. J'ai notamment adoré le choix artistique de ce groupe, qui avant de lancer chaque piste de l'album, nous laisse nous balader pour quelques secondes dans les hautes herbes.

Longtemps pressenti pour occuper les premiers rôles parmi ses camarades à 3 étoiles, Nick Drake réussit une véritable prouesse. Prennant tout le monde à contrepied avec un dernier son entièrement joué à la flute, il réussit à se propulser dans la caste supérieure, celle des 4 étoiles. Je me rapproche du banc de touche pour essayer de recueillir les impressions de l'intéressé.

Au début j'aimais bien, mais très vite la voix de crecelle de Carole King, cette sous Joan Baez, a commencé à me taper sur le système. C'est donc tout naturellement que je lui accorde la note de 3/5. Vous vous demandez sûrement pourquoi mes reviews du moment ne proposent que le strict minimum, la raison est très simple: mon camarade d'écoute robbelvèdère est actuellement emprisonné dans une cellule du Bad Wuttemberg. Au delà des plus élémentaires questions de liberté que cela soulève, il y a plus grave: rob ne peut rédiger le moindre review. En guise de contestation, je décide donc de proposer le strict minimum, afin de peut-être attirer l'attention de Robert sur les mesures liberticides prises par les autorités du Bundesland.

Cet album des Chemical Brothers m'a mis dans une colère noire. Il faut savoir que les Chemical Brothers ont coûté leur place dans la liste des 1001 à mon groupe favori, My Chemical Romance. En effet, seul un seul groupe de chimie pop pouvait être ajouté à la liste par Robert, qui a donc preferé les frères à la romance. Seulement, on se rend rapidement compte que ce choix est une erreur. Très vite, les Chemical Brothers vont effectuer leur première bévue: le substrat de soude est mélangé avec la solution aqueuse, ce qui provoque une légère odeur de brulé très désagrable dans le laboratoire. Ensuite, l'un des frères va venir renverser le contenu de son erlenmeyer sur le microscope du coin de table, ce qui démontre le peu d'aise avec laquelles les Chemical Brothers maniaient leur matériel. Enfin, le mélange acide nitrique/magnesium opéré ne prendra jamais la couleur bleue attendue. La comparaison fait très mal avec leurs camarades de classe de My Chemical Romance, qui dans le même temps ont obtenu deux prix nobel de chimie pour leur travaux sur l'arbre de Diane. Un scandale de plus à l'actif de Robert, qui n'en finit plus d'enchainer les décisions douteuses.

J'ai apprécié cet album de Alice Cooper, et lui accorde donc la note de 3/5.

Les Byrds ça commence à bien faire maintenant.

Je trouve comme mon camarade d'écoute robclairière que la ressemblance entre Devandra Bahnhof et Steve Savidan est frappante. J'ai notamment été très troublé par le ciseau acrobatique lancé par Devandra, qui ira trouver le fond des filets, similaire en tout point à celui inscrit par Steve Savidan dans les années 2000 (qui avait enflammé le Stade Malherbe de Caen on le rapelle)

ça faisait longtemps que Robert ne nous avait pas proposé un album de rap old school d'une bonne heure sans intérêt. Cela m'a rappelé avec émotions mes premières déceptions générateuriennes, découvrant au petit matin des albums de Ice Cube ou autre Ghostface killer. Une belle madeleine de Proust en cette matinée.

Je suis beaucoup moins dythirambique que mon camarade d'écoute robpanière sur cet album, le trouvant plus ou moins convenable. Je tiens néammoins à le reprendre sur l'expérience réalisée à l'aide d'Audacity. J'ai moi même tenté l'expérience, lançant l'album de Joy Division, et demandant au logiciel de supprimer les bruits parasites. Rien ne se passa. En revanche, quelques minutes plus tard, l'intégralité des chansons d'Elvis Costello avait disparu de mon interface Spotify.

Autant le premier album de Dusty reussissait, malgré la mauvaise surprise de sa vulgarité déconcertante, à nous séduire, sa deuxième apparition fait office d'indigestion. Dusty commence en effet l'album en présentant son arrière-train, invitant l'auditeur à lui "faire voir les étoiles". S'en suit une série de grossiertés, prononcées clope au bec par une Dusty complétement émechée. Mais le pire n'est pas encore arrivé. Ce spectacle d'obscénités n'est en fait qu'une préparation pour le moment clé de cet album. En effet, sur le dernier son, Dusty commence à monter sur le bar, faisant face aux fêtards rassemblés autour d'une bière. Elle prend appui sur ses bras, et se met à ecarter ses jambes, laissant son appareil génital broussaillé à la vue de tous. Soudain, Dusty semble se concentrer, et laisse échapper un énorme pet de fouffe devant le silence consterné des fêtards. Dusty parti alors dans un rire gras, se rhabilla, et commanda une tournée générale. La famille Springfield n'en finit décidemment pas de faire étalage de son héritage familial.

J'ai fait ce matin un découverte consternante en me balandant sur Internet, je me dois de la partager avec vous. Savez-vous quels sont les trois plus grands déserts du monde? Je ne le savais personnellement pas, laissez moi donc vous proposer la liste ci-contre: le désert du Gobi, le désert du Sahara, les deux derniers mois du générateur.

Un superbe album d'imitations que proposé ici par Erykah. Absolument tout y passe: mauvaise imitation de Childish Gambino, mauvaise imitation de Norah Jones. Un florilège délicieux, qui finit en apothéose avec une mauvaise imitation de Nicolas Canteloup imitant François Hollande. A mettre entre toutes les mains.

Le nouveau single proposé par le groupe ROP ne me convient toujours pas. Les sonorités, non sans rappeller celles des Frero Delavega, ne font que respecter les codes de la musique de radio. Les multiples "la première fois que tu l'as entendu, c'était sur Skyrock" ne sont vraiment pas nécessaires, et gâchent un peu plus une musique déjà dénuée d'intérêt. Une copie à revoir.

Je tenais dans ce review à remettre au clair un point qui a été mal compris de la part de nos confrères américains. Dans mon derneir review de Dusty Springfield, je fais référence au pet de fouffe monumental exécuté par une Dusty des plus vulgaires. Il se trouve que la terminologie du mot "pet de fouffe" a été assez mal comprise outre Atlantique. En effet, lorsque l'on entre l'expression "pet de fouffe" dans Google Translate, ce dernier nous renvoie la traduction "fart", passant totalement outre tout l'aspect fouffe de ce pet. Avis à nos amis américains, ne vous méprennez pas, je fais bien ici référence à un pet de fouffe, et non à un pet classique. Maintenant cette clarification faite, place à la suite.

Il semblerait que Robert ait commis une bévue il y a de cela quelques mois. En effet, une panne de courant majeure a eu lieu à son domicile. Afin de faire repartir l'ensemble du système électrique, Robert du bidouiller ses différents cables, et c'est là que le problème survint. Au moment de s'emparer du cable de génération d'albums, Robert commit l'irréparable. Il empoigna le cable et le brancha, non pas à la liste des 1001 albums à écouter avant de mourir, mais à la liste des 1001 albums à intérêt très modéré. La suite, vous la connaissez, cela fait maintenant 3 mois que nous n'avons plus rien à nous mettre sous la dent. Heureusement, Robert a été alerté, et tout devrait rentrer dans l'ordre dans les prochains jours. Attendez-vous tout de même à une maintenance du site dans la nuit de mardi à mercredi, nécessaire au reboot du serveur.

J'ai beaucoup apprecié le moment de cet album où La Fouine s'exclame: "Attends attends... C'est la bite à Booba!" Il est vrai que le choix du duc de transmettre un cliché de son sexe dressé à une ratpi pouvait surprendre pour l'époque, à l'heure où les sextos n'étaient encore répandus. Un beau témoignage d'histoire sur l'évolution du digital somme toute.

Contrairement à mon camarade d'écoute robvipère je n'ai pas trouvé cet album si catastrophique que ça, mais l'horreur de rob n'a ici d'égal que mon manque d'intérêt.

Et bah on s'est fait chier qu'est ce que vous voulez que je vous dise.

Cet album de l'imposture Buckley est extrêmement convaincant. La voix du faux Buckley est en effet des plus impressionnantes, et la musicalité n'est pas sans rappeler la musique du réel Buckley. Fort heureusement, nous ne sommes pas dupes au sein du générateur, et n'accordant à cette copie qu'un 4/5, là où le réel Buckley parvenait à aller chercher la note suprême.

Je commence à comprendre la haine de mon camarade robpecunière encers ce groupe, en effet sa présence à de multiples reprises est difficilement compréhensible. De plus, la patte trip-hop de Goldfrapp qui m'avait tant plû sur leur premier album a ici complétement disparue. Une copie à revoir donc.

Cet album était absolument nul, John Lennon ne se présente même pas en tant que meilleur Lennon. On lui préfère en effet Aaron Lennon, l'ailier virevoltant des Tottenham Hotspurs, pourtant loin d'être une référence footballistique.

Les chancelliers du style auront tout tenté sur cet album, passant de Willie Nelson à Ice Cube, mais le point qui nous intéressera le plus sera la dixième piste de l'album. Sur cette chanson, les chancelliers vont s'essayer à l'ultra-sexual soul. Mais qu'est ce que l'ultra sexual soul? Si l'on s'arrête sur la page wikipédia de ce genre musical, voici ce que nous trouvons: "L'ultra sexual soul est un genre musical popularisé par Marvin Gaye, dans lequel l'artiste cherche à se présenter de la manière la plus sexuelle possible." Le pari est pris, mais ne parvient malheureusement pas à nous convaincre, l'image de Marvin Gaye flottant au dessus de la chanson. Une prise de risque que l'on salue néammoins.

Les nombreux anachronismes utilisés au fil de mes excellents reviews ont commencé à me monter au cerveau. Je me mets petit à petit à perdre la notion du temps, c'est pourquoi j'ai d'abord pensé que cet album n'était qu'une copie de Marylin Monson. Il n'est pas nécessaire de me tomber dessus, je suis actuellement pris en charge par un professionnel, et suis un traitement de rehabilitation à la chronologie musicale.

Comme évoqué par mon camarade d'écoute robtaupinière, je me suis rendu au domicile de Robert pour lui mettre un bourrepif. Cette série absolument cauchemardesque à laquelle nous avons le droit depuis maintenant plusieurs mois se devait dêtre sanctionnée, j'ai donc procédé de la sorte: - Je me suis rendu au domicile de Robert - J'ai entrouvert la porte de ledit domicile - Je me suis dirigé vers Robert - J'ai chargé mon poing derrière moi - J'ai infligé un bourrepif à Robert Je suis par la suite repartit chez moi en écoutant l'ignoble album de PJ Harvey.

L'album était plutôt sympa mais fut rendu extrêmement désagréable par la découverte suivante: Q-Tip est le leader de l'horrible groupe A Tribe Called Quest.

C'est un tout petit 4 que viennent récolter le smembres du groupe AC/DC ici, cet album était extrêmement décevant. Pour tout vous dire, l'excellent album précédent de ce groupe m'avait contraint à passer de nombreuses heures à communiquer exclusivement par cris aigus. Celui ci ne m'a même pas causé une petite levée de voix. A retravailler

Cet album était absolument nul, le love supreme jazz est un genre minable que l'on ne me reprendra pas à écouter. En revanche j'apprécie toujours autant l'écoute de l'ultra sexual soul, qui me fait remettre en question continuellement mon couple tout en me poussant très fréquemment à me carresser les tétons.

Mais tu te fout de ma gueule David je vois pas d'autre possibilité là.

A la lecture du review de mon camarade d'écoute robephèmère, j'eu peur de retrouver un enième album inconnu, seulement présent dans le générateur grâce aux nombreux échanges Erasmus effectués par Robert. Il n'en était rien, ce groupe des xx est en fait extrêmemen connu, et nous propose un très bon album, que je me réjouis de noter d'un très beau 4/5.

Iggy Pop nous propose ici une nouvelle performance artistique de haute volée. En effet, non content de nous avori déjà ébloui avec la désormais célèbre apparition de Woodstock, Iggy revient ici encore plus fort. L'album commence par quelques apparitions assez classiques, Iggy sortant succèssivement d'un demi-cercueil puis d'une boite en plastique. Mais dès la deuxième piste, Iggy va sortir le grand jeu. Le titre de la piste laissait entrevoir de ce qu'il allait se passer: "Alternate "Violent" Iggy Mix". On lance la piste rempli d'adrénaline, et là l'irréel se produit. Une boite a outils remplie de cutters, scies et autres objets contendants est ramenée sur scène. Il n'y a evidemment aucune place pour un corps humain dans cette boite à outils, sans peine de se retrouver rapidement sectionné par l'un des instruments. Mais Iggy commence alors à se tordre, faisant fi de la peur génèrale, et viendra s'immiscer entre les différents objets à dents de la boite à outils. Une fois cette dernière refermée, Iggy parviendra à s'en extraire dans un héroique coup de hanche, avant de se présenter, indemne, devant nos yeux ébahis. De très loin la performance la plus technique des Stooges.

Hormis me clouer au lit pendant 4 douloureux jours à cause de douleurs à l'estomac, le virus LedZep4 s'est montré très peu efficace et n'a su atteindre mon appareil auditif. Un 4 sur 5 en guise de politesse, mais cet album était clairement le moins bon de nos amis de Led Zep.

Finis la complaisance, fous toi ta trompette dans le cul Miles.

J'ai adoré cet album dont je n'attendais pas grand chose. Tout l'inverse du virus LedZep4 somme toute, qui je le rapelle m'a cloué au lit pendant 4 jours.

Ce groupe m'a bien berné. Je pensais avoir affaire à un album très sympathique, mais plus les pistes défilaient, plus je me suis mis à detester cet album. C'est donc sur des pensées confuses que je propose cette note de 3 sur 5.

Un excellent album de grosse bedaine beat, j'ai notamment adoré les pistes "Maxi Best-Of" et "Coca-Cola"

Je suis venu à bout des 3h d'album à l'inverse de mon camarade d'écoute robplumière qui a lui lâchement fui le défi imposé par Robert. Une preuve de plus de son infériorité la plus totale, Robert saura j'en suis sûr me recompenser.

Cet album supposément parmi les meilleurs de tous les temps était absolument banal. J'ai passé un meilleur moment sur les 3h de Ella Fitzgerald. Le Rolling Stones Magazine devrait songer à fermer boutique c'est en tout cas le conseil que je leur donne.

Après une période noire que vous connaissez tous, Robert a décider de récompenser les derniers survivants du générateurs, ayant survécu à cette pandémie de mauvaise musique. Robert nous offre en effet un enchaînement d'albums tous plus prometteurs les uns que les autres, je me hâte donc de rédiger mon review afin d'en profiter.

Les Bee Gees nous proposent à ma grande surprise un album formidable, bien que dénué de toute homosexualité.

Cette version vivante de Leonard Cohen est bien plus convaincante que celle en décomposition entrevue sur l'album You Want It Darker. Un point à prendre en compte pour les futurs artistes décédés.

Cet album intervient dans une période très compliquée de la vie de Springsteen. Il est d'ailleurs revenu récemment sur cette période, déclarant qu'il y avait très clairement "une couille dans le paté" pendant ces années difficiles. Comme vous le savez désormais, la pochette de Darkness On The Edge Of Town avait fait l'objet d'un violent clash entre Bruce et son producteur, qui a refusé de céder aux caprices de Bruce en coupant la couverture de l'album au-dessus de son appareil génital. Six ans plus tard, Bruce refuse toujours d'écrire le moindre texte, et l'impatience commence à se faire sentir chez ses fans. Le producteur doit donc agir. Il se rendit donc directement au domicile de Bruce pour lui faire part d'une proposition. Arrivés devant la porte, le producteur se soumet à la règle tacite qui consiste à toquer 5 fois à la porte pour s'assurer que Bruce ouvre la porte habillé (Bruce a pour habitude de se promener nu comme un verre dans son domicile). Bruce ouvre alors la porte, et tend directement son doigt en direction de son producteur: "Tire mon doigt". Le producteur s'exécute, ce qui conduit Bruce à lacher instantanément un énorme pet, avant de s'esclaffer. Une fois remis de ses emotions, le producteur peut enfin expliquer son projet à Bruce: il a bien compris que Bruce avait été très heurté par le refus d'afficher ses "enormes couillasses" sur la pochette de l'album précédent, c'est pourquoi il a une contre-proposition: "Bruce, pourquoi ne pas afficher ton arrière train sur le prochain album?" "Mon gros cul poilu?" "Il faudra le recouvrir, mais en essence oui c'est bien de cela que l'on parle" Bruce était absolument séduit par l'idée, et se mit immédiatement à écrire l'album a succès que vous connaissez tous.

Il était normal après une surchauffe totale de la part de Robert de prendre une journée pour se relaxer, à l'ombre du grand chêne de son immense jardin. Cet album moyen en est la représentation.

Ce groupe de jeunes folasses dévergondées m'a pris la tête comme rarement. Les multitudes de discussions à propos de la dernière paire de talons ou encore des différentes techniques de maquillage n'a rien à faire sur un album des 1001. Je ne parlerai même pas des multitudes références au girl power et à la fin du patriarcat. A jeter.

Je tombe de très très haut avec cet album absolument minable des Red Hot Chili Peppers. Je saurais prendre les mesures nécessaires pour réevaluer mon comportement dans mes critiques futures.

Ce groupe de joyeux metalleux nous rapelle que le trash metal n'est pas forcément un mauvais genre, il est seulement extrêmement mal représenté par la racaille brésilienne de Sepultura dans ce générateur.

J'ai écouté cet album il y a deux heures, et c'est bien la seule chose que je peux en dire.

On ne peut pas reprocher aux Beatles de faire de la mauvaise musique, c'est toujours à minima agréable. Mais cet album était comme beaucoup assez banal malgré tout. Malheureusement, je sais déjà qu'au moment ou je presserai sur la troisième étoile pour valider mon vote, le vote du public afichera lui la note de 4, synonyme pour les Beatles de présence d'un autre de leurs albums moyens au pavillon Baltard.

La PJ Harvey ne faisant pas la follasse marginale est de bien meilleure facture que la PJ Harvey follasse marginale. Ce sera le principal enseignement de cet album.

Je n'ai rien compris au concept de cet album. Dans un premier temps, un auditeur vient nous raconter un problème sentimental l'opposant à sa camarade de classe, afin de rechercher des conseils sur comment gérer cette situation. Dans un second temps, la Marie nous raconte la fois où complétement émechée, elle s'est endormie sur son partenaire sexuel de l'époque. Enfin, le Top Bugs de Romano nous est présenté sur la fin de l'album, provoquant une floppée de rire au sein de la radio libre. Vous comprennez maintenant qu'il me fût difficile d'y voir clair, dans le doute j'accorde donc la note de 3/5 pour être sûr de ne pas me tromper.

J'avais en lançant cet album pour image de Massive Attack celle d'un groupe pour bobos parisiens. Je ne me suis encore une fois pas trompé, cet album était d'une nullité sans nom, absolument fade comme le train de vie de ledits bobos parisiens.

On accordait volontier une periode de refroidissement à Robert après sa surchauffe de la semaine passée, mais après 10 albums sans 4/5, nous commençons à nous poser des questions. Je me rendrai à son domicile dans un prochain review pour analyser la situation.

Afrika Bambaataa nous propose ici une pâle copie de Grandmaster Flash. Seulement, ses senegalaiseries n'arrivent pas à la cheville de celles offertes par Grandmaster Flash. Afrika Bambaataa ferait mieux de retourner a ses cahiers de funk hip-hop.

Mike Ladd est le fils de Robert Dimery

Mudhoney fut longtemps une de mes plus grandes fiertés dans le grand quizz du générateur. En effet, je les reconnaissais à chaque fois, sans trop comprendre pourquoi. Passé le temps de cette satisfaction, la présence d'un second album de leur part n'etait absolument pas nécessaire.

Le tigre du bengale est un animal vraiment surprenant. Il est solitaire et nocturne et n'aime pas partager son domaine avec d'autres tigres et animaux. Pour décourager les intrus, tous les tigres du Bengale marquent leur territoire par l'urine ou les excréments qui signalent leur présence. C'est peu ou proue ce que vient de nous proposer ici le groupe Le Tigre, marquant sonn territoir sur le générateur en nous chiant leur musique de merde à la gueule.

On est excédés Robert, il va falloir agir et vite.

Je n'ai pas eu la moindre nouvelle de mon camarade d'écoute robtheillère depuis plusieurs semaines. Si vous avez quelconque information à partager, merci de me contacter sous le review du prochain album de Stevie Wonder. Merci d'avance.

Bien essayé Robert, mais le gros nom de Black Sabbath ne suffira pas à obtenir la note de 4/5. Il va falloir agir et vite.

Robert tu es un homme mort.

Nouvelle tentative de Robert de sauver sa peau, seulement cela ne prend pas, nous osmmes toujorus à la recherche d'un album 4 étoiles. Je suis actuellement en route vers le domicile de Robert pour l'exécuter publiquement.

D'abord plutôt convaincu, Cee-Lo Green a fini par me casser les couilles avec son album interminable. Une belle comparaison a faire avec le générateur.

Cet album nous présente une anecdote de plus au sujet de Jim Morrison, que nous ne prendrons pas la peine de décrire une fois de plus dans ce review. En effet, tout le monde a déjà compris que derrière l'oreille de Roger l'ingénieur maladroit se cache un crayon a papier.

L'afrobeat est un genre popularisé par Emmanuel Macron. Comme beaucoup d'autres initiatives de sa part, on s'en serait bien passé.

Cet album de Dinosaur JR démarrait de la meilleure des manières. Les riffs étaient exceptionnels, et la prestation du chanteur pleine d'entrain. Seulement, le côté familial de Dinosaur a rapidement repris le dessus. Vous n'êtes en effet pas sans savoir que Dinosaur JR est le fils de T-rex. Comme son père, Dinosaur JR va complétement vriller sur la fin de l'album, dévorant une proie passant par là sans lui laisser la moindre chance de survie. Etait-ce vraiment nécessaire?

Qui dit album des années 2010 dit indie, étant donné qu'aucun autre style musical n'était joué à cette époque marquée par la censure erasmusienne. Celui-ci était plutôt agréable, mais l'on aimerait pouvoir profiter de certains des albums clandestins de cette époque de propagande.

Macron demission.

De très mauvais poil en cette journée marquée par de très nombreux albums médiocres voir mauvais, mais grâce au superbe saxo de Stan Getz je quitte mon lieu de travail décontracté et relaxé.

Bryan fait absolument n'importe quoi pendant tout l'album. Ce dernier possède en effet une boite sonore, où chaque bouton représente un son différent. Il se contente donc pendant 40 minutes d'appuyer frénétiquement sur ces boutons, dans le hasard le plus total. Ceci ne peut donner lieu qu'à un cafouillage incompréhensible.

Enfin, les Pink Floyd montrent toute l'étendue de leur talent après un premier album des plus surcotés. J'ai d'ailleurs grâce à cet album pu élaborer la théorie suivante: tout groupe légendaire a une part de génie, seulement une fois cette dernière démontrée, la masse générateurienne prend cela pour acquis, et qualifie tout album du groupe en question de génial. Cette théorie a néammoins un caillou dans son soulier, puisque David Bowie n'a lui aucune once de génie.

L'obstacle The Shamen fut très difficile à franchir. Pourtant, la jambe droite venait assez aisément passer au-dessus de la barrière, mais au moment de répéter l'opération avec la jambe gauche, une douleur vive vient nous heurter le crâne, rendant ce dernier mouvement extrêmement long et pénible.

Cet album de Kanye est absolument stratosphérique, et ne fait pourtant pas partie de ses deux meilleurs albums. En effet, étant un pensionnaire des années 2010, certains des plus grands albums de Kanye ont dû être ejectés de la liste pour laisser place à une trentaine d'album d'indie, genre comme vous le savez très cher à Robert.

Cet album nous a présenté le dur combat du chanteur Pulp face a l'âme de Elvis Costello. En effet, le chanteur en question arbore à son coup un des objets du Millenium, à savoir le puzzle, qui renferme en son sein l'âme d'Elvis Costello. Dans la plupart des instants de vie du chanteur, rien n'est à signaler, comme notamment sur le premier son, où ce dernier nous offre une très belle performance. Seulement, par moments, Elvis Costello tente de prendre le contrôle, ce qui peut être facilemetn identifié sur certains refrains de l'albums, où la voix du chanteur déraille totalement. Cela n'empiète heureusement pas trop sur la qualité de cet album, auquel j'accorde la note de 4/5.

Toujours aussi effaré que des albums d'un tel vide artistique se retrouvent propulsé dans une supposée liste d'excellence.

Je ne m'exprimerai plus sur le groupe Sonic Youth par peur d'être censuré.

Khaled s'en sort extrêmement bien, son album d'1h20 représentant un obstacle majeur à l'écoute de Napalm Death. En effet, malgré cela il réussit à obtenir la note de 4/5. Une belle performance pour une telle durée de baragouinage arabe.

Tout bonnement excellent, nous pouvons dès à présent aborder Napalm Death en toute sérénité.

Cet album aété enregistré dans des conditions très particulières. En effet, le chanteur du groupe Naplam Death est en proie à de graves soucis d'agressivité. C'est pour cette raison que les membres du groupe Napalam Death on decidé de l'enfermer dans une petite cage du studio, et de le baillonner en lui disposant un os entre les dents. Malheureusement, cela ne suffira pas à calmer le forcené, que l'on entendra hurler à travers son baillon de fortune dès la troisième piste. Le projet est ruiné, mais les Napalm Death décideront quand même de le publier, nous offrant ce morceau d'histoire. Merci messieurs.

Je commence à en avoir sérieusement assez de PJ Harvey, heureusement que notre ami de Radiohead est venu relever le niveau de cet album insipide.

Rod Stewart ne décoit pas et viens une nouvelle fois nous vomir à la figure. Celui que l'on appelle désormais Rot Stewart restera à jamais gravé dans la légende du générateur.

Quelle surprise à l'écoute de cet album. Nous nous attendons à un album de punk, et c'est bien le cas: tous les codes sont respectés. Les chiens errants sont bien de la partie, tout comme les colliers a pique ainsi que les cannettes de 8.6. La ou la surprise intervient, c'est que tous ces éléments de la punk sont soigneusement rangés dans un garage, ce qui nous permet de profiter, contre toute attente, d'un album extrêmement agréable.

Je n'ai rien de particulier à dire sur cet album, je trouve seulement que les BO qui ne sont pas celles de la voix française de Shark n'ont pas grand intérêt.

La grande nouvelle du jour, c'est que je suis enfin de nouveau à jour sur la liste des 1001. La mauvaise, c'est que ce nouveau groupe de pétasses ne m'a pas assez convaincu pour aller chercher le 4 malgré un album plutôt agréable.

Là on peut discuter, après l'énorme bouse posée par les Red Hot Chili Peppers sur mon bureau il y a quelques semaines de cela, ces derniers ont su se ressaisir en proposant cet album d'une très grande qualité. Cet album semble qui plus est marquer le retour de Robert à la compétition, après une longue convalescence qui l'a tenu éloigné du générateur. Il signe son retour d'un superbe triplé Red Hot - Janet jackson - Radiohead. De très bonne augure pour la suite de la saison.

Janet aura beau tenté de copier son frère, la prestation n'en demeure pas moins lamentable. On se met à regretter tout l'album de ne pas avoir le vrai Jackson en chair et en os, en lieu et place de cette pâle imitation familiale.

Alors oui Radiohead est un groupe pétri de talent, leur musique est de grande qualité gnagnagna. Mais on ne m'enlévera pas de l'idée que Radiohead est un groupe pour étudiant littéraires hipsters, tels mon camarade d'écoute robterrière.

Eh bien j'ai envie de vous dire pourquoi pas.

Robert vient donc nous proposer un album de 1h pleine de reggae. Il n'a donc surement pas lu nos multiples critiques à l'encontre de ce style musical absolument minable. Comme pour chaque album de reggae, la proposition artistique s'adresse uniquement aux adolescents déscolarisés, souhaitant mener une vie "à la cool". On ne cautionne pas et appliquons donc un 3/5 cher payé.

Un très bon moment passé en la compagnie d'ABBA, j'ai notamment adoré trois moments: - la démonstration de saut à la perche de Vianney - l'entrée du lanceur de couteaux dans la salle de tournage - le cache cache avec Laurent Baffie Un épisode à mettre entre toutes les mains.

Cela fait maintenant trois heures que je subis les africanaiseries de Femi Kuti, et ce n'est pas tout à fait le retour de vacances que j'espérais.

Creedance Clearwater Revival nous avait offert un premier album absolument minable, ils ne déçoivent pas avec ce second opus, qui est en tout point aussi affligeant que le premier.

Cet album m'a permis de réaliser que je suis fan de synthpop.

La punk serait elle en train de devenir seduisante? Les Dead Kennedys nous font nous poser la question quelques albums après leurs camarades des Hives. Les cannettes de bières et les coliers à piques semblent en effet avoir été abandonné par la cause punk. Affaire à suivre.

5ème album de la journée, je me dois en effet de faire mes preuves auprès de Robert après mes deux semaines d'absence. Ce dernier m'a laissé un ultimatum, mon retard doit être comblé avant la fin de la semaine prochaine. Cela passe donc pas un lancement sans entrain de cet album des Talking Heads, que je traverserai telle une âme errante.

Brian Eno tu commences a nous les briser toi et ton groupe de merde.

Robert peut bien aller se faire foutre avec ses albums de merde de indie et de shoegaze sensés représenter les années 2010.

Je tiens à rajouter à ma critique précédente que ma mauvaise note a pu être impactée par une erreur d'interprétation. Je dois le confesser, en lisant le nom de My Bloody Valentine s'afficher sur le générateur, je m'attendais à retrouver le groupe de hard rock Bullet for my Valentine, qui n'a rien à voir avec l'affligeant spectacle de shoegaze offert par ces mauvais Valentines.

Wilco tu es chiant à mourir

Un album monotone au possible dépassant l'heure? Pas de doute, c'est bien un album de rap des années 2000 du générateur.

Sugar t'es sûrement extrêmement sympathique mais ta musique tout le monde s'en fout y a Adele à écouter là.

Le retrait de la liste des 1001 d'Adele est largement compréhensible. On ne peut la comparer à Sepultura, Ice Cube, Mike Ladd ou encore aux cinq albums de Tom Waits. L'album 21 est très sympa attention, mais il faut savoir raison garder, peut-être dans quelques années une fois sa discographie plus solide, Adele pourra esperer réaliser avec les mastodontes présents dans cette liste magnifique concoctée par Robert.

Paul Simon ne s'est pas foutu de notre gueule et ça, ça me fait plaisir.

J'ai beaucoup aimé cet album de la voix française de Shark, qui sécurise sa belle note de 4/5 grâce au superbe "2-0 pour les Bleus de Port-Marie" annoncé en fin d'album.

Les Pet Shop Boys viennent nous offrir un superbe album de manualisme synthpop, qui vient encore un peu conforter ma position de plus grand fan de synthpop du générateur.

Alors oui Elbow a du talent mais il est quand même extrêmement chiant. Me reviens d'ailleurs d'une anecdote, lorsque j'avais invité Elbow a partager la soirée en compagnie d'un groupe d'amis. Après deux heures de discussions animées, Elbow n'avait toujours pas osé le moindre mot, restant recroquevillé sur un bout de table.

Difficile de comprendre ce changement de direction artistique radical de Tortoz. Le fameux compère de Mister V nous propose ici un album dénué de toute sorte de musicalité, après une carrière pourtant bien remplie dans le milieu du rap français.

B.B. King n'apporte absolument rien au générateur, proposant un album déjà entendu des tonnes de fois et ne lui permettant d'accéder à rien d'autre qu'un 3/5.

Johnny Cash se fout bien de notre gueule c'est le moins que l'on puisse dire.

Il faudra un jour proposer un grand débat sur la place de la country dans l'histoire de la musique, ce genre est absolument ringard, et ça même la superbe voix de Emmylou n'y peut rien.

Beth Orton nouus offre un superbe album qui fait du bien après la daube country offerte par Emmylou juste avant. Il est bon de rapeller que tout cela n'aurait pu arriver sans l'intervention de ce bon vieux William Orbit. Ce dernier a en effet vite abandonné la musique après son exécrable album entrevu il y a quelques mois de cela, pour se reconvertir dans la contrebande de cigarettes. A cette occasion, il rencontrera une Beth Orton des plus dévergondée dans une soirée de bas-étage londonienne, et finira par la lancer dans la musique. Le succès ne vint pas immédiatement pour Beth, les productions techno d'Orbit venant ruiner sa superbe voix, mais après quelques années et une séparation des plus attendues, Beth pu nous offrir ce superbe album non entâchée de la présence du parasite Orbit.

Derrière le pseudonyme de Robert Wyatt se cache en fait notre Robert national, qui s'essaye ici à la musique avec plus ou moins de succès. Les rythmiques sont extrêmement approximatives, mais ce gloubi-boulga musical n'est finallement pas si désagréable.

Long et chiant, Prince nous prouve que l'androgyne pop est encore loin de l'homosexual pop.

Je n'en peux plus de cette voix de citrouille.

Performance fantastique de Todd, qui vient nous démontrer que toutes les daubes interchangeables des années 70 n'ont aucune excuse.

Robert n'en finit plus de semer notre chemin d'embûches, après les interminables albums de Prince et des Smashing Pumpkins, nous voici confrontés aux 2h13 de Metallica. A l'inverse des deux minables albums sus-cités, S&M fut plutot agréable, voir grandiose par moments. On en ressort tout de même hâletant, mais quoi de plus normal après une telle épreuve d'ultra endurance.

Le concept est original, l'album est court, la voix est superbe, tout l'inverse des Smashing Pumpkins.

Cet album est la preuve vivante que les extraterrestres existent et ont bel et bien tenté de communiquer avec nous. Seulement, après 45mn d'enregistrement, on en sort comme on est venu: on n'en sait pas plus sur ces êtres saugrenus.

J'ai écouté cet album il y a une heure, et ai oublié d'écrire mon review dans la foulée. Vous vous doutez bien que je n'ai déjà plus la moidnre idée de ce que j'ai écouté.

Iron Maiden frappe fort, mais ne réussit toujours pas à égaler The Trooper de Gerry Philips le manualiste.

Va bien te faire foutre Brian

Scott est absolument gigantesque. Seulement, Scott ne propose pas de country dans son repertoire, l'auditoire américain décérébré du générateur ne peut donc apprécier cet album.

Kraftwerk surprend une fois de plus: on ne s'attendait en effet pas à les voir se pointer une troisième fois dans la liste de Robert avec leur musique de merde.

Kurt Cobain nous prouve encore un peu plus que le spensées suicidaires ammènent toujours à un grand album, bravo Kurt.

Nine Inch Nails fait bien pâle figure après Nirvana.

C'etait super sympa mais Neil, par pitié, arrête de faire ton intéressant et remets ta musique sur Spotify.

Aujourd'hui, mon employeur a annoncé que nous devions commencer à venir travailler régulièrement dans les bureaux de l'entreprise. Cela pose un gros problème, car je passe depuis plusieurs mois mon temps de travail a écouter les albums de Robert depuis mon domicile pendant mes journées de travail. J'ai donc posé un ultimatum à mon employeur: je ne serai présent dans les bureaux qu'en échange de l'installation d'une gigantesque enceinte de 5m par 4 derrière mon poste de travail. Mon patron, circonspect, n'a pour l'instant pas donné suite.

Je pensais qu'Arcade Fire était un groupe de rock de pubs britanniques, il n'en est en fait rien, cet album était tout bonnement excellent. J'en profite pour vous faire un retour sur l'avancée du projet d'enceinte dans les locaux de mon entreprise: mon patron n'a toujours pas donné suite, je l'ai relancé en joignant un plan detaillé de construction de l'édifice audio. A suivre

J'a failli mettre 4 pour cet album pourtant prehistorique. Seulement, les sud africanaiseries déblatérées tout au long de l'album ont fini par me destabiliser, j'accorde donc un très gros 3/5.

Mais qu'est-ce que vous avez foutu ça démarrait super bien

Comme vous le savez désormais, nous organisons tous les 100 albums un dîner de fête en l'honneur du générateur. Celui-ci s'annonçait un peu particulier, car la barre symbolique des 500 albums était franchie. C'est donc rempli de promesses que je me dirigeais à la table du banquet. La soirée se passait plutôt bien, j'arrivais même à échanger quelques mots avec mon camarade d'écoute robgruyère sans que celui-ci ne s'urine dessus sous le coup du stress (rob est très impressionné par ma personne). C'est alors que l'on nous apporta le dessert. Nous l'attendions tous, car ce dernier devait nous faire découvrir des saveurs de Stevie Wonder, depuis longtemps oubliées de nos papilles gustatives. Seulement, au moment de croquer à pleine dents dans la pièce montée concoctée par Robert, je fus instantanément pris de nausée: à la place des pointes soul attendues sur ma langue, je découvris la musique acide et incommestible de Sly & The Family Stone. Je dus me résoudre à recracher l'intégralité de mon gâteau, sous l'oeil hilare d'un Robert qui avait encore bien gâché la fête.

J'ai adoré ce petit morceau de jazz distillé de bon matin, même si cela ne suffira pas à me faire oublier l'indigestion subie à la découverte du gateau Sly & The Family Stone.

J'ai adoré cet album d'Elvis et ce malgré les récentes découvertes faites à son sujet par le biais de Seb la Frite.

Une belle tentative de couverture de la part de Jeff Buckley. Ce dernier tente en effet de se faire passer pour Jeff Beck. Le but est très simple: tenter de garder cette couverture intacte jusqu'à l'album de Tim Buckley prévu pour dans 2 jours. En effet, vous n'êtes pas sans savoir que Tim Buckley a abandonné son fils Jeff il y a de cela quelques années. Jeff va donc tenter de renouer le contact grâce à ce changement d'identité astucieux. Affaire à suivre dans quelques jours donc. Concernant l'album, Jeff Buckley prend bien soin de changer sa voix afin de ne pas être reconnu par son père Tim avant la grande révélation. J'ai également beaucoup apprécie la présence d'Eddie Mitchell en fin d'album, qui vien tnous gratifier d'un tonitruant "I ain't superstitious", gueulant comme un putois comme il sait si bien le faire.

Un très beau recueil de sénégalaiseries proposé ici par Youssou N'Dour.

La réunification tant attendue entre les Buckley n'a pas eu lieu. La couverture grotesque de Jeff (qui s'était fait passer pour Jeff Beck je le rapelle) n'a absolument pas réussi à berner Tim, qui questionnera tout de suite la présence de son fils: Tim: "Mais qu'est ce qu'il fait la ce petit merdeux?!" Jeff: "Mais je suis Jeff Beck qu'est ce que tu racontes papa?" Tim: "Dégagez moi ce morveux de là" Un nouveau coup d'épée dans l'eau pour Jeff, qui n'a pas encore dit son dernier mot pour tenter de renouer un semblant d'affection avec son père.

Déjà trop présent au sein du générateur priate, Sam Cooke vient ici en plus marcher sur les plates bandes du générateur des 1001. A fuir.

Nous avons déjà à de multiples reprises exprimé notre mécontentement à l'égard de la musique country, ce n'est certainement pas en triplant la dose de pétasses américaines que nous allons changer notre fusil d'épaule.

Le chanteur du groupe Pulp a parfaitement réussi à s'émanciper de l'âme d'Elvis Costello, et en fait toute la démonstration ici. Un énorme album qui vient se placer en révélation des Generator Awards du mois d'août.

On en peut plus des incapables dans ton genre Ray, et ce n'est certainement pas la présence d'Elvis Costello en tant qu'album suivant que nous allons redresser la barre.

Elvis Costello est ici fidèle à lui-même, à savoir complétement insipide. J'en profite pour vous rappeler que la deuxième édition de la manifestation anti Costello aura lieu le Lundi 19 Septembre. A cette occasion, nous distribuerons divers drapeaux et banderoles à l'encontre de Costello. Au plaisir de vous retrouver là-bas, prêts à en découdre.

Steve Earle tentera tout l'album de se dépatouiller de ce style country tant décrié, sans jamais complétement réussir à s'en extraire.

Bien essayé de la part de R.E.M. de tout lâcher sur les deux derniers sons en espérant bénéficier de la bonne dernière impression laissée par leur album. Seulement nous sommes loins d'être des amateurs après plus de 500 albums notés, et des rencontres avec bon nombre des personnages clé du générateur (Ray Charles, Mike Ladd, Todd Rundgren etc etc etc...). Cet album récoltera donc ce qu'il mérite, à savoir un 3/5.

Parliament propose ici une performance à montrer dans toutes les écoles de générateur: Parliament est un groupe extrêmement médiocre, avec un talent quasi invisible. C'est donc pourquoi Parliament se contente de nous proposer un album de moins de 38mn, qui évite de nous faire perdre trop de temps. Pour ce bel effort, j'accorde la note de 2/5.

Le groupe Rocket From The Crypt tentera pendant tout l'album de se faire passer pour le groupe Scorpions, multipliant les attaques veinemeuses. Sans succès malheureusement.

Ray Manzarek avait un peu disparu de la circulation, mais reviens aujourd'hui prouver qu'il est l'ennemi numéro 1 du générateur.

Le générique de Tarzan pourquoi pas, le générique de Tarzan sur 1h30 c'est non en revanche.

J'aurai pu choisir pour ce review de vous parler de l'histoire derrière la couverture de cet album, mettant en scène l'assistant d'Iggy Pop tenant le corps desarticulé de ce même Iggy Pop dans le creux de sa main. Malheureusement l'heure est grave: Robert ne donne plus signe de vie depuis maintenant plusieurs semaines, les albums catastrophiques s'enchaînants les uns après les autres. Il se murmure que Robert aurait attrapé un mauvais virus, rentrant trop peu couvert à la suite de la soirée-fiasco du 500ème album. Je n'en sais pas plus pour le moment, mais au vu de la qualité absolument inexistante de ce minable album proposé par Iggy Pop, je suppose que l'état de santé de Robert est au plus bas à l'heure où j'écris ces lignes.

Don Mc Lean fait de son mieux pour redorer le blason de la country américaine, enchaînant mêmes de jolis sons en canons. Malheureusement, le lobby des pétasses américaines est beaucoup trop fort pour être défait de la sorte.

Je n'ai étrangement pas detesté cet album complétement desordonné. Le moment où le frère Pierre renverse la bibliothéque commune m'a même decroché un sourire.

J'eu très peur en lançant cet album de rap des années 2000, au vu de la situation actuelle du générateur. Mais cet album de JayZ était des plus agréables, tel est pris qui croyait prendre.

Cet album vient encore un peu plus nouer les liens très forts qui m'unissent au père de robpecunière. Je me réjouis d'avance de partager avec lui certains des solos endiablés de cet album de Black Sabbath, au fond de sa caverne a vinyles.

Cet album au nom extrêmement douteux ne m'a étrangement pas tant dérangé que cela musicalement parlant. En revanche, sa présence sur exclusive sur Youtube m'horripile au plus haut point. Nous avons déjà émis plusieurs rappels à l'ordre à l'encontre des artistes usant de cette stratégie. Le prochain album sera sanctionné d'un 2/5, et ce peu importe sa qualité.

Quand le rap britannique évite de parler de couteaux et de braquage, c'est tout de suite beaucoup plus agréable.

Alors là, c'est la cerise sur le gâteau. Comme vous le savez déjà, Robert n'a pas jugé nécessaire d'inclure Céline Dion dans sa liste pourrie. En revanche, Robert nous offre ici un superbe pied de nez, en incluant l'illustre inconnu Dion, homonyme de la chanteuse à succès que l'on connait tous. Robert ne perd décidément rien pour attendre, multipliant les farces ces dernières semaines.

Tous les écarts de comportements de Kanye sont pardonnés dès lors qu'on écoute sa musique.

J'ai d'abord cru que cet album était l'oeuvre de Moby sous un nom d'emprunt. Pour vérifier ma théorie, j'ai procédé de la sorte: - Je me suis rendu à Londres, dans les quartiers du groupe Leftfield - Je me suis équipé de mon déguisement d'Eminem - J'ai poussé la porte de leur studio, en poussant un cri strident Malheuresement, aucune réaction d'effroi ne me parvint de la part des deux membres du groupe Leftfield, ce qui contredit donc ma théorie.

Cet album nous présente un Garfunkel au bord du gouffre émotionnellement. En effet, ce dernier ne supporte plus de vivre dans l'ombre de Simon. Il refusera d'ailleurs dans un premier temps d'enregistrer l'album avec Simon, mais après de nombreux pourparlers, il accepta de se rendre au studio en traînant des pieds. C'est à ce moment précis que la photographie figurant sur la couverture d'album a été prise.

Je me suis régulièrement présenté à vous en tant que défenseur officiel de la cause Bjorkienne, mais là au bout d'un moment il faut pas pousser mémé dans les ortilles.

Les Guns N Roses viennent s'imposer en tant que bande de joyeux gueulards numéro 1 du générateur, pour le plus grand plaisir de nos oreilles. Je tenais à vous mettre en garde contre mon camarade d'écoute roblitière: ce dernier est actuellement en train de se rapprocher de son père par le biais de reviews hypocrites. Ce dernier n'a en effet pas su apprécier à sa juste valeur cet album des Guns N Roses, mais devrait vraisemblablement lui accorder une grosse note afin de séduire son propre père. Cela ne prendra pas, malheureusement pour rob, qui reste la honte musicale de la famille litière.

Cet album était des plus nauséabonds, on sent que Robert a eu besoin de relâcher la pression après une période d'activité exceptionnelle.

Robert a voulu faire son interessant en nous rappelant que la reine Elizabeth était décédée ce vendredi, Robert oublie cependant deux points: 1. on en a rien a foutre du décès de la reine 2. le camouflet ne prend pas, cet album était insipide

Les compères de Steely Dan nous proposent, à la surprise générale, un album absolument minable que l'on ne leur soupçonnait pas. Attention Robert à ne pas retomber dans tes travers, car j'aperçois un album de rap old school dans ma liste d'albums générés.

Sans interêt mais je vois déjà le 4/5 de mon camarade d'écoute robplumière pointer le bout de son nez.

Aussi convaincant que l'article de Mercatostar sur le transfert de Lamine Sané à West Ham.

Un album pas désagréable de la part de la pétasse de Fairport Convention.

Radiohead vient encore nous proposer une très belle compilation d'hipstereries, qui ne manquera pas de satisfaire tous les bobos de France et d'ailleurs. A mettre entre toutes les mains.

Le cadavre de Johnny Cash se fout ici bien de notre gueule. Il ne se donne plus la peine de nous offrir ses transitions stand-ups, se contentant simplement de mauvaises reprises de Depeche Mode et autres artistes. Cet album n'est même pas enregistré en live ! Impossible par conséquent d'écrire le script du concert, à mon plus grand regret.

Je suis comme vous le savez en ce moment très occupé, le projet de construction d'une enceinte de 4m sur 5 dans mes bureaux étant extrêmement chronophage. Il m'est donc impossible de rédiger des reviews dignes de ce nom pour le moment.

Je ne pense pas que le choix des cornemuses si chères à mon camarade d'écoute robvipères suffiront à faire oublier le fait que cet album est absolument minable, en tout cas elles permettent d'échapper au 2/5 couperet.

Deux événements se sont aujourd'hui produits, qui me laissent tous deux dans l'incompréhension la plus totale: 1. Mon manager a refusé le premier prototype d'enceinte de 4m sur 5 que je lui ai soumis. 2. Que fout cet album dans la liste de Robert?

J'ai lancé cet album à 14h et l'ai terminé aux alentours de 17h30.

Je pense qu'un nom de scène plus approprié pour ce gloubi-boulga musical aurait été Soul te saoûl. J'expliquerai ce jeu de mot brillant ainsi que la signification du mot gloubi-boulga pour mes lecteurs américains dans un prochain review, restez connectés.

Ryan Adams est le cliché de l'américain moyen: son prénom est des plus banal pour un américain, il pose sur la couverture de l'album devant la bannière étoilée pour rappeler à quel point il est fier d'être américain, il nous propose un rock de qualité extrêmement médiocre comme les américains. En bref Ryan Adams et un connard et toi aussi Robert, je suis à bout de nerfs avec tous tes albums de castor de merde.

Cet album nous présente un Muddy Waters aux anges. En effet, après de nombreuses années très difficiles au sein de son couple la faute à des prestations dans le lit conjugal très insuffisantes, Muddy Waters est parvenu à redresser la barre dans tous les sens du terme. Muddy se présente ainsi sur la couverture de l'album "Hard Again" souriant, nous montrant avec fierté de ses mains que oui, il a de nouveau la gaule.

Public Enemy porte extrêmement bien son nom, on ne souhaite plus jamais revoir ce groupe infect sur notre écran de générateur.

Le calvaire générateurien continue, avec cet album des Cocteau Twins. Il faut savoir que les Cocteau Twins sont sous l'emprise du puzzle du millenium de Kate Bush, ce qui signifie que Kate Bush peut prendre le contrôle de l'album à tout moment. Cela se produit ici dès les premières secondes de l'album, où l'esprit de Kate Bush sortira du puzzle dans un "Kate Buuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuush retentissant". Kate Bush ne quittera plus l'album à partir de ce moment.

J'ai, après près d'une dizaine de ses albums générés à l'aide de mon génateur pirate (me contacter en privé pour plus d'informations), enfin apprecié un album de l'androgyne David Bowie. En effet, quand ce dernier ne fait pas des expérimentations musicales ou sexuelles étranges, sa musique s'en trouve de suite plus agréable.

L'album était sympa mais ne réussit pas à mettre un terme à l'horrible série d'albums moyens offerts par Robert. Ce dernier nous a d'ailleurs pondu un nouvel album de Costello, que nous saurons accueillir comme il se doit. En d'autres termes, on va lui faire sa fête.

Malgré nos multiples manifestations anti-Costello, Robert n'a pas cedé d'un pouce, et continue de nous noyer sous les albums absolument minables de Costello. Nous allons donc devoir procéder à une opération coup de poing très prochainement, vous en saurez plus dans les prochains reviews. Nous n'esperions pas devoir en arriver là, mais la cause anti-Costello va nous obliger à sortir les grands moyens.

C'etait sans surprise un album dénué d'intérêt. Petit point sur l'avancée du projet JBL. Je vous rapelle que j'ai pour projet d'installer une enceinte de 4 mètres par 3 dans les locaux de mon entreprise, et ce juste derrière mon poste de travail. Après de longues négociations, le projet a finallement été accepté par mon manager. Les premieres mousses acoustiques ont été posées hier dans la journée, et j'attends aujourd'hui l'arrivée de deux énormes basses de 2 mètres de diamètre.

David Holmes n'a aucun intérêt si ce n'est d'avoir pondu la bande originale de James Bond. A noter que ledite bande originale est un des premiers morceaux que j'ai appris à jouer sur la guitare gracieusement prêtée par mon camarade d'écoute robaugustiner. En effet, rob m'a prêté une de ses vieilles guitares dans les années 2010, m'encourageant dans mon apprentissage de la "gratte" comme il aime à l'appeler. Seulement, après une virulente dispute suite au refus de rob de rejoindre la soirée trip-hop organisée en fin d'année de 1ère, j'ai décidé de ne pas lui rendre sa guitare. Celle-ci trône par conséquent toujours dans ma chambre d'adolescent, malgré une corde abimée par mes riffs endiablés.

Je passais un excellent moment en ce début d'après-midi, étant en train de réecouter l'album Foo Fighters des Foo Fighters, précédemment généré par Robert. Quand tout à coup, l'après-midi tourna au drame. Un bateau vint s'ammarer à même le balcon de mon appartement devant mon incompréhension la plus totale (il n'y a en effet pas le moindre cours d'eau rendant cette opération possible près de mon appartement). A son bord, un groupe de punks a chiens venus tout droit de l'Arctique. Ces derniers passèrent alors à l'abordage, et vinrent détruire tout mon matériel d'écoute musicale, sans la moindre explication. Une fois leur travail terminé, les punks a chiens remontèrent sur leur navire, et ouvrirent un pack de Maximator pour fêter ça.

J'ai été très déçu par cet album, sa qualité était très loin de mes espérances. En effet, après une écoute qualifiée de cauchemardesque par mon camarade d'écoute robpécunière, je m'attendais à retrouver un véritable cataclysme musical. Il n'en fut rien, j'ai passé un moment tout a fait banal avec ces joueurs de flûte patentés. Une vraie déception.

Les Specials nous offrent une progression fulgurante par rapport à leur premier album: ces enormes connards passent en effet de 1 à 2/5

Le problème de cet album, c'est que l'on a déjà entendu plusieurs de ses titres en version orchestrale sur l'album S&M. C'est un peu comme si l'on devait manger un plat de brocolis après avoir degusté un superbe magret de canard, le brocolis souffre immédiatement de la comparaison.

Bon Jovi vient prendre la tête du classement des joyeux gueulards du générateur grâce à cet excellent album. D'aucun diront que Bon Jovi appartient d'avantage à la caste des tristes gueulards, mais cette classification n'a pas encore été acceptée par le tribunal du gueulard rock.

Taylor Swift est affreusement banale, tout comme sa musique, ce qui en fait donc une artiste plebiscitée par Robert et les amies décérébrées de robpassemoiunebière.

Le problème de Beck, c'est que tout le monde se fout de sa musique. À raison d'ailleurs.

Un album de touareg rock agréable, pas de quoi casser trois pattes à un canard non plus.

J'ai adoré cet album, seulement voici son problème: l'ombre de Mc Fly et Carlito plannait au-dessus de moi tout au long de l'écoute. J'étais effrayé à l'idée d'entendre un "je suis une tik-tok girl" rententir, et suis donc resté sur le qui-vive pendant les 1h10 de metal proposé par nos joyeux gueulards de Korn.

J'ai trouvé cet album excellent, c'est donc sans surprise que j'ai découvert la nationalité française des deux protagonistes. Petit point sur l'avancement du projet JBL: les dernieres finitions ont été aposées sur la grille acoustique, l'enceinte devrait être prête pour utilisation dans la semaine. Je vous rapelle, pour ceux qui n'auraient pas suivi, que derrière le projet JBL se cache le projet d'installer une enceinte de 4 mètres par 3 dans les locaux de mon entreprise, et ce juste derrière mon poste de travail.

Ce pâle clone de Cat Stevens nous offre un album long comme le sexe nouvellement dressé de Muddy Waters (voir review sur Hard Again), cela ne prend malheureusement pas avec moi.

Cet album nous présente Anita Baker, une diva à la voix sublime, qui vient nous enchanter tout au long de l'album. Malheureusement, comme les mots clés "diva" et "voix sublime" ont été utilisé, le correcteur automatique du générateur doit lui attribuer une note moyenne inférieure à 3. J'ai contacté Robert au sujet de ce correcteur que je trouve personellement défaillant. Je vous tiendrai au courant de sa réponse dans un prochain review.

C'était plutôt pas mal, mais j'ai du mal avec les choix d'enchainements de chansons. Joni Mitchell nous propose en effet plusieurs sons acoustiques des plus agréables, constamment entrecoupés de promotions pour la dernière bière à la mode ou encore la dernière marque de dentifrice. Ceci rend l'écoute des plus désagréables, et se doit d'être sanctionné.

Les Carpenters m'ont absolument régalé pendant toute la durée de cet album, et ce malgré des interruptions intempestivs d'ordre professionnelles. En effet, plusieurs de mes collègues ont tenté de me destabiliser pendant toute l'écoute, mais j'ai réussi à profiter pleinement de la proposition artistique des Carpenters. Les poutres ont été parfaitement placées de bout en bout, quelques plinthes ont été aposées par-ci par là. Une colonne de marbre viendra même être placée entre les deux piliers centraux, afin de créer une harmonie parfaite dans la structure de la maison. Un pur régal.

Un album absolument excellent de la part de Mathis. Pendant toute la durée de l'album, ce dernier s'attelera à corriger les innombrables fautes d'accord de robheritière, et ce sans jamais perdre sa bonne humeur. Un trésor de patience.

J'ai beaucoup aimé cet album de la baleine Franck Black, notamment le moment où ce dernier remonte à la surface prendre sa respiration, expulsant l'eau présente dans ses poumons d'un splendide geyser aquatique.

Robert est en feu en ce moment, son pacemaker vient en effet d'être réajusté suite à un disfonctionnement qui pompait une grande partie de son énergie. L'horizon est radieux dans le ciel générateurien.

Quel retour fracassant de Victor MacBernik. Après des années de disette, la faute à l'arrêt du programme "La Famille Pirate", Victor s'est vu redonner une chance de démontrer l'étendu de son talent. Le moins que l'on puisse dire, c'est qu'il a su saisir l'opportunité qui s'offrait à lui. Sur le titre Electricity, il viendra absolument tout donner, nous offrant un "EEEEEEEEEEEElectriciTYYYYYYYY" des plus merveilleux, qui ne manquera pas d'être repris par petits et grands. Je n'ai qu'un mot: bravo.

Un exemple d'hotellerie rock offert ici par nos compères des Eagles. Les serviettes sont parfaitement pliées dans la chambre, et le code wifi a bien été communiqué dès l'arrivée dans l'établissement. Petit bémol: un seul échantillon de shampoing a été fourni, alors que la reservation précisait bien que deux personnes séjourneraient au sein de l'hôtel. On ne leur en tient pas rigueur et leur accorde la note de 4 étoiles sur 5.

J'ai du interrompre mon écoute de cet album pour me rendre à un rendez-vous. A mon retour, j'ai relancé l'album comme toujours, et immédiatement cru que mon casque audio présentait un dysfonctionnement sonore. Et pourtant, il s'agissait bien des guitares saturées ignobles de my bloody valentine.

Dire que ce connard de Thundercat est présent dans les 1001 albums à écouter avant de mourir, pendant que The Weeknd subit la censure Robertienne.

Je suis absolument débordé dans mes diverses activités, je passe donc mon tour pour ce review d'énième album étrange.

The Divine Comedy est absolument intenable. Son déchaînement total n'a d'égal que sa furie. Les invectives de la receptionniste, tentant tant bien que mal de le calmer n'y feront rien, The Divine Comedy est tout simplement hors de contrôle.

Cet album est passé en coup de vent, tellement que j'avais oublié de l'écouter, lui préférant l'album des Cocteau Kate Bush Twins generé juste après. Un choix qui était probablement le bon, puisque je viens de perdre 40mn a réécouter cet album moyen de plus.

Les Cocteau Twins nous proposent une nouvelle fois leur bouille Kate Bushesque pendant 30 bonnes minutes, avant de se décider d'enfin lancer leur album sur le dernier titre. Totalement insuffisant, ce qui leur vaut un 3/5 affable.

Cet album supposement parmi les pires du générateur a su résonner en moi. J'ai depuis son écoute opéré de grands changements dans ma vie. Tout d'abord, j'ai quitté mes différents engagements associatifs dans le milieu du sport pour créer ma propre nouvelle association, basée sur la culture de la race aryenne. J'espère par ce biais remettre au goût du jour une idéologie jugée désuette par ces détracteurs, mais qui a selon moi encore tout l'avenir devant elle. De plus, je ne communiquerai désormais plus qu'en allemand, la langue suprême, ceci représente donc mon dernier review en français. Enfin, j'ai remplacé mon vieux véhicule, une Renault Clio des plus anciennes, par un Panzerkampfwagen VI Tiger flambant neuf.

Ich habe meine Limiten und dieses Album hat es depassiert.

Der Empfang das Album was wunderbar. Aber danach, die Wasser Jungen haben sich geschlafen, traurig fur ein potenzial fünf Sterne.

Wenn etwas insignifikant ist, du kannst es The Black Crowes rufen

Ich hasse alt schule rap

Ich habe meine Tag in ein sehr schlecht Mooden beginnt. Nach dieses album, ich bin voll vutelnt, danke viel mal zu den alt schule rap von dieses heute Konnard.

Wir sind jetzt in ein sehr schlecht Serie dass Robert konkoktiert gehabt hat. Dieses Serie wird nur stoppen mit ein Kondition: mein Hörenkamarad robcolonaire musst sein Hochzeit Review publizieren.

Ich hasse auch Alles aber die Mädchen.

J'ai beaucoup apprécié cet album des Beastie Boys, qui a fait s'échapper de moi les idées naziabondes précédemment inculquées dans mon cerveau par les totalitaristes de Laibach. La langue française sera donc de nouveau mise à l'honneur sur ma page 1001albumsgenerator, n'hésitez pas à me suivre pour ne louper aucune critique.

Inutile de commenter cet album je pense. D'autant plus que je reviens tout juste de vacances et que j'ai du pain sur la planche avec la génération contre toute attente de Stevie Wonder.

Qu'aurait donné cet album sans l'existence d'Eddie Mitchell? Difficile de le dire. Stevie Wonder semble en effet dérangé tout l'album. En effet, durant sa performance de haute qualité, prennant place dans un studio à l'isolation acoustique parfaite, Eddie Mitchell tentera par tout les moyens de faire intrusion dans l'habitacle, et ce afin de récupérer puis s'approprier les mélodies de Stevie. Fort heureusement, il ne parviendra jamais à rentrer dans le studio, mais de multiples coups de burin peuvent être entendus sur certaines pistes.

Les dictateurs s'evertuent pendant plus de 35 minutes à nous présenter une dictature saine et variée, destinée à imposer une alimentation équilibrée au sein de leur régime. Malheureusement, une trahison à l'intérieur même du régime totalitaire par la cruelle Frau B. viendra donner un coup d'arrêt à cette belle initiative, voir même mettre en danger ses investigateurs. Ce n'est que grâce à l'aide du dénommé Rossi que ces derniers s'en sortiront sans conséquences, si ce n'est la dissolution de leur régime totalitaire.

Comme l'a très bien dit mon camarade d'écoute robplumière, Nick Drake est un très bon artiste, mais on commence à comprendre sa recette. Ma conclusion est que Nick Drake se fout un peu de la gueule du monde.

Enfin un bon album de l'androgyne Bowie, dont j'ai pu me délecter sur les enceintes de mon bureau. Quelques collègues sont venus se plaindre auprès de mon chef de l'ambiance beaucoup trop androgyne régnant dans l'open space par ma faute, mais aucune sanction n'a pour l'instant été prise à mon encontre.

Cet album ne recolte que mon plus grand desintérêt, et ce n'est certainement pas le prochain album de Brian Eno qui risque de redresser la barre.

Je pense que le cas Brian Eno a déjà été suffisamment abordé. Mon camarade d'écoute robhuissière retrouve en lui la figure paternelle qui lui fait défaut depuis tant d'années, ce qui explique ses notes on ne peut plus généreuses (pour rappel, je suis le petit préfèré du père de robhuissière).

C'était absolument ignoble comme tout bon album des Who qui se respecte.

On commence à en avoir assez des hipstereries de Robert, envoie nous l'album de Nirvana bon dieu.

La fête d'anniversaire fut un calvaire. Dès mon entrée dans le lieu de réception, je fis tomber un bibelot d'une valeur inestimable, qui se brisa sous le choc. Peu après. je complimentais la femme de mon hôte pour sa grossesse, alors que celle-ci n'était absolument pas enceinte. Enfin, en effectuant quelques pas de danse pour réhausser un peu l'ambiance de la soirée, mes pieds me firent tout d'un coup trébucher, et je finis par tomber tête la première sur le gâteau d'anniversaire. Même le passage furtir de Picot ne parvint pas à sauver les apparences: cette soirée fut un calvaire total.

La série putride offerte par Robert récemment me fait douter une nouvelle fois de son état de santé actuel. megadeth n'a rien à faire dans la caste des joyeux gueulards, ils sont absolument nuls.

Robert tu es vieux arrête d'essayer de faire croire à tout le monde que tu n'es pas dépassé par les évenements, tout le monde deteste tes albums de merde post 2000.

Robert est absolument détestable. Aujourd'hui il est temps de vous dire la vérité. La présence de multiples recueils d'africanaiseries dans cette liste est dûe à un changement de comportement improbable de Robert: en effet, ce dernier est persuadé d'être africain. Lors de ma dernière visite à son domicile, je fus stupéfait de voir que Robert arborait un boubou flambant neuf. La stupeur ne fut qu'amplifiée quand ce dernier commença à m'invectiver avec une très mauvaise imitation d'accent africain: "Comment ti vas ltrapeze EH, ti as fait bon voyage?" Je m'enquis rapidement de lui demander qu'est ce qui ne tournait pas rond avec lui, mais sans même me répondre, il me pris par la main pour m'inviter à déguster "le mafé EH".

A demain Robert, tu vas passer un sale quart d'heure.

Mon camarade d'écoute roblampadaire m'avait promis un excellent album, grand fan de punk qu'il est. Malheureusement il n'en fut rien.

Nous nous sommes aujourd'hui pointés, mon camarade d'écoute robpanière et moi-même, au domicile de Robert pour célébrer le 600ème album du générateur. Cependant, lorsque la femme de Robert nous ouvrit la porte, aucune musique ne s'échappait de la pièce à vivre. Aucun invité ne semblait présent, et la femme de Robert nous fit comprendre que la soirée était hier soir, et que Robert n'était actuellement pas présent à son domicile. Je compris rapidement ce qu'il s'était passé: cet imbécile de rob s'était trompé de date pour la célébration du 600ème album, puisque l'album du jour était en fait le 601ème. Malgré la deception, nous avons décidé de ne pas repartir les mains vides, et avons soigneusement passé à tabac la compagne de Robert, en guise de protestation contre la série absolument ignoble offerte par Robert récemment.

Le contrat est rempli pour cette fois par Megadeth: les têtes de mort sont présentes en nombre, avec une variété de tailles intéressante.

Un bel exemple de coiffeur house nous est offert ici. Une charmante jeune femme vient nous proposer un shampoing pour lancer les hostilités, avant de nous aposer un tablier autout du cou. C'est alors que le coiffeur principal vient faire son entrée, prodiguant de savants coups de ciseaux, tout en nous demandant comment ça va. Nous repartons malheureusement en trouvant que la coupe est trop courte (au contraire de l'album).

Supergrass vient nous proposer tantôt une très bonne imitation de Nirvana, tantôt une trèS bonne imitation des Smashing Pumpkins. Vous vous doutez donc bien de la difficulté de noter cet album, j'accorde un tout petit 4 en tentant d'oublier l'horrible voix des Smashing Pumpkins.

Je suis de très mauvaise humeur ce matin et ce n'est très certainement pas cet album de Laura Nyro qui va y changer quoi que ce soit

Nick Cave vient se plaindre au micro pendant plus de 50 minutes, et personne ne sait vraiment pourquoi.

Je commence à en avoir sérieusement ras la casquette de tous ces artistes pour hipsters retenus par Robert. Il semblerait qu'il n'ait pas compris le message que mon camarade d'écoute robpelletière et moi lui avons laissé il y a quelques jours de cela, en passant soigneusement à tabac sa compagne. Qu'à cela ne tienne, nous allons devoir monter notre protestation d'un cran.

Un album que je qualifierai de gentillet

Les My Bloody Valentine n'ont donc pas été selectionnés deux fois (ce qui représentait déjà un scandale), mais bien trois fois dans la liste de Robert. Cette manipulation de plus de la part de Robert, pour imposer le style shoegaze au sein du générateur, se passe de commentaires, et sera suivie d'actes extrêmement violents de la part de mon camarade d'écoute roplampadaire et moi même.

Mon dieu que c'est nul. Cet album ne comprend même pas la troupe des Stephen Stills, Stephen Stills ayant remplacé les Stephen Stills par Crosby et Nash. Un scandale absolu.

Cette tribu de rappeurs old-school aura au moins eu le mérite de se démarquer un peu du ice cube rap (malgré un petit dérapage puisque le Ice Cube est une fois de plus cité dans cet album).

Cet album vous permet désormais de comprendre pourquoi j'ai interverti mon père avec celui de mon camarade d'écoute robgouttière. En effet, alors que je me rapprochais de plus en plus du père de rob, et de sa caverne a vinyles hard rock, mon propre père tenta de s'interposer, et me glissa un album dans les mains afin de regagner mon coeur. Cet album, c'était New Gold Dream de Simple Minds. Comme vous le savez désormais, cet album est de très piètre qualité, ce qui finit d'entâcher complétement la relation qui me liait à mon père.

L'envie de deserter ce générateur insipide se fait de plus en plus forte. Je reconnais au moins ä Bebel que son album était agréable, malgré quelques baragouinages en français qui sont normalement sanctionnés.

Thin Lizzy ne laisse pas une minute de repis à sa guitare pendant les 1h15 d'album qu'il nous propose. Cette dernière a beau suffoquer, virer au rouge, et supplier Thin de la laisser respirer, Thin Lizzy continuera son travail de sappe tout au long de l'album.

C'était même pas si nul que ça mais je n'en peux plus des conneries de Robert.

Ok c'est vrai cet album était sympa mais ne nous fait pas oublier qu'aucun 4/5 n'a été attribué depuis 13 albums. Où s'arretera la folie de Robert? Les multiples menaces de mon camarade d'écoute robbière ne semblent pas fonctionner.

Barry échappe de justesse au 2/5, grâce à quelques morceaux très bien sentis, qui nous font oublier entre autres l'horrible interlude ou encore les multiples expériences sonores complétement ratées.

On s'est encore bien régalé avec ce groupe ice cube hip hop

C'était carrèment correct, mais cet album porte quand même notre série sans 4/5 à 15 albums, nous ne sommes plus qu'à deux petites unités du record absolu. Attention tout de même, il va falloir passer l'obstacle Pixies, qui est un gros concurrent au 4/5. Affaire à suivre.

RAS, cet album s'est bien emparé de la vague médiocre présente depuis maintenant 16 albums, la série morbide peut continuer.

Je ne ferai plus aucun review tant que cette série fantastique ne sera pas stoppée, 17 albums sans 4/5, et je suis sûr que Robert n'a pas fini de nous décevoir !

Encore un album survendu par cette ordure de robvipère, qui porte la série d'albums sans 4/5 à 18, pour un nouveau record officiel du générateur. Selon mes estimations officielles, cette série devrait se porter à 19 grâce à l'album des Byrds généré, mais devrait ensuite être interrompue par une perturbation Michael Jacksonnesque, et ainsi empêcher la série de dépasser la barre mythique des 20.

Il faut reconnaître aux Byrds qu'après un parcours catastrophique au sein du générateur, ils ont su relever la tête sur cet album, et proposer une assez bonne performance. Cela ne suffira pas à se qualifier pour le tour suivant, mais les Byrds en sortent grandits.

MJ nous propose ici une enième performance de grande qualité. Seulement, le grand chelem, à savoir obtenir 3 5/5 en 3 albums, ne sera pas réussit pas notre MJ national. Et pour cause, la performance de ce gigantesque artiste est complètement gâchée par mon camarade d'écoute roblouispierre. Ce dernier pourra en effet être entendu tout au long de l'album en arrière plan. Nous le retrouvons tremblotant avant son rendez-vous avec le responsable de son cabinet d'avocat sur l'intro de l'album. Ce rendez-vous peut d'ailleurs être suivi à partir du titre Off The Wall, rob se faisant ensuite légitimement renvoyer sur l'outro. Um sabotage en règle.

C'est bon Bob tu crois pas qu'on a saisi ton style là?

Quelle epreuve que nous impose ici LCD Soundsystem... On ressort de ces plus d'une heure épuisés, près à se coucher pour vite passer à la journée suivante. Nous espérons ne jamais revoir ces criminels de LCD Soundsystem sur les ondes générateuriennes.

Robert si tu crois que c'est parce que tu nous as offert MJ sur un plateau d'argent qu'on va oublier tous les albums en bois que tu nous sors ces dernieres semaines tu te fourres le doigt dans l'oeil.

Si même Aretha se met à faire de la musique moyenne, je n'ai plus aucune foi en ce générateur.

Les Rollign Stones sont surcôtés, mon ouvrage publié aux editions Demery, est toujours disponible dans toutes les librairies. Une réedition est d'ailleurs dans les tuyaux.

Je suis actuellement en train de commanditer l'attentat de Robert, je vous tiendrai au courant de l'avancée des opérations.

Contrairement à ce que l'on pourrait croire au vu de leur pochette, le groupe Suede nous propose ici un album dépourvu d'homosexual pop. Une belle deception pour tous les afficionados de ce genre musical de grande qualité.

Ratus le rat vert viens ici nous apprendre - sous couvert de différentes méthodes plus ou moins convaincantes - l'art de la lecture. Sa gueguerre avec Victor le chien est toujours aussi succulente, et ravira petits et grands.

Comme prévu, mon petit groupe fétiche des Strokes vient nous proposer une performance de haute volée. Robert n'est donc plus capable de nous surprendre, les seuls bons membres du générateurs nous étant déjà trop bien connus.

Les grosses chaudières de TLC viennent nous offrir un album très bien conçu dans son style, malheusement ce style ne me parle pas. En effet, les multiples provocations sexuelles offertes par les chagasses de TLC m'ont mis extrêmement mal à l'aise, petit florilège: "Nous recherchons quelques chose de long et dur, peux-tu nous aider?" "J'adore avaler un truc en particulier, peux-tu deviner quoi?" "Je suis bloqué les jambes écartées, est-ce que tu peux m'aider?" Tout bonnement insupportable.

Derrière cet infini nom d'artsite se cache en fait tout simplement Kingsley Coman, tout fraîchement revenu de sa médiocre coupe du monde au Qatar. Un album coup de poing à mettre entre toutes les mains.

Cet album nous prouve que la version ailée de Paul Mc Cartney est bien meilleure que sa version normale. Ses plumes sont ravissantes, et ses vols majestueux nous emplissent de joie tout au long de l'album.

Mais pourquoi Robert a t'il selectionné pour sa liste elitiste, un album d'une rappeuse suedoise des années 80 ? Cette question m'empêche de dormir depuis plusieurs jours, je suis actuellement interné au Triemlispital de Zürich afin que plusieurs médecins puissent m'aider à retrouver le sommeil.

Assurement l'album de l'année 2019. Qui n'a jamais entendu ce bon vieux Nick Cave ces dernières années ? Avec sa ribambelle de hits à ne plus savoir quoi en faire, Nick Cave peut-être retrouvé absolument partout: sur les ondes de sa radio préférée, en faisant ses courses, en showcase dans sa boite de nuit locale... La liste est longue. Un album ayant poru sur marqué sa génération.

Ce satané groupe de Creedence Clearwater Revival était aujourd'hui de retour, fort heureusement la platitude totale de ce groupe a laissé place à un entrain surprenant, couplé à un gros tube. On en redemande.

Une équipe de professionnels surentraînés vient d'être envoyée par mes soins au domicile de mon affreux camarade d'écoute robespierre afin d'éliminer ce dernier. Ses avis désastreux sur la rnb ont en effet dépassé les bornes avec le 5 accordé à cet album, auquel j'accorde un minuscule 4/5.

Le Slim Shady, comme il s'époumonne à nous le rappeler (car oui son nom est bien le Slim Shady), souffre ici d'un mal profond lié à son style musical. Chaque bon artiste de hip-hop est en effet atteint du syndrome de la camaraderie. En voici les symptomes: - L'artiste propose un excellent début album, grâce à son talent, qui enjoue l'auditeur - L'artiste se trouve soudain pris d'un élan de camaraderie, se remémorant les bons moments passés avec ses amis rappeurs (nuls pour leur part) - L'artiste se décide à inviter ses amis rappeurs (toujours nuls) sur son album - Les amis rappeurs (nuls) viennent massacrer le travail du rappeur talentueux Cet album du Slim Shady (car c'est bien lui le Slim Shady) n'échappe malheureusement pas à la règle.

J'ai beaucoup aimé cet album de country larmoyant de Billy Bragg, accompagné dans le plus grand secret de Wilco (Robert n'a pas souhaité s'attirer les foudres de l'audimat générateurien en mentionnant une fois de plus le très controversé Wilco).

Un super album de la part de Blur, qui passe en revue tous les trucs et astuces propres à l'art du créneau. On en ressort expert en marche arrière et en contrôle de rétroviseur, un délice.

Je sais pas si tous les Mods sont cons, par contre j'en connais un de gros con et il s'agit de Robert avec ses albums de merde.

Je me suis bien emmerdé devant cet album des Cardigans. Ces derniers font pâle figure dans le monde de la pullover pop, bien loin de leurs concurrents de The Cols Cheminés ou encore des The Turtle Neck

Une chose est sûre, Gary n'a pas très bien compris le principe de plaisir, avec cette heure de musique angoissante qu'il nous offre dès l'entame de la semaine.

Koffi Olomidé vient nous offrir un album respectant absolument tous les codes de l'africanaiserie. Tout est soigneusement calibré pour satisfaire notre Robert national, adorateur de la culture africaine. Là où Koffi vient apporter sa patte personelle, c'est au niveau du mix de cet album. Il n'a en effet pas hésité à rajouter de multiples bruitages de coups de pieds tout au long de l'album, en voici quelques exemples: "Toulougoumi djima limbi sangaaaaa *swoush paf* (bruit d'un coup de pied retourné venant toucher le visage de sa cible)" "International bongo boussa boussa *PANG* (coup de pied rapide et précis porté au genou de sa compagne)" "Dja dja musique ahhhhhh solange camara *whoop bing* (coup de pied sauté venant s'enfoncer pleine puissance dans l'estomac de son fils)" On en redemande.

On a déjà vu bien pire au sein du générateur ice cube rap, cet album aurait pu presque être digeste si il ne changeait pas du tout au tout sur la deuxieme partie de l'album. En effet, à partir de la 8ème piste, de multiples hurlements de triceratops vont venir nous rappeler que Jurassic 5 n'est pas seulement un groupe de ice cube rap, mais également un groupe de préhistorique pop. Tout comme leurs camarades du groupe T.Rex, les Jurassic 5 vont mettre en scene un nouvel attentat, à savoir celui commis par ledit triceratops sur sa proie. Etait-ce vraiment nécessaire ?

Nile est un garçon très timide, il le prouvera tout au long de l'album en baragouinant quelques phrases dans sa barbe. L'album reste par conséquent parfaitement inintelligible.

ça c'est ma synthpop, le meilleur genre musical du générateur. Chaque album de synthpop me rapelle avec tristesse qu'alors que je vivais une enfance épanouie bercée par ce genre musical, mon camarade d'écoute robpullover se voyait imposer une multitude d'albums de pédales de la rnb. La vie est décidement bien injuste, mais cela n'enlève en rien le fait que rob est une belle raclure de bidet.

J'ai passé 20mn à prendre Bono pour le chanteur du groupe Coldplay, et vais donc noter cet album en conséquence.

On pensait que Robert nous avait donné le coup de grâce avec l'apparition dans cette liste de Jah Wobble's Invaders Of The Heart et ses 15 000 auditeurs, mais c'était sans compter sur la malice de notre Robert national qui a décidemment plus d'un tour dans son sac. Aujourd'hui Robert nous propose en effet le réel artiste le moins connu du monde, en la personne de Suba. Il faut savoir que les chiffres sont éloquents, puisque c'est en moyenne exactement 0 personne par jour qui demandent une photo à Suba. Un bel exploit chiffré à mettre à son actif.

Un album de bonne facture de la part de The Verve, mais le manque d'urbanité pourtant promise sur le titre de l'album leur empêche d'accéder à la caste très resserrée des 4/5.

Un nouvel album de baragouinage, mais Baaba Maal a au moins le mérite de bien baragouiner ses sénégalaiseries.

Après une bonne vingtaine de tentatives vouées à nous imposer son style post hipster indie, Robert a enfin réussi à me faire apprécier un album du genre. Une belle preuve des dangers de la politique du bourrage de crâne, qui nous ramène aux heures les plus sombres de notre histoire.

étant pris dans mon travail, j'ai oublié d'arrêter l'album à la 8ème piste comme convenu par Wikipédia. Par conséquent, j'accorde la note de 3/5, la façon dont le groupe Ride regardait ses chaussures ne m'ayant de plus pas particulièrement emballée.

L'album commençait sur de belles promesses grâce à d'excellentes guitares, qui seront malheureusement vite remplacées par des cuillères, egorgements de femmes, chats et autres bruits de pets.

çA faisait logntemps que nous n'avions pas eu affaire à de joyeux gueulards, ceux-ci étaient particulièrement joyeux, ce qui leur vaut la note de 2/5.

Encore un mauvais album d'androgyne pop offert par la fraude Bowie, on en a mare Robert.

Absolument inintéressant, l'indie est décidement bien l'un des pires genres musicaux n'en déplaise à Robert qui pipe les dés afin de permettre à ce genre de bien trop figurer dans ce générateur.

Un album de grande qualité, nous mettant en scène Mike Horn dans diffèrentes scènes délicates ayant eu lieu au cours de ses expéditions: face a face avec un ours polaire, descente en speedboat sur le fleuve Amazone, ou encore mise ne place d'un piège à lapin. Un véritable guide de survie musical.

Cet album possède la particularité d'etre entièrement composé en binaire. On y prend absolument aucun plaisir mais saluons l'originalité. Le titre 0111001110 sort tout de même un peu du lot.

Paul Simon nous propose un nouvel album chiant à mourir. Ce mec est capable de ruiner l'ambiance dans une soirée en une fraction de seconde, grâce à l'ennui profond qu'il apporte dès qu'il ouvre la bouche. Sa dernière apparition télé a d'ailleurs représenté une véritable catastrophe industrielle pour la chaîne lui en apporté sa confiance, puisque dès que le visage de Paul Simon est apparu sur les écrans, plus de 4M de téléspectateurs ont immédiatement coupé leur téléviseur. Un artiste à fuir.

Un album de qualité de la part de 50 Cent, qui se démarque clairement du style ice cup hip hop omniprésent au sein du générateur. Sans mauvais jeu de mot, ça fait chaud au coeur.

Ok janis t'es sympa mais ta voix de fumeuse de roulées on a vite fait le tour. Un 3 en guise d'avertissement.

Syd est un extrêmement mauvais artiste. Ce petit con se permet même de faire le malin en chantant faux sur la fin de l'album. Les 37 minutes promises m'ont semblées interminables, va te faire foutre Syd.

Je suis un très grand fan de System Of A Down, SOAD pour les intimes. Quand j'ai vu leur nom s'afficher dans le générateur, mon excitation était palpable. C'est alors que mes yeux se sont attardés sur le nom de l'album: System Of A Down... Tiens tiens tiens mais quel est cet album. La réponse est en fait très simple: cet album est le seul mauvais du groupe, montrant leur style unique encore pas du tout maîtrisé, car Robert a pour habitude de prendre le contre-pied du bon goût. Robert je te pisse au cul.

J'ai passé un agréable moment au sein de la famille de mon camarade d'écoute robchimisteoubijoutière, à savoir son ermite de père de la caverne à vinyls, le batteur de Deep Purple et rob lui même.

Un album de piètre qualité, malgré quelques sursauts d'orgueil, donc notamment le moment où le personnage principal refuse de partager l'addition.

Le Run D.M.C. vient nous proposer un très bel album de rap rock, qui consiste à proposer un album de rap des plus classiques et monotones, en y ajoutant une reprise ratée d'un hit rock de qualité. Du très bon boulot.

En tant que directeur officiel du club des détraqueurs des Rolling Stones, je me retrouve bien embêté devant cet album de plutôt bonne facture. Je décide donc d'accorder la note de 4/5 dans l'anonymat je l'espère le plus total.

Cet album ne laissait que peu d'espoir avant même de le lancer. En effet, je pris soin comme souvent de rechercher le nom de l'album sur Wikipédia avant de découvrir ses premières notes. En quelques secondes, un indice énorme m'était donné sur la qualité de ce disque: les genre musicaux choisi par les Lightning Bolt sont en effet les suivants: noise rock, désagréable rock, bruit d'ondes radio rock. Tout un faisceau de genres à fuir donc. L'album n'a pas déçu, puisqu'il était en effet tout ce qu'il y a de plus indigeste.

J'ai passé un agréable moment avec cet illustre inconnu de Bert, qui s'est averé être extrêmement sympathique, me proposant même de payer ma consommation, Un vrai chic type.

Ok cet album ne présentait peut-être pas de colliers à clous et de Maximator, mais il en demeure pour le moins chiant à mourir.

Robert se remet enfin au travail, avec un album de qualité qui fait du bien au milieu de la bouillie proposée récemment. En parlant de règlade, j'ai appris ce matin que les membres du groupe Fleetwood Mac s'amusaient à lancer des preservatifs remplis de lait pendant les concerts de leur début. Une anecdote qui fait sourire, plusieurs années avant que la femme chanteuse du groupe ne passe son temps à courir derrière le mec super charismatique du groupe tout au lond de l'album Rumours.

Certes comme j'ai pu le déclarer précédemment dans de multiples interventions dans les médias, les Beatles sont surcôtés, mais cela n'enlève en rien qu'ils proposent globalement de la très bonne musique. Je vous mets tout de même encore une fois en garde face à tous les auditeurs décérébrés du générateur qui vont s'empresser de presser la 5ème étoile.

Madonna nous propose ici un album complètement vide, comme l'entiéreté de sa carrière qui ne tient qu'à ses scandales et ses lèvres botoxées. Bien essayé de ramener Grace de Peaky Blinders sur la cover, cela ne suffit pas à sauver les apparences.

Le répugnant robpoullaillère nous avait promis un excellent album, il n'en fut sans surprise rien. rob a une fois de plus tenté de renouer le contact avec son père en forçant sa passion pour un album moyen de rock, malheureusement le père en question (avec qui j'entretiens d'excellentes relations je le rappelle) m'a confié qu'il n'aimait pas tant que ça cet album. Un nouveau coup d'épée dans l'eau pour l'affreux rob.

Ici en revanche, l'album est excellent. J'ai donc pris soin de contacter le père de mon camarade d'écoute robcremaillère, qui m'a tout de suite confirmé que cet album de qualité pouvait être retrouvé dans sa caverne à vinyle. Rob n'arrivera donc jamais à ses fins (à savoir créer une réelle relation père-fils, étant donné pour rappel que son père me considère comme son réel fils).

Ces petits trous du cul de Public Enemy nous ont offert 1h de rap des plus originales: en effet, le beatmaker du groupe, en panne d'inspiration, a décidé d'utiliser exclusivement sa théière pour produire cet album. On peut donc entendre tout du long de l'"oeuvre" une théière en ebulltion accompagner les flows absolument ringards de Public Enemy.

Cet album était excellent, et ce malgré la moindre proposition de chanson issue de la bande originale des Rois de la glisse.

Un album oublié à peine terminé, je suis donc bien incapable de vous dire de quoi il en retourne.

Un album de bonne qualité, même si la déception est palpable eu égard à l'absence totale d'allemand sur toute la durée du disque. Quel dommage de ne pas avoir rendu hommage à la langue de Nietzsche et autres Mario Götze. U2 aurait bien été inspiré de suivre l'exemple de Laibach, qui nous avait offert il y a de cela quelques mois une composition parfaite dans un germain des plus impressionnants.

Les Sonic Youth sont toujours aussi jeunes et toujours aussi peu interessants. Il serait temps de passer à leur forme adulte des The Sonics, et ce dans les plus brefs delais.

Cet album ne présente absolumetn pas la moindre instruction de vol: les consignes sur les masques à oxygènes sont absentes, tout comme les instuctions propres à l'utilisation du gilet de sauvetage gonflable. En lieu et place, une nouvelle imitation bas de gamme des Beatles. On en peut plus.

On a plus qu'une hâte avec ce générateur, c'est d'en finir.

J'ai beaucoup apprécié cet album des pelicans, avec leur becs monumentaux, tout de couleurs habillés. Attention tout de même à ne pas laisser traîner ses doigts, un coup de bec est très vite arrivé.

Agréablement surpris par le Wu-Tang Clan qui nous propose le premier album d'ice cube rap digeste depuis les débuts en grandes pompes du générateur. Cette petite éclaircie devrait très vite être interrompu par un album des A Tribe Called Quest ou autre Public Enemy.

Un second bon album de punk après celui des Hives entrevu il y a de cela plusieurs mois. Cela n'est toujours pas suffisant pour redorer le blason de ce genre musical mettant en scène multiples coliers à clous et autres clébards dégueulasses, mais cela permet de faire renaître un peu d'espoir.

Mon camarade d'écoute roblumière est actuellement sur les nerfs la faute à de nombreux albums fort peu intéressants au sein du générateur. Je le comprends parfaitement, et cet album moyen ne va certainement pas améliorer son hystérie destructrice.

John Martyn se propose ici de venir nous Gene Clarkiser la gueule sans vergogne, et on en redemande.

Les Killers se sont vraiment surpassés sur cet album, voici d'ailleurs ce qu'en pense ChatGPT: Hot Fuss est un album qui a marqué l'histoire du rock alternatif avec son mélange unique de sonorités pop, new wave et post-punk. Cet album est le fruit de la créativité des membres du groupe, qui ont su apporter leur touche personnelle à chaque chanson. Cependant, je suis sûr que même les chansons les plus captivantes de l'album ne pourront pas empêcher robgruyère de faire tomber ses spaghettis sur ses chaussures en plein milieu de la cantine, comme il l'a fait en classe de 4ème trip-hop. Cette anecdote en dit long sur la maladresse de robgruyère, qui semble être incapable de faire quoi que ce soit sans provoquer un désastre. Mais au moins, avec Hot Fuss, tu peux te consoler en écoutant de la musique de qualité, sans te soucier de ce que robgruyère pourrait faire de mal. Cet album est un véritable chef-d'œuvre, et il mérite d'être écouté encore et encore.

Gang Of Four a ici essayé de s'inspirer de l'excellent album des Killers, c'est malheureusement complétement raté.

Les perruques afghanes étaient très urticantes, ce qui m'a valu de me gratter le cuir chevelu pendant toute la durée de l'album. Malgré cela, j'ai trouvé l'album excellent.

Les codes de l'androgyne pop sont ici parfaitement respectés, Prince est définitivement maître du genre en tant qu'unique représentant connu à ce jour. On le félicite pour ça.

Je dois bien reconnaître qu'on est très gâtés en ce moment au sein du générateur, avec une succession d'albums a minima bons. Ceci s'explique assez simplement par l'arrivée annoncée du printemps, qui a redonné des couleurs à Robert, qui ressemblait jusqu'alors à un vieux papier peint décrépi.

Un album somptueux sur sa première partie, malheureusement la seconde sera entâchée par l'apparition de Mathis, le professeur de guitare de mon camarade d'écoute robvipère. Ce dernier laissera rob jouer quelques notes sur plusieurs des titres phares de l'album, malheureusement rob n'est absolument pas à la hauteur, et viens s'emmeler les doigts à de multiples reprises. Fort heureusement le plein de tubes avait été fait en début d'album, ce qui permet à Nirvana d'aller enfin récupérer son 5/5.

Elton John est absolument exceptionnel, son homosexualité prononcée lui permet de proposer des sonorités musicales tout bonnement sensationnelles, on t'adore Elton.

C'est nul à souhait, Ray Charles ferait mieux de se consacrer à son vrai génie, à savoir se mettre en boule et rouler comme une toupie.

Aujourd'hui est un jour très spécial pour nous, car le générateur d'albums a atteint son 700ème album généré. Pour célébrer cette occasion, mon ami robbannière et moi nous sommes rendus chez Robert, le créateur du générateur, pour une soirée d'anniversaire en son honneur. Nous étions excités à l'idée de rejoindre la fête, mais à notre arrivée, nous avons été accueillis par une ambiance étrangement silencieuse et morose. Les couleurs vives et les ballons qui étaient là quelques jours auparavant avaient disparu, remplacés par un intérieur délabré et des canettes de bière écrasées qui traînaient sur le sol. Robert était assis sur le canapé, complètement défoncé après plusieurs jours de célébration. Il n'avait même pas remarqué notre arrivée. Nous avons demandé où étaient les autres invités, mais il n'y avait personne. Il s'est avéré que la soirée avait été animée et festive, avec la génération entre autres des albums de Nirvana et d'Elton John, mais elle était maintenant terminée. Nous avons décidé de célébrer la 700ème génération d'album en écoutant le dernier album généré, "Remedy" de Basement Jaxx. Cependant, la musique n'a fait que souligner l'atmosphère lugubre de la pièce. Nous étions tous déçus de voir que la soirée avait été gâchée, et que le dernier album généré n'était pas à la hauteur de nos attentes.

Trop de protagonistes sur cet album, on ne sait plus où donner de la tête.

Alors c'est ça l'élite de ton générateur Robert ?? T'as pas honte hein Robert ??

Excellent album des Flying Burrito Brothers. De multiples compositions et garnitures nous sont proposées afin de créer le burrito qui nous convient, j'ai personnellement opté pour une composition salade/tomates/haricots rouges/oignons, avec une sauce salca et quelques parts de boeufs. Un véritable délice.

Kendrick Lamar rend ici un vibrant hommage au rap old school, proposant une outro multipliant les "you know what I'm sayin", afin que personne n'oublie que le hip hop est avant tout un genre musical de gros noeudnoeud

J'ai écouté cet album la boule au ventre, la faute au racisme absolument décomplexé de mon camarade d'écoute robvernière, qui m'avait promis l'enfer sur cet album, la faute à sa haine des différences culturelles. J'ai pour ma part trouvé cet album de très bonne facture.

Grâce à l'un de ses meilleurs albums, David Bowie réussit à obtenir la fabuleuse note de 3/5. Bravo pour l'ensemble de ton oeuvre androgyne David.

Qu'est ce que c'est nul le ice cub rap sans déconner

Un excellent album mettant en scène Bob Marley, équipé de sa coiffe rasta, tentant coûte que coûte de rassembler les 5 cartes d'Exodia le maudit. L'album se conclut malheureusement sur un échec, Bob Marley ne réussissant jamais à trouver le bras gauche d'Exodia.

À peine sorti de cure de désintox, Robert se poudre déjà le nez, ce bon vieux Robert est décidément irrécupérable.

Robert est en train de me réconcilier avec le reggae, après Bob Marley et sa quête d'Exodia le maudit, voici que Burning Spear vient nous offrir un album somme toute très agréable.

C'est avec une grande surprise que nous retrouvons la reine de la trip-hop Bjork dans ce groupe de rock islandais. Ceci porte le nombre d'apparitions de Bjork dans le générateur à un nombre des plus conséquent, témoignant au passage de la liaison que Robert a entretenu avec la chanteuse islandaise durant ses jeunes années. Une histoire d'amour se terminant en eau de boudin malheureusement, tout comme cet album.

Je viens de démasquer Robert: ce dernier est en effet un agent infiltré sous couverture. Sa mission: décrédibiliser la France et sa musique, en nous proposant des albums tous plus saugrenus les uns que les autres comprennant des paroles en français, afin de faire croire à l'auditeur moyen que ces albums représentent ce qui s'écoute dans l'Héxagone. Vous pourrez retrouver les détails de mon enquête dans le prochain numéro du New York Times.

Cet album de Lou Reed était absolument nul, n'en déplaise à robjachère et ses goûts musicaux de merde. La semaine ne pouvait pas plus mal commencer.

Je n'ai aucun commentaire particulier à faire sur cet album, car pensant avoir affaire aux Pointer Sisters, j'ai attendu le tube I'm So Excited tout l'album. Le titre en question n'est bien sur jamais venu.

Un de ces albums sans aucune originalité particulière, ces albums qui font le ciment du générateur. Ces albums pas mauvais, mais pas bien non plus. Le purgatoire musical.

Belle et Sebastien viennent ici se présenter en tant que tauliers du générateur. L'amitié liant Sebastien à son chien est une nouvelle fois des plus touchantes, et l'on se réjouit d'avance de visionner le prochain épisode.

Un album de plus à ajouter à la liste des "1001 albums moyens surévalués par robpanière". Cet album a au moins la chance de ne pas rejoindre la liste des "1001 albums de merde surévalués par robpanière", liste comprennant pour l'instant seulement l'intégralité de la discographie de Brian Eno.

Un album très relaxant, j'ai d'ailleurs profité de l'occasion pour me faire chauffer une petite chicorée. Beacoup de lecteurs me demandent d'ailleurs pourquoi je fais le choix de consommer de la chicorée. Il s'agit en fait d'une façon pour moi d'éviter les désagréments liés à la caféine, présente dans le café classique, tout en profitant d'une bonne boisson chaude pendant l'écoute des albums du générateur.

Y a pas à dire, Kendrick Lamar est exceptionnel, bien loin des carcans du ice cub hip-hop.

Willie Nelson a vécu une expérience très traumatisante une fois son album bouclé. Après avoir enregistré toutes les chansons, Willie s'est en effet prêté au jeu du traditionnel shooting photo, nécessaire afin de produire la couverture de l'album. Seulement, Willie a eu la mauvaise idée à la veille de la séance photo de consommer des fruits de mers n'étant plus de première fraicheur, car présent dans son réfrigérateur depuis pluis de 4 jours. C'est donc le teint pâle que Willie se rendit au studio photo. Après quelques tests lumière, Willie ne put se retenir, et laissa échapper un pet foireux. C'est dans le malaître le plus total que Willie tentera de faire bonne figure, mais son visage laissera échapper la vérité se déroulant dans son calecon. C'est malheureusement cette photo qui sera choisie pour illustrer l'album.

Là je dis oui mon Robert, ce détraqué mental de Marilyn Manson m'a défoncé la gueule pendant 1h15. J'en redemande.

Ce qui ne fait pas l'ombre d'un doute, c'est que cet album était affreusement long. Il rejoint ainsi The Gershwin Book dans la prestigieux caste des 1001 albums à écouter avant de mourir si vous avez beaucoup de temps.

Une super entame des Kinks, qui n'ont malheureusement pas réussi à confirmer ces belles promesses sur la suite de l'album. Cela n'est pas sans rappeler la carrière d'Hachim Mastour, le soit disant prodige du Milan AC.

Je n'ai pas bien saisi quelle était la valeur ajoutée de cet album par rapport à celui précemment écouté des mêmes Motörhead.

Paul Revere et les Raiders ne viennent nous proposer rien de bon, il m'est malheureusement difficile de vous dire pourquoi, ayant déjà absolument tout oublié de ce que je viens d'écouter

J'ai écouté cet album rempli de clébards dégueulasses, et l'ai bien évidemment detesté.

Les Chemical Brothers ne sont toujours pas devenus My Chemical Romance, la verrerie cassée continue à s'amonceler dans le studio. Quel manque de maîtrise du bec Bunsen...

Jean-Michel Jarre est venu distribuer des giffles à tous les petits ratés du mouvement ambient, Brian Eno en tête de liste qui en sortira complétement défiguré.

Stevie tentera tout le long de l'album d'imiter les reprises d'Eddie Mitchell, malheureusement sans succès.

Je croyais avori déjà noté ce nouvel album insipide des Stones, qui s'inscrit encore un peu plus dans l'histoire en tant que groupe le plus surcôté de tous les temps.

Comme l'impression que Simon et son petit copain Garfunkel se sont foutus de ma gueule, et j'aime pas qu'on se foute de ma gueule.

Brian a réussi l'exploit de proposer un album digeste, après de nombreuses tentatives infructueuses. Cet homme est la preuve que la persévérance finit toujours par payer. Petit bémol: l'ombre de son grand rival Jean Michel Jarre plannant au dessus de l'album empêche de bien profiter de toutes les différentes pistes.

Après avoir pourtant pourri l'ambiance lors de sa première apparition, Can se voit recevoir une deuxième invitation dans l'incompréhension générale. Le résultat n'est en rien différent du premier passage.

Quelle belle manière de débuter la semaine, merci Nina

Robert nous propose un nouvel album aux sonorités brésiliennes sorti de derrière les fagots. On peut affirmer sans se tromper que l'Erasmus à Saõ Paulo est de loin celui qui a le plus marqué notre Robert national, il ne manque jamais une occasion de nous le montrer.

Album très sympathique, la version empaillée de Leonard Cohen est bien supérieure à sa version cadavérique.

Robert nous a donc sorti sa carte spéciale "double Leonard Cohen". On ne s'attendait pas à le voir utiliser cet atout majeur si tôt dans la partie, il prend ainsi tout le monde à contre-pied et s'impose encore un peu plus en tant que patron du générateur.

Ramblin' Jack Eliott est-il l'ancêtre de Johnny Cash? Je vais tâcher de mener l'enquête de mon côté, je vous tiendrai au courant des avancées de mes recherches.

Une entame sur les chapeaux de roues, malheureusement l'odeur pestilentielle des arrêtes de poissons pourries empêchera rapidement de profiter pleinement de l'album.

Bill Callahan (à prononcer impérativement avec une voix de coboye) vient se propulser en tant que favori au concours du pire combo pochette/nom d'album du générateur. Mais reprennons chacun des éléments un à un: - la pochette est tout simplement une image de chevaux pâturants dans le pré, à laquelle Bill a appliqué un filtre lumineux (luminosité augmenté environ à 78%). À ceci, Bill a ajouté un titre en police d'écriture Lucida Calligraphy, que vous pouvez retrouver sur tout bon logiciel de traitement de texte. - le nom d'album contient une faute de grammaire. En effet, il aurait fallu choisir un titre comme "Sometimes I Wish We Were Eagles", ou encore "Sometimes I Wish I Was An Eagle", car plusieurs personnes ne peuvent être un seul aigle

Les Fugees sont tout de suite plus agréables dès qu'on les débarasse de sa tribue de mauvais rappeurs.

Kanye rejoint Michael Jackson dans le top 2 des artistes du générateur, il tente même de lui infliger un superbe jab du gauche, mais Michael parvient à l'éviter et à contrer d'un supperbe uppercut. S'en suivra une phase de ground and pound qui verra Michael s'imposer par soumission grâce à un superbe étranglement, mais Kayne aura définitivement fait douter notre champion des 1001.

Une nouvelle super bande de joyeux gueulards, ce genre musical est définitivement dans le coup. Je profite de ce commentaire pour m'inquiéter pour la santé de Robert. Ce dernier a en effet passé tout le week end de Pâques a se défoncer la gueule à coup de rails de coke et autres seringues, nous proposant une série d'albums tout bonnement exceptionnelle. Il a été admis hier en cure de désintoxe, mais a quand même réussi ce matin à sniffer un peu de cocaïne depuis son lit, nous proposant l'album de Jacques Brel. Son état de santé est dans un état critique, et qui sait de quoi demain sera fait.

ZZ Top pas du tout à la hauteur, je vais en toucher deux mots à mon paternel, qui comme vous le savez est un très grand fan.

Les Pink Floyd m'ont bien fait fermer ma gueule, en me la baisant de toute part.

Un tout petit 4 pour notre JB, fier représentant de la francophonie. Robert est enfin sorti de cure de desintox, il est apparement parfaitement sobre. Pour l'instant...

Cet album mettait en scène un Michael Jackson encore plus pâle qu'à son habitude, presque transparent. Et pour cause, après quelques chansons, le visage de Michael finira par se déchirer, laissant entrevoir la mine dépourvue de Scritti Politti. Une belle tentative d'escroquerie, mais le déguisement de Scritti n'aura pas tenu les 40mn d'album.

Quel plaisir de voir que tout est rentré dans l'ordre, et que Robert nous propose de nouveaux albums insipides. C'est important de revenir aux bonnes vieilles habitudes !

C'est une bonne journée de merde, et c'est certainement pas ce connard d'Otis Redding qui va y changer quoi que ce soit.

Mes amis d'enfance de MGMT m'ont régalé sur cet album, tout l'inverse de mon camarade d'écoute robcremaillère qui s'evertue à distiller des avis absolumetn effarants sur tous les albums du générateur.

Les Dire Straits tenteront tout du long de l'album de proposer de superbes riffs de guitare, qui seront malheureusement à chaque fois gâchés par le chant absolument catastrophique de leur leader. Les membres du groupe tenteront pourtant d'enfermer le chanteur en question dans un placard, mais il parviendra toujours à s'échapper pour venir ruiner chaque titre.

Je pensais les Talking Heads repentis de leur dernier album très moyen, il n'en fût rien. L'occasion de faire le point sur les derniers albums attendus du générateur. Il n'y a plus grand chose à se mettre sous la dent, voici néammoins une liste non exhaustive: - le dernier album d'Elton John - l'album de Einstürzende Neubauten - le 73ème album de David Bowie - la réedition du cadavre de leonard Cohen - le recueil transgenre de Christine and The Queens N'hésitez pas à me faire savoir si j'oublie quelconque album.

Cet album nous présente un Garfunkel tentant de mettre des mots sur ses emotions, malheureusement la terreur l'empêchera de s'exprimer. En effet, l'ombre de Simon flotte derrière son épaule, lui succurant des menaces et autres supterfuges pour tenter de le décourager. On en ressort avec un Garfunkel complétement brîmé, qui barbouillera quelques "non non je vous jure que ça va" avant de couper l'enregistrement. On n'ose imaginer ce qui est advenu de lui après ça.

J'ai demandé à ChatGPT de me générer une liste de titres américains de country clichés, voici ce que ce dernier m'a proposé: "Riding Down to Tennessee" "Cowboy on the Open Range" "Whiskey Nights in Nashville" "Wild Horses of the Far West" "Honky Tonk Heartache" "Lost in the Dusty Trails" "Backroads of Texas" "Broken Boots and Broken Hearts" "Jukebox Blues and Barstool Dreams" "My Dog, My Truck, and My Best Friend" Merci à ChatGPT de nous prouver que les américains sont des abrutis.

Queen s'impose vraiment dans ce générateur comme l'une des têtes d'affiches du surcôté rock, genre on le rapelle dominé outrageusement par les Rolling Stones.

Une seule question est sur toutes les lèvres concernant l'illustre Tom Waits: pourquoi?

Je suis en train de confectionner un arsenal militaire de haute technologie, qui devrait me permettre de supprimer pour de bon les années 60 du paysage musical mondial. Je vous tiendrai au courant lors de la mise en action de cet acte terroriste de premier ordre.

Steve Winwood est malheureusement atteint du syndrome Hawley: après une intro d'album absolument sensationnelle, Steve va en effet se prendre complétement les pieds dans le tapis. Il ne parviendra jamais à s'en relever, roulant sur le sol jusqu'à la fin de l'album.

Van Morrison est beaucoup moins maladroit que son frère Jim, mais n'en demeure pas plus intéressant pour autant.

Iggy Pop est ici plus déchaîné que jamais. On peine à deviner sa présence, ses membres étant dissimulés dans divers tuyaux extrêmement fins, mais la performance n'en demeure pas moins de bonne facture. Excellente outro ou Iggy se dissimulera entre deux pages d'un livre posé sur la table du studio.

Nouveau naufrage pour Bob Dylan, qui vient nous casser les couilles avec son harmonica de merde.

J'ai attendu tout l'album que les Bee Gees se réveillent en sursaut en nous envoyant un bon gros "Ah ah ah ah staying alive", mais ce moment n'est malheureusement jamais venu.

Brubeck, en plus de ne pas vouloir me livrer mon tshirt en laine mérinos commandé il y a de cela 2 mois et demi - et ce malgré plusieurs relances de ma part - vient nous proposer un album soporifique de jazz dont on se serait bien passés.

Je pisse au cul des américains et de leur culture de merde j'espère que c'est bien clair maintenant.

Un calvaire historique, la police n'interviendra qu'après 2h20 de tapage nocturne. La nuit de sommeil est par conséquent d'ores et déjà foutue.

J'espère ne jamais avoir à recroiser les Rolling Stones dans ma vie. Si j'entends quelqu'un ose me ressortir que les Rolling Stones sont un groupe légendaire ça va très mal se passer je préviens.

C'était sympathique, mais loin de leur apogée musicale, à savoir leur association avec une Miley Cyrus couverte de drogue de la tête au pied au milieu des années 2010.

Pas désagréable, pas particulièrement agréable non plus, vivement la fin de cette liste qui me pourrit la vie.

Par pitié qu'on ramène une cargaison de coke à Robert, rien ne va plus depuis qu'il est sorti de cure de désintox.

Lenny Kravitz possède une belle somme de tubes à son actif, bien évidemment son unique album du générateur n'en comporte aucun. Robert tu as aujourd'hui signé ton arrêt de mort.

Je suis en train de préparer une attaque informatique de très haut niveau afin de pousser les serveurs du générateur au crash. Je suis prêt à tout pour me débarasser de ces 1001 albums qui me pourrissent la vie.

Cette fois c'est trop, mon camarade d'écoute robpelletière avait raison depuis le début: Björk c'est nul

Enfin un album potable on ne l'attendait plus, merci à la synthpop d'apporter un peu de lumière sur cet horrible générateur. C'est quand même le 14ème album d'affilé sans 4/5 ce qui commence à faire BEAUCOUP Robert.

Pas besoin d'insulter une enième fois les américains, vous aviez déjà bien saisi.

Le générateur est au plus bas, je suis en grande difficulté dans ma lutte pour tenir la cadence infernale d'albums moyens envoyés par Robert. J'ai très peur pour l'avenir.

K.d. lang continue de redistribuer les cartes à chaque apparition: on n'est toujours pas plus avancé sur la véritable nature du personnage. A t'on affaire à un individu de sexe féminin ou masculin? Bien malin celui qui saura donner une réponse définitive à ce débat enflammé.

Mais quel est le putain d'intérêt ?

Quel plaisir de reprendre le générateur sur cet album après un super week end de 4 jours !

Excellent album, Robert est en grande forme en ce moment.

David Ackles a tenté de se dépatouiller comme il le pouvait au milieu de la bouillasse proposée par Robert depuis quelques semaines, sans malheureusement réussir à s'élever suffisament pour atteindre le sacro saint 4/5. De généreux efforts qui sont néammoins appréciés.

Alex Turner vient rompre la série morbide de 22 albums sans le moindre 4 sur 5 de la plus belle des manière.

2h10 de country, Robert aura vraiment tout tenté pour nous pousser à abandonner le générateur, mais on tient bon.

Aucun souvenir de cet album, je viens pourtant tout juste de le terminer. Il me semble néammoins qu'on peut apercevoir vers la 12ème piste Nicolas Sarkozy tenter de franchir la rivière aux crocodiles, hormis ça je ne peux rien vous dire de plus.

J'admets avori passé un bon moment à l'écoute de cet album, mais ça ne suffira malheureusement pas Robert, un nouveau cargo de cocaine devrait arriver à ton domicile dans la semaine.

La commande de cargo de cocaine vient de quitter l'entrepot.

Dylan je vais te foutre ton harmonica dans le cul tiens le toi pour dit.

J'avoue que j'ai bien aimé, mais quelle drôle d'idée de représenter le punk des années 2000 par ce groupe inconnu alors que des tas de groupes légendaires sont passés à travers les mailles du fillet Roberesque.

Mon camarade d'écoute robcavalière m'a déclaré hier que Peter Gabriel, je cite "s'est surpassé pour nous sortir de la merde". Je vous laisse maintenant aller voir la note que ce dernier a attribué à l'album. Cela devrait vous permettre de comprendre le calvaire vécu au quotidien dans cette éprouvante épreuve des 1001.

Bon allez pour les tubes je vais quand même mettre 4 parce que je suis de pas trop mauvaise humeur, mais attention The Police.

Encore un album moyen des Rolling Stones, on espère que la 74ème tentative de Robert sera la bonne pour nous convaincre de la qualité de ce groupe !

Pas l'album le plus nul de ce dernier mois, j'ai malheureusement attendu tout l'album un titre clash à l'encontre de Machine Gun Kelly qui n'est malheureusement jamais arrivé.

Je propose gentillement à Duke Ellington d'aller faire chier quelqu'un d'autre avec sa trompette de merde.

Le Badyl Drawn Boy s'en est pas trop mal sorti, et nous a offert un album agréable qui dénote très clairement avec toute la daube ambiante. Je n'ose d'ailleurs pas imaginer l'odeur dans la chambre de Robert.

Merci aux Isley Brothers d'avoir la grandeur d'esprit de ne pas nous importuner avec un album trop long, c'est grandement apprécié dans la douloureuse course vers la fin du générateur.

Les joyeux gueulards de Slipknot nous apportent un peu de fraîcheur dans ce générateur pour ménagères. Malgré cela, j'ai bien l'impression que le cargo de cocaïne promis à Robert n'est pas arrivé à bon port, je vais faire jouer de mes contacts auprès de la police douanière pour tenter de résoudre cette affaire.

Emerson, Lake & Palmer auront au moins eu la présence d'esprit de ne pas allonger de trop leur cacophonie.

Je suis un grand fan de funk comme tout comme l'illustre Sinclair, cêst donc tout naturellement que j'accorde la note de 4/5 à cet excellent album.

Alors qu'ils se pointaient avec la cape de sauveur du générateur, les Pet Shop Boys se sont bien foutus de notre gueule sur cet album.

C'etait ma foi très agréable, Robert semble retrouver un peu de vie grâce à la seringue d'héroine que j'ai déposé dans sa boite au lettre il y a de cela quelques jours. Le cargo de cocaine est lui toujours en stand by.

Les gâteaux d'annviersaire ne sont même plus sortis pour célébrer ce 800ème album, on a hâte que tout cela termine.

Les Django Django viennent nous offrir une magnifique Richard Hawley, on peut même les entendre se plaindre dès la troisième piste, grommelant "mais qui a laissé trainer ce tapis ici??"

Long et sans intérêt.

La semaine démarre sur les chapeaux de roue, avec un superbe enchaîenment Hüsker Dü - Gram Parsons, qui n'aurait rien à envier à un cours de français de lycée de 2h.

Comme prévu, Lupe Fiasco vient ici nous prouver qu'il est un rappeur moyen, n'en déplaise au malade robpissaladière.

Nick Cave vient dès les premiers instants de l'album nous aposer un sac sur la tête, avant de nous balancer dans le coffre d'une voiture, pour une prise d'otage qui durera au total près d'1h20.

Charles Mingus nous offre deux première pistes de grand n'importe quoi, avant de progressivement débuter sa triple métamorphose. Charles Mingus évoluera dans un premier temps en Frédéric Chopin, proposant de piquantes notes de piano dans une ambiance des plus obscures. Charles Mingus passera ensuite à sa deuxième évolution, qui le fera devenir un guitariste des Gipsy Kings, enchaînant les solos de guitare latino. Enfin, Charles Mingus reviendra à son état initial, nous offrant un fouillis de n'importe quoi avec sa trompette de merde.

Très agréable, on se régale notamment des chants "Allez Paris Saint-Germain" entamés en outro de l'album.

Elton John se positionne en tant que boss de fin du générateur, nous n'attendons désormais plus rien et allons nous laisser dériver pendant plus de 200 albums restants.

Tom Waits vient nous vomir dessus pendant près d'une heure, et autanst de vous dire que je rêvais d'un peu mieux pour entamer ma semaine.

Difficile de lancer cet album sans se boucher le nez, la faute aux multiples odeurs de clébard se mélengeant à l'air ambiant dès qu'on ouvre le boitier du CD. Une fois passée la barrière de l'odeur, c'est au bruit constant qu'il faut se frotter, on en ressort avec tous les sens fortement endommagés.

Super jeu de mot les mecs bravo, pour la musique on repassera.

Très agréable, ça change de tous les nazebrocs rock envoyés par Robert sans aucune vergogne.

Steely Dan reviennent nous baiser la gueule comme au bon vieux temps, nous ramenant aux plus belles heures du générateur. Une comparaison qui ne fait que nous rapeller à quel point le générateur actuel est dans un sale état...

Je m'avoue agréablement supris par le dénommé Method Man. Vous n'êtes en effet pas sans savoir que je ne supporte pas le ice cube hip hop, mais ce bon vieux Method Man a réussi à me faire passer un bon moment. Plus fort encore, Monsieur Method ne dépasse même pas les 50mn de musique, fait extrêmement rare pour un album de ice cube hip hop.

Robgruyère tu as une vingtaine de critiques d'albums de retard, ça va très mal se passer si tu n'en postes pas à minima 10 dans les trois prochains jours. Ceci est un ultimatum.

Un album non sans rappeller l'excellent groupe Gunshit, conseillé à l'époque par un de mes collègues de travail des bureaux de Francfort. Ce brillant conseiller n'aura néammoins jamais réussi à rendre mon expérience allemande plus agréable, et je voue depuis une haine incommensurable à l'égard du peuple aryen.

Pas tout à fait compris ce que venaient foutre les Verts dans cet album, Robert des explications ??

Bien joué pour les 30 minutes John, pour le reste c'est beaucoup moins bien joué.

Radiohead aura tout tenté, nous répétant tout au long de l'album "Il faut relancer nos albums" ou encore "On fait de la super musique, pourquoi vous ne nous écoutez qu'une fois?", malheureusement cela ne prend toujours pas.

Cet album n'est ni bien ni indie, par contre robgruyère est bien un sacré trou du cul.

Une atrocité de plus récoltant 2/5. Robert on t'a déjà dit, quitte à nous mettre de la merde vasy franco qu'on puisse au moins rigoler un peu en mettant des 1/5.

Talvin Singh sera tout le long de l'album pris en étau entre ses racines et sa passion pour la robotique. Il tâchera donc de nous proposer un voyage dans son pays natal indien, à travers de belles voix/sonorités qui feraient rougir votre charmeur de serpent local, tout en ajoutant différents cliquetis, bruits de bras articulés ou encore bip intéractifs non sans rappeler un super épisode de Transformers. Un combo osé mais qui fait mouche.

Une Marianne des plus alcoolisée viendra nous crier au visage "Je suis pas bourrée juste un peu pompette" pendant environ 40mn. Marianne finira l'album inconsciente, en boule dans la baignoire de l'appartement.

Cet album ne laissait rien présager de bon, la présence du terme "Buffalo" dans le nom de l'artiste nous laissant envisager un enième album de coutnry. Il n'en fut rien, Grant Lee Buffalo nous proposant un album relativement solide et agréable. Petit point un peu gênant en revanche, Grant Lee Buffalo ne cesse de chuchoter "Père où êtes-vous ??" ou en encore "Il va bientôt revenir ?" de façon presque imperceptible sur plusieurs titres, mais cela n'entâche pas trop la prestation globale de l'album.

J'ai passé un excellent moment malgré une date de parution d'album qui laissait envisager un produit des plus périmés.

The Avalanches viennent nous proposer un album complétement à l'image de leur nom: un bordel sans nom. On ne comprend absolument pas quelle est la proposition artistique, les chansons toutes plus débridées les unes que les autres s'enchaînant sans aucune cohérence. Fort heureusement l'avant dernier titre ayant pour but d'imiter un maximum les Daft Punk, en répétant en boucle "Around the world around the world" fera mouche et permettra de conserver les 3 étoiles accordées à chaque album par défaut au lancement de la première piste.

Bien loin du groupe Muse premier du nom.

Allez pourquoi pas finallement.

Les africanaiseries de Robert sont absolument inaudibles.

Les Stephen Stills continuent de se démultiplier dans ce nouvel opus. On dénombre désormais pas moins de 43 individus composant le groupe. Où s'arrêtera ce clonâge industriel? Bien malin celui qui saura nous le dire.

Si Bonnie s'habillait moins comme un chagasse, elle aurait peut-être pas besoin de nous chanter ses peines amoureuses sur 11 pistes.

Les soeurs ciseaux nous ont proposé un excellent album de coiffure pop. Les contours sont absolument impeccables, et un bon volume de chevelure est conservé sur le dessus. Les soeurs ciseaux nous proposeront d'ajouter de la cire en touche finale, que nous refuserons poliment, avant de regler la prestation avec le sourire. Un super moment passé en compagnie de toute l'équipe.

Un album sans intérêt musical mais sur ce point là on est pas surpris, ni même plus vraiment déçu, non. Le vrai problème, c'est que derrière une idée de titre d'album amusante, qui aurait pu laisser place à des tonnes d'astuces tout au long de l'album, on se retrouve avec seulement une voix de cockpit sur 5 secondes en intro de l'album, et c'est tout. C'est donc une panne de créativité à tous les étages pour les gros losers de Spiritualized.

Vous me le paierez un jour Orbital, vous me le paierez

Je n'ai pas écrit de commentaire hier sur cet album tout simplement pare qu'il était complétement rincé

Libérez ltrapèze et robgruyères par pitié

Mais c'est quoi cette merde encore on en peut plus Robert reveille toi par pitié

Y avait 50 fois mieux dans le genre mais au moins on s'est pas trop fait chier ce matin, plus qu'une dizaine de mois et l'on pourra enfin s'extraire de ce générateur de malheur.

Le rappel à l'ordre de Norbert Episode envers la mère de la famille d'accueil de mon camarade d'écoute robtuilière était amplement justifié: cet album était totu bonnement excellent, et ne devait être écouté avant sa génération sous aucun pretexte.

J'ai passé tout l'album à chercher à qui la voix du chanteur du groupe Culture Club ressemblait, malheureusement sans succès.

J'ai appris il y a environ 2 ans que Franz Ferdinand n'etait pas un individu mais bien un group d'individus. Le leader de ce groupe ne s'appelle d'ailleurs même pas Franz Ferdinand, il y a donc bel et bien erreur sur la marchandise.

Qui se souviendra de l'oeuvre de Death In Vegas dans 20 ans ? Absolument personne puisqu'on a déjà oublié de quoi leur musique en retournait.

Je n'en peux plus des merdes experimentales bizzares de Robert, à quel moment on retrouve dans la même liste Michael Jackson et Dr. John, c'est quand même un monde ça.

Je suis asez fan du groupe Limp Bizkit pour l'ensemble de leur oeuvre, et allait donc leur accorder un 4/5 bienveillant. Malheureusement l'outro m'a fait changer d'avis, y en a mare de ces groupes qui veulent faire les interessants avec des outro ridicules.

ça faisait longtemps un bon alubm d'ice cube rap d'1 heure, ça nous avait pas manqué.

Les Klaxons sont très utiles pour signaler son arrviée dans le virage d'une route sinueuse de montagne, mais ne doivent en aucun cas être utilisés en ville.

Eliott Smith va bien te faire voir

ça faisait longtemps que l'on avait pas profité d'un bon album de krautrock, ce genre musical si cher à mon camarade d'écoute robhitler. Un album qui vient nous rappeler que la race aryenne est bel est bien complétement désuette.

Si vous connaissez quelqu'un qui connait quelqu'un qui apprecierait écouter cet album, à savoir que cet album lui procurerait du plaisir, qu'il le trouverait agréable ou lui trouve tout autre adjectif mélioratif, transmettez moi ses coordonées car mon camarade d'écoute robpissotière et moi même souhaiterions le rencontrer (pour le passer à tabac).

Après trois ans d'interdiction par Robert d'écouter l'album Channel Orange de Frank Ocean tant que celui ci n'était pas généré, jai pu aujorud'hui vivre un moment d'exception en relançantle divin morceau Pyramids. Merci à mon maître Robert de m'avoir sevré de la sorte.

Un album très bien placé juste après le repas du midi, permettant d'entamer sa sieste dans les meilleures conditions possible.

Tito Puente vient ici nous rappeler les plus grandes heures du générateur, celles où je venais à découvrir le genre majestueux de la salsa par le biais de Willie Colon et Ruben Blades. Ma vie n'a dès lors plus jamais été la même.

Un Bobby Womack absolument innarêtable, qui va venir baiser tout ce qui bouge pendant 38 minutes. Une soif de sexe insatiable, qui n'entâchera en rien la très bonne prestation offerte sur cet album, bien au contraire.

Notre ami Marty Robbins nous a proposé l'une des pochettes les plus incroyables de ces 60 dernières années, grâce à ce superbe personnage de jeu vidéo représentant parfaitement le cliché country. Merci pour ça Robby.

Je pense qu'on aurait pu se passer de ce second album de country sur la matinée.

Rien de fantastique à raconter sur cet album, tout ce que je souhaite c'est rattraper mes deux jours de retard causées par des vacances sans générateur bien méritées.

A part ramener sa fraise pour dire que le titre eponyme de cet album a été samplé pour l'énorme tube Hip Hop is Dead de Nas, cet album ne servait pas à grand chose pour ne pas dire à rien.

A ne manquer sous aucun pretexte avant de mourir.

Mais qu'est ce que c'est que cette merde encore Robert, t'as pas bientôt fini de te payer notre tête ?!

C'était vraiment nul donc bien dans le thème du générateur actuel, très bien joué de ta part Robert

La constance de Robert dans l'impertinence musicale force le respect, c'est un véritable festival d'albums tous plus étranges les uns que les autres qui se succède actuellement. Encore une fois, bravo Robert.

Quelle ambiance sur cet album ! La folie a gagné la soirée, et tout le monde s'est mis à chanter popolopopopopo jusqu'au bout de la nuit.

Complétement sous le charme de ce festival du vibrato, organisé en toute intimité par l'excellent Antony et sa troup de Johnsons. On en redemande.